Nathan Mansuy
Genres :
Voix Adolescent garçon, Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme, Voix Senior homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Spécificités :
Chant
Doublage
Voix
Documentaire
Skywalkers d'amour et de vertige
Voice-over
Wheeler Dealers : Tournée mondiale (Jonesy)
Formation
2021/2022 Rhinocéros, formation Doublage sous la direction d'Emmanuel Karsen puis Jean-Marc Pannetier
2021 Studio O'Bahamas, formation Voix-off, publicité et doublage
2021 Ecole de théâtre Les Meuliers. Formation d'acteur
2020 Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle. Licence Cinéma Audiovisuel
2016 Lycée Jean de La Fontaine de Château-Thierry. Baccalauréat Littéraire spécialité Musique, option Théâtre, mention assez bien
2021 Studio O'Bahamas, formation Voix-off, publicité et doublage
2021 Ecole de théâtre Les Meuliers. Formation d'acteur
2020 Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle. Licence Cinéma Audiovisuel
2016 Lycée Jean de La Fontaine de Château-Thierry. Baccalauréat Littéraire spécialité Musique, option Théâtre, mention assez bien
Théâtre
2024 "Pinocchio" de Joël Pommerat - mise en scène de Delphine Guihard. Compagnie O fil des saisons. Le vilain garçon
2023 "Fallait être là" spectacle de Kevin Razy. Voix de Gaston de Monnerville
2023 "La Cagnotte" d'Eugène Labiche - mise en scène de Delphine Guihard. Compagnie O fil des saisons. Colladan
2022 "Tiens, un revenant !" de Gérard Affagard - mise en scène de Delphine Guihard. Ecole de théâtre les Meuliers. Tom
2023 "Fallait être là" spectacle de Kevin Razy. Voix de Gaston de Monnerville
2023 "La Cagnotte" d'Eugène Labiche - mise en scène de Delphine Guihard. Compagnie O fil des saisons. Colladan
2022 "Tiens, un revenant !" de Gérard Affagard - mise en scène de Delphine Guihard. Ecole de théâtre les Meuliers. Tom
Interview
R.S : Bonjour Nathan.
N.M : Bien le bonjour Reynald.
R.S : Tu as un bac option théâtre et une licence cinéma. Tu avais déjà le projet de te lancer dans une carrière de comédien ?
N.M : Pas vraiment, c’était un peu flou. D’un côté j’avais envie d’être comédien mais j’avais peur de ne jamais trouver le moyen de vraiment le devenir, alors je me suis tourné vers l’écriture. Je m’étais mis en tête de devenir scénariste, avant de me rendre compte que, si j’aimais écrire, c’était pour pouvoir jouer mes scénarios ensuite. J’ai profité de mes études pour tourner quelques courts-métrages afin de m’entraîner dans tous les domaines.
R.S : Tu as commencé une formation en doublage en même temps qu'une école de théâtre. Le doublage était une discipline à laquelle tu songeais donc déjà ?
N.M : Oui, le doublage m’a toujours passionné. Petit je m’amusais à couper le son des films pour rejouer les dialogues avec les sous-titres. C’est pendant ma dernière année de fac que j’ai vraiment pu découvrir l’univers des plateaux de doublage, grâce à Brigitte Lecordier qui m’a gentiment laissé assister le temps d’une journée. J’ai tout de suite senti au fond de moi que c’était ça que je voulais faire ! Malheureusement le COVID m’a freiné dans ma lancée. Depuis, je me suis tourné vers le doublage tout en me formant au théâtre, les deux étant plutôt complémentaires.
R.S : Il y a des "voix" qui t'ont marqué et t'ont donné envie de travailler toi-même au micro ?
N.M : J’ai été bercé, comme beaucoup, par la voix de Roger Carel qui m’a fortement influencé. Sa façon de moduler, de donner autant de fantaisie à ses personnages, ça m’a toujours fasciné, tout comme le côté badass de Patrick Poivey, l’héroïsme de Richard Darbois, l’espièglerie d’Alexis Tomassian... Je pourrais continuer comme ça longtemps !
R.S : Qu'est-ce qui t'a semblé être une difficulté de cette discipline, si toutefois tu en as eu lorsque tu l'as abordée ?
N.M : Je ne sais pas si c’est une difficulté, mais j’avais (et ça continue parfois) un peu peur de tomber dans l’imitation d’autres comédiens. Bien qu’il m’arrive parfois d’imiter pour le plaisir, je n’ai pas forcément envie que ça ressorte au micro, même si ça peut arriver malgré moi dans la recherche d’une voix pour un personnage...
R.S : Tu y prends le même plaisir qu'à être sur scène ?
N.M : Je dirais que le plaisir est différent. J’aime autant me glisser dans la peau d’un personnage sur scène qu’en doublage, même si le doublage a quelque chose de plus excitant dans la variété de rôles, d’univers. Je peux être amené à jouer un vieillard dans les deux cas mais un raton-laveur ou un gobelin, il n’y a que le doublage qui puisse m’offrir de telles occasions !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
N.M : Je lis énormément de comics et de bandes dessinées, je transmets mes connaissances en audiovisuel aux plus jeunes avec des ateliers, je suis cinéphile et grand joueur de jeux vidéo depuis Tomb Raider III.
R.S : Merci beaucoup Nathan.
N.M : Merci Reynald pour ton travail.
Interview de mars 2024
N.M : Bien le bonjour Reynald.
R.S : Tu as un bac option théâtre et une licence cinéma. Tu avais déjà le projet de te lancer dans une carrière de comédien ?
N.M : Pas vraiment, c’était un peu flou. D’un côté j’avais envie d’être comédien mais j’avais peur de ne jamais trouver le moyen de vraiment le devenir, alors je me suis tourné vers l’écriture. Je m’étais mis en tête de devenir scénariste, avant de me rendre compte que, si j’aimais écrire, c’était pour pouvoir jouer mes scénarios ensuite. J’ai profité de mes études pour tourner quelques courts-métrages afin de m’entraîner dans tous les domaines.
R.S : Tu as commencé une formation en doublage en même temps qu'une école de théâtre. Le doublage était une discipline à laquelle tu songeais donc déjà ?
N.M : Oui, le doublage m’a toujours passionné. Petit je m’amusais à couper le son des films pour rejouer les dialogues avec les sous-titres. C’est pendant ma dernière année de fac que j’ai vraiment pu découvrir l’univers des plateaux de doublage, grâce à Brigitte Lecordier qui m’a gentiment laissé assister le temps d’une journée. J’ai tout de suite senti au fond de moi que c’était ça que je voulais faire ! Malheureusement le COVID m’a freiné dans ma lancée. Depuis, je me suis tourné vers le doublage tout en me formant au théâtre, les deux étant plutôt complémentaires.
R.S : Il y a des "voix" qui t'ont marqué et t'ont donné envie de travailler toi-même au micro ?
N.M : J’ai été bercé, comme beaucoup, par la voix de Roger Carel qui m’a fortement influencé. Sa façon de moduler, de donner autant de fantaisie à ses personnages, ça m’a toujours fasciné, tout comme le côté badass de Patrick Poivey, l’héroïsme de Richard Darbois, l’espièglerie d’Alexis Tomassian... Je pourrais continuer comme ça longtemps !
R.S : Qu'est-ce qui t'a semblé être une difficulté de cette discipline, si toutefois tu en as eu lorsque tu l'as abordée ?
N.M : Je ne sais pas si c’est une difficulté, mais j’avais (et ça continue parfois) un peu peur de tomber dans l’imitation d’autres comédiens. Bien qu’il m’arrive parfois d’imiter pour le plaisir, je n’ai pas forcément envie que ça ressorte au micro, même si ça peut arriver malgré moi dans la recherche d’une voix pour un personnage...
R.S : Tu y prends le même plaisir qu'à être sur scène ?
N.M : Je dirais que le plaisir est différent. J’aime autant me glisser dans la peau d’un personnage sur scène qu’en doublage, même si le doublage a quelque chose de plus excitant dans la variété de rôles, d’univers. Je peux être amené à jouer un vieillard dans les deux cas mais un raton-laveur ou un gobelin, il n’y a que le doublage qui puisse m’offrir de telles occasions !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
N.M : Je lis énormément de comics et de bandes dessinées, je transmets mes connaissances en audiovisuel aux plus jeunes avec des ateliers, je suis cinéphile et grand joueur de jeux vidéo depuis Tomb Raider III.
R.S : Merci beaucoup Nathan.
N.M : Merci Reynald pour ton travail.
Interview de mars 2024