Léa Issert
Genres :
Voix Bambin garçon, Voix Bambin fille, Voix Enfant garçon, Voix Enfant fille, Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Doublage
télévision, VOD & DVD
2023
Voix
Livre audio
Ivy Wilde - Tome 1 (d'Helen Harper)
Publicité
Spendesk (Narratrice)
Voice-over
11 septembre, au coeur du chaos (Film France 3)
Voice-over
Akashinga : la guerre de l'ivoire (Film National Geographic)
Voice-over
Arctic Drift, A Year in the Ice (Film Fremantle)
Voice-over
Behind the music (Série MTV)
Voice-over
Blood on the wall (Film National Geographic)
Voice-over
Crypto-parano (Film Netflix)
Voice-over
Earthstorm (Série Netflix)
Voice-over
En quête de preuves (Série A+E Networks)
Voice-over
First Alaskans (Série Disney)
Voice-over
Histoire d'amour et d'autisme (Série Netflix)
Voice-over
Hype House - Mia (Série Netflix)
Voice-over
L'arche des espèces menacées (Série Disney)
Voice-over
La tribu d'à côté (Série Multithematiques)
Voice-over
Lenox Hill Hospital (Série Netflix)
Voice-over
Les grands moments de la musique (Série Arte)
Voice-over
Nickelodeon Unfiltered - Gabrielle (Série Nickelodeon)
Voice-over
Stranger than nature (Série National Geographic)
Voice-over
Teen Mom Australia - Georgie (Série MTV)
Voice-over
Terim (Série Netflix)
Voice-over
Trésors sous les mers (Série Disney)
Voix-off
Connaissances du monde (Narratrice - Série Arte)
Formation
2020 Tytan formation de doublage, Paris
2015/2018 Actor's Factory formation d'acteur, Paris
2015 Ateliers du Sudden stage intensif, Paris
2010 Théâtre comique et d'improvisation, Montpellier
2015/2018 Actor's Factory formation d'acteur, Paris
2015 Ateliers du Sudden stage intensif, Paris
2010 Théâtre comique et d'improvisation, Montpellier
Courts métrages
2020 "Tabou" de Léa Issert
2020 "Passion" de Gabriel Mirété
2020 "Grenadine Sunshine" de Marina Chetboun
2020 "Renversée" de Maximilien Gomes
2019 "Sleep Tight" de Arthur Villers
2019 "La jeune femme et la caméra" de Elisa Manoha
2018 "Nos vies d'après" de Cannelle Huteau
2018 "Silence" de Paul Lamiral
2017 "Sang" de Killian Chopard Lallier
2016 "Alternatum" de Charlie Luccini. Prix de la meilleure actrice au Los Angeles Film Festival
2016 "En attendant de vivre" de Inès Benhamida
2020 "Passion" de Gabriel Mirété
2020 "Grenadine Sunshine" de Marina Chetboun
2020 "Renversée" de Maximilien Gomes
2019 "Sleep Tight" de Arthur Villers
2019 "La jeune femme et la caméra" de Elisa Manoha
2018 "Nos vies d'après" de Cannelle Huteau
2018 "Silence" de Paul Lamiral
2017 "Sang" de Killian Chopard Lallier
2016 "Alternatum" de Charlie Luccini. Prix de la meilleure actrice au Los Angeles Film Festival
2016 "En attendant de vivre" de Inès Benhamida
Instruments
Piano
Langues
Français
Anglais
Anglais
Séries
2020/2022 "Or noir" (saisons 1 à 3) de Manuel Laurent et Anouar El Alami. M6
2021 "Tout le monde ment" d'Hélène Angel. France 2
2021 "Notre Dame, la part du feu" d'Hervé Admar. Netflix
2021 "La guerres des trônes" d'A. Brunard, et V. Pontet. France 5
2015 "Bébés volés" d'Alain Berliner. France 2
2015 "Candice Renoir" de Sylvie Ayme. France 2
2021 "Tout le monde ment" d'Hélène Angel. France 2
2021 "Notre Dame, la part du feu" d'Hervé Admar. Netflix
2021 "La guerres des trônes" d'A. Brunard, et V. Pontet. France 5
2015 "Bébés volés" d'Alain Berliner. France 2
2015 "Candice Renoir" de Sylvie Ayme. France 2
Sports
Badminton
Yoga
Yoga
Théâtre
2022 "Le porteur d'histoire" de Alexis Michalik. Théâtre des Béliers Parisiens
2022 "Michetonneuse" de Vincent Cappello et Amelle Chahbi. Théâtre Lepic
2022 "Michetonneuse" de Vincent Cappello et Amelle Chahbi. Théâtre Lepic
Web
2022 "Cookie" long métrage de Célia et Bastien Millat-Garcia
2021 "Printemps = Love" long-métrage de Célia et Basien Millat-Garcia
2019/2022 "La vie douce" Tendresse Production
2021 "Sauce piquante" de Killian Querré et Yacine Saadi
2021 "Printemps = Love" long-métrage de Célia et Basien Millat-Garcia
2019/2022 "La vie douce" Tendresse Production
2021 "Sauce piquante" de Killian Querré et Yacine Saadi
Interview
R.S : Bonjour Léa.
L.I : Bonjour Reynald !
R.S : Tu as commencé ta formation à Montpellier. As-tu choisi spécifiquement le théâtre comique et d'improvisation ou bien le choix y était-il plus limité qu'il ne l'est à Paris, par exemple ?
L.I : Le choix est forcément plus limité mais il y a tout de même énormément de cours différents à Montpellier. J’ai choisi le comique et l’improvisation car c’était ce qui me paraissait le plus dur pour moi, ce qui allait venir me sortir de ma zone de confort de l’époque (j’avais 18 ans).
R.S : Avais-tu conscience qu'il te faudrait presque fatalement venir dans la capitale, tout étant très centralisé en France ?
L.I : Oui, j’ai toujours eu conscience que j’allais devoir quitter mon sud natal pour monter dans la capitale (même si certains arrivent à vivre du métier d’acteur en restant en province). Il y a tellement d’opportunités à Paris que je n’aurais sûrement pas ailleurs. Le changement de décor a été brutal, je suis arrivée à Paris à 20 ans, mais le fait d’avoir beaucoup déménagé durant mon enfance m’a aidée à m’adapter rapidement.
R.S : Comment as-tu commencé ton parcours professionnel ?
L.I : J’ai commencé à Montpellier avant même de faire mes formations. Je me suis lancée dans les castings ! J’ai joué dans des films et séries qui se tournaient dans le sud, j’ai commencé à me faire mon réseau. Puis, en arrivant à Paris, parallèlement à ma formation j’ai continué à tourner dans de nombreux projets. Ce n’est que bien plus tard, en 2022, que j’ai commencé à jouer au théâtre.
R.S : Tu t'es rendue à L.A. pour y recevoir le prix de la meilleure actrice que t'a valu le court-métrage Alternatum au Los Angeles Film Festival ?
L.I : Non, je ne savais même pas que j’avais été nominée ! Je ne l’ai appris que lors de la remise des prix, mais dans tous les cas je ne pense pas que j’y serais allée, car ce genre de cérémonie m’importe peu même si cela flatte toujours l’ego.
R.S : Tu as réalisé toi-même un court-métrage. La production en a été aisée ?
L.I : Cela a été une des périodes les plus stressantes de ma vie car, en plus de l’avoir écrit, produit et réalisé, j’en étais la comédienne principale. J’avais heureusement un ami réalisateur qui est venu m’épauler lorsque j’étais devant la caméra, et un coach d’acteurs pour pouvoir m’aiguiller car il était trop compliqué d’avoir du recul pendant le tournage ; d’autant plus que je voulais traiter d’un sujet "sensible". Je suis sortie de cette expérience vidée, j’ai eu l’impression d’accoucher d’un enfant. Mais je suis aujourd’hui bien remise et prête à en réaliser d’autres. Je ressens vraiment le besoin de parler de sujets qui me touchent, de venir secouer les mentalités, briser les tabous, et la réalisation me paraît être le meilleur moyen.
R.S : Comment as-tu fait tes premiers pas dans le doublage ?
L.I : En arrivant à Paris, j’ai très vite compris que mon accent du sud serait un frein pour travailler (les accents sont encore aujourd’hui très discriminés au cinéma). J’ai donc vu une orthophoniste et j'ai énormément travaillé ma diction pour perdre mon accent. Le doublage et les métiers de la voix me sont apparus à la base comme un super entraînement pour améliorer mon accent, et sont finalement devenus une passion. Nathalie Régnier m’a donné mon premier rôle récurrent dans une série puis Vanina Pradier m’a pris sous son aile et m’a également permis de m’essayer à de super rôles.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
L.I : Ma passion première c’est manger ! Sinon je danse dès que j’en ai l’occasion, c’est le meilleur moyen pour me charger ou pour évacuer de l’énergie. J’adore le jardinage (j’ai mon petit potager à Paris et j’en suis très fière). Et mon petit plaisir couplage, c’est de me déguiser et faire des vidéos drôles que je poste sur Instagram.
R.S : Merci beaucoup Léa.
L.I : Merci à toi Reynald !
Interview d'août 2022
L.I : Bonjour Reynald !
R.S : Tu as commencé ta formation à Montpellier. As-tu choisi spécifiquement le théâtre comique et d'improvisation ou bien le choix y était-il plus limité qu'il ne l'est à Paris, par exemple ?
L.I : Le choix est forcément plus limité mais il y a tout de même énormément de cours différents à Montpellier. J’ai choisi le comique et l’improvisation car c’était ce qui me paraissait le plus dur pour moi, ce qui allait venir me sortir de ma zone de confort de l’époque (j’avais 18 ans).
R.S : Avais-tu conscience qu'il te faudrait presque fatalement venir dans la capitale, tout étant très centralisé en France ?
L.I : Oui, j’ai toujours eu conscience que j’allais devoir quitter mon sud natal pour monter dans la capitale (même si certains arrivent à vivre du métier d’acteur en restant en province). Il y a tellement d’opportunités à Paris que je n’aurais sûrement pas ailleurs. Le changement de décor a été brutal, je suis arrivée à Paris à 20 ans, mais le fait d’avoir beaucoup déménagé durant mon enfance m’a aidée à m’adapter rapidement.
R.S : Comment as-tu commencé ton parcours professionnel ?
L.I : J’ai commencé à Montpellier avant même de faire mes formations. Je me suis lancée dans les castings ! J’ai joué dans des films et séries qui se tournaient dans le sud, j’ai commencé à me faire mon réseau. Puis, en arrivant à Paris, parallèlement à ma formation j’ai continué à tourner dans de nombreux projets. Ce n’est que bien plus tard, en 2022, que j’ai commencé à jouer au théâtre.
R.S : Tu t'es rendue à L.A. pour y recevoir le prix de la meilleure actrice que t'a valu le court-métrage Alternatum au Los Angeles Film Festival ?
L.I : Non, je ne savais même pas que j’avais été nominée ! Je ne l’ai appris que lors de la remise des prix, mais dans tous les cas je ne pense pas que j’y serais allée, car ce genre de cérémonie m’importe peu même si cela flatte toujours l’ego.
R.S : Tu as réalisé toi-même un court-métrage. La production en a été aisée ?
L.I : Cela a été une des périodes les plus stressantes de ma vie car, en plus de l’avoir écrit, produit et réalisé, j’en étais la comédienne principale. J’avais heureusement un ami réalisateur qui est venu m’épauler lorsque j’étais devant la caméra, et un coach d’acteurs pour pouvoir m’aiguiller car il était trop compliqué d’avoir du recul pendant le tournage ; d’autant plus que je voulais traiter d’un sujet "sensible". Je suis sortie de cette expérience vidée, j’ai eu l’impression d’accoucher d’un enfant. Mais je suis aujourd’hui bien remise et prête à en réaliser d’autres. Je ressens vraiment le besoin de parler de sujets qui me touchent, de venir secouer les mentalités, briser les tabous, et la réalisation me paraît être le meilleur moyen.
R.S : Comment as-tu fait tes premiers pas dans le doublage ?
L.I : En arrivant à Paris, j’ai très vite compris que mon accent du sud serait un frein pour travailler (les accents sont encore aujourd’hui très discriminés au cinéma). J’ai donc vu une orthophoniste et j'ai énormément travaillé ma diction pour perdre mon accent. Le doublage et les métiers de la voix me sont apparus à la base comme un super entraînement pour améliorer mon accent, et sont finalement devenus une passion. Nathalie Régnier m’a donné mon premier rôle récurrent dans une série puis Vanina Pradier m’a pris sous son aile et m’a également permis de m’essayer à de super rôles.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
L.I : Ma passion première c’est manger ! Sinon je danse dès que j’en ai l’occasion, c’est le meilleur moyen pour me charger ou pour évacuer de l’énergie. J’adore le jardinage (j’ai mon petit potager à Paris et j’en suis très fière). Et mon petit plaisir couplage, c’est de me déguiser et faire des vidéos drôles que je poste sur Instagram.
R.S : Merci beaucoup Léa.
L.I : Merci à toi Reynald !
Interview d'août 2022