Geneviève Doang
Genres :
Voix Enfant garçon, Voix Enfant fille, Voix Adolescent garçon, Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Aiguë, Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Anglais avec accent britannique, Chinois
Doublage
télévision, VOD & DVD
2019
télévision, VOD & DVD
2017
Voix
Présentatrice
Hall of Shame (Nolife, chaîne ADSL)
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Colgate
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Evian
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Ford
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Française des jeux
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Havas Voyages
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Japan Expo 2008, 2009, 2010, 2011 (MTV, Nolife)
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Mont Roucous (Télé)
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Nestlé Fitness
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Renault
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Splash Toys
Serious game
Mon entretien d'embauche - SFR (Lucy)
Voix-off
101% - news émission quotidienne (Nolife, chaîne ADSL)
Formation
Atelier de chant "The Workshop" avec Marina Albert, Arlene Thiel, Amy Lavietes
Stage – Atelier des Comédiens avec Olivier Carbone
Cours particuliers de chant avec Eric Szerman, des "Artisans de la Voix"
Cours d’Art dramatique de l'Atelier Premier Acte, classe de Francine Walter
Cours d’Art dramatique de l'Ecole Charles Dullin, classe d’Hélène Poitevin
Bac S Mention Bien / Master Grande Ecole de Commerce (Bac+5), Sup de Co Reims
Stage – Atelier des Comédiens avec Olivier Carbone
Cours particuliers de chant avec Eric Szerman, des "Artisans de la Voix"
Cours d’Art dramatique de l'Atelier Premier Acte, classe de Francine Walter
Cours d’Art dramatique de l'Ecole Charles Dullin, classe d’Hélène Poitevin
Bac S Mention Bien / Master Grande Ecole de Commerce (Bac+5), Sup de Co Reims
Chant
5 ans de solfège au Conservatoire Municipal Claude Debussy – St Germain en Laye, 4 ans de piano, 1 an de harpe) : voix pop légère mezzo – soprane
Cinéma et Télévision
2017 "Dragon Race" série STUDIO + / Groupe CANAL + (10 x 10 min) réalisée par Hugues Martin / Rôle : Kim
2017 "Transferts" série ARTE (6 x 52 min) réalisée par Olivier Guignard & Antoine Charreyron / Rôle : Enlaï
2013/2014 "Luxury attitude" série fiction Pédagogique (12 x 26 min) / Rôle : Emily
2011 "Platane" série Canal+ réalisée par Éric Judor et Denis Imbert
2010 "From Paris with love" film Cinéma réalisé par Pierre Morel
2017 "Transferts" série ARTE (6 x 52 min) réalisée par Olivier Guignard & Antoine Charreyron / Rôle : Enlaï
2013/2014 "Luxury attitude" série fiction Pédagogique (12 x 26 min) / Rôle : Emily
2011 "Platane" série Canal+ réalisée par Éric Judor et Denis Imbert
2010 "From Paris with love" film Cinéma réalisé par Pierre Morel
Courts métrages
2016 "Mui-Diên n'est pas mort" réalisé par Nam Trân-Minh / Rôle : Mai Linh
2015 "Les aventures de Tranh & Nowak" réalisé par Godefroy Ryckewaert / Rôle : Tranh
2015 "L'homme le plus beau du monde" réalisé par Maïa Thiriet soutenu par la région et l’ADAMI / Rôle : Gaodi
2015 "Les aventures de Tranh & Nowak" réalisé par Godefroy Ryckewaert / Rôle : Tranh
2015 "L'homme le plus beau du monde" réalisé par Maïa Thiriet soutenu par la région et l’ADAMI / Rôle : Gaodi
Langues
Français (natif)
Anglais (accent US – bilingue)
Chinois (conversation simple mandarin / cantonais )
Japonais (notions)
Anglais (accent US – bilingue)
Chinois (conversation simple mandarin / cantonais )
Japonais (notions)
Publicités
2017 "Bouygues" Shooting Campagne en interne
2016 "Airbnb" Campagne TV et internet
2015 "Auchan" Campagne TV et cinéma
2015 "Crédit foncier" Campagne TV et internet
2014 "La banque postale" Campagne TV
2014 "Cuisines Schmidt" Shooting catalogue
2016 "Airbnb" Campagne TV et internet
2015 "Auchan" Campagne TV et cinéma
2015 "Crédit foncier" Campagne TV et internet
2014 "La banque postale" Campagne TV
2014 "Cuisines Schmidt" Shooting catalogue
Sports
Kung-fu (depuis l'âge de 11 ans)
Théâtre
2015 "Marco Polo : An untold love story" comédie Musicale mise en scène de Rogelio Saldo Chua
2010 "L'art de feindre / franchement" mise en scène de Francine Walter (scènes de Claudel, Corneille...)
2009 "Le collier de perles du gouverneur Li-Quing" mise en scène d'Hélène Poitevin / Rôle : Li-Quing
2010 "L'art de feindre / franchement" mise en scène de Francine Walter (scènes de Claudel, Corneille...)
2009 "Le collier de perles du gouverneur Li-Quing" mise en scène d'Hélène Poitevin / Rôle : Li-Quing
Interview
R.S : Bonjour Geneviève.
G.D : Bonjour Reynald.
R.S : La comédie t'a-t-elle toujours passionnée ?
G.D : On peut dire que je jouais déjà la comédie, enfant, sans le savoir, comme M. Jourdain faisait de la prose ! Mais je n'ai réellement pris la comédie plus au sérieux que bien plus tard, lorsque j'ai fait le choix d'en faire mon métier plutôt que de continuer dans la voie tracée par mes études.
R.S : La formation est-elle primordiale pour débuter sereinement sa carrière ?
G.D : J'ai un parcours assez atypique puisque j'ai commencé par des études de commerce avant de m'orienter vers le métier de comédienne... Etant donné que j'ai un master d'école de commerce, je ne serais pas crédible si j'affirmais que la formation n'est pas une étape importante dans toute carrière ; mais je dirais qu'elle est une base saine et une passerelle d'accès utile pour démarrer et ouvrir les premières portes. Ensuite, c'est le talent, l'expérience, les rencontres... et la chance, qui prennent le relai !
R.S : Comment as-tu commencé le doublage ?
G.D : Si on remonte à ma toute première expérience, j'ai commencé au sein d'une petite association qui organisait des sessions "d'entraînement au doublage". Elle avait été fondée par quelques jeunes passionnés du doublage aux profils variés (étudiants en langues, comédiens, ingénieurs du son...) et avait pour modeste vocation de permettre aux jeunes comédiens d'aller démarcher plus sereinement aux portes des studios, en les aidant à mieux gérer l'appréhension du micro, et en leur donnant quelques bases de la technique de synchro. Nous avions la chance de pouvoir nous exercer dans les locaux d'un véritable studio d'enregistrement durant les week-ends, et de disposer d'un logiciel de bande rythmo que nous avions fait développer pour les besoins de l'activité de l'association. Malheureusement pour les curieux, à l'heure d'aujourd'hui cette association a cessé toute activité... A la même époque j'ai donc doublé pour la première fois sur un film puis une série de 13 épisodes sortis en DVD, mais comme j'entrais à peine au lycée, et que je me suis lancée dans mes études après, je n'ai pas eu le temps d'approfondir mon expérience dans le doublage. Par la suite, alors que je terminais mes études, j'ai pris la décision de faire de ma passion mon métier, et c'est ainsi que je me suis lancée dans le démarchage auprès des studios. Portée par la petite expérience que j'avais déjà, je pense que cela m'a permis de démarrer relativement rapidement, mais comme je n'avais aucun réseau à proprement parler, j'ai dû partir de zéro en allant assister sur les plateaux, en commençant souvent par des ambiances, et en faisant mes preuves au micro.
R.S : Existe-t-il une sorte de complicité avec la comédienne qu'on double ?
G.D : Si on peut appeler cela une complicité, alors elle n'est qu'à sens unique, puisqu'en temps normal, on ne connaît pas personnellement l'actrice que l'on double ! Bien entendu en tant que comédienne qui prête sa voix, on peut se sentir plus proche lorsqu'on arrive à mieux comprendre la sensibilité de l'actrice, son approche du rôle, les nuances et les subtilités de son jeu dont on obtient des indices dans son souffle, son oeil, une légère inflexion du timbre... C'est lorsqu'on arrive à cerner au mieux toute cette combinaison de détails qui forment l'identité de la comédienne doublée, qu'on peut dire que la magie du doublage commence à opérer !
R.S : Comment réagis-tu lorsque tu regardes une version française à laquelle tu as participé ?
G.D : Je fais partie de ces personnes perfectionnistes qui ne sont jamais totalement satisfaites de leur travail, et qui espèrent toujours faire mieux la prochaine fois ! Mais j'ai quand même bien conscience que la perfection en comédie n'existe pas, et qu'en doublage encore moins. Par définition, adapter une oeuvre dénature toujours l'original, ne serait-ce que par le fait même de transcrire dans une autre langue les dialogues, et ce avec les nombreuses contraintes liées au synchronisme.
R.S : En dessin animé dirais-tu que le travail est différent ?
G.D : Oui. C'est différent au niveau de la technique, car le synchronisme des bouches est forcément moins précis sur un dessin animé que dans la "vie réelle" ; et c'est également différent au niveau de l'interprétation, car en général il y a moins de nuances marquées sur l'animation qu'avec des acteurs en chair et en os. Cela implique donc quelque part aussi qu'on a plus de marge au niveau de notre liberté d'interprétation, ce qui est plutôt jouissif ! Mais en réalité, doubler un dessin animé n'est pas forcément plus facile pour autant. En fait, une des difficultés de l'exercice réside dans la maîtrise des "codes" du dessin animé. Si l'on ne prête qu'un oeil trop superficiel au travail des animateurs sur l'attitude ou les mimiques des personnages, on risque de rater des nuances qui existent réellement à l'image, tels que des appuis, des ruptures plus ou moins subtiles d'intentions, ou l'état d'esprit et l'énergie du personnage en général. Pour moi, une des clés pour faire du bon travail sur du dessin animé est donc la précision de notre interprétation par rapport à tout ce que les images animées nous livrent. Evidemment, plus l'animation est de qualité, plus les nuances et les subtilités se rapprochent de celles de vrais acteurs. Un autre challenge en dessin animé est également la justesse de l'interprétation. On a vite fait de tomber dans un "ton dessin animé" un peu surjoué ou "chanté". J'essaie donc de toujours trouver le ton le plus naturel et le plus juste, au plus proche de comment je le jouerais si c'était du "live", mais sans sacrifier l'intensité et l'énergie qu'impliquent souvent le dessin animé ! Ce qui n'est pas forcément facile, surtout quand le texte ne s'y prête pas...
R.S : Qu'évoque pour toi le mot interprète ?
G.D : Pour moi, un véritable interprète est le canal d'expression d'une oeuvre, d'un texte, d'un rôle, et parfois même d'un autre interprète que soi, comme c'est le cas en doublage. C'est pourquoi parmi les qualités essentielles dont on a besoin en tant qu'interprète, je pense avant tout à l'humilité et au respect. L'humilité de comprendre et d'être à l'écoute de ce que l'auteur de l'oeuvre (ou l'acteur du rôle, en doublage) a voulu transmettre, et comment il a voulu le transmettre. Et le respect de ce travail. En doublage, si on n'a pas ce respect et cette humilité devant l'interprétation du comédien que l'on double, alors on ne fait que superposer notre propre jeu et notre propre sensibilité sans rentrer réellement en symbiose avec le comédien. Tu parlais de complicité tout à l'heure avec le comédien qu'on double, je pense que c'est cela que l'on doit chercher dans le doublage, en tant qu'interprète !
R.S : Quels sont tes hobbies ?
G.D : Je pratique le kung fu depuis mon enfance, malgré un arrêt de quelques années dû à mes études... J'en faisais entre 11 et 16 ans et puis j'ai repris il y a un peu plus de 3 ans. Sinon, dans mes loisirs un peu plus courants, j'aime lire, aller au cinéma, chanter...
R.S : Merci beaucoup Geneviève.
G.D : Merci à toi Reynald de m'accueillir sur ton site de référence !
Interview de novembre 2011
G.D : Bonjour Reynald.
R.S : La comédie t'a-t-elle toujours passionnée ?
G.D : On peut dire que je jouais déjà la comédie, enfant, sans le savoir, comme M. Jourdain faisait de la prose ! Mais je n'ai réellement pris la comédie plus au sérieux que bien plus tard, lorsque j'ai fait le choix d'en faire mon métier plutôt que de continuer dans la voie tracée par mes études.
R.S : La formation est-elle primordiale pour débuter sereinement sa carrière ?
G.D : J'ai un parcours assez atypique puisque j'ai commencé par des études de commerce avant de m'orienter vers le métier de comédienne... Etant donné que j'ai un master d'école de commerce, je ne serais pas crédible si j'affirmais que la formation n'est pas une étape importante dans toute carrière ; mais je dirais qu'elle est une base saine et une passerelle d'accès utile pour démarrer et ouvrir les premières portes. Ensuite, c'est le talent, l'expérience, les rencontres... et la chance, qui prennent le relai !
R.S : Comment as-tu commencé le doublage ?
G.D : Si on remonte à ma toute première expérience, j'ai commencé au sein d'une petite association qui organisait des sessions "d'entraînement au doublage". Elle avait été fondée par quelques jeunes passionnés du doublage aux profils variés (étudiants en langues, comédiens, ingénieurs du son...) et avait pour modeste vocation de permettre aux jeunes comédiens d'aller démarcher plus sereinement aux portes des studios, en les aidant à mieux gérer l'appréhension du micro, et en leur donnant quelques bases de la technique de synchro. Nous avions la chance de pouvoir nous exercer dans les locaux d'un véritable studio d'enregistrement durant les week-ends, et de disposer d'un logiciel de bande rythmo que nous avions fait développer pour les besoins de l'activité de l'association. Malheureusement pour les curieux, à l'heure d'aujourd'hui cette association a cessé toute activité... A la même époque j'ai donc doublé pour la première fois sur un film puis une série de 13 épisodes sortis en DVD, mais comme j'entrais à peine au lycée, et que je me suis lancée dans mes études après, je n'ai pas eu le temps d'approfondir mon expérience dans le doublage. Par la suite, alors que je terminais mes études, j'ai pris la décision de faire de ma passion mon métier, et c'est ainsi que je me suis lancée dans le démarchage auprès des studios. Portée par la petite expérience que j'avais déjà, je pense que cela m'a permis de démarrer relativement rapidement, mais comme je n'avais aucun réseau à proprement parler, j'ai dû partir de zéro en allant assister sur les plateaux, en commençant souvent par des ambiances, et en faisant mes preuves au micro.
R.S : Existe-t-il une sorte de complicité avec la comédienne qu'on double ?
G.D : Si on peut appeler cela une complicité, alors elle n'est qu'à sens unique, puisqu'en temps normal, on ne connaît pas personnellement l'actrice que l'on double ! Bien entendu en tant que comédienne qui prête sa voix, on peut se sentir plus proche lorsqu'on arrive à mieux comprendre la sensibilité de l'actrice, son approche du rôle, les nuances et les subtilités de son jeu dont on obtient des indices dans son souffle, son oeil, une légère inflexion du timbre... C'est lorsqu'on arrive à cerner au mieux toute cette combinaison de détails qui forment l'identité de la comédienne doublée, qu'on peut dire que la magie du doublage commence à opérer !
R.S : Comment réagis-tu lorsque tu regardes une version française à laquelle tu as participé ?
G.D : Je fais partie de ces personnes perfectionnistes qui ne sont jamais totalement satisfaites de leur travail, et qui espèrent toujours faire mieux la prochaine fois ! Mais j'ai quand même bien conscience que la perfection en comédie n'existe pas, et qu'en doublage encore moins. Par définition, adapter une oeuvre dénature toujours l'original, ne serait-ce que par le fait même de transcrire dans une autre langue les dialogues, et ce avec les nombreuses contraintes liées au synchronisme.
R.S : En dessin animé dirais-tu que le travail est différent ?
G.D : Oui. C'est différent au niveau de la technique, car le synchronisme des bouches est forcément moins précis sur un dessin animé que dans la "vie réelle" ; et c'est également différent au niveau de l'interprétation, car en général il y a moins de nuances marquées sur l'animation qu'avec des acteurs en chair et en os. Cela implique donc quelque part aussi qu'on a plus de marge au niveau de notre liberté d'interprétation, ce qui est plutôt jouissif ! Mais en réalité, doubler un dessin animé n'est pas forcément plus facile pour autant. En fait, une des difficultés de l'exercice réside dans la maîtrise des "codes" du dessin animé. Si l'on ne prête qu'un oeil trop superficiel au travail des animateurs sur l'attitude ou les mimiques des personnages, on risque de rater des nuances qui existent réellement à l'image, tels que des appuis, des ruptures plus ou moins subtiles d'intentions, ou l'état d'esprit et l'énergie du personnage en général. Pour moi, une des clés pour faire du bon travail sur du dessin animé est donc la précision de notre interprétation par rapport à tout ce que les images animées nous livrent. Evidemment, plus l'animation est de qualité, plus les nuances et les subtilités se rapprochent de celles de vrais acteurs. Un autre challenge en dessin animé est également la justesse de l'interprétation. On a vite fait de tomber dans un "ton dessin animé" un peu surjoué ou "chanté". J'essaie donc de toujours trouver le ton le plus naturel et le plus juste, au plus proche de comment je le jouerais si c'était du "live", mais sans sacrifier l'intensité et l'énergie qu'impliquent souvent le dessin animé ! Ce qui n'est pas forcément facile, surtout quand le texte ne s'y prête pas...
R.S : Qu'évoque pour toi le mot interprète ?
G.D : Pour moi, un véritable interprète est le canal d'expression d'une oeuvre, d'un texte, d'un rôle, et parfois même d'un autre interprète que soi, comme c'est le cas en doublage. C'est pourquoi parmi les qualités essentielles dont on a besoin en tant qu'interprète, je pense avant tout à l'humilité et au respect. L'humilité de comprendre et d'être à l'écoute de ce que l'auteur de l'oeuvre (ou l'acteur du rôle, en doublage) a voulu transmettre, et comment il a voulu le transmettre. Et le respect de ce travail. En doublage, si on n'a pas ce respect et cette humilité devant l'interprétation du comédien que l'on double, alors on ne fait que superposer notre propre jeu et notre propre sensibilité sans rentrer réellement en symbiose avec le comédien. Tu parlais de complicité tout à l'heure avec le comédien qu'on double, je pense que c'est cela que l'on doit chercher dans le doublage, en tant qu'interprète !
R.S : Quels sont tes hobbies ?
G.D : Je pratique le kung fu depuis mon enfance, malgré un arrêt de quelques années dû à mes études... J'en faisais entre 11 et 16 ans et puis j'ai repris il y a un peu plus de 3 ans. Sinon, dans mes loisirs un peu plus courants, j'aime lire, aller au cinéma, chanter...
R.S : Merci beaucoup Geneviève.
G.D : Merci à toi Reynald de m'accueillir sur ton site de référence !
Interview de novembre 2011