Vincent Ronsse
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme, Voix Senior homme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent américain
Accents :
Anglais
Doublage
Formation
2020 Bilingual Acting Workshop – Paris, par Celia Anne Browne
2019 Le Magasin (DOUBLAGE) - Vincent Violette, Barbara Delsol, Eric Legrand, Céline Monsarrat.
2017 Jack Waltzer - Paris, Workshop, par Jack Waltzer
2015 New York Film Academy - Los Angeles, par George McGrath, Cliff Weissman
2013/2015 Acting International - Paris, par Alexandre Velikovski, Guillaume Lefort
2019 Le Magasin (DOUBLAGE) - Vincent Violette, Barbara Delsol, Eric Legrand, Céline Monsarrat.
2017 Jack Waltzer - Paris, Workshop, par Jack Waltzer
2015 New York Film Academy - Los Angeles, par George McGrath, Cliff Weissman
2013/2015 Acting International - Paris, par Alexandre Velikovski, Guillaume Lefort
Courts métrages
2020 "John & Billy" réalisé par Vincent Ronsse & Julian Ciais
2019 "Just another friday" réalisé par Yamit Capdevila
2018 "Le choix des mots" réalisé par Benjamin Pallier
2017 "La Consult'" réalisé par Ducky Strike
2017 "Le premier souffle" réalisé par Benjamin Le Floch
2019 "Just another friday" réalisé par Yamit Capdevila
2018 "Le choix des mots" réalisé par Benjamin Pallier
2017 "La Consult'" réalisé par Ducky Strike
2017 "Le premier souffle" réalisé par Benjamin Le Floch
Langues
Anglais Bilingue
Japonais Notion
Espagnol Notion
Japonais Notion
Espagnol Notion
Sports
Krav-Maga, boxe
Casacade combat
Casacade combat
Télévision
2019 "Victor Hugo" réalisé par Jean-Marc Moutout. France 2
2017 "Vive les mariés" réalisé par Philippe Roussel. TF1
2017 "Vive les mariés" réalisé par Philippe Roussel. TF1
Théâtre
2020 "Pour ceux qui parle tout seuls" mise en scène de Camille Berne
2002 "Le Misanthrope" mise en scène d'Elodie DeCobec, dans le rôle d'Alceste
2001 "Roméo et Juliette" mise en scène de Marion Melle, dans le rôle de Mercutio
2002 "Le Misanthrope" mise en scène d'Elodie DeCobec, dans le rôle d'Alceste
2001 "Roméo et Juliette" mise en scène de Marion Melle, dans le rôle de Mercutio
Interview
R.S : Bonjour Vincent.
V.R : Bonjour Reynald,
R.S : Tu dis que depuis l'âge de 16 ans tu n'as jamais cessé de te former. Le désir de devenir comédien est donc présent en toi depuis si longtemps ?
V.R : Depuis tout petit j’ai toujours fait le clown et essayé de faire rire les gens. Mes parents ont eu droit à des centaines de spectacles... les pauvres. Haha !
R.S : Pourquoi as-tu choisi d’aller poursuivre tes études de comédie à Los Angeles à l’école New York Film Academy ? Comment as-tu vécu là-bas ?
V.R : J’ai toujours été attiré par les US et je voulais approfondir la méthode de l’acteur studio. Donc, je me suis fait plaisir en allant étudier là-bas. C’était incroyable. J’étudiais 6h par jour et les week-ends on tournait à Universal Studio. Un vrai kiffe !
R.S : Comment s'est faite ensuite ton insertion professionnelle ?
V.R : L’insertion est en cours et elle le sera toujours, je pense. C’est une bataille de tous les jours où il faut redoubler d’imagination pour bousculer les codes et que les gens entendent parler de toi.
R.S : Tu es en recherche de financement pour produire ton court-métrage John & Billy, un western 100% français, qui sera tourné dans le Gers. Mais tu as déjà écrit et réalisé plusieurs courts métrages. De quelle façon avais-tu trouvé les moyens matériels de concrétiser ces précédents projets ?
V.R : Quand on n’a pas les connexions et l’argent, il reste la débrouillardise, les copains et une détermination à toute épreuve.
R.S : On te voit parler assez longuement japonais dans une bande démo sur ton site. Tu parles donc cette langue ?
V.R : Je la baragouine, dirons-nous. Tout est une question de temps que tu vas investir pour faire une chose ou une autre. J’ai choisi de me concentrer sur l’anglais et l’accent américain plus précisément, mais je suis toujours capable d’apprendre un texte et de le jouer en japonais.
R.S : Le doublage est une discipline à laquelle tu pensais depuis tes débuts ?
V.R : Pas du tout. Quand j’étais plus jeune je pensais que dans les films américains les acteurs parlaient français... Je ne pensais pas du tout au doublage. Vers mes 34 ans, un ami a commencé à en faire et m’en a beaucoup parlé. Je m’y suis donc intéressé. J’ai assisté une première fois sur un dessin animé et ça m’a fasciné. Des acteurs qui jouent la comédie en restant derrière une barre, en lisant un texte qui défile très vite et étant sur un rythme qui n’est pas le leur. J’étais scotché. J’ai essayé et j’étais nul. Haha ! Par fierté, je voulais y arriver. Je me suis donc inscrit à un stage au Magasin et je suis tombé amoureux de cette nouvelle discipline.
R.S : Quels bénéfices as-tu tirés de ton stage au Magasin ?
V.R : J’ai appris les bases de la technique et surtout j’ai compris que c’était en m’amusant que j’allais faire des propositions intéressantes.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
V.R : Le cinéma, le théâtre, les voyages et le sport.
R.S : Merci beaucoup Vincent.
V.R : Merci à toi Reynald.
Interview de juin 2020
V.R : Bonjour Reynald,
R.S : Tu dis que depuis l'âge de 16 ans tu n'as jamais cessé de te former. Le désir de devenir comédien est donc présent en toi depuis si longtemps ?
V.R : Depuis tout petit j’ai toujours fait le clown et essayé de faire rire les gens. Mes parents ont eu droit à des centaines de spectacles... les pauvres. Haha !
R.S : Pourquoi as-tu choisi d’aller poursuivre tes études de comédie à Los Angeles à l’école New York Film Academy ? Comment as-tu vécu là-bas ?
V.R : J’ai toujours été attiré par les US et je voulais approfondir la méthode de l’acteur studio. Donc, je me suis fait plaisir en allant étudier là-bas. C’était incroyable. J’étudiais 6h par jour et les week-ends on tournait à Universal Studio. Un vrai kiffe !
R.S : Comment s'est faite ensuite ton insertion professionnelle ?
V.R : L’insertion est en cours et elle le sera toujours, je pense. C’est une bataille de tous les jours où il faut redoubler d’imagination pour bousculer les codes et que les gens entendent parler de toi.
R.S : Tu es en recherche de financement pour produire ton court-métrage John & Billy, un western 100% français, qui sera tourné dans le Gers. Mais tu as déjà écrit et réalisé plusieurs courts métrages. De quelle façon avais-tu trouvé les moyens matériels de concrétiser ces précédents projets ?
V.R : Quand on n’a pas les connexions et l’argent, il reste la débrouillardise, les copains et une détermination à toute épreuve.
R.S : On te voit parler assez longuement japonais dans une bande démo sur ton site. Tu parles donc cette langue ?
V.R : Je la baragouine, dirons-nous. Tout est une question de temps que tu vas investir pour faire une chose ou une autre. J’ai choisi de me concentrer sur l’anglais et l’accent américain plus précisément, mais je suis toujours capable d’apprendre un texte et de le jouer en japonais.
R.S : Le doublage est une discipline à laquelle tu pensais depuis tes débuts ?
V.R : Pas du tout. Quand j’étais plus jeune je pensais que dans les films américains les acteurs parlaient français... Je ne pensais pas du tout au doublage. Vers mes 34 ans, un ami a commencé à en faire et m’en a beaucoup parlé. Je m’y suis donc intéressé. J’ai assisté une première fois sur un dessin animé et ça m’a fasciné. Des acteurs qui jouent la comédie en restant derrière une barre, en lisant un texte qui défile très vite et étant sur un rythme qui n’est pas le leur. J’étais scotché. J’ai essayé et j’étais nul. Haha ! Par fierté, je voulais y arriver. Je me suis donc inscrit à un stage au Magasin et je suis tombé amoureux de cette nouvelle discipline.
R.S : Quels bénéfices as-tu tirés de ton stage au Magasin ?
V.R : J’ai appris les bases de la technique et surtout j’ai compris que c’était en m’amusant que j’allais faire des propositions intéressantes.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
V.R : Le cinéma, le théâtre, les voyages et le sport.
R.S : Merci beaucoup Vincent.
V.R : Merci à toi Reynald.
Interview de juin 2020