Yaëlle Labartino
Genres :
Voix Bambin garçon, Voix Bambin fille, Voix Enfant garçon, Voix Enfant fille, Voix Adolescent garçon, Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Aiguë, Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent américain
Accents :
Anglais
Doublage
Voix
Bande dessinée audio
Peter Pan (Poteline - Loisel - Blynd)
Billboard
Vergers éco-responsables (France Télévision)
E-learning
Learnybox
Publicité
KD Group (Pubs chantés jouets diffusées sur Gulli)
Publicité
Materne Compote (YouTube)
Publicité
Partouche et Peugeot (Radio locale)
Publicité
Saison Sakura - Enjoy My Japan (Office Tourisme Japon)
Voice-over
Mon Incroyable Anniversaire (MTV)
Voice-over
Promposal (MTV)
Voix-off
Clarins
Voix-off
Compozan
Voix-off
Draw my Ams (Alstom - en anglais)
Voix-off
Google
Voix-off
Mondial Tissus (Tutos couture sur leur chaîne YouTube)
Voix-off
Trailer jeux TV diffusés sur Gulli (Warner France)
Formation
Voix-off et doublage 2014 - Présent
Paris - Studio Capitale Enseignement et Rhinocéros Formation avec José Luccioni, Virginie Ledieu, Charlyne Pestel, Gerard Dessalles, Emmanuel Karsen, JM Pannetier, Sara Chambin, Enzo Ratsito, Julie Elmaleh
Lyon - Stage Doublage - Ecole De La Voix avec Nathalie Homs et Karl - Line Heller
Stage Perfectionnement Doublage – Les Escales Buissonnières avec Véronique Picciotto et Brigitte Guedj
Acting
Formation "Jouer pour la caméra" - Les Escales Buissonnières avec Loïc Varraut et David Ferrier
Multiples expériences figuration et théâtre
Paris - Studio Capitale Enseignement et Rhinocéros Formation avec José Luccioni, Virginie Ledieu, Charlyne Pestel, Gerard Dessalles, Emmanuel Karsen, JM Pannetier, Sara Chambin, Enzo Ratsito, Julie Elmaleh
Lyon - Stage Doublage - Ecole De La Voix avec Nathalie Homs et Karl - Line Heller
Stage Perfectionnement Doublage – Les Escales Buissonnières avec Véronique Picciotto et Brigitte Guedj
Acting
Formation "Jouer pour la caméra" - Les Escales Buissonnières avec Loïc Varraut et David Ferrier
Multiples expériences figuration et théâtre
Chant
Chanteuse (timbre Soprano)
Sais rapper et chanter en Anglais
Sais rapper et chanter en Anglais
Langues
Anglais courant
Interview
R.S : Bonjour Yaëlle.
Y.L : Salut Reynald.
R.S : D'où vient que tu parles Anglais couramment ?
Y.L : Je n'étais pas particulièrement douée au collège/lycée alors que la matière me plaisait beaucoup, et quand j'ai vu mes notes dégringoler, surtout à l'oral, j'ai décidé de participer plus en classe, de prendre un cours renforcé et de consommer le plus de produits en VO possible. Après j'ai eu la chance de pouvoir pratiquer car ma meilleure amie est franco-canadienne et ma cousine est mariée à un Américain. C'est important de pouvoir sauter le pas pour le parler ; souvent les gens n'osent pas alors qu'ils maîtrisent la langue. Et c'est un vrai plus pour le métier, où l'on travaille à partir de la VO, très souvent anglophone.
R.S : Tu sais rapper et chanter en anglais. Tu préfères le faire dans cette langue plutôt qu'en français ?
Y.L : Oui (rires), je chante en timbre soprano dans ces 2 langues. J'aurais une préférence pour l'anglais mais mon coach vocal m'a toujours dit de pratiquer aussi en français pour le placement de la langue et la respiration. Le rap me vient grâce à Lin Manuel Miranda (Hamilton) à qui je voue un culte...
R.S : Tu n'as apparement pas suivi de cours d'art dramatique théâtral mais tu as fait une formation "Jouer pour la caméra" ? Pourquoi ce choix particulier et qu'y as-tu appris ?
Y.L : J'ai pourtant fait énormement de théâtre plus jeune mais sans suivre une voie classique, c'est vrai. Récemment, alors que j'ai déjà plus de 8 ans d'expérience en tant que comédienne voix, j'ai voulu essayer de jouer à nouveau avec tout mon être et j'ai adoré. C'est bien sûr complétement différent au niveau du jeu, mais là aussi tout part de soi pour aller vers une situation donnée. Le plus drôle c'est que quand je joue avec mon image je préfère faire passer les émotions sans parler, et donc sans ma voix (rires). C'est toujours plus fort avec le non-verbal à l'image, je trouve.
R.S : Tu te dis spécialisée en voix off et doublage. C'est un choix délibéré de ta part voulu dès que tu as décidé de devenir comédienne ?
Y.L : Oui. Après mon expérience en théâtre plus jeune, je suis entrée dans la vie active et suis devenue animatrice radio où j'ai découvert le métier de comédienne voix off dans les coulisse grâce à l'enregistrement d'une pub. Je me suis formée et suis tombée amoureuse du métier... de la façon d'interpréter un personnage, de sublimer les mots, d'être convaincante, de donner toujours beaucoup en intentions, et en sourire. C'était... évident !
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
Y.L : J'ai été formée. J'avais de bonnes bases de comédie alors j'ai choisi une formation qui apprennait les fondamentaux du doublage : décrypter la bande rythmo et interpréter différents personnages, que ce soit en animé, animation ou live. Ensuite c'est la même marche à suivre : on assiste en studio jusqu'à ce qu'on nous propose un essai, pour être convoquée ensuite pour faire des ambiances et petits rôles, etc. J'ai aussi beaucoup pris de coachings (en groupe ou particulier) pour ne pas perdre la main. C'est important de "bouffer" de la rythmo pour être toujours prêt en cas d'essai avec un DA.
R.S : C'est une discipline à laquelle tu pensais dès le départ de ton parcours ?
Y.L : Après avoir commencé à travailler en tant que voix off, j'ai très vite décidé d'ajouter le doublage à mes capacités de jeu, car ça m'apparaissait très amusant : l'intention "jouer" comme dans les comédies radio était ce que je préférais. Et c'est une technique complètement différente. Comme la voix off diffère du voice-over, qui diffère du doublage, qui différe encore de la BD audio par exemple. C'est si fun de changer de registre comme ça !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
Y.L : J'aime chanter, danser. Ce sont mes exutoires. Tout comme le sport, qui est mon mode de vie. Je fais de la boxe, de la musculation, de la natation et du pole dance. Et je pratique surtout un sport peu connu : le Jugger ! C'est un mélange de touch rugby et d'escrime. Ça se joue à 5 contre 5 et le but est de toucher l'adversaire avec une arme (en mousse) pour l'immobiliser le temps que notre coéquipier qui a la balle puisse aller marquer en face. Notre équipe s'appelle les Mecan'Hydre. C'est très fun et ludique et nous sommes la seule équipe de France, nous en sommes fiers ! (Cocorico). Nous avons participé à la Coupe du Monde en Espagne en juillet cette année. Si vous êtes curieux allez sur nos réseaux : Jugger Paris sur Facebook et @mecanhydre_jugger sur Instagram. Venez essayer et vous aurez l'impression d'être un viking (rires), on s'entraîne le samedi à Vincennes !
R.S : Merci beaucoup Yaëlle.
Y.L : Merci à toi Reynald, pour ce moment et pour ton super travail.
Interview d'octobre 2022
Y.L : Salut Reynald.
R.S : D'où vient que tu parles Anglais couramment ?
Y.L : Je n'étais pas particulièrement douée au collège/lycée alors que la matière me plaisait beaucoup, et quand j'ai vu mes notes dégringoler, surtout à l'oral, j'ai décidé de participer plus en classe, de prendre un cours renforcé et de consommer le plus de produits en VO possible. Après j'ai eu la chance de pouvoir pratiquer car ma meilleure amie est franco-canadienne et ma cousine est mariée à un Américain. C'est important de pouvoir sauter le pas pour le parler ; souvent les gens n'osent pas alors qu'ils maîtrisent la langue. Et c'est un vrai plus pour le métier, où l'on travaille à partir de la VO, très souvent anglophone.
R.S : Tu sais rapper et chanter en anglais. Tu préfères le faire dans cette langue plutôt qu'en français ?
Y.L : Oui (rires), je chante en timbre soprano dans ces 2 langues. J'aurais une préférence pour l'anglais mais mon coach vocal m'a toujours dit de pratiquer aussi en français pour le placement de la langue et la respiration. Le rap me vient grâce à Lin Manuel Miranda (Hamilton) à qui je voue un culte...
R.S : Tu n'as apparement pas suivi de cours d'art dramatique théâtral mais tu as fait une formation "Jouer pour la caméra" ? Pourquoi ce choix particulier et qu'y as-tu appris ?
Y.L : J'ai pourtant fait énormement de théâtre plus jeune mais sans suivre une voie classique, c'est vrai. Récemment, alors que j'ai déjà plus de 8 ans d'expérience en tant que comédienne voix, j'ai voulu essayer de jouer à nouveau avec tout mon être et j'ai adoré. C'est bien sûr complétement différent au niveau du jeu, mais là aussi tout part de soi pour aller vers une situation donnée. Le plus drôle c'est que quand je joue avec mon image je préfère faire passer les émotions sans parler, et donc sans ma voix (rires). C'est toujours plus fort avec le non-verbal à l'image, je trouve.
R.S : Tu te dis spécialisée en voix off et doublage. C'est un choix délibéré de ta part voulu dès que tu as décidé de devenir comédienne ?
Y.L : Oui. Après mon expérience en théâtre plus jeune, je suis entrée dans la vie active et suis devenue animatrice radio où j'ai découvert le métier de comédienne voix off dans les coulisse grâce à l'enregistrement d'une pub. Je me suis formée et suis tombée amoureuse du métier... de la façon d'interpréter un personnage, de sublimer les mots, d'être convaincante, de donner toujours beaucoup en intentions, et en sourire. C'était... évident !
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
Y.L : J'ai été formée. J'avais de bonnes bases de comédie alors j'ai choisi une formation qui apprennait les fondamentaux du doublage : décrypter la bande rythmo et interpréter différents personnages, que ce soit en animé, animation ou live. Ensuite c'est la même marche à suivre : on assiste en studio jusqu'à ce qu'on nous propose un essai, pour être convoquée ensuite pour faire des ambiances et petits rôles, etc. J'ai aussi beaucoup pris de coachings (en groupe ou particulier) pour ne pas perdre la main. C'est important de "bouffer" de la rythmo pour être toujours prêt en cas d'essai avec un DA.
R.S : C'est une discipline à laquelle tu pensais dès le départ de ton parcours ?
Y.L : Après avoir commencé à travailler en tant que voix off, j'ai très vite décidé d'ajouter le doublage à mes capacités de jeu, car ça m'apparaissait très amusant : l'intention "jouer" comme dans les comédies radio était ce que je préférais. Et c'est une technique complètement différente. Comme la voix off diffère du voice-over, qui diffère du doublage, qui différe encore de la BD audio par exemple. C'est si fun de changer de registre comme ça !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
Y.L : J'aime chanter, danser. Ce sont mes exutoires. Tout comme le sport, qui est mon mode de vie. Je fais de la boxe, de la musculation, de la natation et du pole dance. Et je pratique surtout un sport peu connu : le Jugger ! C'est un mélange de touch rugby et d'escrime. Ça se joue à 5 contre 5 et le but est de toucher l'adversaire avec une arme (en mousse) pour l'immobiliser le temps que notre coéquipier qui a la balle puisse aller marquer en face. Notre équipe s'appelle les Mecan'Hydre. C'est très fun et ludique et nous sommes la seule équipe de France, nous en sommes fiers ! (Cocorico). Nous avons participé à la Coupe du Monde en Espagne en juillet cette année. Si vous êtes curieux allez sur nos réseaux : Jugger Paris sur Facebook et @mecanhydre_jugger sur Instagram. Venez essayer et vous aurez l'impression d'être un viking (rires), on s'entraîne le samedi à Vincennes !
R.S : Merci beaucoup Yaëlle.
Y.L : Merci à toi Reynald, pour ce moment et pour ton super travail.
Interview d'octobre 2022