Théo Frilet
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Doublage
Voix
Livre audio
La Grande Vallée (d'Edouard Bureau)
Livre audio
La seule histoire (de Julian Barnes)
Livre audio
Là-haut dansent les étoiles (de Pauline P.)
Livre audio
Les Animaux Fantastiques (de J-K Rowling)
Livre audio
Les Indécis (d'Alex Daunel)
Livre audio
Leur Domaine (de Jo Nesbo)
Livre audio
Une fille, qui danse (de Julian Barnes)
Formation
2005/2008 Cours WRZ - Théâtre avec Jean-Félix Cuny
2003/2005 Cours Florent - avec Lily Zazreva
2001/2003 Cours "Les Mots et Merveilles" - avec Catherine Perrotte
1998/2002 Cours de Théâtre - au Collège Hélène Boucher
2003/2005 Cours Florent - avec Lily Zazreva
2001/2003 Cours "Les Mots et Merveilles" - avec Catherine Perrotte
1998/2002 Cours de Théâtre - au Collège Hélène Boucher
Cinéma
2014 "Deuxième nuage à gauche et tout droit jusqu'au matin" réalisé par Arnaud Sadowski
2008 "Plein sud" réalisé par Sébastien Lifshitz
2007 "Nés en 68" réalisé par Olivier Ducastel & Jacques Martineau. Pré-nommé aux Révélations des César 2009
2007 "Nos 18 ans" réalisé par Frédéric Berthe
2007 "Des poupées et des anges" réalisé par Nora Hamdi
2006 "Ceux qui restent" réalisé par Anne Le Ny
2008 "Plein sud" réalisé par Sébastien Lifshitz
2007 "Nés en 68" réalisé par Olivier Ducastel & Jacques Martineau. Pré-nommé aux Révélations des César 2009
2007 "Nos 18 ans" réalisé par Frédéric Berthe
2007 "Des poupées et des anges" réalisé par Nora Hamdi
2006 "Ceux qui restent" réalisé par Anne Le Ny
Courts-métrages
2014 "Elle" réalisé par Vincent Toujas
2006 "Un week-end à la campagne" réalisé par Matthieu Salmon
2006 "Un week-end à la campagne" réalisé par Matthieu Salmon
Danse
Jazz (bon), Moderne (bon)
Instruments
Guitare (bon)
Langues
Anglais (bilingue)
Motion capture
2018 "Detroit : Become Human" rôle de Connor (uniquement capture de mouvements). Jeu vidéo
Sports
Niveau bon : Equitation - Gymnastique - Judo - Kung Fu - Ski alpin
Télévision
2020/2022 "Le Code" réalisé par Jean-Christophe Delpias
2020 "Les sandales blanches" réalisé par Christian Faure
2018 "Le temps est assassin" réalisé par Claude-Michel Rome
2018 "La révolte des innocents" réalisé par Philippe Niang
2017 "Un mensonge oublié" réalisé par Eric Duret
2017 "Parfum d'Amour" réalisé par Jacques Santamaria
2016 "Cassandre" réalisé par Bruno Garcia
2015 "Meurtres à l'île de Ré" réalisé par François Basset et Jules Maillard
2014 "Versailles" réalisé par Christoph Schrewe, Thomas Vincent
2014 "Candice Renoir" réalisé par Stéphane Malhuret
2013 "Scènes de ménages" réalisé par Karim Adda
2013 "Ceux de 14" réalisé par Olivier Schatzky. Prix de la Révélation Masculine 2014 au Festival de Luchon
2011 "Rouge Brésil" (en anglais) réalisé par Sylvain Archambault
2011 "Saïgon, l'été de nos 20 ans" réalisé par Philippe Venault
2010 "Isabelle disparue" réalisé par Bernard Stora
2010 "Une vie française" réalisé par Jean-Pierre Sinapi
2010 "Quartier Latin" réalisé par Michel Andrieu
2009 "La Marquise des ombres" réalisé par Edouard Niermans
2009 "Des gens qui passent" réalisé par Alain Nahum. Prix de la Révélation au Festival Fiction de la Rochelle. Laurier Révélation 2009 au Club Audiovisuel de Paris
2008 "Guy Môquet, un amour fusillé" réalisé par Philippe Berenger
2007 "Nés en 68" réalisé par O. Ducastel & J. Martineau
2005 "Un jour d'été" réalisé par Franck Guerin
2020 "Les sandales blanches" réalisé par Christian Faure
2018 "Le temps est assassin" réalisé par Claude-Michel Rome
2018 "La révolte des innocents" réalisé par Philippe Niang
2017 "Un mensonge oublié" réalisé par Eric Duret
2017 "Parfum d'Amour" réalisé par Jacques Santamaria
2016 "Cassandre" réalisé par Bruno Garcia
2015 "Meurtres à l'île de Ré" réalisé par François Basset et Jules Maillard
2014 "Versailles" réalisé par Christoph Schrewe, Thomas Vincent
2014 "Candice Renoir" réalisé par Stéphane Malhuret
2013 "Scènes de ménages" réalisé par Karim Adda
2013 "Ceux de 14" réalisé par Olivier Schatzky. Prix de la Révélation Masculine 2014 au Festival de Luchon
2011 "Rouge Brésil" (en anglais) réalisé par Sylvain Archambault
2011 "Saïgon, l'été de nos 20 ans" réalisé par Philippe Venault
2010 "Isabelle disparue" réalisé par Bernard Stora
2010 "Une vie française" réalisé par Jean-Pierre Sinapi
2010 "Quartier Latin" réalisé par Michel Andrieu
2009 "La Marquise des ombres" réalisé par Edouard Niermans
2009 "Des gens qui passent" réalisé par Alain Nahum. Prix de la Révélation au Festival Fiction de la Rochelle. Laurier Révélation 2009 au Club Audiovisuel de Paris
2008 "Guy Môquet, un amour fusillé" réalisé par Philippe Berenger
2007 "Nés en 68" réalisé par O. Ducastel & J. Martineau
2005 "Un jour d'été" réalisé par Franck Guerin
Théâtre
2016 "Les Voisins du Dessus" (L. Fyl) - Jean-Pierre Dravel et Olivier Macé
2009 "La cité sans sommeil" (J. Tardieu) - Laurent Deve
2009 "La cité sans sommeil" (J. Tardieu) - Laurent Deve
Interview
R.S : Bonjour Théo.
T.F : Bonjour Reynald.
R.S : D'où vient que tu es bilingue ?
T.F : Grâce à une belle-mère américaine à domicile, un père bilingue de par sa mère anglaise, et une pratique régulière pour ne pas perdre ce sésame des castings Outre-Manche !
R.S : Comment as-tu commencé ton parcours professionnel ?
T.F : Oh, je séchais les cours d’histoire (ce qui m’a valu une note au bac que je ne citerai pas ici par pudeur) pour manifester contre une loi inique (très très inique)... J’étais sur la place de la République avec mon mégaphone, galvanisé par la juste cause, sans me douter qu’une directrice de casting observait la foule à la recherche d’un jeune rebelle pour Arte. Je la remercie encore aujourd’hui pour m’avoir offert mon premier rôle. Pour le reste, ce sont les rencontres, toujours les rencontres !
R.S : Tu as joué dans les deux langues. Cela fait-il pour toi une différence ?
T.F : Petite préférence pour le français, cette langue riche et fine, ma langue maternelle. En anglais, le cerveau a toujours un peu de retard sur les répliques. Ça demande plus de travail et de concentration. Par contre c’est une langue expressive, dont les mots ressemblent à des onomatopées tellement ils sont proches de leur sens. Elle chante de tous ses accents toniques, c’est une vraie langue de jeu.
R.S : Les prix que tu as reçus ont-ils eu un impact sur les propositions qu'on t'a faites par la suite ?
T.F : Difficile à jauger. Les prix récompensent le passé mais ne sont pas des promesses d’avenir. Le projecteur s’allume le temps de la fête, s’éteint pendant un an, puis se rallume pour un autre. Entre-temps je n’ai pas noté un nombre mémorable de coups de fil. Mais qui sait, les arcanes de ce métier sont bien mystérieuses.
R.S : Comment es-tu arrivé au doublage ?
T.F : En 2012, par le biais d’un tournage en anglais que j’ai doublé en studio. La directrice de plateau m’a proposé mon premier rôle quelque temps après. Jamie Bell dans The Snowpiercer. J’étais ravi de débuter le doublage avec un de mes acteurs modèles.
R.S : Etait-ce une discipline que tu envisageais lorsque tu as décidé de devenir comédien ?
T.F : Non, non, non, ça me faisait beaucoup trop peur. Franchement, c’est une des disciplines les plus difficiles du métier. Arriver sur un plateau sans savoir ce qu’on va jouer, devoir coller aux émotions et aux labiales d’un inconnu, un oeil en haut sur l’acteur, un oeil en bas sur la bande qui défile... c’est un feu d’artifice cérébral.
R.S : Tu as une expérience assez complète : scène, caméra, micro... Y a-t-il un "lieu" de comédie qui a ta préférence ?
T.F : J’aime dans ce métier, plus que tout, la variété. Le doublage dans la peau d’un autre ; le livre-audio ce long fleuve intranquille ; la motion capture où l’imaginaire remplit le plateau nu ; le tournage, ce coeur battant du 7ème art ; la scène le trac (!)... Tous ces arts se répondent et se complètent.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
T.F : Chant, arts martiaux, yoga et danse irlandaise. Pas facile de caser cette dernière dans le boulot mais… C’est justement le propre du loisir ! J’ai aussi réalisé un court-métrage et re-réaliserai un jour.
R.S : Merci beaucoup Théo.
T.F : Merci Reynald et merci à vous d’avoir lu cette interview jusqu’au bout !
Interview de mars 2023
T.F : Bonjour Reynald.
R.S : D'où vient que tu es bilingue ?
T.F : Grâce à une belle-mère américaine à domicile, un père bilingue de par sa mère anglaise, et une pratique régulière pour ne pas perdre ce sésame des castings Outre-Manche !
R.S : Comment as-tu commencé ton parcours professionnel ?
T.F : Oh, je séchais les cours d’histoire (ce qui m’a valu une note au bac que je ne citerai pas ici par pudeur) pour manifester contre une loi inique (très très inique)... J’étais sur la place de la République avec mon mégaphone, galvanisé par la juste cause, sans me douter qu’une directrice de casting observait la foule à la recherche d’un jeune rebelle pour Arte. Je la remercie encore aujourd’hui pour m’avoir offert mon premier rôle. Pour le reste, ce sont les rencontres, toujours les rencontres !
R.S : Tu as joué dans les deux langues. Cela fait-il pour toi une différence ?
T.F : Petite préférence pour le français, cette langue riche et fine, ma langue maternelle. En anglais, le cerveau a toujours un peu de retard sur les répliques. Ça demande plus de travail et de concentration. Par contre c’est une langue expressive, dont les mots ressemblent à des onomatopées tellement ils sont proches de leur sens. Elle chante de tous ses accents toniques, c’est une vraie langue de jeu.
R.S : Les prix que tu as reçus ont-ils eu un impact sur les propositions qu'on t'a faites par la suite ?
T.F : Difficile à jauger. Les prix récompensent le passé mais ne sont pas des promesses d’avenir. Le projecteur s’allume le temps de la fête, s’éteint pendant un an, puis se rallume pour un autre. Entre-temps je n’ai pas noté un nombre mémorable de coups de fil. Mais qui sait, les arcanes de ce métier sont bien mystérieuses.
R.S : Comment es-tu arrivé au doublage ?
T.F : En 2012, par le biais d’un tournage en anglais que j’ai doublé en studio. La directrice de plateau m’a proposé mon premier rôle quelque temps après. Jamie Bell dans The Snowpiercer. J’étais ravi de débuter le doublage avec un de mes acteurs modèles.
R.S : Etait-ce une discipline que tu envisageais lorsque tu as décidé de devenir comédien ?
T.F : Non, non, non, ça me faisait beaucoup trop peur. Franchement, c’est une des disciplines les plus difficiles du métier. Arriver sur un plateau sans savoir ce qu’on va jouer, devoir coller aux émotions et aux labiales d’un inconnu, un oeil en haut sur l’acteur, un oeil en bas sur la bande qui défile... c’est un feu d’artifice cérébral.
R.S : Tu as une expérience assez complète : scène, caméra, micro... Y a-t-il un "lieu" de comédie qui a ta préférence ?
T.F : J’aime dans ce métier, plus que tout, la variété. Le doublage dans la peau d’un autre ; le livre-audio ce long fleuve intranquille ; la motion capture où l’imaginaire remplit le plateau nu ; le tournage, ce coeur battant du 7ème art ; la scène le trac (!)... Tous ces arts se répondent et se complètent.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
T.F : Chant, arts martiaux, yoga et danse irlandaise. Pas facile de caser cette dernière dans le boulot mais… C’est justement le propre du loisir ! J’ai aussi réalisé un court-métrage et re-réaliserai un jour.
R.S : Merci beaucoup Théo.
T.F : Merci Reynald et merci à vous d’avoir lu cette interview jusqu’au bout !
Interview de mars 2023