Mathilde Mir
Genres :
Voix Enfant fille, Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Doublage
Voix
Livre audio
November road (de Lou Berney)
Livre audio
Une semaine pour s'aimer (de Kate Hewitt)
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Nexity
Formation
2019 Stage de doublage chez Tytan prod avec Anne Massoteau
2019 Stage de doublage au Magasin avec V. Violette, M. Sebastian et J. Barney
2018 Stage de Chant Spontané, par Capucine Lafait-Hémard
2015/2016 Formation professionnelle de Comédien, Atelier Théâtral de Création de Françoise Roche
2014/2017 Formation polyphonique et musique actuelle au conservatoire du 16ème avec P. M. Sivadier
2011/2018 Cours d’improvisation, théâtre de la clarté, Impronautes Pro. Stage : Patty Style, M. Loos, O. Galvan
2013/2015 Formation professionnelle de Comédien, Ecole de théâtre l'Eponyme
2019 Stage de doublage au Magasin avec V. Violette, M. Sebastian et J. Barney
2018 Stage de Chant Spontané, par Capucine Lafait-Hémard
2015/2016 Formation professionnelle de Comédien, Atelier Théâtral de Création de Françoise Roche
2014/2017 Formation polyphonique et musique actuelle au conservatoire du 16ème avec P. M. Sivadier
2011/2018 Cours d’improvisation, théâtre de la clarté, Impronautes Pro. Stage : Patty Style, M. Loos, O. Galvan
2013/2015 Formation professionnelle de Comédien, Ecole de théâtre l'Eponyme
Auteure et mise en scène
2018 Pièce contemporaine au Théâtre des Sablons
Autres
2017/2019 Rôle de Cléo, au sein de "Drôle de murder" produite par Ozecla
2016/2017 "Game Master" agence TeamBreak et Team Time
2016/2017 "Game Master" agence TeamBreak et Team Time
Courts métrages
2022 "Angle mort" écrit et réalisé par Mathilde Mir, dans le rôle principal. Nikon Film Festival
2017 "Je suis un changement" réalisé par Mathilde Mir, dans le rôle de la mère
2014 "Banc et Valise" par les films de la Miche, dans le rôle de la femme
2014 "Blood Christmas" dans le rôle du témoin
2014 "Selfit" dans le rôle de Julia
2017 "Je suis un changement" réalisé par Mathilde Mir, dans le rôle de la mère
2014 "Banc et Valise" par les films de la Miche, dans le rôle de la femme
2014 "Blood Christmas" dans le rôle du témoin
2014 "Selfit" dans le rôle de Julia
Films institutionnels
2019 Rôle d'une employé d'AG2R
Mise en scène
2016/20019 "Moi moche j’ai mes chances" One Man Show joué par Alex et sa Guitare
2018 "Saint d'esprit" One man show de Jason Rolland
2016 Oeuvre collective. Théâtre de la boutonnière
2018 "Saint d'esprit" One man show de Jason Rolland
2016 Oeuvre collective. Théâtre de la boutonnière
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2017 "Chaussé aux moines" dans le rôle de Bérénice
Réalisations
2022 "Angle mort" écrit et réalisé par Mathilde Mir. Nikon Film Festival
2017 "Je suis un changement" réalisé par Mathilde Mir
2017 "Je suis un changement" réalisé par Mathilde Mir
Scénographe
2016 "Burn Baby Burn" mise en scène de Johanna Blanc
2015 "Prêtes à tout !" mise en scène de L. Mentec
2015 "Impro club" mise en scène de Jeanne Chartier
2015 "Prêtes à tout !" mise en scène de L. Mentec
2015 "Impro club" mise en scène de Jeanne Chartier
Théâtre
2022 "Madame fait salon". Théâtre Le Lieu
2019/2020 "Laurent Tesla dans Hypno Mentaliste" de Laurent Tesla - mise en scène de Marie Guibourt, Assistante du mentaliste. La comédie des Boulevards
2020 Rôle de la femme dans la nouvelle pièce de Gianni Corvi
2016/2022 "Minimas" improvisatrice au sein du "Double show". Comédie des boulevards, Comédie des 3 bornes
2016/2020 "Evasion" Improvisatrice. Théâtre pixel
2019 "Le vison voyageur" mise en scène de E. Prévand, dans le rôle de Billy
2019 "Le songe de Juliette" mise en scène de E. Prévand, dans le rôle de Juliette
2018 "De folles Retrouvaille" de Fonzie Kohane et Léopold Eymin, rôle de toutes les femmes. Théâtre de dix heures
2016 "Atteinte à sa vie" mise en scène de F. Roche
2019/2020 "Laurent Tesla dans Hypno Mentaliste" de Laurent Tesla - mise en scène de Marie Guibourt, Assistante du mentaliste. La comédie des Boulevards
2020 Rôle de la femme dans la nouvelle pièce de Gianni Corvi
2016/2022 "Minimas" improvisatrice au sein du "Double show". Comédie des boulevards, Comédie des 3 bornes
2016/2020 "Evasion" Improvisatrice. Théâtre pixel
2019 "Le vison voyageur" mise en scène de E. Prévand, dans le rôle de Billy
2019 "Le songe de Juliette" mise en scène de E. Prévand, dans le rôle de Juliette
2018 "De folles Retrouvaille" de Fonzie Kohane et Léopold Eymin, rôle de toutes les femmes. Théâtre de dix heures
2016 "Atteinte à sa vie" mise en scène de F. Roche
Vidéos
2018 "Secrets d’expert #2 : accord sur le télétravail" dans le rôle de l'assistante de direction
Web-séries
2014 "Apocalypse Stupid World" dans le 1er rôle
Interview
R.S : Bonjour Mathilde.
M.M : Salut Reynald.
R.S : Tu as suivi des cours d'improvisation. Qu'y apprend-on ?
M.M : On y apprend à être connecté à son partenaire à chaque instant, à trouver les réponses à nos interrogations et à nos peurs dans leur yeux, à suivre notre instinct, à lâcher notre mentale et, bien sûr, à stimuler notre imaginaire en créant des plateformes de jeux lieu / personnages / action...
R.S : Dans ta formation multiple, tu as fait un stage de "chant spontané"... De quoi s'agit-il ?
M.M : C’est vrai que c’est assez intriguant et je t’assure que ça l’est d’autant plus quand tu y participes. Tout commence par de la méditation jusqu’à obtenir un niveau de lâcher prise très élevé. Une fois cet état atteint on commence à laisser sortir un son, le plus organique et spontané possible sans le juger. Suite à quoi on fait évoluer ce son en chant improvisé, accompagné par un musicien qui improvise également.
R.S : Tu as été "game master" ? En quoi cela consiste-t-il ?
M.M : Ah oui sacrée période ! Je me mettais dans la peau d’une caporale, d’une pilote d’avion ou d’une virologue et je plongeais les participants des escapes games pour lesquels je travaillais dans un univers spécifique pour leur annoncer leur mission et les driver pendant l’heure de jeu.
R.S : Et tu as été plusieurs fois "scénographe". Qu'est-ce que c'est par rapport à la mise en scène ?
M.M : Bonne question ! Et pas si évidente que ça... Eh bien j’axerais plus la mise en scène sur la direction d’acteurs autant dans leur jeu que dans leurs déplacements, sans oublier le fait de donner une ligne artistique au projet. Tandis que je parlerais plus de scénographie pour parler de l’espace scénique, autant pour les lumières, les décors, aussi minimalistes soient-ils, que les costumes ou les accessoires. Mais comme j’ai obtenu une licence aux Beaux-Arts, option «design d’espace», j’ai surtout travaillé sur des décors physiques, bien qu'il me soit aussi arrivé de faire des créations lumières pour des spectacles que j’ai mis en scène et de les considérer comme des éléments indispensables au décor.
R.S : Quels bénéfices as-tu tirés de tes stages de doublage ?
M.M : De la pratique ! Aussi bien au niveau de la synchro, que sur le jeu d’acteur à la barre. Mais aussi et surtout la connaissance du fait que chaque directeur/trice artistique a sa propre manière de diriger, qu'elles sont aussi enrichissantes les unes que les autres, et qu'ils ont donc différentes façons de voir le métier.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu pensais lorsque tu as débuté ton parcours ?
M.M : Ahah... Si tu parles du jour où j’ai commencé les Beaux-Arts... ou fait le tour du monde... non, je n’y pensais pas encore. C’est quand je suis montée sur Paris et que j’ai débuté l’improvisation que j’y ai pensé. Plus comme un objectif lointain, mais j’y pensais. C’est seulement lorsque j’ai entamé ma formation de comédienne que j’ai concrétisé mon objectif.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
M.M : J’aime écrire des nouvelles, des chansons... Peindre, sculpter et, depuis peu, faire du one woman show.
R.S : Merci beaucoup Mathilde.
M.M : Merci à toi d’avoir pris le temps de trouver des questions si pertinentes.
Interview de juillet 2020
M.M : Salut Reynald.
R.S : Tu as suivi des cours d'improvisation. Qu'y apprend-on ?
M.M : On y apprend à être connecté à son partenaire à chaque instant, à trouver les réponses à nos interrogations et à nos peurs dans leur yeux, à suivre notre instinct, à lâcher notre mentale et, bien sûr, à stimuler notre imaginaire en créant des plateformes de jeux lieu / personnages / action...
R.S : Dans ta formation multiple, tu as fait un stage de "chant spontané"... De quoi s'agit-il ?
M.M : C’est vrai que c’est assez intriguant et je t’assure que ça l’est d’autant plus quand tu y participes. Tout commence par de la méditation jusqu’à obtenir un niveau de lâcher prise très élevé. Une fois cet état atteint on commence à laisser sortir un son, le plus organique et spontané possible sans le juger. Suite à quoi on fait évoluer ce son en chant improvisé, accompagné par un musicien qui improvise également.
R.S : Tu as été "game master" ? En quoi cela consiste-t-il ?
M.M : Ah oui sacrée période ! Je me mettais dans la peau d’une caporale, d’une pilote d’avion ou d’une virologue et je plongeais les participants des escapes games pour lesquels je travaillais dans un univers spécifique pour leur annoncer leur mission et les driver pendant l’heure de jeu.
R.S : Et tu as été plusieurs fois "scénographe". Qu'est-ce que c'est par rapport à la mise en scène ?
M.M : Bonne question ! Et pas si évidente que ça... Eh bien j’axerais plus la mise en scène sur la direction d’acteurs autant dans leur jeu que dans leurs déplacements, sans oublier le fait de donner une ligne artistique au projet. Tandis que je parlerais plus de scénographie pour parler de l’espace scénique, autant pour les lumières, les décors, aussi minimalistes soient-ils, que les costumes ou les accessoires. Mais comme j’ai obtenu une licence aux Beaux-Arts, option «design d’espace», j’ai surtout travaillé sur des décors physiques, bien qu'il me soit aussi arrivé de faire des créations lumières pour des spectacles que j’ai mis en scène et de les considérer comme des éléments indispensables au décor.
R.S : Quels bénéfices as-tu tirés de tes stages de doublage ?
M.M : De la pratique ! Aussi bien au niveau de la synchro, que sur le jeu d’acteur à la barre. Mais aussi et surtout la connaissance du fait que chaque directeur/trice artistique a sa propre manière de diriger, qu'elles sont aussi enrichissantes les unes que les autres, et qu'ils ont donc différentes façons de voir le métier.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu pensais lorsque tu as débuté ton parcours ?
M.M : Ahah... Si tu parles du jour où j’ai commencé les Beaux-Arts... ou fait le tour du monde... non, je n’y pensais pas encore. C’est quand je suis montée sur Paris et que j’ai débuté l’improvisation que j’y ai pensé. Plus comme un objectif lointain, mais j’y pensais. C’est seulement lorsque j’ai entamé ma formation de comédienne que j’ai concrétisé mon objectif.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
M.M : J’aime écrire des nouvelles, des chansons... Peindre, sculpter et, depuis peu, faire du one woman show.
R.S : Merci beaucoup Mathilde.
M.M : Merci à toi d’avoir pris le temps de trouver des questions si pertinentes.
Interview de juillet 2020