Bamar Kane
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme, Voix Senior homme
Tonalité :
Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Anglais avec accent non déterminé
Doublage
Formation
2019 Stages doublage Rhinocéros, O'Bahamas
2014/2015 La Reine Blanche - Cours de théâtre
2014/2015 La Reine Blanche - Cours de théâtre
Cinéma
2018 "Temps de chien" réalisé par Edouard Deluc
Courts métrages
2020 "My Little Black Girl" - Bamar Kane
2019 "Ma Life" - Laurent Firode
2019 "Daddy's little girl" - Bamar Kane
2019 "Il y a quelqu'un chez nous" - Laurent Firode
2019 "Deep see blue surrounding you" (Pavillon Français Biennale de Venise 2019) - Laure Prouvost
2019 "Ma Life" - Laurent Firode
2019 "Daddy's little girl" - Bamar Kane
2019 "Il y a quelqu'un chez nous" - Laurent Firode
2019 "Deep see blue surrounding you" (Pavillon Français Biennale de Venise 2019) - Laure Prouvost
Langues
Français (maternelle)
Wolof (maternelle)
Anglais (bilingue)
Wolof (maternelle)
Anglais (bilingue)
Publicités
2019 "Heineken"
2018 "Total" - Reynald Gresset
2018 "Total" - Reynald Gresset
Télévision
2019 "Plus Belle La Vie" (Guest - 7 épisodes) - Shark
Théâtre
2018/2019 "Le Cabinet de Curiosités" (Cédrick Spinassou)
Interview
R.S : Bonjour Bamar.
B.K : Salut Reynald !
R.S : D’où vient que tu es bilingue ?
B.K : Ça me fait rire, on me pose souvent cette question. Je pense juste avoir la passion de la langue anglaise et je l’ai travaillée activement depuis mon plus jeune âge. Je n’ai jamais mis un pied dans un pays anglophone même si mon nom Kane laisse penser que je suis américain. Bah non, je suis un sénégalais qui est né et a grandi à Dakar, qui est venu en France à ses 18 ans poursuivre ses études et fait souvent ses films en anglais. Au début ça déroute, après on s’y fait.
R.S : Comment as-tu commencé ton parcours professionnel ?
B.K : Plutôt loin du milieu artistique. Je suis ingénieur de formation. Avec deux parents enseignants, on ne quitte pas le chemin tout tracé facilement ! Pendant mes 4 ans dans les bureaux, je prenais des cours de théâtre le lundi soir au Théâtre de La Reine Blanche. J’ai compris assez vite qu’il fallait que je m’y mette plus sérieusement quand je me suis rendu compte que ces 3 heures étaient les meilleures de la semaine. 2018, le grand saut, je quitte mon boulot. Première pièce de théâtre et premiers courts métrages.
R.S : Quelles sont à tes yeux les difficultés à surmonter que rencontre un jeune comédien lorsqu’il démarre ?
B.K : L'opportunité ! Se faire identifier par la profession et montrer ce qu’on sait faire. La formation est primordiale mais il n’y a pas de meilleure façon pour moi d’apprendre le métier d’acteur que de jouer et d’être actif. Je déteste être dans l’attente donc je réalise en permanence mes propres courts métrages que je poste sur mes différents réseaux (Youtube, Instagram). L’avantage avec les jeunes de ma génération, c’est qu’on a plein d’outils à disposition pour faire nos propres créations et les partager avec un public comme on le souhaite. J’en profite !
R.S : Tu es également chanteur compositeur, où peut-on t’entendre ?
B.K : J’ai un projet d’EP en préparation, ces sons dorment encore dans mon ordi, ça me démange de les faire écouter. Quelques extraits traînent sur mon Instagram. J’espère les partager bientôt.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
B.K : Des camarades actrices et acteurs m’ont souvent dit "tu as une belle voix, tu as pensé à faire du doublage ?". J’ai donc assisté à quelques séances, fait quelques ateliers et j’ai eu la chance très vite d’avoir la confiance de DA qui m’ont confié de beaux rôles à défendre.
R.S : Avant cela quelle vision avais-tu de cette branche de la profession ?
B.K : Elle m’intriguait beaucoup. J’ai passé toute ma jeunesse à tout regarder en VF sans aucune idée de tout le boulot à la barre. Comme beaucoup, j’ai eu peur au début de la fameuse bande ryhtmo jusqu’au jour où un DA a dit en stage "Si vous jouez, vous êtes dedans !". Ça a été le déclic ! Aujourd’hui, en plus du travail même de doublage, je profite des séances d’enregistrement pour m’améliorer en tant qu’acteur, cela me permet de peaufiner mon jeu sur plusieurs aspects (voix, intentions, diction...) qui me servent quand je suis à l’image et sur scène.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
B.K : Ecouter et jouer de la musique, aller à des concerts. Je vais voir quasi tout ce qui sort au ciné. Le foot, supporter de l’OM (j’espère que ça ne me vaudra pas des cachets). Je peux rajouter manger ? Bon bah manger alors.
R.S : Merci beaucoup Bamar.
B.K : Merci Reynald ! Content de rejoindre RS Doublage family !
Interview d’octobre 2020
B.K : Salut Reynald !
R.S : D’où vient que tu es bilingue ?
B.K : Ça me fait rire, on me pose souvent cette question. Je pense juste avoir la passion de la langue anglaise et je l’ai travaillée activement depuis mon plus jeune âge. Je n’ai jamais mis un pied dans un pays anglophone même si mon nom Kane laisse penser que je suis américain. Bah non, je suis un sénégalais qui est né et a grandi à Dakar, qui est venu en France à ses 18 ans poursuivre ses études et fait souvent ses films en anglais. Au début ça déroute, après on s’y fait.
R.S : Comment as-tu commencé ton parcours professionnel ?
B.K : Plutôt loin du milieu artistique. Je suis ingénieur de formation. Avec deux parents enseignants, on ne quitte pas le chemin tout tracé facilement ! Pendant mes 4 ans dans les bureaux, je prenais des cours de théâtre le lundi soir au Théâtre de La Reine Blanche. J’ai compris assez vite qu’il fallait que je m’y mette plus sérieusement quand je me suis rendu compte que ces 3 heures étaient les meilleures de la semaine. 2018, le grand saut, je quitte mon boulot. Première pièce de théâtre et premiers courts métrages.
R.S : Quelles sont à tes yeux les difficultés à surmonter que rencontre un jeune comédien lorsqu’il démarre ?
B.K : L'opportunité ! Se faire identifier par la profession et montrer ce qu’on sait faire. La formation est primordiale mais il n’y a pas de meilleure façon pour moi d’apprendre le métier d’acteur que de jouer et d’être actif. Je déteste être dans l’attente donc je réalise en permanence mes propres courts métrages que je poste sur mes différents réseaux (Youtube, Instagram). L’avantage avec les jeunes de ma génération, c’est qu’on a plein d’outils à disposition pour faire nos propres créations et les partager avec un public comme on le souhaite. J’en profite !
R.S : Tu es également chanteur compositeur, où peut-on t’entendre ?
B.K : J’ai un projet d’EP en préparation, ces sons dorment encore dans mon ordi, ça me démange de les faire écouter. Quelques extraits traînent sur mon Instagram. J’espère les partager bientôt.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
B.K : Des camarades actrices et acteurs m’ont souvent dit "tu as une belle voix, tu as pensé à faire du doublage ?". J’ai donc assisté à quelques séances, fait quelques ateliers et j’ai eu la chance très vite d’avoir la confiance de DA qui m’ont confié de beaux rôles à défendre.
R.S : Avant cela quelle vision avais-tu de cette branche de la profession ?
B.K : Elle m’intriguait beaucoup. J’ai passé toute ma jeunesse à tout regarder en VF sans aucune idée de tout le boulot à la barre. Comme beaucoup, j’ai eu peur au début de la fameuse bande ryhtmo jusqu’au jour où un DA a dit en stage "Si vous jouez, vous êtes dedans !". Ça a été le déclic ! Aujourd’hui, en plus du travail même de doublage, je profite des séances d’enregistrement pour m’améliorer en tant qu’acteur, cela me permet de peaufiner mon jeu sur plusieurs aspects (voix, intentions, diction...) qui me servent quand je suis à l’image et sur scène.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
B.K : Ecouter et jouer de la musique, aller à des concerts. Je vais voir quasi tout ce qui sort au ciné. Le foot, supporter de l’OM (j’espère que ça ne me vaudra pas des cachets). Je peux rajouter manger ? Bon bah manger alors.
R.S : Merci beaucoup Bamar.
B.K : Merci Reynald ! Content de rejoindre RS Doublage family !
Interview d’octobre 2020