Uriell Semmel
Genres :
Voix Bambin garçon, Voix Bambin fille, Voix Enfant garçon, Voix Enfant fille, Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Aiguë, Medium
Doublage
Formation
De 2020 à aujourd'hui FAC Sorbonne Nouvelle Paris 3
Licence Étude Théâtrale mineure Arts et Médias
2020/2022 BAFA (complet)
2016 Stage de 3eme au théâtre 14
Doublage :
2022 Formation Studio Capital
2021 Formation Rinhocéros
Session avec Julie Elmaleh
Session avec Emmanuel Karsen
Théâtre :
2022 Atelier D'Improvisation Théâtre Pour Tous. Dirigé par Pascal Lifschutz
2021/2022 Stage Soi, l'Espace et l'Autre avec Ian Fénélon
2020/2021 Ecole de Théâtre l'Eponyme
2017 1er Cycle Conservatoire de théâtre de Toulouse
2013/2019 Club d’improvisation
Licence Étude Théâtrale mineure Arts et Médias
2020/2022 BAFA (complet)
2016 Stage de 3eme au théâtre 14
Doublage :
2022 Formation Studio Capital
2021 Formation Rinhocéros
Session avec Julie Elmaleh
Session avec Emmanuel Karsen
Théâtre :
2022 Atelier D'Improvisation Théâtre Pour Tous. Dirigé par Pascal Lifschutz
2021/2022 Stage Soi, l'Espace et l'Autre avec Ian Fénélon
2020/2021 Ecole de Théâtre l'Eponyme
2017 1er Cycle Conservatoire de théâtre de Toulouse
2013/2019 Club d’improvisation
Cinéma
"La vie" réalisé par Octave et Adèle Haumant, dans le rôle de la passante O2
"Game Over" réalisé par Quentin Lak-tak-sun, dans le rôle de la groupie
"Eloquence de rue 2.0" réalisé par Brahan Brahim, dans le rôle de Sonia
"Game Over" réalisé par Quentin Lak-tak-sun, dans le rôle de la groupie
"Eloquence de rue 2.0" réalisé par Brahan Brahim, dans le rôle de Sonia
Théâtre
2024 "Qui veut épouser mon Prince ?" de Célia Leprêtre - mise en scène de Célia Leprêtre & Yerrah, dans le rôle de Juliette. Théo-Théâtre
2023 "Cendrillon 2022" de Claude Cortési - mise en scène de David Labman. ABC Théâtre
2020/2021 "Isolons nous Gustave" de André Mouëzy-Eon, dans le rôle de Germaine
2020/2021 "La puce à l'oreille" de Feydeau, dans le rôle de Raymonde
2020/2021 "La main passe" de Feydeau, dans le rôle de Lapige
2020/2021 "L'effet Domino (une création des élèves de L'Eponyme) mis en scène par Madelaine Mainier et Ian Fénélon, dans les rôles de Germaine, Raymonde et Lapige
2021 "Jacqueline dans Boeing Boeing" de Marc Camolettimis
2019 "Sofia dans Crises" de Lars Noren remanié et mis en scène par Annie Lavedan
2023 "Cendrillon 2022" de Claude Cortési - mise en scène de David Labman. ABC Théâtre
2020/2021 "Isolons nous Gustave" de André Mouëzy-Eon, dans le rôle de Germaine
2020/2021 "La puce à l'oreille" de Feydeau, dans le rôle de Raymonde
2020/2021 "La main passe" de Feydeau, dans le rôle de Lapige
2020/2021 "L'effet Domino (une création des élèves de L'Eponyme) mis en scène par Madelaine Mainier et Ian Fénélon, dans les rôles de Germaine, Raymonde et Lapige
2021 "Jacqueline dans Boeing Boeing" de Marc Camolettimis
2019 "Sofia dans Crises" de Lars Noren remanié et mis en scène par Annie Lavedan
Interview
R.S : Bonjour Uriell.
U.S : Bonjour Reynald.
R.S : Tu es très jeune et tu travailles déjà. Tu as su très tôt que tu souhaitais tenter une carrière artistique ?
U.S : Oui et non, c’est à dire que depuis petite j’ai toujours été attirée par le monde du spectacle, mais au début je ne pensais pas en faire mon métier à proprement parler. C’est à dire que j’ai su très tôt que je n’avais pas envie d’être enfermée dans un petit bureau toute la journée, et plus mes études avançaient plus ma passion grandissait. Mon enfance à la montagne m’a permis de m’exprimer librement, ma créativité et moi avons pu nous épanouir, et j’ai compris que tenter une carrière artistique était de loin ce que je pouvais faire de mieux. Mon imaginaire riche m’a amenée à inventer des histoires et à réaliser divers spectacles de danse, de cirque, de chant, et de magie. J’ai appris les bases de la musique au collège de Marciac avec l’option jazz, puis au lycée j’ai fait le cycle 1 du Conservatoire de théâtre à Toulouse, avant de me projeter plus près des étoiles, vers mon rêve à la capitale. Même si je savais que c’était un chemin difficile, je me devais d’essayer et de donner tout ce que je pouvais car je ne me voyais pas faire autre chose de ma vie !
R.S : Pourquoi as-tu choisi un club d’improvisation avant un cours de comédie ?
U.S : Du fond de ma province rurale, les possibilités étaient rares. En dépit de cela, j’ai pu profiter de l’expérience d’une artiste chevronnée et quelque peu déjantée qui animait ce club d’improvisation. Il a été pour moi un premier pas vers d’autres formations davantage académiques au cours de mes années d’études à Toulouse. Maintenant que je pratique ces deux arts plus intensément, je pense que l’improvisation et la comédie sont deux faces d’une même pièce et que les deux sont nécessaires à la complétude d’un comédien.
R.S : Comment as-tu trouvé ton premier engagement professionnel ?
U.S : J’ai trouvé mon premier contrat grâce à ma persévérance et mon audace. J’allais régulièrement devant les studios de doublage essayer de rencontrer des comédiens et des directeurs artistiques, mais n’ayant aucune expérience ils ne pouvaient pas vraiment m’accorder une confiance aveugle. Jusqu’à un matin, en février, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai interpelé Philippe Blanc. On a discuté, puis il m’a dit : "Es-tu libre mercredi ?". C’est là que tout a commencé, car un contrat en a entraîné un autre, et désormais je suis intermittente. J’en profite d’ailleurs pour remercier chaleureusement Philippe Blanc, qui a été le premier à m’accorder sa confiance.
R.S : Comment as-tu su où tu devais essayer de démarcher ?
U.S : C’est un chemin que je n’ai pas emprunté toute seule, et je remercie Mathilde, sans qui je n’aurait pas su comment m’y prendre. Elle m’a guidé et indiqué les studios devant lesquels je pouvais rencontrer les bonnes personnes. Elle m’a aidée à choisir une formation peu coûteuse pour apprendre les bases avant de me lancer. Et, plus important encore, elle m’a soutenue et encouragée. Aidée par ma grande détermination illustrée par ma phrase culte : "qui ne tente rien n’a rien" et ma passion inébranlable, me voilà aujourd’hui prête à interpréter de nouveaux personnages haut en couleur.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu pensais avant de commencer ton parcours dans ce métier de comédienne ?
U.S : Etant naturellement portée à l’art de la scène je n’avais pas pensé m’orienter vers cette branche du métier. Aussi lorsque j’ai ressenti un plaisir intense après une matinée de découverte dans mon école, j’ai décidé de me jeter à l’eau et de tenter ma chance en démarchant auprès des studios afin de donner corps à ma passion naissante.
R.S : Tu poursuis toujours tes études, comment vois-tu l’avenir ?
U.S : C’est vrai, jusqu’à la rentrée j’étais en fac de théâtre à la Sorbonne, mais cette année j’ai dû faire un choix. J’ai décidé d’arrêter ces études théoriques qui ne me passionnaient pas vraiment, pour me consacrer pleinement à mon avenir de comédienne. Je ne suis pas faite pour les longues études, je suis faite pour la vie active et les risques qu’elle peut apporter. Je vis au présent et j’attends demain avec optimisme et enthousiasme. Dans mon avenir proche je me vois heureuse dans le métier que j’aime pratiquer.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
U.S : Mes loisirs reflètent mes envies et ma passion pour le métier que j’exerce. Joueuse sous tous les angles, je m’amuse autant sur une scène qu’avec un jeu de société ou au cours d’une soirée entre amis. Jeux de rôles, escape game et sorties au théâtre sont mon quotidien. Cinéphile, j’adore regarder des films, séries ou dessins animés, pendant une excursion au cinéma ou sur mon canapé. De temps en temps, je fais de l’escalade pour garder la forme. Je fais aussi un peu de prestidigitation, et je casse les oreilles de mes voisins en poussant la chansonnette.
R.S : Merci beaucoup Uriell.
U.S : Merci à toi, je suis très contente de faire partie de tous les talents qui sont répertoriés sur ton site.
Interview d'octobre 2022
U.S : Bonjour Reynald.
R.S : Tu es très jeune et tu travailles déjà. Tu as su très tôt que tu souhaitais tenter une carrière artistique ?
U.S : Oui et non, c’est à dire que depuis petite j’ai toujours été attirée par le monde du spectacle, mais au début je ne pensais pas en faire mon métier à proprement parler. C’est à dire que j’ai su très tôt que je n’avais pas envie d’être enfermée dans un petit bureau toute la journée, et plus mes études avançaient plus ma passion grandissait. Mon enfance à la montagne m’a permis de m’exprimer librement, ma créativité et moi avons pu nous épanouir, et j’ai compris que tenter une carrière artistique était de loin ce que je pouvais faire de mieux. Mon imaginaire riche m’a amenée à inventer des histoires et à réaliser divers spectacles de danse, de cirque, de chant, et de magie. J’ai appris les bases de la musique au collège de Marciac avec l’option jazz, puis au lycée j’ai fait le cycle 1 du Conservatoire de théâtre à Toulouse, avant de me projeter plus près des étoiles, vers mon rêve à la capitale. Même si je savais que c’était un chemin difficile, je me devais d’essayer et de donner tout ce que je pouvais car je ne me voyais pas faire autre chose de ma vie !
R.S : Pourquoi as-tu choisi un club d’improvisation avant un cours de comédie ?
U.S : Du fond de ma province rurale, les possibilités étaient rares. En dépit de cela, j’ai pu profiter de l’expérience d’une artiste chevronnée et quelque peu déjantée qui animait ce club d’improvisation. Il a été pour moi un premier pas vers d’autres formations davantage académiques au cours de mes années d’études à Toulouse. Maintenant que je pratique ces deux arts plus intensément, je pense que l’improvisation et la comédie sont deux faces d’une même pièce et que les deux sont nécessaires à la complétude d’un comédien.
R.S : Comment as-tu trouvé ton premier engagement professionnel ?
U.S : J’ai trouvé mon premier contrat grâce à ma persévérance et mon audace. J’allais régulièrement devant les studios de doublage essayer de rencontrer des comédiens et des directeurs artistiques, mais n’ayant aucune expérience ils ne pouvaient pas vraiment m’accorder une confiance aveugle. Jusqu’à un matin, en février, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai interpelé Philippe Blanc. On a discuté, puis il m’a dit : "Es-tu libre mercredi ?". C’est là que tout a commencé, car un contrat en a entraîné un autre, et désormais je suis intermittente. J’en profite d’ailleurs pour remercier chaleureusement Philippe Blanc, qui a été le premier à m’accorder sa confiance.
R.S : Comment as-tu su où tu devais essayer de démarcher ?
U.S : C’est un chemin que je n’ai pas emprunté toute seule, et je remercie Mathilde, sans qui je n’aurait pas su comment m’y prendre. Elle m’a guidé et indiqué les studios devant lesquels je pouvais rencontrer les bonnes personnes. Elle m’a aidée à choisir une formation peu coûteuse pour apprendre les bases avant de me lancer. Et, plus important encore, elle m’a soutenue et encouragée. Aidée par ma grande détermination illustrée par ma phrase culte : "qui ne tente rien n’a rien" et ma passion inébranlable, me voilà aujourd’hui prête à interpréter de nouveaux personnages haut en couleur.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu pensais avant de commencer ton parcours dans ce métier de comédienne ?
U.S : Etant naturellement portée à l’art de la scène je n’avais pas pensé m’orienter vers cette branche du métier. Aussi lorsque j’ai ressenti un plaisir intense après une matinée de découverte dans mon école, j’ai décidé de me jeter à l’eau et de tenter ma chance en démarchant auprès des studios afin de donner corps à ma passion naissante.
R.S : Tu poursuis toujours tes études, comment vois-tu l’avenir ?
U.S : C’est vrai, jusqu’à la rentrée j’étais en fac de théâtre à la Sorbonne, mais cette année j’ai dû faire un choix. J’ai décidé d’arrêter ces études théoriques qui ne me passionnaient pas vraiment, pour me consacrer pleinement à mon avenir de comédienne. Je ne suis pas faite pour les longues études, je suis faite pour la vie active et les risques qu’elle peut apporter. Je vis au présent et j’attends demain avec optimisme et enthousiasme. Dans mon avenir proche je me vois heureuse dans le métier que j’aime pratiquer.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
U.S : Mes loisirs reflètent mes envies et ma passion pour le métier que j’exerce. Joueuse sous tous les angles, je m’amuse autant sur une scène qu’avec un jeu de société ou au cours d’une soirée entre amis. Jeux de rôles, escape game et sorties au théâtre sont mon quotidien. Cinéphile, j’adore regarder des films, séries ou dessins animés, pendant une excursion au cinéma ou sur mon canapé. De temps en temps, je fais de l’escalade pour garder la forme. Je fais aussi un peu de prestidigitation, et je casse les oreilles de mes voisins en poussant la chansonnette.
R.S : Merci beaucoup Uriell.
U.S : Merci à toi, je suis très contente de faire partie de tous les talents qui sont répertoriés sur ton site.
Interview d'octobre 2022