Lionel Henry
Doublage
cinéma
2008
Hellboy II les légions d'or maudites (Abraham 'Abe' Sapien / Le Chambellan / L'Ange de la mort)
Direction artistique
Formation
Cours de théâtre J. Chabrier / G. di Rigo
Cours de cinéma à l'Albero Cinematografico de Milan
Cours de vidéo et communication à MC Gill University de Montréal
Cours de cinéma à l'Albero Cinematografico de Milan
Cours de vidéo et communication à MC Gill University de Montréal
Animation
Plusieurs saisons GO au Club Méditerranée
Cinéma
Acteur sous la direction de L. Martinengo - N. Rapetti
Enseignement
Formation de comédiens à la pratique du doublage
Intervenant en DESS TSD à la faculté de lettres de Nice
Intervenant au Festival del Doppiaggio VOCI nell'Ombr de Finale Ligure (Italie)
Consultant pour formation doublage et direction auprès du centre national audiovisuel du Ghana
Intervenant en DESS TSD à la faculté de lettres de Nice
Intervenant au Festival del Doppiaggio VOCI nell'Ombr de Finale Ligure (Italie)
Consultant pour formation doublage et direction auprès du centre national audiovisuel du Ghana
Radio
Pièces radiophoniques & animation d'émissions de radio
Réalisation
Reportages pour les Nations-unies
Courts-métrages avec Videohead's Production à Amsterdam
Courts-métrages avec Videohead's Production à Amsterdam
Télévision
Acteur sous la réalisation de B. Betremieux - D. Boileau - B. Bellac - M. Rapetti
Théâtre
Comédien dans diverses pièces avec la compagnie A. Gilles - P. Ballay
Tournée aux Antilles et dans l'Océan indien avec la compagnie Travelingue
Tournée aux Antilles et dans l'Océan indien avec la compagnie Travelingue
Interview
R.S : Bonjour Lionel...
L.H : Bonjour ou bonsoir Reynald, je n'ai aucune idée de l'heure.
R.S : Comment avez-vous commencé votre carrière de comédien ?
L.H : Cela s'est trouvé sur mon chemin et, sans réfléchir, un peu comme une évidence, j'ai joué le jeu et cela m'a amusé. Heureusement, parce que depuis le temps ça serait grave. On m'a donné la chance de pouvoir m'amuser quotidiennement.
R.S : Le chemin qu'on doit prendre est-il facile à trouver ?
L.H : Oui, à condition de ne pas trop le chercher.
R.S : Vous avez été GO au Club Med, est-ce une expérience enrichissante pour un comédien ?
L.H : Sans l'ombre d'un doute. C'était et peut être est-ce toujours la plus belle scène.
R.S : Comment avez-vous débuté le doublage ?
L.H : En accompagnant un ami qui faisait sa première direction de plateau. Et là, j'ai découvert un univers étonnant, avec son lot de rencontres, de coups de cœur. Et surtout en prenant le temps d'observer, d'écouter, là on apprend son métier.
R.S : Lorsqu'on vous voit travailler on s'aperçoit que le corps est lui aussi très sollicité derrière la barre. Une séance de doublage n'a rien de statique, finalement ?
L.H : Moi je ne sais pas faire autrement, mais j'ai fait des progrès. A une époque je fermais même les yeux si l'acteur le faisait à l'écran !
R.S : En doublage, il faut tenir compte du rôle mais aussi du comédien étranger à qui on prête sa voix. Est-ce difficile de concilier tous ces paramètres ?
L.H : Nullement, lorsqu'on a la chance de faire une rencontre car là tout est simple et naturel. C'est un bonheur vécu et que je nous souhaite.
R.S : Vous êtes également directeur artistique. Votre sensibilité de comédien vous aide-t-elle pour ce travail ?
L.H : Elle me permet en tout cas de savoir ce que je suis en droit d'attendre. Cela m'aide surtout pour gérer le facteur humain.
R.S : Un comédien peut exercer son art dans plusieurs disciplines. Est-ce important de se diversifier ?
L.H : C'est plus que souhaitable. Comme dans la vie, n'est-ce pas plus intéressant de ne pas être enfermé, et de prendre le risque d'essayer ?
R.S : Quels sont vos hobbies ?
L.H : Sans hésiter les voyages, car ils me permettent de vivre tous mes hobbies.
R.S : Merci beaucoup Lionel.
L.H : Merci surtout à toi pour l'incroyable travail que tu accomplis.
Interview d'avril 2009
L.H : Bonjour ou bonsoir Reynald, je n'ai aucune idée de l'heure.
R.S : Comment avez-vous commencé votre carrière de comédien ?
L.H : Cela s'est trouvé sur mon chemin et, sans réfléchir, un peu comme une évidence, j'ai joué le jeu et cela m'a amusé. Heureusement, parce que depuis le temps ça serait grave. On m'a donné la chance de pouvoir m'amuser quotidiennement.
R.S : Le chemin qu'on doit prendre est-il facile à trouver ?
L.H : Oui, à condition de ne pas trop le chercher.
R.S : Vous avez été GO au Club Med, est-ce une expérience enrichissante pour un comédien ?
L.H : Sans l'ombre d'un doute. C'était et peut être est-ce toujours la plus belle scène.
R.S : Comment avez-vous débuté le doublage ?
L.H : En accompagnant un ami qui faisait sa première direction de plateau. Et là, j'ai découvert un univers étonnant, avec son lot de rencontres, de coups de cœur. Et surtout en prenant le temps d'observer, d'écouter, là on apprend son métier.
R.S : Lorsqu'on vous voit travailler on s'aperçoit que le corps est lui aussi très sollicité derrière la barre. Une séance de doublage n'a rien de statique, finalement ?
L.H : Moi je ne sais pas faire autrement, mais j'ai fait des progrès. A une époque je fermais même les yeux si l'acteur le faisait à l'écran !
R.S : En doublage, il faut tenir compte du rôle mais aussi du comédien étranger à qui on prête sa voix. Est-ce difficile de concilier tous ces paramètres ?
L.H : Nullement, lorsqu'on a la chance de faire une rencontre car là tout est simple et naturel. C'est un bonheur vécu et que je nous souhaite.
R.S : Vous êtes également directeur artistique. Votre sensibilité de comédien vous aide-t-elle pour ce travail ?
L.H : Elle me permet en tout cas de savoir ce que je suis en droit d'attendre. Cela m'aide surtout pour gérer le facteur humain.
R.S : Un comédien peut exercer son art dans plusieurs disciplines. Est-ce important de se diversifier ?
L.H : C'est plus que souhaitable. Comme dans la vie, n'est-ce pas plus intéressant de ne pas être enfermé, et de prendre le risque d'essayer ?
R.S : Quels sont vos hobbies ?
L.H : Sans hésiter les voyages, car ils me permettent de vivre tous mes hobbies.
R.S : Merci beaucoup Lionel.
L.H : Merci surtout à toi pour l'incroyable travail que tu accomplis.
Interview d'avril 2009