Marion Aranda
Genres :
Voix Enfant garçon, Voix Enfant fille, Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé, Espagnol
Accents :
Espagnol
Doublage
Voix
Bande-annonce
Parc National de Port-Cros (La guide)
Télé-réalité
All Star Shore (Nicole 'Snooki' Polizzi)
Télé-réalité
Buckhead Shore (Katie Canham)
Voice-over
Cheer (Morgan, Gillian, Jada)
Voice-over
Geordie Shore (Jade, Molly)
Voice-over
Girls night in (Ashley)
Voice-over
Hip Hop my house (Zeez Louise)
Voice-over
Love is blind (Iyanna)
Voice-over
Nickelodeon Unfiltered (Darcy)
Voice-over
Teen mom 2 : nouvelle génération (Ashley)
Voice-over
Teen mom Australia (Ammyson)
Formation
2022 Stage de théâtre "Georges Dandin, Molière" avec Jean-Philippe Daguerre
2019/2020 Studio Capitale, Formation de doublage, DA Virginie Ledieu
2018 Stage IMDA, formation voix-off, voice-over, narration et doublage
2017/2018 Studio Capitale, Formation de doublage, DA Charlotte Correa
2013/2017 Cours Raymond Acquaviva, Formation professionnelle de l'acteur
2009/2014 ENSA Paris Malaquais, Licence d’architecture BAC+3
2008/2009 Université Marc Bloch Strasbourg, Cursus Histoire de l'art en auditeur libre
2007/2008 LISAA Strasbourg, Mise à Niveau en Arts Appliqués
2007 Lycée Mangin Sarrebourg, Bac ES mention bien Juin
2019/2020 Studio Capitale, Formation de doublage, DA Virginie Ledieu
2018 Stage IMDA, formation voix-off, voice-over, narration et doublage
2017/2018 Studio Capitale, Formation de doublage, DA Charlotte Correa
2013/2017 Cours Raymond Acquaviva, Formation professionnelle de l'acteur
2009/2014 ENSA Paris Malaquais, Licence d’architecture BAC+3
2008/2009 Université Marc Bloch Strasbourg, Cursus Histoire de l'art en auditeur libre
2007/2008 LISAA Strasbourg, Mise à Niveau en Arts Appliqués
2007 Lycée Mangin Sarrebourg, Bac ES mention bien Juin
Expériences & compétences
Scénographe (Licence d’architecture de l'ENSAPM, BAC+3)
Graphisme / Calligraphie
Barmaid
Dynamique, souriante, persévérante, bref une vraie petite boule de bonne humeur !
Graphisme / Calligraphie
Barmaid
Dynamique, souriante, persévérante, bref une vraie petite boule de bonne humeur !
Langues
Anglais (bonne maîtrise)
Espagnol (bonne maîtrise - accent argentin)
Espagnol (bonne maîtrise - accent argentin)
Théâtre
2018/2022 "Peter pan et l'île oubliée" Autrice et metteuse en scène. Cie Les Veilleurs Du Songe
2015 "C'est Courtelinesque !" Assistante à la mise en scène de Raymond Acquaviva. Théâtre des Béliers Parisiens
2015/2017 Comédienne au Manoir de Paris
2013/2014 "Le malade imaginaire" mise en scène de Sissia Buggy, dans le rôle Toinette. Théâtre Espace Marais
2012/2013 "Les liaisons dangereuses" mise en scène de Joseph Morana, dans le rôle Cécile de Volanges. Théâtre Espace Marais
2012 "Les précieuses ridicules" mise en scène de Sissia Buggy, dans le rôle de Magdelon. Théâtre Espace Marais
2015 "C'est Courtelinesque !" Assistante à la mise en scène de Raymond Acquaviva. Théâtre des Béliers Parisiens
2015/2017 Comédienne au Manoir de Paris
2013/2014 "Le malade imaginaire" mise en scène de Sissia Buggy, dans le rôle Toinette. Théâtre Espace Marais
2012/2013 "Les liaisons dangereuses" mise en scène de Joseph Morana, dans le rôle Cécile de Volanges. Théâtre Espace Marais
2012 "Les précieuses ridicules" mise en scène de Sissia Buggy, dans le rôle de Magdelon. Théâtre Espace Marais
Interview
R.S : Bonjour Marion.
M.A : Bonjour Reynald !
R.S : Tu as une bonne maîtrise de l'espagnol, mais avec un accent argentin. C'est amusant ! D'où cela vient-il ?
M.A : En effet ! Nous sommes les vilains petits canards de l’Amérique du Sud. Mon père est argentin. Mon enfance a baigné dans le tango et la musique folklorique, en particulier celle de Salta sa ville d’origine. Et quand Internet est arrivé, c’était la radio tous les dimanches et les matchs de foot en direct.
R.S : Tu as fait une licence d'architecture. Tu n'avais pas encore pris la décision de devenir comédienne ?
M.A : Même si, plus petite, je pouvais passer des après-midis entiers enfermée dans ma chambre à rejouer des comédies musicales :-), je pense que l’envie m’est venue vers l’âge de 16 ans. Il y avait un club de théâtre dans mon lycée, je rêvais d’en faire partie mais je n’avais pas encore trouvé le courage de me lancer. Quand j’étais en prépa artistique, juste après avoir passé mon bac, nous avions eu un travail à rendre pour le cours d’expression plastique intitulé "Je me mets en scène". Je l’ai pris au mot, j’ai choisi le monologue d’Hermione dans Andromaque et je me suis mise en scène dans ma propre scénographie. A la fin ma prof m’a regardée et m’a dit "Mais Marion, vous devriez faire du théâtre". Ça a été ma confirmation ! Mais en passant par la case architecture avant.
R.S : Quelles questions t'es-tu posées, justement, lorsque tu as pris cette décision ?
M.A : Ce n’est pas une décision facile à prendre. Mis à part ma grande sœur qui est aussi sortie des sentiers battus et grâce à qui j’ai réussi à trouver le courage de réaliser mes rêves, personne n’est dans le métier dans la famille. "Est-ce que j’en suis capable ? Est-ce que je vais réussir à en vivre ?". Mais au bout d’un moment en sent que c’est viscéral et qu’on n’a pas d’autres choix que de se lancer. En 3e année d’architecture, j’ai pris une grande respiration et je suis allée voir ma mère "Maman, il faut que je te dise quelque chose. Ça ne va pas te plaire, mais je le regretterai toute ma vie si je ne le fais pas !". Et là c’était parti.
R.S : Comment as-tu commencé professionnellement ?
M.A : Pendant mes années d’archi, je suivais des cours en amateur et, à la fin, le théâtre m’a prise sur 3 pièces. Et, quand je suis sortie de mon école de théâtre, je me suis posé deux questions. Est-ce que je cours après les auditions ou bien je montre à ce milieu ce que je vaux ? J’ai travaillé pendant un an au Manoir de Paris et j’y ai fait une magnifique rencontre. Nous avons décidé de co-écrire une pièce autour de l’univers de Peter Pan que nous avons mise en scène. Malheureusement avec la pandémie on n’a pas été aidés. Mais nous avons eu la chance de réaliser un showcase au théâtre du Ranelagh. Captation en main, nous ne baissons pas les bras pour la suite.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
M.A : Lorsque je travaillais sur l’écriture de ma pièce et parce que le jeu commençait à me manquer, j’ai décidé de faire un stage découverte chez Studio Capitale. Et là ça a été un vrai coup de foudre. J’ai donc continué et j’y ai rencontré Virginie Ledieu. Je lui dois beaucoup, elle a été la première à croire en moi et qui m’a fait travailler en studio pour la première fois. Et après, de fil en aiguille, de stage en stage et à force d'assister à des plateaux, j’ai fait et je continue de faire mon petit bout de chemin.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu songeais lorsque tu as démarré ?
M.A : Absolument pas ! Ça a été une belle surprise et c’est un métier qui continue de me surprendre jour après jour. C’est ça qui est génial dans le doublage, la diversité des personnages que l’on peut incarner et l’abandon de soi. Quand on est à la barre, il faut tout faire pour reproduire le plus fidèlement possible ce que joue le comédien qui est l’écran. Ça nous pousse à déconnecter notre cerveau, à lâcher prise, et ça nous demande énormément d’énergie. Mais ça tombe bien j’en ai beaucoup à revendre. :-)
R.S : Quels sont tes loisirs ?
M.A : J’essaie d’aller au théâtre dès que le temps me le permet. J’adore découvrir de nouveaux auteurs, la scénographie continue de me passionner et je dessine beaucoup. Je vais bientôt reprendre le chant et le piano. Mais mon autre talent caché c’est la calligraphie. J’ai été barmaid pendant longtemps, c’est comme ça que ça a commencé (prendre l’apéro je l’avoue est mon petit pêché mignon :-)) Je réalise souvent les ardoises pour les bars des copains. Ça demande pas mal de patience mais j’aime bien ça me détend.
R.S : Merci beaucoup Marion.
M.A : Merci à toi Reynald !
Interview de juillet 2022
M.A : Bonjour Reynald !
R.S : Tu as une bonne maîtrise de l'espagnol, mais avec un accent argentin. C'est amusant ! D'où cela vient-il ?
M.A : En effet ! Nous sommes les vilains petits canards de l’Amérique du Sud. Mon père est argentin. Mon enfance a baigné dans le tango et la musique folklorique, en particulier celle de Salta sa ville d’origine. Et quand Internet est arrivé, c’était la radio tous les dimanches et les matchs de foot en direct.
R.S : Tu as fait une licence d'architecture. Tu n'avais pas encore pris la décision de devenir comédienne ?
M.A : Même si, plus petite, je pouvais passer des après-midis entiers enfermée dans ma chambre à rejouer des comédies musicales :-), je pense que l’envie m’est venue vers l’âge de 16 ans. Il y avait un club de théâtre dans mon lycée, je rêvais d’en faire partie mais je n’avais pas encore trouvé le courage de me lancer. Quand j’étais en prépa artistique, juste après avoir passé mon bac, nous avions eu un travail à rendre pour le cours d’expression plastique intitulé "Je me mets en scène". Je l’ai pris au mot, j’ai choisi le monologue d’Hermione dans Andromaque et je me suis mise en scène dans ma propre scénographie. A la fin ma prof m’a regardée et m’a dit "Mais Marion, vous devriez faire du théâtre". Ça a été ma confirmation ! Mais en passant par la case architecture avant.
R.S : Quelles questions t'es-tu posées, justement, lorsque tu as pris cette décision ?
M.A : Ce n’est pas une décision facile à prendre. Mis à part ma grande sœur qui est aussi sortie des sentiers battus et grâce à qui j’ai réussi à trouver le courage de réaliser mes rêves, personne n’est dans le métier dans la famille. "Est-ce que j’en suis capable ? Est-ce que je vais réussir à en vivre ?". Mais au bout d’un moment en sent que c’est viscéral et qu’on n’a pas d’autres choix que de se lancer. En 3e année d’architecture, j’ai pris une grande respiration et je suis allée voir ma mère "Maman, il faut que je te dise quelque chose. Ça ne va pas te plaire, mais je le regretterai toute ma vie si je ne le fais pas !". Et là c’était parti.
R.S : Comment as-tu commencé professionnellement ?
M.A : Pendant mes années d’archi, je suivais des cours en amateur et, à la fin, le théâtre m’a prise sur 3 pièces. Et, quand je suis sortie de mon école de théâtre, je me suis posé deux questions. Est-ce que je cours après les auditions ou bien je montre à ce milieu ce que je vaux ? J’ai travaillé pendant un an au Manoir de Paris et j’y ai fait une magnifique rencontre. Nous avons décidé de co-écrire une pièce autour de l’univers de Peter Pan que nous avons mise en scène. Malheureusement avec la pandémie on n’a pas été aidés. Mais nous avons eu la chance de réaliser un showcase au théâtre du Ranelagh. Captation en main, nous ne baissons pas les bras pour la suite.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
M.A : Lorsque je travaillais sur l’écriture de ma pièce et parce que le jeu commençait à me manquer, j’ai décidé de faire un stage découverte chez Studio Capitale. Et là ça a été un vrai coup de foudre. J’ai donc continué et j’y ai rencontré Virginie Ledieu. Je lui dois beaucoup, elle a été la première à croire en moi et qui m’a fait travailler en studio pour la première fois. Et après, de fil en aiguille, de stage en stage et à force d'assister à des plateaux, j’ai fait et je continue de faire mon petit bout de chemin.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu songeais lorsque tu as démarré ?
M.A : Absolument pas ! Ça a été une belle surprise et c’est un métier qui continue de me surprendre jour après jour. C’est ça qui est génial dans le doublage, la diversité des personnages que l’on peut incarner et l’abandon de soi. Quand on est à la barre, il faut tout faire pour reproduire le plus fidèlement possible ce que joue le comédien qui est l’écran. Ça nous pousse à déconnecter notre cerveau, à lâcher prise, et ça nous demande énormément d’énergie. Mais ça tombe bien j’en ai beaucoup à revendre. :-)
R.S : Quels sont tes loisirs ?
M.A : J’essaie d’aller au théâtre dès que le temps me le permet. J’adore découvrir de nouveaux auteurs, la scénographie continue de me passionner et je dessine beaucoup. Je vais bientôt reprendre le chant et le piano. Mais mon autre talent caché c’est la calligraphie. J’ai été barmaid pendant longtemps, c’est comme ça que ça a commencé (prendre l’apéro je l’avoue est mon petit pêché mignon :-)) Je réalise souvent les ardoises pour les bars des copains. Ça demande pas mal de patience mais j’aime bien ça me détend.
R.S : Merci beaucoup Marion.
M.A : Merci à toi Reynald !
Interview de juillet 2022