Garance Thénault
Genres :
Voix Enfant fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Doublage
Voix
Billboard
Coca-Cola (pour les jeux paralympiques)
Documentaire
A l'écoute du ventre : Les secrets de votre santé (Giulia Enders - Netflix)
Documentaire
Apollo 13 : Survival (Susan Lovell)
Livre audio
Le jeu de la dame (de Walter Tevis)
Livre audio
Qui le sait ? (de Leslie Kara)
Livre audio
Rue du rendez-vous (de Solène Bakowski)
Livre audio
Saga U4 - Stéphane
Livre audio
U4 Stephane (de Vincent Villeminot)
Podcast
Passion Commune (rôle principal, plateforme Sybel)
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Amazon Prime (Campagne Télé)
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Apple Watch (Télé)
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BBGR Optique
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Citroën
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Gan Prévoyance
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Jeep (Campagne Télé)
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La Halle Aux Chaussures
Télé-réalité
Cho Jung-Seok apprenti chanteur (Hyo Jin & Iu)
Télé-réalité
Dates & related (Diana)
Voice-over
Selling Sunset (Chrishell Stause - Saisons 1 à 7 - Netflix)
Voice-over
The Ultimate Surfer (Tia Bruna)
Formation
2015 Stage Caméra- GroupStudio, S. Bonnabel
2014 Acting Class de Jack Waltzer
2012/2014 Ecole d'Art Dramatique, Cours Périmony
2014 Acting Class de Jack Waltzer
2012/2014 Ecole d'Art Dramatique, Cours Périmony
Cinéma
2016 "L'Embarras Du Choix" réalisé par Eric Lavaine
2015 "Véra" réalisé par Vadim Alsayed Femis
2015 "Véra" réalisé par Vadim Alsayed Femis
Clips
2016 "For the worst" - Wax Taylor
2016 "Il faut qu'on se batte" Gérald De Palmas. Universal France
2015 "Ignition" Jabberwocky. Universal France
2015 "Sous le Ciel de Paris" Universal France. TF1
2016 "Il faut qu'on se batte" Gérald De Palmas. Universal France
2015 "Ignition" Jabberwocky. Universal France
2015 "Sous le Ciel de Paris" Universal France. TF1
Courts métrages
2014 "Sous les mains" réalisé par C. Moutier, dans le rôle principal
2014 "Hard drive" réalisé par S. Biasoni, dans le rôle principal. Gengiskhan Prod
2014 "Fallen" réaslié par E. Arki, dans le rôle principal
2014 "Hard drive" réalisé par S. Biasoni, dans le rôle principal. Gengiskhan Prod
2014 "Fallen" réaslié par E. Arki, dans le rôle principal
Moyens métrages
2016 "Ride Sally Ride" réalisé par J. Hosmalin. Origine Film & CNC
Télévision
2024 "Meurtres sur la Côte bleue" réalisé par Marjolaine de Lécluse
2021 "Jugée coupable" dans le rôle principal Lola Brémond. Série 6x52' pour France TV
2021 "L'Art du crime" dans le rôle de Camille Claudel. Série France 2
2019 "Crimes parfaits" (2 ép.) réalisé par François Guérin, dans le rôle de Gaëlle Mareski
2019 "Meurtres à Belle-Ile" réalisé par Marwen Abdallah, réalisé par Anna Blain
2019 "Nina" (saison 5) réalisé par Eric Le Roux, dans le rôle de Solène
2018 "Crimes parfaits" (2 ép.) réalisé par Lionel Chatton, dans le rôle de Gaëlle Mareski
2018 "Profilage : La vie rêvée" réalisé par Lionel Mougin, dans le rôle de Jade Baron
2018 "Meurtres à Colmar" réalisé par Klaus Biedermann, dans le rôle principal d'Anaïs Lacombe, avec Pierre Arditi
2018 "Apparences" réalisé par Eric Woreth
2017 "Chérid" (saison 5) réalisé par Chris Briant
2017 "Crime à Maussane" réalisé par Eric Duret
2017 "Scènes de ménages"
2016 "Mongeville" réalisé par Bruno Garcia
2016 "La Mante" réalisé par Alexandre Laurent
2016 "Candice Renoir" réalisé par Nicolas Picard Dreyfuss
2016 "Engrenages" (saison 6) réalisé par Frédéric Jardin
2016 "Lead me home" (Pilote) réalisé par Julien Hosmalin. Otsoa Film
2016 "Plus belle la vie" réalisé par Agnès Roussel
2015 "Secret d'histoire" réalisé par Mancini
2021 "Jugée coupable" dans le rôle principal Lola Brémond. Série 6x52' pour France TV
2021 "L'Art du crime" dans le rôle de Camille Claudel. Série France 2
2019 "Crimes parfaits" (2 ép.) réalisé par François Guérin, dans le rôle de Gaëlle Mareski
2019 "Meurtres à Belle-Ile" réalisé par Marwen Abdallah, réalisé par Anna Blain
2019 "Nina" (saison 5) réalisé par Eric Le Roux, dans le rôle de Solène
2018 "Crimes parfaits" (2 ép.) réalisé par Lionel Chatton, dans le rôle de Gaëlle Mareski
2018 "Profilage : La vie rêvée" réalisé par Lionel Mougin, dans le rôle de Jade Baron
2018 "Meurtres à Colmar" réalisé par Klaus Biedermann, dans le rôle principal d'Anaïs Lacombe, avec Pierre Arditi
2018 "Apparences" réalisé par Eric Woreth
2017 "Chérid" (saison 5) réalisé par Chris Briant
2017 "Crime à Maussane" réalisé par Eric Duret
2017 "Scènes de ménages"
2016 "Mongeville" réalisé par Bruno Garcia
2016 "La Mante" réalisé par Alexandre Laurent
2016 "Candice Renoir" réalisé par Nicolas Picard Dreyfuss
2016 "Engrenages" (saison 6) réalisé par Frédéric Jardin
2016 "Lead me home" (Pilote) réalisé par Julien Hosmalin. Otsoa Film
2016 "Plus belle la vie" réalisé par Agnès Roussel
2015 "Secret d'histoire" réalisé par Mancini
Théâtre
2015 "L'Ours" de A. Tchekhov - mise en scène de J-P. Leroux. Théâtre Galabru
2015 "La demande en mariage" de A. Tchekhov - mise en scène de J-P. Leroux. Théâtre Galabru
2015 "La demande en mariage" de A. Tchekhov - mise en scène de J-P. Leroux. Théâtre Galabru
Web-séries
2014 "FaiiiiL" M. Marie. Art&Taff
Interview
R.S : Bonjour Garance.
G.T : Bonjour :)
R.S : Comment avez-vous fait vos premiers pas de comédienne ?
G.T : De façon classique. J’ai pris mon courage à deux mains pour y croire et je me suis inscrite dans un cours d’art dramatique, le cours Périmony. A la sortie de ce cours, j’ai débuté sur les planches dans une pièce de Tchekhov mise en scène par un grand monsieur du doublage justement... Monsieur Jean-Pierre Leroux. Ensuite les castings et les projets se sont peu à peu succédés, essentiellement à l’écran ainsi qu’en doublage.
R.S : Quelles questions vous êtes-vous posées lorsque vous avez décidé d'entamer ce parcours professionnel ?
G.T : Je me suis posé une question assez concrète : comment vite me retrouver dans le vif du sujet, à savoir sur les plateaux de théâtre, de doublage et de tournage pour pouvoir apprendre un maximum en faisant plutôt qu’en théorisant, ce qui correspond plus à ma manière de fonctionner. L’idée étant de me confronter rapidement aux réalités du métier en acceptant aussi des projets modestes au départ. L’autre question était de chercher à multiplier les moyens d’expression de ce métier, pour multiplier les chances d’être dans le concret justement et aussi pour travailler le jeu sous toutes ses formes, car si ces disciplines (doublage, théâtre, tournage, voix-off...) revêtent des formes différentes, elles permettent toutes de travailler des axes de travail complémentaires et s’enrichissent les unes les autres.
R.S : Vous êtes jeune mais vous avez déjà une certaine expérience. Quelles sont, de votre point de vue, les difficultés que peut rencontrer un comédien qui débute ?
G.T : Je dirais que la difficulté tient surtout dans la capacité d’endurance et à savoir garder un cap même dans les moments où l’on ne voit pas de portes s’ouvrir.
Ce sont des étapes qui font partie du jeu mais qui peuvent même renforcer l’envie et la virtuosité à trouver un moyen de passer ces portes par ses propres stratégies... rencontrer les bonnes personnes, celles qui nous donneront nos premières chances, rencontrer ensuite celles qui nous feront progresser, celles avec qui on aura envie de collaborer sur le long terme, c’est un parcours de toute une carrière et il faut accepter d’avoir la patience de cette construction. Mais si on est prêt les choses finissent toujours par se faire en temps et en heure.
R.S : Comment êtes-vous arrivée dans le doublage ?
G.T : Je suis arrivée dans le doublage par le biais du théâtre, dans cette fameuse pièce de Tchekhov que nous avions montée modestement avec deux de mes camarades de l’époque. Un soir, Virginie Méry, directrice de plateau de doublage qui était présente dans la salle, est venue me proposer de venir assister et faire quelques essais avec elle en plateau. J’ai découvert la discipline ce jour-là, puis j’ai décidé de me former en multipliant les studios pour apprendre et me faire connaître auprès d’autres directeurs de plateau.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle vous songiez lorsque vous avez commencé à prendre des cours d'art dramatique, quel regard portiez-vous dessus avant d'en faire ?
G.T : Oui, j’y avais songé dès le départ car j’ai toujours voulu ouvrir un maximum de possibilité de faire mon métier de comédienne, pour ne pas dépendre que d’une seule discipline et aussi apprendre le jeu de manière plus large. Je portais un regard assez naïf sur le doublage en lui-même si ce n’est que j’avais grandi avec les VF de Friends, Buffy contre les vampires, Ally mc Beal, etc. mais je n’avais pas vraiment d’idée précise de la technique qu’il y avait derrière tout ça.
R.S : La technique très particulière de cette activité vous a-t-elle semblé difficile à acquérir ?
G.T : Oui, pour moi qui fonctionne beaucoup à l’instinct, j’avoue que la technique a été un vrai apprentissage. Mais justement, un apprentissage et un cadre dans lequels j’ai trouvé énormément de plaisir au challenge et à la contrainte. L’étape clef ensuite c’est précisément de dépasser et d’oublier cette technique intégrée pour revenir à l’instinct premier du jeu tout en ayant l’expérience de la barre, et là c’est du plaisir absolu !
R.S : Quels sont vos loisirs ?
G.T : Ça ne sera pas bien original mais je suis une grosse consommatrice de films et de série et je passe des heures à écouter des podcasts sur toutes sortes de sujet. Je chante aussi dès que possible. En fait je crois que tout ce qui touche à l’intimité de la voix me captive beaucoup.
R.S : Merci beaucoup Garance.
G.T : Merci à vous !
Interview de juillet 2020
G.T : Bonjour :)
R.S : Comment avez-vous fait vos premiers pas de comédienne ?
G.T : De façon classique. J’ai pris mon courage à deux mains pour y croire et je me suis inscrite dans un cours d’art dramatique, le cours Périmony. A la sortie de ce cours, j’ai débuté sur les planches dans une pièce de Tchekhov mise en scène par un grand monsieur du doublage justement... Monsieur Jean-Pierre Leroux. Ensuite les castings et les projets se sont peu à peu succédés, essentiellement à l’écran ainsi qu’en doublage.
R.S : Quelles questions vous êtes-vous posées lorsque vous avez décidé d'entamer ce parcours professionnel ?
G.T : Je me suis posé une question assez concrète : comment vite me retrouver dans le vif du sujet, à savoir sur les plateaux de théâtre, de doublage et de tournage pour pouvoir apprendre un maximum en faisant plutôt qu’en théorisant, ce qui correspond plus à ma manière de fonctionner. L’idée étant de me confronter rapidement aux réalités du métier en acceptant aussi des projets modestes au départ. L’autre question était de chercher à multiplier les moyens d’expression de ce métier, pour multiplier les chances d’être dans le concret justement et aussi pour travailler le jeu sous toutes ses formes, car si ces disciplines (doublage, théâtre, tournage, voix-off...) revêtent des formes différentes, elles permettent toutes de travailler des axes de travail complémentaires et s’enrichissent les unes les autres.
R.S : Vous êtes jeune mais vous avez déjà une certaine expérience. Quelles sont, de votre point de vue, les difficultés que peut rencontrer un comédien qui débute ?
G.T : Je dirais que la difficulté tient surtout dans la capacité d’endurance et à savoir garder un cap même dans les moments où l’on ne voit pas de portes s’ouvrir.
Ce sont des étapes qui font partie du jeu mais qui peuvent même renforcer l’envie et la virtuosité à trouver un moyen de passer ces portes par ses propres stratégies... rencontrer les bonnes personnes, celles qui nous donneront nos premières chances, rencontrer ensuite celles qui nous feront progresser, celles avec qui on aura envie de collaborer sur le long terme, c’est un parcours de toute une carrière et il faut accepter d’avoir la patience de cette construction. Mais si on est prêt les choses finissent toujours par se faire en temps et en heure.
R.S : Comment êtes-vous arrivée dans le doublage ?
G.T : Je suis arrivée dans le doublage par le biais du théâtre, dans cette fameuse pièce de Tchekhov que nous avions montée modestement avec deux de mes camarades de l’époque. Un soir, Virginie Méry, directrice de plateau de doublage qui était présente dans la salle, est venue me proposer de venir assister et faire quelques essais avec elle en plateau. J’ai découvert la discipline ce jour-là, puis j’ai décidé de me former en multipliant les studios pour apprendre et me faire connaître auprès d’autres directeurs de plateau.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle vous songiez lorsque vous avez commencé à prendre des cours d'art dramatique, quel regard portiez-vous dessus avant d'en faire ?
G.T : Oui, j’y avais songé dès le départ car j’ai toujours voulu ouvrir un maximum de possibilité de faire mon métier de comédienne, pour ne pas dépendre que d’une seule discipline et aussi apprendre le jeu de manière plus large. Je portais un regard assez naïf sur le doublage en lui-même si ce n’est que j’avais grandi avec les VF de Friends, Buffy contre les vampires, Ally mc Beal, etc. mais je n’avais pas vraiment d’idée précise de la technique qu’il y avait derrière tout ça.
R.S : La technique très particulière de cette activité vous a-t-elle semblé difficile à acquérir ?
G.T : Oui, pour moi qui fonctionne beaucoup à l’instinct, j’avoue que la technique a été un vrai apprentissage. Mais justement, un apprentissage et un cadre dans lequels j’ai trouvé énormément de plaisir au challenge et à la contrainte. L’étape clef ensuite c’est précisément de dépasser et d’oublier cette technique intégrée pour revenir à l’instinct premier du jeu tout en ayant l’expérience de la barre, et là c’est du plaisir absolu !
R.S : Quels sont vos loisirs ?
G.T : Ça ne sera pas bien original mais je suis une grosse consommatrice de films et de série et je passe des heures à écouter des podcasts sur toutes sortes de sujet. Je chante aussi dès que possible. En fait je crois que tout ce qui touche à l’intimité de la voix me captive beaucoup.
R.S : Merci beaucoup Garance.
G.T : Merci à vous !
Interview de juillet 2020