Jonathan Le Guillou
Genres :
Voix Adolescent garçon, Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent britannique, Espagnol
Accents :
Allemand, Anglais, Arabe, Asiatique, Créole, Espagnol, Russe
Doublage
Voix
Documentaire
Ablaze : l'héritage de Bill Onus, un cinéaste aborigène (Tiriki Onus)
Documentaire
Tracing Heritage (Tiaran, Le narrateur - Saison 3)
Film
Gospel Movie : Break the Spell (Frère Liu)
Télé-réalité
Ghost Loop (Sean Austin)
TV Special
Friends : Les retrouvailles (Pabitra)
Voice-over
FC Bayern (Roland Schmidt, Thomas Tuchel)
Formation
2010 Breveté du Cours Florent (Paris) Mention très bien - Promotion Renaud-Barrault
2017 Stage sur Musset. Xavier Lemaire
2017 Formation à l'IMDA
2019/2020 Plusieurs stages à Rhinocéros
2017 Stage sur Musset. Xavier Lemaire
2017 Formation à l'IMDA
2019/2020 Plusieurs stages à Rhinocéros
Autres
Intérêts : Echecs, Cinéma, Théâtre, jeux vidéo
Chant
Baryton / Médium
Cinéma
2010 "Le Dossier Toroto" réalisé par Jean-Pierre Mocky, dans le rôle d’un invité au mariage qui gronde un enfant
Clips
2012 "Musique, on tourne" Clip vidéo muet N&b- Christopher Poulain, dans le rôle d'un séducteur des années 30
Courts métrages
2014 "CNIA, mission possible" réalisé par Aymeric Bandou, dans le rôle de Franck. Eicar
2014 "Nemesis" réalisé par Charlotte Bouvier, dans le rôle de l'homme. CLCF
2013 "Les quatre vérités" réalisé par Greg Cervall, dans le rôle de Thomas
2013 "Flush Gordon" réalisé par Humberto Dasilva, dans le rôle de Spock
2013 "L'affaire Bonzaï" dans le rôle de Dimitri, tueur en série. Série de 4 épisodes, 4 réalisatrices
2013 "La maison des passages" réalisé par Sami Cloris (supervisé par J-J.Kahn), dans le rôle de Paul
2013 "Les Justes" réalisé par Andréa Jouault, d'après l'oeuvre de Camus, dans le rôle de Yanek
2013 "Ailleurs" réalisé par Maeva Vo Dinh, dans le rôle de François
2013 "Zaru" réalisé par Luc Desouche, dans le rôle de Chris
2012 "Vogel Rot" réalisé par Abdul Zainidi, dans le rôle d'un mafieux. (en anglais)
2012 "Burning Down" réalisé par Jacqueline Kalimunda. Student in a chemistry laboratory
2012 "Agathe et Lou" réalisé par Noémie Fourmy, dans le rôle de Matthieu
2012 "Marchands de Sable : Terreurs Nocturnes" réalisé par Steven Jan, dans le rôle d'Auguste
2014 "Nemesis" réalisé par Charlotte Bouvier, dans le rôle de l'homme. CLCF
2013 "Les quatre vérités" réalisé par Greg Cervall, dans le rôle de Thomas
2013 "Flush Gordon" réalisé par Humberto Dasilva, dans le rôle de Spock
2013 "L'affaire Bonzaï" dans le rôle de Dimitri, tueur en série. Série de 4 épisodes, 4 réalisatrices
2013 "La maison des passages" réalisé par Sami Cloris (supervisé par J-J.Kahn), dans le rôle de Paul
2013 "Les Justes" réalisé par Andréa Jouault, d'après l'oeuvre de Camus, dans le rôle de Yanek
2013 "Ailleurs" réalisé par Maeva Vo Dinh, dans le rôle de François
2013 "Zaru" réalisé par Luc Desouche, dans le rôle de Chris
2012 "Vogel Rot" réalisé par Abdul Zainidi, dans le rôle d'un mafieux. (en anglais)
2012 "Burning Down" réalisé par Jacqueline Kalimunda. Student in a chemistry laboratory
2012 "Agathe et Lou" réalisé par Noémie Fourmy, dans le rôle de Matthieu
2012 "Marchands de Sable : Terreurs Nocturnes" réalisé par Steven Jan, dans le rôle d'Auguste
Mise en scène
2024 "Mais n'te promène donc pas toute nue !" de Georges Feydeau. Théâtre du Nord-Ouest
Sports
Capoeira, Tennis
Théâtre
2024 "La Mégère apprivoisée" de Henry de Shakespeare - mise en scène de Jean-Luc Jeener. Théâtre du Nord-Ouest
2024 "Le Maître de Santiago" de Henry de Montherlant - mise en scène de Patrice Le Cadre. Théâtre du Nord-Ouest
2024 "Mais n'te promène donc pas toute nue !" de Georges Feydeau - mise en scène de Jonathan Le Guillou. Théâtre du Nord-Ouest
2020 "Ma famille pète un câble" Théâtre en bord d’Ô, MeS Thierry Gautreau
2020 "Périclès" Théâtre du Nord-Ouest – MeS Isabelles Brouzes
2018 "Brûlons Voltaire" rôle du notaire Lamblin et Les suites d’un premier lit, rôle de Trébuchard, Eugène Labiche, Théâtre Traversière, MeS Daniel Lavau
2017 "Diverses lectures de textes contemporains" organisation Mairie de Paris dans divers arrondissements
2014/2015 "La seconde surprise de l'amour" Marivaux, Théâtre de la Jonquière à Paris, tournée en Ile-de-France, rôle du Chevalier
2014 "Chamailleries" Théâtre de la Jonquière et autres salles à Paris et IdF - Metteur en scène et les différents rôles du mari
2012 Thomas More, Robert Bolt, Salle Jean Renoir, Bois Colombes, rôle d'Henri VIII
2012 "Interdit au Public" Jean Marsan & Raymond Dornès, Théâtre de Neuilly. Rôle de Pierre
2012 "Chat en poche" Georges Feydeau, Compagnie Pré en Bulle, Bouffon théâtre et tournée en IdF. Rôle de Dufausset
2012 "L'ours et La demande en mariage" Anton Tchekhov, Espace Saint-Honoré. Rôle de Smirnov
2011 Reprise de "Mais n'te promène donc pas toute nue" Georges Feydeau, Théâtre de Nesle, Paris - Rôle de Ventroux
2011 "Britannicus" Racine, Espace Saint Honoré, Paris, Rôle de Narcisse
2011 "Le Songe d'une nuit d'été" Shakespeare, Théâtre Jean Renoir, Bois Colombes, Rôle de Démétrius
2011 "Les Femmes Savantes" Molière, Théâtre Darius Milhaud, Paris puis au Théâtre du Grand Pavois au Festival Avignon Off - Rôle de Trissotin
2010 "Le Dénouement Imprévu" Marivaux, Théâtre des Enfants Terribles, Paris - Rôle d'Éraste
2008 "Les Fourberies de Scapin et d'Anna" Molière et Théodore de Banville, dans une adaptation au Théâtre de l'Espace Saint-Honoré, Paris - Rôle de Scapin
2008 "Mais n'te promène donc pas toute nue" Georges Feydeau, Théâtre de l'Espace Saint-Honoré, Paris - Rôle de Jaival
2024 "Le Maître de Santiago" de Henry de Montherlant - mise en scène de Patrice Le Cadre. Théâtre du Nord-Ouest
2024 "Mais n'te promène donc pas toute nue !" de Georges Feydeau - mise en scène de Jonathan Le Guillou. Théâtre du Nord-Ouest
2020 "Ma famille pète un câble" Théâtre en bord d’Ô, MeS Thierry Gautreau
2020 "Périclès" Théâtre du Nord-Ouest – MeS Isabelles Brouzes
2018 "Brûlons Voltaire" rôle du notaire Lamblin et Les suites d’un premier lit, rôle de Trébuchard, Eugène Labiche, Théâtre Traversière, MeS Daniel Lavau
2017 "Diverses lectures de textes contemporains" organisation Mairie de Paris dans divers arrondissements
2014/2015 "La seconde surprise de l'amour" Marivaux, Théâtre de la Jonquière à Paris, tournée en Ile-de-France, rôle du Chevalier
2014 "Chamailleries" Théâtre de la Jonquière et autres salles à Paris et IdF - Metteur en scène et les différents rôles du mari
2012 Thomas More, Robert Bolt, Salle Jean Renoir, Bois Colombes, rôle d'Henri VIII
2012 "Interdit au Public" Jean Marsan & Raymond Dornès, Théâtre de Neuilly. Rôle de Pierre
2012 "Chat en poche" Georges Feydeau, Compagnie Pré en Bulle, Bouffon théâtre et tournée en IdF. Rôle de Dufausset
2012 "L'ours et La demande en mariage" Anton Tchekhov, Espace Saint-Honoré. Rôle de Smirnov
2011 Reprise de "Mais n'te promène donc pas toute nue" Georges Feydeau, Théâtre de Nesle, Paris - Rôle de Ventroux
2011 "Britannicus" Racine, Espace Saint Honoré, Paris, Rôle de Narcisse
2011 "Le Songe d'une nuit d'été" Shakespeare, Théâtre Jean Renoir, Bois Colombes, Rôle de Démétrius
2011 "Les Femmes Savantes" Molière, Théâtre Darius Milhaud, Paris puis au Théâtre du Grand Pavois au Festival Avignon Off - Rôle de Trissotin
2010 "Le Dénouement Imprévu" Marivaux, Théâtre des Enfants Terribles, Paris - Rôle d'Éraste
2008 "Les Fourberies de Scapin et d'Anna" Molière et Théodore de Banville, dans une adaptation au Théâtre de l'Espace Saint-Honoré, Paris - Rôle de Scapin
2008 "Mais n'te promène donc pas toute nue" Georges Feydeau, Théâtre de l'Espace Saint-Honoré, Paris - Rôle de Jaival
Interview
R.S : Bonjour Jonathan.
J.L.G : Bonjour Reynald.
R.S : Quand as-tu décidé de devenir comédien et quelles sont les questions que tu t'es posées à ce moment-là ?
J.L.G : En fait je ne me suis jamais vraiment posé la question ! Vu que je suis tombé dedans très jeune, pour moi c’était une évidence. Pour mes parents ça l’était nettement moins, ils voulaient que je fasse des études supérieures classiques. Mais très vite ils se sont rangés à cet avis que ce métier était une vocation.
R.S : Comment as-tu débuté dans ce métier ?
J.L.G : J’ai débuté dans ce métier dans un film de François Dupont-Midi, Bébé express, avec Michèle Laroque et Jean-Luc Moreau, où je jouais un tout petit rôle, celui d’un bambin qui donnait du fil à retordre à sa mère. Je devais avoir cinq ou six ans.
R.S : Tu as mis en scène et joué dans "Chamailleries". C'est un projet que tu as initié ?
J.L.G : Exactement. Nous avons monté ce spectacle avec la comédienne, Pauline Delamare. Je lui ai fait partager mon enthousiasme pour des auteurs comme Feydeau, Courteline, Labiche, et l’idée de présenter ce "medley" de pièces courtes nous a naturellement paru évident au fil de nos lectures. Cela a été une joie de jouer ces différents couples, tous placés dans un comique de situation incroyable !
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
J.L.G : C’est un complet hasard. Un jour j’ai accompagné une amie qui m’a proposé d’assister à une séance d’enregistrement. Au sortir, j’ai trouvé cette discipline fort intéressante. Alors j’ai suivi une formation et c’est Julien Kramer qui a été le premier à me donner une chance. Ensuite, c'est Stéphane Bazin qui m’a confié mon tout premier rôle récurrent, une nouvelle étape importante dans mon parcours. Je continue d’apprendre à chaque rencontre avec les D.A. et c'est ce qui me permet de progresser. Certes, le comédien qui double un personnage est invisible du public, cependant il se met au service du talent d’un autre en étant au plus près de son jeu, de son énergie. Outre l’abnégation ça demande une certaine humilité, ce qui apporte un juste équilibre.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu pensais lorsque tu as débuté ta carrière ?
J.L.G : Absolument pas. Pourtant le domaine de la "voix" était une passion. En effet, j’imitais mes profs, ce qui m’a valu quelques soucis. J’ignorais qu’on pouvait en faire un métier. Pour ce qui me concerne, je percevais ce milieu comme étant caché et inaccessible alors qu’en réalité c’est tout le contraire ! Il faut savoir qu’on n’en parle pas dans les écoles d’art dramatique, du moins dans celles que j’ai fréquentées, que ce soit en formation ou en stage. D’après les anciens avec qui j’ai pu échanger, le doublage a longtemps été considéré comme le "vilain petit canard" de la profession, ce qui me semble injuste. En effet, n’oublions pas que le doublage français est reconnu comme étant l’un des meilleurs au monde. Heureusement, les comédiens font maintenant du doublage sans aucun complexe et il était temps.
R.S : As-tu le sentiment d'apprendre quelque chose en tant que comédien lorsque tu fais du doublage ?
J.L.G : On apprend toujours quand on travaille, quel que soit le domaine. Jouer est un un mix de plaisir et de crainte, que ce soit sur un plateau ou ailleurs. C’est un métier qui apporte énormément même s’il est incertain. Un jour on a un succès et, un autre, ça peut être un bide. Ce qui, quelque part, est une chance puisqu’on apprend aussi de ses échecs. Je suis d’avis que l’incertitude ouvre le champ des possibles.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
J.L.G : Les jeux vidéo, le côté interactif m’attire. Et puis c’est, en un certain sens, une autre manière de jouer avec différents personnages. Par ailleurs, j’aime à découvrir des oeuvres que je ne connais pas, je suis toujours plus ou moins en recherche de beaux textes. J’aime également à m’enquérir de la vision du monde de certains philosophes, c’est absolument captivant, j’y passe parfois des nuits entières. Côté sport, j’apprécie de jouer au tennis avec des amis l’été, et le badminton que j’ai pratiqué assidûment pendant quelque temps. Je fais aussi de la capoeira depuis une bonne dizaines d’années et cela m’a apporté une certaine maîtrise du corps, une meilleure concentration, de l’endurance et de l’agilité. Mens sana in corpore sano, autrement dit : un esprit sain dans un corps sain !
R.S : Merci beaucoup Jonathan.
J.L.G : C'est moi qui te remercie, Reynald !
Interview de novembre 2020
J.L.G : Bonjour Reynald.
R.S : Quand as-tu décidé de devenir comédien et quelles sont les questions que tu t'es posées à ce moment-là ?
J.L.G : En fait je ne me suis jamais vraiment posé la question ! Vu que je suis tombé dedans très jeune, pour moi c’était une évidence. Pour mes parents ça l’était nettement moins, ils voulaient que je fasse des études supérieures classiques. Mais très vite ils se sont rangés à cet avis que ce métier était une vocation.
R.S : Comment as-tu débuté dans ce métier ?
J.L.G : J’ai débuté dans ce métier dans un film de François Dupont-Midi, Bébé express, avec Michèle Laroque et Jean-Luc Moreau, où je jouais un tout petit rôle, celui d’un bambin qui donnait du fil à retordre à sa mère. Je devais avoir cinq ou six ans.
R.S : Tu as mis en scène et joué dans "Chamailleries". C'est un projet que tu as initié ?
J.L.G : Exactement. Nous avons monté ce spectacle avec la comédienne, Pauline Delamare. Je lui ai fait partager mon enthousiasme pour des auteurs comme Feydeau, Courteline, Labiche, et l’idée de présenter ce "medley" de pièces courtes nous a naturellement paru évident au fil de nos lectures. Cela a été une joie de jouer ces différents couples, tous placés dans un comique de situation incroyable !
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
J.L.G : C’est un complet hasard. Un jour j’ai accompagné une amie qui m’a proposé d’assister à une séance d’enregistrement. Au sortir, j’ai trouvé cette discipline fort intéressante. Alors j’ai suivi une formation et c’est Julien Kramer qui a été le premier à me donner une chance. Ensuite, c'est Stéphane Bazin qui m’a confié mon tout premier rôle récurrent, une nouvelle étape importante dans mon parcours. Je continue d’apprendre à chaque rencontre avec les D.A. et c'est ce qui me permet de progresser. Certes, le comédien qui double un personnage est invisible du public, cependant il se met au service du talent d’un autre en étant au plus près de son jeu, de son énergie. Outre l’abnégation ça demande une certaine humilité, ce qui apporte un juste équilibre.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu pensais lorsque tu as débuté ta carrière ?
J.L.G : Absolument pas. Pourtant le domaine de la "voix" était une passion. En effet, j’imitais mes profs, ce qui m’a valu quelques soucis. J’ignorais qu’on pouvait en faire un métier. Pour ce qui me concerne, je percevais ce milieu comme étant caché et inaccessible alors qu’en réalité c’est tout le contraire ! Il faut savoir qu’on n’en parle pas dans les écoles d’art dramatique, du moins dans celles que j’ai fréquentées, que ce soit en formation ou en stage. D’après les anciens avec qui j’ai pu échanger, le doublage a longtemps été considéré comme le "vilain petit canard" de la profession, ce qui me semble injuste. En effet, n’oublions pas que le doublage français est reconnu comme étant l’un des meilleurs au monde. Heureusement, les comédiens font maintenant du doublage sans aucun complexe et il était temps.
R.S : As-tu le sentiment d'apprendre quelque chose en tant que comédien lorsque tu fais du doublage ?
J.L.G : On apprend toujours quand on travaille, quel que soit le domaine. Jouer est un un mix de plaisir et de crainte, que ce soit sur un plateau ou ailleurs. C’est un métier qui apporte énormément même s’il est incertain. Un jour on a un succès et, un autre, ça peut être un bide. Ce qui, quelque part, est une chance puisqu’on apprend aussi de ses échecs. Je suis d’avis que l’incertitude ouvre le champ des possibles.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
J.L.G : Les jeux vidéo, le côté interactif m’attire. Et puis c’est, en un certain sens, une autre manière de jouer avec différents personnages. Par ailleurs, j’aime à découvrir des oeuvres que je ne connais pas, je suis toujours plus ou moins en recherche de beaux textes. J’aime également à m’enquérir de la vision du monde de certains philosophes, c’est absolument captivant, j’y passe parfois des nuits entières. Côté sport, j’apprécie de jouer au tennis avec des amis l’été, et le badminton que j’ai pratiqué assidûment pendant quelque temps. Je fais aussi de la capoeira depuis une bonne dizaines d’années et cela m’a apporté une certaine maîtrise du corps, une meilleure concentration, de l’endurance et de l’agilité. Mens sana in corpore sano, autrement dit : un esprit sain dans un corps sain !
R.S : Merci beaucoup Jonathan.
J.L.G : C'est moi qui te remercie, Reynald !
Interview de novembre 2020