Serge Thiriet
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme, Voix Senior homme
Tonalité :
Aiguë, Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Spécificités :
Chant
Doublage
Voix
Audiodescription
Vivre loin du Monde : Australie (France Télévisions)
Audiodescription
Vivre loin du monde : Andalousie (France Télévisions)
Documentaire
11/9, appels de détresse (Narrateur - National Geographic)
Documentaire
18 jours sous terre : le sauvetage des enfants thaïlandais (Intervenants)
Documentaire
1956, naissance d'un nouveau monde (Mark Kramer - France TV)
Documentaire
A l'Aube de l'Humanité (Necmi Karul, Jeff Wilson, Hüsam Süleymangil, Randall Carlson - Netflix)
Documentaire
Amanda Knox (Donald Trump + intervenants - Netflix)
Documentaire
America First : le bilan (Intervenants)
Documentaire
Andrew Zimmern's Bizarre World (Narrateur - Andrew Zimmern)
Documentaire
Apocalypse à Waco : Une secte assiégée (Gary Noesner - Netflix)
Documentaire
Battlebots le Choc des Robots (Intervenants - Gulli)
Documentaire
Bizarre Foods with Andrew Zimmern (Narrateur - Andrew Zimmern)
Documentaire
Bubba Wallace, Pilote du Changement (Intervenants)
Documentaire
Burari : le mystère d'une tragédie familiale (Intervenants - Netflix)
Documentaire
Ca Croustille (Narrateur - Daym Drops - Netflix)
Documentaire
Car Country (Narrateur - Jim Cutler - Apple TV+)
Documentaire
Cars History (Intervenants)
Documentaire
Désignés coupables : L'Affaire Florence Cassez (Intervenants - Netflix)
Documentaire
Donald J. Trump's Fabulous World of Golf (Narrateur - Donald Trump)
Documentaire
Edward Snowden, ennemi d'état (Intervenants)
Documentaire
Eyes of the journey (Intervenants - Arte)
Documentaire
Gérard de par le monde - Le Japon (intervenants - Arte)
Documentaire
Ghost Brothers (Intervenants - Discovery Channel)
Documentaire
Heart of Darkness (Narrateur)
Documentaire
Heavy Rescue 401 (Intervenants - Netflix)
Documentaire
Howie Do It (Narrateur - Howie Mandell)
Documentaire
Il était une fois... Faute d'amour (Intervenants - Arte)
Documentaire
Javier Bardem, l'acteur aux mille visages (Intervenants - Arte)
Documentaire
Jeremy Wade, en eaux troubles (Gerald, John - Apple TV+)
Documentaire
John Ford, l'homme qui inventa l'Amérique (Intervenants - Arte)
Documentaire
L'Immigration Clandestine (Intervenants - Arte)
Documentaire
La Loi de Téhéran (Intervenants - Arte)
Documentaire
La Malédiction du Cecil Hotel (Brett Warren, Sal Labarbra - Prime)
Documentaire
Le Blob, un génie sans cerveau (Intervenants - Arte)
Documentaire
Le monde dans un tableau : Le Chapeau de Vermeer (Intervenants - Arte)
Documentaire
Le monde selon Jeff Goldblum (Intervenants - Disney+)
Documentaire
Le Procès de Saddam Hussein (Narrateur - Arte)
Documentaire
Le Rock du Nord : Bjôrk (Narrateur - Arte)
Documentaire
Les Rois de la Réno (Intervenants - M6)
Documentaire
Les trois morts de Mussolini (Intervenants)
Documentaire
Les Vampires (Intervenants - Arte)
Documentaire
Long Island Medium (Intervenants - Discovery Investigation)
Documentaire
Man Vs Expert (Intervenants - Discovery Channel)
Documentaire
Monstres & légendes (Intervenants - Travel Channel)
Documentaire
Naples, le réveil des volcans (Narrateur - Arte)
Documentaire
Oussama ben Laden (Intervenants - Arte)
Documentaire
Portraits d'Histoire : Norvège (Intervenants)
Documentaire
Prince Rogers Nelson (Narrateur)
Documentaire
Qatar, guerre d'influence sur l'Islam d'Europe (Lorenzo Vidino, intervenants - Arte)
Documentaire
Rivière Sauvage (Intervenants)
Documentaire
Sovdagari (Le Marchand : Gela, le marchand - Netflix)
Documentaire
Taste the Nation with Padma Lakshmi (Intervenants - Disney)
Documentaire
Tears for fears : Songs from the big chair (Intervenants - Arte)
Documentaire
The Big Fib (Intervenants)
Documentaire
Tiger King (Rick Kirkham, Jack Hanna, intervenants - Netflix)
Documentaire
Un menu en or (Atul, Dan & intervenants - Netflix)
Documentaire
Vet Academy (Intervenants - Prime)
Documentaire
Vivre loin du monde (Intervenants)
Institutionnel
Boutique France Telecom
Institutionnel
La Plateforme du Bâtiment (Artisan)
Jeu télé
On en mangerait... ou pas (Daym Drops, intervenants - Netflix)
Direction artistique
jeu vidéo
2006
Formation
Conservatoire Royal d'Art Dramatique de Liège, Belgique : Premier Prix avec Grande distinction
Stages de jeu masqué au Théâtre du Soleil avec Ariane Mnouchkine
Improvisation
Jeu masqué, commedia dell'arte et balinais
Stages de jeu masqué au Théâtre du Soleil avec Ariane Mnouchkine
Improvisation
Jeu masqué, commedia dell'arte et balinais
Cinéma
"Le Jeune Casanova" réalisé par Giacomo Battiato
"La Naissance de l'amour" réalisé par Philippe Garrel
"La Naissance de l'amour" réalisé par Philippe Garrel
Courts métrages
"Une Dernière Fois" réalisé par Audric Le Faucheur
"Soldes de Printemps" réalisé par Daphné Baiwir
"Bonne Chance Johnny" réalisé par Maximilien Gomes
"Jack Johnson contre les Contes Féériques" réalisé par Laetitia Brunel
"Soldes de Printemps" réalisé par Daphné Baiwir
"Bonne Chance Johnny" réalisé par Maximilien Gomes
"Jack Johnson contre les Contes Féériques" réalisé par Laetitia Brunel
Réalisateur
"Mexikanos" série animée pour Disney Channel produite par Docteur Gondolo
"Robert ce Héros" produit par Les Films du Dauphin
Habillage de Fun TV à la création
Pub Danone, le Gratteur, agence Saatchi and Saatchi
"Robert ce Héros" produit par Les Films du Dauphin
Habillage de Fun TV à la création
Pub Danone, le Gratteur, agence Saatchi and Saatchi
Scénariste
"Oggy et les Cafards"
"Robert ce Héros"
"Robert ce Héros"
Théâtre
"La Tragédie Comique" (l'Acteur et le Personnage) d'Yves Hundstad et Eve Bonfanti
"Les Exercices de Style" de Raymond Queneau. Théâtre de l'Éveil
"Les Fourberies de Scapin" mise en scène de Jean-Luc Borras
"Cendrillon" Compagnie Martin Padron
"Mon Isménie" (Dardenboeuf) d'Eugène Labiche - mise en scène de Jean-Philippe Oudin
"Les Arts et Métiers en Spectacle" Compagnie Alain Germain
"La Double Inconstance" de Marivaux
"L'Illusion comique"
"L'Histoire du Soldat" (Le Soldat) de Stravinsky et Ramuz, Opéra Royal de Wallonie - mise en scène de Claire Servais
"L'Instant Fatal" de Raymond Queneau. Compagnie de l'Ours
"Toxicodendron" Compagnie de l'Ours
"Les Amours de Marianna" de et mis en scène par Mathieu Falla
"Les Exercices de Style" de Raymond Queneau. Théâtre de l'Éveil
"Les Fourberies de Scapin" mise en scène de Jean-Luc Borras
"Cendrillon" Compagnie Martin Padron
"Mon Isménie" (Dardenboeuf) d'Eugène Labiche - mise en scène de Jean-Philippe Oudin
"Les Arts et Métiers en Spectacle" Compagnie Alain Germain
"La Double Inconstance" de Marivaux
"L'Illusion comique"
"L'Histoire du Soldat" (Le Soldat) de Stravinsky et Ramuz, Opéra Royal de Wallonie - mise en scène de Claire Servais
"L'Instant Fatal" de Raymond Queneau. Compagnie de l'Ours
"Toxicodendron" Compagnie de l'Ours
"Les Amours de Marianna" de et mis en scène par Mathieu Falla
Théâtre de marionnettes
"Le Roi Lear" (Le Roi Lear et Kent) de Shakespeare
"Don Quichotte" (Sancho) de Cervantes, Opéra Royal de Wallonie - mise en scène de Claire Servais
"Don Quichotte" (Sancho) de Cervantes, Opéra Royal de Wallonie - mise en scène de Claire Servais
Interview
R.S : Bonjour Serge,
S.T : Bonjour Reynald.
R.S : Tu es lauréat du Conservatoire Royal d'Art Dramatique de Liège. Pourquoi tes pas t'ont-ils conduit ensuite en France ?
S.T : Franco-Belge, élevé en Belgique, ils se trouve que j’avais plusieurs choix en sortant du Conservatoire : Bruxelles, Paris, Londres, Toronto... J’avais bien une compagnie de théâtre à Liège, mais c’est une ville de taille moyenne avec un public théâtral somme toute assez limité. Il fallait donc que je vise plus grand. Avec le français comme langue maternelle, Paris me semblait plus facile que reprendre des études dans un pays anglo-saxon. Et comme ma compagne venait, elle aussi, faire un spectacle à Paris à l’Opéra-Comique, nous sommes venus ensemble. The rest is history ! :-)
R.S : Comment es-tu arrivé à la réalisation ?
S.T : C’est quelque chose que j’avais toujours voulu faire. J’ai acheté une petite caméra et j’ai commencé à tourner avec des amis, qui avaient eux aussi une expérience du jeu masqué, de petites comédies burlesques improvisées. J’ai gagné quelques prix dans des concours et, de fil en aiguille, j’ai pu réaliser un court métrage en salle qui a fait 10 millions d’entrées sur 750 salles, et une pub pour Danone. Depuis, un enfant, les voix et la direction artistique m’ont pris quasi tout mon temps mais j’ai bien l’intention de m’y remettre prochainement.
R.S : Quelle a été la genèse de ton travail de scénariste sur "Oggy et les Cafards" ?
S.T : Avant que Gaumont Multimédia devienne Xylam, Emmanuel Prévost, futur producteur d’Arthur et les Minimoys, et qui avait produit le court métrage Robert ce Héros (dont j’ai parlé ci-dessus), m’a proposé de travailler sur cette série, qui prenait la suite des Zinzins de l’Espace, qu’il avait produite auparavant.
R.S : Comment as-tu commencé dans le doublage ?
S.T : Je crois que c’est Gérard Dessalles qui m’avait vu au théâtre dans La Tragédie Comique qui m’a fait faire mes premières ambiances. Nous avons fait ensemble aussi pas mal de documentaires pour Arte. Puis il y a eu Cyrille Artaux sur Star Trek où j’ai rencontré Marc Alfos à la barre. J’ai d’ailleurs ruiné quelques-unes de ses boucles mais il a été charmant avec moi. :-)
Sinon, avant cela, j’avais commencé dans la voix par hasard, en faisant une démo pour deux pubs déjantées pour Virgin Mégastore. Ce qui m’a conduit à faire de la pub radio et télé pendant plusieurs années. Puis je me suis mis à faire des serveurs téléphoniques : horoscopes chinois, soluces de jeu, ce genre de trucs... Comme ces numéros étaient surtaxés et que les jeunes gamers ruinaient leurs parents, ces services ont vite été interdits. Mais la société qui enregistrait ces produits s’est mise à enregistrer des versions françaises de jeux vidéo (lorsque ceux-ci ont enfin eu des bandes sons dignes de ce nom), j’étais sur place. Ce qui explique un peu cette "spécialisation jeu vidéo". La niche dans la niche.
R.S : C'était une discipline que tu envisageais déjà lorsque tu as commencé ton parcours artistique ?
S.T : Pas du tout. Je n’y ai jamais pensé et ça ne me serait jamais venu à l’idée. Je ne pensais que théâtre et cinéma.
R.S : On voit aujourd'hui beaucoup de jeunes qui rêveraient de faire du doublage. Quels conseils leur donnerais-tu ?
S.T : Devenez d’abord comédien. Vraiment. Prendre des cours de théâtre et surtout expérimenter la scène. Le doublage est une compétence des comédiens, certes, mais le doublage pour le doublage n’a aucun sens en soi. Il existe actuellement toute une génération de jeunes comédiens pour lesquels le doublage est le Graal. Malheureusement ils ont pour la plupart le même défaut : ils reproduisent comme des perroquets le ton du doublage qui a bercé leur enfance. Donc ils ne font que refaire à l’identique ce que d’autres ont fait avant eux. Sans originalité, sans identité et sans personnalité propre. Même si certains sont d’ailleurs très habiles à cet exercice et font très bien illusion. C’est pour cela que l’apprentissage de la comédie est essentiel. C’est votre personnalité unique, votre créativité, votre énergie, votre interprétation originale, l’acuité de votre écoute de la VO, qui feront la différence et qui donneront envie de vous engager. Quand je dirige et que je caste un acteur, ce n’est pas tant pour sa voix ou son timbre, que pour ce qu’il va apporter au personnage en termes d’énergie, d’inventivité et de personnalité. L’interprétation est à l’opposé de l’imitation.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
S.T : En dehors du macramé, du curling et des soirées loto au Café des Sports le dimanche, j’adore la plongée sous-marine. Nager avec des requins et des dauphins est un régal. J’aime aussi énormément le cinéma, même les films muets, la bande dessinée classique (les grands maîtres franco-belges entre autres), et j’essaie depuis des années d’apprendre à jouer de la guitare - sans trop de succès ! - mais je ne désespère pas...
R.S : Merci beaucoup Serge.
S.T : Mais avec grand plaisir Reynald et merci à toi. :-)
Interview de novembre 2024
S.T : Bonjour Reynald.
R.S : Tu es lauréat du Conservatoire Royal d'Art Dramatique de Liège. Pourquoi tes pas t'ont-ils conduit ensuite en France ?
S.T : Franco-Belge, élevé en Belgique, ils se trouve que j’avais plusieurs choix en sortant du Conservatoire : Bruxelles, Paris, Londres, Toronto... J’avais bien une compagnie de théâtre à Liège, mais c’est une ville de taille moyenne avec un public théâtral somme toute assez limité. Il fallait donc que je vise plus grand. Avec le français comme langue maternelle, Paris me semblait plus facile que reprendre des études dans un pays anglo-saxon. Et comme ma compagne venait, elle aussi, faire un spectacle à Paris à l’Opéra-Comique, nous sommes venus ensemble. The rest is history ! :-)
R.S : Comment es-tu arrivé à la réalisation ?
S.T : C’est quelque chose que j’avais toujours voulu faire. J’ai acheté une petite caméra et j’ai commencé à tourner avec des amis, qui avaient eux aussi une expérience du jeu masqué, de petites comédies burlesques improvisées. J’ai gagné quelques prix dans des concours et, de fil en aiguille, j’ai pu réaliser un court métrage en salle qui a fait 10 millions d’entrées sur 750 salles, et une pub pour Danone. Depuis, un enfant, les voix et la direction artistique m’ont pris quasi tout mon temps mais j’ai bien l’intention de m’y remettre prochainement.
R.S : Quelle a été la genèse de ton travail de scénariste sur "Oggy et les Cafards" ?
S.T : Avant que Gaumont Multimédia devienne Xylam, Emmanuel Prévost, futur producteur d’Arthur et les Minimoys, et qui avait produit le court métrage Robert ce Héros (dont j’ai parlé ci-dessus), m’a proposé de travailler sur cette série, qui prenait la suite des Zinzins de l’Espace, qu’il avait produite auparavant.
R.S : Comment as-tu commencé dans le doublage ?
S.T : Je crois que c’est Gérard Dessalles qui m’avait vu au théâtre dans La Tragédie Comique qui m’a fait faire mes premières ambiances. Nous avons fait ensemble aussi pas mal de documentaires pour Arte. Puis il y a eu Cyrille Artaux sur Star Trek où j’ai rencontré Marc Alfos à la barre. J’ai d’ailleurs ruiné quelques-unes de ses boucles mais il a été charmant avec moi. :-)
Sinon, avant cela, j’avais commencé dans la voix par hasard, en faisant une démo pour deux pubs déjantées pour Virgin Mégastore. Ce qui m’a conduit à faire de la pub radio et télé pendant plusieurs années. Puis je me suis mis à faire des serveurs téléphoniques : horoscopes chinois, soluces de jeu, ce genre de trucs... Comme ces numéros étaient surtaxés et que les jeunes gamers ruinaient leurs parents, ces services ont vite été interdits. Mais la société qui enregistrait ces produits s’est mise à enregistrer des versions françaises de jeux vidéo (lorsque ceux-ci ont enfin eu des bandes sons dignes de ce nom), j’étais sur place. Ce qui explique un peu cette "spécialisation jeu vidéo". La niche dans la niche.
R.S : C'était une discipline que tu envisageais déjà lorsque tu as commencé ton parcours artistique ?
S.T : Pas du tout. Je n’y ai jamais pensé et ça ne me serait jamais venu à l’idée. Je ne pensais que théâtre et cinéma.
R.S : On voit aujourd'hui beaucoup de jeunes qui rêveraient de faire du doublage. Quels conseils leur donnerais-tu ?
S.T : Devenez d’abord comédien. Vraiment. Prendre des cours de théâtre et surtout expérimenter la scène. Le doublage est une compétence des comédiens, certes, mais le doublage pour le doublage n’a aucun sens en soi. Il existe actuellement toute une génération de jeunes comédiens pour lesquels le doublage est le Graal. Malheureusement ils ont pour la plupart le même défaut : ils reproduisent comme des perroquets le ton du doublage qui a bercé leur enfance. Donc ils ne font que refaire à l’identique ce que d’autres ont fait avant eux. Sans originalité, sans identité et sans personnalité propre. Même si certains sont d’ailleurs très habiles à cet exercice et font très bien illusion. C’est pour cela que l’apprentissage de la comédie est essentiel. C’est votre personnalité unique, votre créativité, votre énergie, votre interprétation originale, l’acuité de votre écoute de la VO, qui feront la différence et qui donneront envie de vous engager. Quand je dirige et que je caste un acteur, ce n’est pas tant pour sa voix ou son timbre, que pour ce qu’il va apporter au personnage en termes d’énergie, d’inventivité et de personnalité. L’interprétation est à l’opposé de l’imitation.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
S.T : En dehors du macramé, du curling et des soirées loto au Café des Sports le dimanche, j’adore la plongée sous-marine. Nager avec des requins et des dauphins est un régal. J’aime aussi énormément le cinéma, même les films muets, la bande dessinée classique (les grands maîtres franco-belges entre autres), et j’essaie depuis des années d’apprendre à jouer de la guitare - sans trop de succès ! - mais je ne désespère pas...
R.S : Merci beaucoup Serge.
S.T : Mais avec grand plaisir Reynald et merci à toi. :-)
Interview de novembre 2024