Léana Montana
Genres :
Voix Enfant garçon, Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Allemand, Anglais avec accent non déterminé
Doublage
Formation
2021/2024 Conservatoire d'art dramatique du quinzième arrondissement
2019/2023 Licence d'Arts, de théâtre et de lettres à la Sorbonne-Nouvelle
2015/2019 Conservatoire d'art dramatique à rayonnement régional de Sarreguemines. Passage en troisième cycle avec la mention "Très bien à l'unanimité"
2010/2015 Ecole de théâtre Jacques Ropital à Forbach
2008/2010 Cours de solfège, de chant et de piano au conservatoire de musique de Forbach
2019/2023 Licence d'Arts, de théâtre et de lettres à la Sorbonne-Nouvelle
2015/2019 Conservatoire d'art dramatique à rayonnement régional de Sarreguemines. Passage en troisième cycle avec la mention "Très bien à l'unanimité"
2010/2015 Ecole de théâtre Jacques Ropital à Forbach
2008/2010 Cours de solfège, de chant et de piano au conservatoire de musique de Forbach
Chant
Mezzo - Soprano
Cinéma
2021 "Oranges Sanguines" réalisé par Jean-Christophe Meurisse
Courts métrages
2024 "Alfred au Far-West" écrit et réalisé Florent Chako. Nikon Film Festival
Langues
Français
Allemand (C1)
Anglais (B2)
Allemand (C1)
Anglais (B2)
Moyens métrages
2020 "Comme des Grands" réalisé par Ania Gauer et Julien Gauthier, dans le rôle d'Emma
Théâtre
2019 "Songe d'une nuit d'été" de Shakespeare, dans le rôle d'Helena. Casino des Faïenceries de Sarreguemines
2018 "Le Bourgeois Gentilhomme" de Molière, dans le rôle de Madame Jourdain. Casino des Faïenceries de Sarreguemines
2018 "Le Bourgeois Gentilhomme" de Molière, dans le rôle de Madame Jourdain. Casino des Faïenceries de Sarreguemines
Web-séries
2020 "Skins Party" réalisée par Victor Habchy et Martin Escoffier, dans le rôle de Sofia
Interview
R.S : Bonjour Léana.
L.M : Bonjour Reynald.
R.S : Tu as fait le conservatoire de musique de Forbach. Tu avais donc commencé par envisager une carrière musicale ?
L.M : J'ai commencé effectivement par prendre des cours de solfège et de piano quand j'étais toute petite. J'envisageais pas vraiment de carrière musicale, je voyais ça plus comme une passion extra-scolaire. Mais j'ai fini par arrêter par manque d'intérêt. Je savais pourtant que je voulais faire quelque chose d'artistique mais c'était simplement pas la bonne discipline pour moi.
R.S : Pourquoi as-tu bifurqué vers la comédie ?
L.M : J'étais maladivement timide et réservée étant petite, on m'avait alors suggéré depuis longtemps de faire du théâtre. Du coup, après l'arrêt des cours de musique, l'occasion s'y prêtait. Au début, même si j'étais aussi raide qu'un manche à balais et que je ne comprenais pas ce que je jouais, je sentais cela dit que j'avais trouvé ma voie. Depuis, je n'ai jamais arrêté et c'est devenu un choix de carrière.
R.S : Après ton passage au conservatoire de Sarreguemines tu as entamé un parcours de licence d'arts, de théâtre et de lettres à la Sorbonne avant d'entrer au conservatoie d’art dramatique du quinzième arrondissement. C'était dans l'idée d'avoir un bagage de "sécurité" ?
L.M : Exactement. Je voulais faire ces études parce que c'était riche en enseignement théâtral et littéraire et parce que je trouvais ça important d'avoir ce filet de sécurité. Ça rassurait aussi mes parents qui ne sont pas du tout dans le milieu artistique.
R.S : Comment as-tu commencé dans le doublage ?
L.M : Une amie à moi qui adorait le milieu m'en a un jour parlé. Ça m'a vraiment donné envie aussi, puis comme je faisais du théâtre et que je chantais, je me suis dit que je pouvais aussi essayer, après tout. Alors un jour, sans avoir aucun code de démarchage, j'ai envoyé à un gros studio de doublage un mail avec comme objet "Demande d'embauche". Je ne sais pas par quelle magie, mais ça a marché. J'ai passé alors des essais avec Isabelle Brannens qui testait pile à ce moment-là de nouveaux profils et c'est là que tout a commencé. Elle m'a appelée un mois plus tard pour travailler et j'ai donc commencé à apprendre sur le terrain avec elle.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu pensais déjà lorsque tu as commencé ton trajet d'apprentissage en art dramatique ?
L.M : Pas du tout ! Je connaissais pas du tout le milieu, en tout cas je regardais ça de très loin. J'ai vraiment découvert toute la richesse du métier en m'y penchant dès lors qu'on m'en a parlé.
R.S : Regardes-tu les VF en tant que spectatrice ?
L.M : Durant mon enfance et mon adolescence je n'ai consommé qu'en VF. Puis en grandissant ça s'est nuancé. Pour du live j'aime bien observer à fond les détails sur le travail de l'acteur ou de l'actrice, donc je regarde en VO, tandis que pour l'animation ou le jeu vidéo je regarde ça en VF.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
L.M : J'adore l'escalade, le skate (mais je suis très nulle) et faire des gâteaux.
R.S : Merci beaucoup Léana.
L.M : Merci à toi Reynald:)
Interview de février 2023
L.M : Bonjour Reynald.
R.S : Tu as fait le conservatoire de musique de Forbach. Tu avais donc commencé par envisager une carrière musicale ?
L.M : J'ai commencé effectivement par prendre des cours de solfège et de piano quand j'étais toute petite. J'envisageais pas vraiment de carrière musicale, je voyais ça plus comme une passion extra-scolaire. Mais j'ai fini par arrêter par manque d'intérêt. Je savais pourtant que je voulais faire quelque chose d'artistique mais c'était simplement pas la bonne discipline pour moi.
R.S : Pourquoi as-tu bifurqué vers la comédie ?
L.M : J'étais maladivement timide et réservée étant petite, on m'avait alors suggéré depuis longtemps de faire du théâtre. Du coup, après l'arrêt des cours de musique, l'occasion s'y prêtait. Au début, même si j'étais aussi raide qu'un manche à balais et que je ne comprenais pas ce que je jouais, je sentais cela dit que j'avais trouvé ma voie. Depuis, je n'ai jamais arrêté et c'est devenu un choix de carrière.
R.S : Après ton passage au conservatoire de Sarreguemines tu as entamé un parcours de licence d'arts, de théâtre et de lettres à la Sorbonne avant d'entrer au conservatoie d’art dramatique du quinzième arrondissement. C'était dans l'idée d'avoir un bagage de "sécurité" ?
L.M : Exactement. Je voulais faire ces études parce que c'était riche en enseignement théâtral et littéraire et parce que je trouvais ça important d'avoir ce filet de sécurité. Ça rassurait aussi mes parents qui ne sont pas du tout dans le milieu artistique.
R.S : Comment as-tu commencé dans le doublage ?
L.M : Une amie à moi qui adorait le milieu m'en a un jour parlé. Ça m'a vraiment donné envie aussi, puis comme je faisais du théâtre et que je chantais, je me suis dit que je pouvais aussi essayer, après tout. Alors un jour, sans avoir aucun code de démarchage, j'ai envoyé à un gros studio de doublage un mail avec comme objet "Demande d'embauche". Je ne sais pas par quelle magie, mais ça a marché. J'ai passé alors des essais avec Isabelle Brannens qui testait pile à ce moment-là de nouveaux profils et c'est là que tout a commencé. Elle m'a appelée un mois plus tard pour travailler et j'ai donc commencé à apprendre sur le terrain avec elle.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu pensais déjà lorsque tu as commencé ton trajet d'apprentissage en art dramatique ?
L.M : Pas du tout ! Je connaissais pas du tout le milieu, en tout cas je regardais ça de très loin. J'ai vraiment découvert toute la richesse du métier en m'y penchant dès lors qu'on m'en a parlé.
R.S : Regardes-tu les VF en tant que spectatrice ?
L.M : Durant mon enfance et mon adolescence je n'ai consommé qu'en VF. Puis en grandissant ça s'est nuancé. Pour du live j'aime bien observer à fond les détails sur le travail de l'acteur ou de l'actrice, donc je regarde en VO, tandis que pour l'animation ou le jeu vidéo je regarde ça en VF.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
L.M : J'adore l'escalade, le skate (mais je suis très nulle) et faire des gâteaux.
R.S : Merci beaucoup Léana.
L.M : Merci à toi Reynald:)
Interview de février 2023