Kylian Trouillard
Genres :
Voix Adolescent garçon, Voix Jeune adulte homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé, Espagnol
Doublage
Michaelangelo
animation
2024/....
Formation
2022 Baccalauréat spécialités maths / Physique mention assez bien
2022/2023 Conservatoire cycle jazz professionnel
2022/2023 Conservatoire cycle jazz professionnel
Langues
Anglais niveau B2
Espagnol niveau A2
Espagnol niveau A2
Musique
Bassiste
Sports
Depuis 2022 MMA
Depuis 2008 Judo
3 ans de saut à la perche
5 ans de parhour / Free running
4 ans de rugby
3 ans de boxe thaï
Depuis 2008 Judo
3 ans de saut à la perche
5 ans de parhour / Free running
4 ans de rugby
3 ans de boxe thaï
Stages
2019 Cabinet juridique
2017 Cascade / Combat scénique
2017 Cascade / Combat scénique
Télévision
2017 "Camping Paradis" réalisé par Stéphane Kopecky, dans le rôle de Nathan
2015 "Section zéro" réalisé par Olivier Marchal, dans le rôle de Théo Becker
2015 "Camping paradis" réalisé par Stéphane Franchet, dans le rôle de Lucas
2015 "Section zéro" réalisé par Olivier Marchal, dans le rôle de Théo Becker
2015 "Camping paradis" réalisé par Stéphane Franchet, dans le rôle de Lucas
Interview
R.S : Bonjour Kylian.
K.T : Bonjour Reynald, et bonjour à tous.
R.S : Quel a été ton premier doublage ?
K.T : J’ai fait mon premier doublage à l’âge de 4 ans en 2008 avec Danielle Perret sur le film Pride and glory. J’ai travaillé en 2009 ensuite avec Jean-Pierre Dorat sur Marley and me, avec Phillipe Carbonnier sur les films Teza et Fanaa, avec Michel Derain sur “It’s Complicated, mais le seul doublage dont je me souvienne réellement dans mes débuts est Nanny McPhee et le Big-Bang avec Béatrice Delfe.
R.S : Qu’est-ce qui t’a donné envie de continuer ?
K.T : Le doublage est un exercice qui m’a toujours beaucoup amusé, je prends toujours beaucoup de plaisir à en faire. Cela dit, quand j’étais petit, ça me prenait pas mal de temps et j’ai loupé quelques fêtes d’anniversaire de mes amis, ce qui m’a fait envisager d'arrêter vers mes 9 ans. Mais mes parents sentaient que c’était juste une crise enfantine passagère (ils avaient raison...), ils ne m’ont pas laissé arrêter et aujourd’hui je leur en suis très reconnaissant.
R.S : Tu n'envisages pas de faire une formation en art dramatique ?
K.T : Pour l’instant ce n’est pas dans mes projets mais il ne faut jamais dire jamais ! Je reste ouvert aux opportunités qui peuvent se présenter pour mon futur.
R.S : Pourquoi as-tu choisi de faire deux années en conservatoire cycle jazz professionnel ?
K.T : J’ai commencé la musique peu avant 2020 avec mes amis en formant un groupe de punk rock. J’étais alors complètement novice en musique, je n’avais jamais joué d’un instrument. Puis j’ai rencontré d’autres amis qui m’ont dit “Kylian, si t’aimes autant la basse, tu veux pas devenir bassiste ?”. Cette phrase a résonné en moi et j’ai alors rencontré le musicien Vincent Ségal qui m’a conseillé d’aller me former en jazz en conservatoire car c’était, selon lui, la meilleure manière de se former de manière polyvalente.
R.S : Et pourquoi as-tu choisi de faire un stage en cabinet juridique ?
K.T : Lors de mes années de collège, j’idéalisais le métier d’avocat et je voulais faire une carrière professionnelle dans le droit. Mon stage m’a permis de comprendre que ce n’était pas fait pour moi du tout finalement.
R.S : Tu avais une raison particulière de choisir un baccalauréat maths/physique ?
K.T : Avant de vouloir être musicien, je m’orientais vers une carrière de kiné ou de médecin du sport, d’où ce choix de spécialités pour mon bac.
R.S : Le sport prend apparemment une place importante dans ta vie ?
K.T : Je suis quelqu’un de très sportif. Ça m’aide à me canaliser, j’ai beaucoup d’énergie, et plus je fais du sport plus je suis énergique et dynamique. Le sport m’aide à faire de mon quotidien un cercle vertueux et ça booste ma motivation.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
K.T : Je pratique des sports de combat, je lis des livres et je sors avec mes amis pour faire des billards assez souvent. En ajoutant le doublage et la musique avec ça, ça me fait une vie bien remplie.
R.S : Merci beaucoup Kylian.
K.T : Merci à toi Reynald et merci à tous ceux qui ont lu jusqu’ici.
Interview de mars 2023
K.T : Bonjour Reynald, et bonjour à tous.
R.S : Quel a été ton premier doublage ?
K.T : J’ai fait mon premier doublage à l’âge de 4 ans en 2008 avec Danielle Perret sur le film Pride and glory. J’ai travaillé en 2009 ensuite avec Jean-Pierre Dorat sur Marley and me, avec Phillipe Carbonnier sur les films Teza et Fanaa, avec Michel Derain sur “It’s Complicated, mais le seul doublage dont je me souvienne réellement dans mes débuts est Nanny McPhee et le Big-Bang avec Béatrice Delfe.
R.S : Qu’est-ce qui t’a donné envie de continuer ?
K.T : Le doublage est un exercice qui m’a toujours beaucoup amusé, je prends toujours beaucoup de plaisir à en faire. Cela dit, quand j’étais petit, ça me prenait pas mal de temps et j’ai loupé quelques fêtes d’anniversaire de mes amis, ce qui m’a fait envisager d'arrêter vers mes 9 ans. Mais mes parents sentaient que c’était juste une crise enfantine passagère (ils avaient raison...), ils ne m’ont pas laissé arrêter et aujourd’hui je leur en suis très reconnaissant.
R.S : Tu n'envisages pas de faire une formation en art dramatique ?
K.T : Pour l’instant ce n’est pas dans mes projets mais il ne faut jamais dire jamais ! Je reste ouvert aux opportunités qui peuvent se présenter pour mon futur.
R.S : Pourquoi as-tu choisi de faire deux années en conservatoire cycle jazz professionnel ?
K.T : J’ai commencé la musique peu avant 2020 avec mes amis en formant un groupe de punk rock. J’étais alors complètement novice en musique, je n’avais jamais joué d’un instrument. Puis j’ai rencontré d’autres amis qui m’ont dit “Kylian, si t’aimes autant la basse, tu veux pas devenir bassiste ?”. Cette phrase a résonné en moi et j’ai alors rencontré le musicien Vincent Ségal qui m’a conseillé d’aller me former en jazz en conservatoire car c’était, selon lui, la meilleure manière de se former de manière polyvalente.
R.S : Et pourquoi as-tu choisi de faire un stage en cabinet juridique ?
K.T : Lors de mes années de collège, j’idéalisais le métier d’avocat et je voulais faire une carrière professionnelle dans le droit. Mon stage m’a permis de comprendre que ce n’était pas fait pour moi du tout finalement.
R.S : Tu avais une raison particulière de choisir un baccalauréat maths/physique ?
K.T : Avant de vouloir être musicien, je m’orientais vers une carrière de kiné ou de médecin du sport, d’où ce choix de spécialités pour mon bac.
R.S : Le sport prend apparemment une place importante dans ta vie ?
K.T : Je suis quelqu’un de très sportif. Ça m’aide à me canaliser, j’ai beaucoup d’énergie, et plus je fais du sport plus je suis énergique et dynamique. Le sport m’aide à faire de mon quotidien un cercle vertueux et ça booste ma motivation.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
K.T : Je pratique des sports de combat, je lis des livres et je sors avec mes amis pour faire des billards assez souvent. En ajoutant le doublage et la musique avec ça, ça me fait une vie bien remplie.
R.S : Merci beaucoup Kylian.
K.T : Merci à toi Reynald et merci à tous ceux qui ont lu jusqu’ici.
Interview de mars 2023