Jonathan Potey
Genres :
Voix Adolescent garçon, Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Accents :
Anglais
Doublage
Formation
2023 Formation doublage animation chez Cie Vagabon, Le Magasin avec Mark Lesser et Constantin Pappas
2022 Formation doublage chez Cie Vagabon, Le Magasin avec Vincent Violette, Thomas Charlet, Jonathan Dos Santos, Mark Lesser et Constantin Pappas
2017/2018 Paris Straeon workshop avec Jock MacDonald
2012 Fin de formation Théâtrale Pluridisciplinaire - Ecole de théâtre L'Eponyme - Paris
2010 Baccalauréat littéraire option théâtre et cinéma- Lycée Marie Curie à Vire
Cours de Théâtre (depuis l'âge de huit ans)
Saxophone (depuis l'âge de douze ans)
2022 Formation doublage chez Cie Vagabon, Le Magasin avec Vincent Violette, Thomas Charlet, Jonathan Dos Santos, Mark Lesser et Constantin Pappas
2017/2018 Paris Straeon workshop avec Jock MacDonald
2012 Fin de formation Théâtrale Pluridisciplinaire - Ecole de théâtre L'Eponyme - Paris
2010 Baccalauréat littéraire option théâtre et cinéma- Lycée Marie Curie à Vire
Cours de Théâtre (depuis l'âge de huit ans)
Saxophone (depuis l'âge de douze ans)
Clips
2019 "Liberté" interprête Frank Michael, dans le rôle de l'homme du jeune couple
2018 "Eh Papa" pour M'Passi, réalisé par Farid Ismaïl, dans le rôle du futur père
2018 "Eh Papa" pour M'Passi, réalisé par Farid Ismaïl, dans le rôle du futur père
Courts métrages
2018 "Les plaques" réalisé par Patrice Guillain, dans le rôle du résistant
2017 "Resident evil : hallway" réalisé par Jonas Chomé, dans le rôle du scientifique
2016 "Le Prix d'une vie" réalisé par Jessy Lorre, dans le rôle de Max
2017 "Resident evil : hallway" réalisé par Jonas Chomé, dans le rôle du scientifique
2016 "Le Prix d'une vie" réalisé par Jessy Lorre, dans le rôle de Max
Théâtre
2019/2022 "Vous serez comme des dieux Amour" mise en scène de Marie Lusignol, dans le rôle du docteur Weber. Paris, Lyon et Angers en 2019, Nantes en 2022
2018/2019 "Amour d'Esther" mise en scène d'Alexandre Stajic, dans le rôle du Roi Assuérus. Paris
2017/2018 "Meutres a Domicile" mise en scène de Fabien Richard, rôles multiples. Picardie
2017 "Des souris et des hommes" mise en scène de Robin Evereart, dans le rôle de Carlson. Ile de France
2017 "Le Barbier de Seville" mise en scène d'Alexandre Stajic, dans le rôle du Comte Almaviva. Villiers Sur Marne
2015/2017 "Le portrait de Dorian Gray" mise en scène de Jean Baptiste Sieuw, dans le rôle de Dorian Gray. Paris de 2015 à 2017, Avignon en 2016
2015/2016 "L'importance d'être constant" mise en scène de Jean Baptiste Sieuw, dans les rôles de Merriman et Mr. Grisby. Paris
2014/2015 "Paradoxe(s)" mise en scène de Thomas Carré et Emelyne Aelig, dans le rôle d'Ovide Ledaim. Elancourt et Paris
2014 "Tous à la morgue" adaptation et mise en scène de Thomas Carré, dans le rôle de Grégoire Grimault. Paris
2014 "Clown Circuit" mise en scène d'Eliane Le Van Kiem, dans le rôle de Julius. Bondy
2013 "Clown Circuit" mise en scène d'Eliane Le Van Kiem, dans le rôle du mécano. Châtillon
2013 "T'entends ce que je vois" mise en d'Eliane Le Van Kiem, dans le rôle de Claude. Rosny-Sous-Bois
2013 "Le poulet pas banal à la banane" mise en scène d'Eliane Le Van Kiem, dans le rôle du régisseur plateau. Paris
2018/2019 "Amour d'Esther" mise en scène d'Alexandre Stajic, dans le rôle du Roi Assuérus. Paris
2017/2018 "Meutres a Domicile" mise en scène de Fabien Richard, rôles multiples. Picardie
2017 "Des souris et des hommes" mise en scène de Robin Evereart, dans le rôle de Carlson. Ile de France
2017 "Le Barbier de Seville" mise en scène d'Alexandre Stajic, dans le rôle du Comte Almaviva. Villiers Sur Marne
2015/2017 "Le portrait de Dorian Gray" mise en scène de Jean Baptiste Sieuw, dans le rôle de Dorian Gray. Paris de 2015 à 2017, Avignon en 2016
2015/2016 "L'importance d'être constant" mise en scène de Jean Baptiste Sieuw, dans les rôles de Merriman et Mr. Grisby. Paris
2014/2015 "Paradoxe(s)" mise en scène de Thomas Carré et Emelyne Aelig, dans le rôle d'Ovide Ledaim. Elancourt et Paris
2014 "Tous à la morgue" adaptation et mise en scène de Thomas Carré, dans le rôle de Grégoire Grimault. Paris
2014 "Clown Circuit" mise en scène d'Eliane Le Van Kiem, dans le rôle de Julius. Bondy
2013 "Clown Circuit" mise en scène d'Eliane Le Van Kiem, dans le rôle du mécano. Châtillon
2013 "T'entends ce que je vois" mise en d'Eliane Le Van Kiem, dans le rôle de Claude. Rosny-Sous-Bois
2013 "Le poulet pas banal à la banane" mise en scène d'Eliane Le Van Kiem, dans le rôle du régisseur plateau. Paris
Interview
R.S : Bonjour Jonathan.
J.P : Bonjour Reynald.
R.S : Tu suis des cours de théâtre depuis l'âge de 8 ans. Tu avais déjà dans l'idée de devenir comédien ?
J.P : Pas au début. J'ai découvert ça avec la compagnie "Les Embruns" : la compagnie de théâtre locale qui s'occupait des spectacles de fin d'année de mon école primaire entre autres choses. J'ai donc commencé comme ça avec eux, puis j'ai participé à leurs cours périscolaires. C'est Vincent Reverte qui a su me transmettre sa passion et l'envie d'en faire mon métier. J'ai même eu la chance de faire mon stage de troisième à ses côtés. C'était génial. Et, en répondant à ta question, je me rend compte que trois des personnes les plus importantes dans mon évolution de comédien portent le prénom de Vincent. Vincent Reverte dont nous venons de parler, Vincent Garanger que j'ai eu la chance immense d'avoir comme intervenant en option théâtre lors de mon année de terminale, et Vincent Violette avec qui j'ai eu la chance de très vite sympathiser.
R.S : Qu'est-ce que le Paris Straeon workshop ?
J.P : Résumer la pensée de l'école en quelques lignes de ma part va forcément tronquer ce qu'est réellement la "méthode Straeon". Mais je vais faire de mon mieux. Les Paris Straeon workshop sont des stages organisé par l'école "Straeon" à Paris (les cours à l'année se situent à Montréal). De mémoire straeon veut dire scène en gaélique. C'est une école / méthode basée sur le fait de jouer "le coeur" de la scène. De jouer "l'histoire" des personnages et non pas "l'intrigue". Ce que nous disait Jock (le coach que j'ai eu et qui est co-fondateur de l'école) c'est que "chaque scène est une scène d'amour". Alors au départ on est plutôt sceptique mais en travaillant le sujet et en réfléchissant à ce que signifie le mot amour et où il se trouve dans la scène pour les différents personnages, ça offre des angles de lecture et de compréhension assez justes et intéressants. Et en plus de ça, on travaille sur le laisser-aller le plus possible dans les émotions, chercher à ne rien anticiper et ne rien contrôler quand on joue. Laisser le contrôle au personnage car il sait mieux que nous ce qui va être juste. Je pourrais parler des heures de ce sujet et débatre autour des différentes notions et mécanismes que ça implique, mais le format interview sur ma page de présentation n'est peut être pas le meilleur pour ce faire hélas. ^^
R.S : Tu fais aussi du saxophone depuis l'âge de 12 ans. As-tu eu l'occasion d'utiliser cette compétence dans un cadre professionnel ?
J.P : À mes débuts surtout. Pour deux ou trois spectacles de rue interactifs mais pas plus. Je n'ai pas le niveau ni la prétention de pouvoir faire ça. Je sais jouer du saxophone mais je ne suis pas saxophoniste.
R.S : Envisageais-tu le doublage lorsque tu as débuté ton parcours professionnel ?
J.P : Oui. Déjà petit je m'éclatais à faire les répliques de mes films préféré en même temps que je les regardais en VHS. Mais assez discrètement car je voulais pas forcément me faire remarquer par mes parents ou mon frère. Je suis très pudique. Mais avant de me lancer dans cette branche du métier, je voulais déjà être sûr d'être un comédien.
R.S : Qu'est-ce qui t'a semblé en être une difficulté, si toutefois tu en as eu lorsque tu as abordé cette discipline ?
J.P : Comme tout le monde ou presque, je me focalisais trop sur cette foutue rythmo. Et un jour j'ai compris que au final la rythmo "on s'en fout". Comme le disent certains : "Si t'as l'humeur, t'as la longueur" et dieu que c'est vrai. Au final je l'aime cette foutue rythmo. Je trouve même qu'elle facilite grandement le jeu.
R.S : As-tu le sentiment d'apprendre quelque chose en tant que comédien lorsque tu fais du doublage ?
J.P : Evidemment. Peut-être pas à chaque séance mais oui, ça nourrit. Au moins de façon inconsciente. On apprend beaucoup en regardant comment la personne que l'on double joue ce qu'elle joue et nous force à la suivre dans cette direction que l'on n'aurait peut être pas prise instinctivement. Et l'on apprend aussi beaucoup en regardant comment nos camarades à la bar travaillent. C'est fascinant et grisant.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
J.P : Je suis un gars assez banal. J'aime lire, regarder des films (surtout le cinéma bis), regarder des séries, jouer à des jeux vidéo, passer du temps avec des amis, etc.
R.S : Merci beaucoup Jonathan.
Interview de mai 2023
J.P : Bonjour Reynald.
R.S : Tu suis des cours de théâtre depuis l'âge de 8 ans. Tu avais déjà dans l'idée de devenir comédien ?
J.P : Pas au début. J'ai découvert ça avec la compagnie "Les Embruns" : la compagnie de théâtre locale qui s'occupait des spectacles de fin d'année de mon école primaire entre autres choses. J'ai donc commencé comme ça avec eux, puis j'ai participé à leurs cours périscolaires. C'est Vincent Reverte qui a su me transmettre sa passion et l'envie d'en faire mon métier. J'ai même eu la chance de faire mon stage de troisième à ses côtés. C'était génial. Et, en répondant à ta question, je me rend compte que trois des personnes les plus importantes dans mon évolution de comédien portent le prénom de Vincent. Vincent Reverte dont nous venons de parler, Vincent Garanger que j'ai eu la chance immense d'avoir comme intervenant en option théâtre lors de mon année de terminale, et Vincent Violette avec qui j'ai eu la chance de très vite sympathiser.
R.S : Qu'est-ce que le Paris Straeon workshop ?
J.P : Résumer la pensée de l'école en quelques lignes de ma part va forcément tronquer ce qu'est réellement la "méthode Straeon". Mais je vais faire de mon mieux. Les Paris Straeon workshop sont des stages organisé par l'école "Straeon" à Paris (les cours à l'année se situent à Montréal). De mémoire straeon veut dire scène en gaélique. C'est une école / méthode basée sur le fait de jouer "le coeur" de la scène. De jouer "l'histoire" des personnages et non pas "l'intrigue". Ce que nous disait Jock (le coach que j'ai eu et qui est co-fondateur de l'école) c'est que "chaque scène est une scène d'amour". Alors au départ on est plutôt sceptique mais en travaillant le sujet et en réfléchissant à ce que signifie le mot amour et où il se trouve dans la scène pour les différents personnages, ça offre des angles de lecture et de compréhension assez justes et intéressants. Et en plus de ça, on travaille sur le laisser-aller le plus possible dans les émotions, chercher à ne rien anticiper et ne rien contrôler quand on joue. Laisser le contrôle au personnage car il sait mieux que nous ce qui va être juste. Je pourrais parler des heures de ce sujet et débatre autour des différentes notions et mécanismes que ça implique, mais le format interview sur ma page de présentation n'est peut être pas le meilleur pour ce faire hélas. ^^
R.S : Tu fais aussi du saxophone depuis l'âge de 12 ans. As-tu eu l'occasion d'utiliser cette compétence dans un cadre professionnel ?
J.P : À mes débuts surtout. Pour deux ou trois spectacles de rue interactifs mais pas plus. Je n'ai pas le niveau ni la prétention de pouvoir faire ça. Je sais jouer du saxophone mais je ne suis pas saxophoniste.
R.S : Envisageais-tu le doublage lorsque tu as débuté ton parcours professionnel ?
J.P : Oui. Déjà petit je m'éclatais à faire les répliques de mes films préféré en même temps que je les regardais en VHS. Mais assez discrètement car je voulais pas forcément me faire remarquer par mes parents ou mon frère. Je suis très pudique. Mais avant de me lancer dans cette branche du métier, je voulais déjà être sûr d'être un comédien.
R.S : Qu'est-ce qui t'a semblé en être une difficulté, si toutefois tu en as eu lorsque tu as abordé cette discipline ?
J.P : Comme tout le monde ou presque, je me focalisais trop sur cette foutue rythmo. Et un jour j'ai compris que au final la rythmo "on s'en fout". Comme le disent certains : "Si t'as l'humeur, t'as la longueur" et dieu que c'est vrai. Au final je l'aime cette foutue rythmo. Je trouve même qu'elle facilite grandement le jeu.
R.S : As-tu le sentiment d'apprendre quelque chose en tant que comédien lorsque tu fais du doublage ?
J.P : Evidemment. Peut-être pas à chaque séance mais oui, ça nourrit. Au moins de façon inconsciente. On apprend beaucoup en regardant comment la personne que l'on double joue ce qu'elle joue et nous force à la suivre dans cette direction que l'on n'aurait peut être pas prise instinctivement. Et l'on apprend aussi beaucoup en regardant comment nos camarades à la bar travaillent. C'est fascinant et grisant.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
J.P : Je suis un gars assez banal. J'aime lire, regarder des films (surtout le cinéma bis), regarder des séries, jouer à des jeux vidéo, passer du temps avec des amis, etc.
R.S : Merci beaucoup Jonathan.
Interview de mai 2023