Victoire Charval
Genres :
Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Doublage
Formation
2022 Tytan Perfectionnement doublage
2020 Le Magasin. Formation de doublage avec Micky Sebastian, Mark Lesser, Céline Monsarrat & Barbara Delsol
2009/2013 Formation de comédienne Les Enfants Terribles
2001/2004 Cours de théâtre à l’amicale des anciens élèves du collège André Malraux
2020 Le Magasin. Formation de doublage avec Micky Sebastian, Mark Lesser, Céline Monsarrat & Barbara Delsol
2009/2013 Formation de comédienne Les Enfants Terribles
2001/2004 Cours de théâtre à l’amicale des anciens élèves du collège André Malraux
Danse
Pratique du modern jazz pendant 12 ans
Langues
Anglais - très bon niveau
Sports
Ski, équitation
Théâtre
2021/2023 "La Raclette" de Thibaut Marchand & Léah Marciano - mise en scène de Léah Marciano
2021/2023 "Le Coup de la Panne" de Thibaut Marchand. M.e.s Léah Marciano.
2019/2020 "La Raclette" de Léah Marciano & Thibaut Marchand - mise en scène de Léah Marciano
2019/2020 "Un Macchabée dans la Baignoire" de Thibaut Marchand - mise en scène de Léah Marciano
2017/2018 "Polar" adaptation d’une bd de Henrik Lange - mise en scène de Marc Riso
2017/2018 "Décibels" de Julien Portugais & Hugo Van Hemelryck - mise en scène d'Hugo Van Hemelryck
2013 "Laisse venir l'Imprudence" Adaptation d'Hamlet de W. Shakespeare - mise en scène de David Ayala
2013 "Bouff'" adaptation textes de Michel de Ghelderode - mise en scène de Flavie Avargues
2021/2023 "Le Coup de la Panne" de Thibaut Marchand. M.e.s Léah Marciano.
2019/2020 "La Raclette" de Léah Marciano & Thibaut Marchand - mise en scène de Léah Marciano
2019/2020 "Un Macchabée dans la Baignoire" de Thibaut Marchand - mise en scène de Léah Marciano
2017/2018 "Polar" adaptation d’une bd de Henrik Lange - mise en scène de Marc Riso
2017/2018 "Décibels" de Julien Portugais & Hugo Van Hemelryck - mise en scène d'Hugo Van Hemelryck
2013 "Laisse venir l'Imprudence" Adaptation d'Hamlet de W. Shakespeare - mise en scène de David Ayala
2013 "Bouff'" adaptation textes de Michel de Ghelderode - mise en scène de Flavie Avargues
Interview
R.S : Bonjour Victoire.
V.C : Bonjour Reynald.
R.S : D'où vient que tu as un très bon niveau d'anglais ?
V.C : Ma curiosité ! J'ai grandi dans une famille qui écoute énormément de musique et j'ai entendu beaucoup d'anglais très tôt. J'ai vite voulu comprendre cette langue "qu'on parle dans le monde entier". Je prenais les livrets de paroles dans les boîtes des disques de mes parents et j'essayais de déchiffrer les textes. Et puis il y a eu l'invention de cet appareil merveilleux qui a révolutionné mon apprentissage de l'anglais : le lecteur DVD ! Mais pas simple à 8 ans de découvrir un film et suivre les sous-titres en même temps, alors c'est à ce moment là que j'ai trouvé l'astuce. Je regardais tous les films et dessins animés que je connaissais par cœur en anglais sous-titré anglais. En grandissant j'ai gardé ces habitudes, j'ai étudié l'anglais à l'école et je n'ai jamais loupé une occasion de pratiquer.
R.S : Tu as pris très jeune des cours de théâtre. Tu avais déjà le désir de devenir comédienne ?
V.C : Absolument pas. J'avais découvert la scène grâce à la danse et à cette époque je ne rêvais que de danser. On m'a demandé de choisir une deuxième activité extra-scolaire, et mon collège proposait des cours de théâtre. Je me suis lancée sans trop savoir à quoi m'attendre, je me disais juste que j'échappais au solfège ou au tennis et ça m'allait très bien. En plus au théâtre y a une scène, et la scène c'est ce que je préfère à la danse donc on verra bien... Je suis rentrée du collège en courant après le premier cours et c'est là que j'ai dit à ma mère "Maman plus tard je veux être comédienne !".
R.S : Qu'est-ce qui t'a poussée vers le doublage ?
V.C : L'envie d'ajouter une corde à mon arc. Après le confinement j'avais besoin de faire quelque chose de nouveau. On m'avait souvent conseillé de m'essayer au doublage et je me suis dit que c'était le moment de se lancer et de voir si ça me plaisait.
R.S : Est-ce une discipline que tu as toujours envisagée comme faisant partie du champ d'action d'un comédien ?
V.C : Pas vraiment. Dans les cours et différentes écoles de théâtre on ne nous parle pas forcément de cette option, c'est une facette du métier que je trouve très peu connue au final.
R.S : Quels ont été tes premiers sentiments lorsque tu t'es trouvée confrontée pour la première fois à une bande rythmo ?
V.C : Au départ c'était impressionnant mais je crois que j'ai réussi à appréhender la technique assez rapidement et, même si j'ai encore énormément à apprendre, j'ai vite compris qu'avec de l'entraînement le doublage pouvait procurer autant de plaisir que la scène.
R.S : Apprends-tu quelque chose de tes capacités de comédienne lorsque tu fais du doublage ?
V.C : J'apprends à lâcher prise. Au théâtre j'ai pris l'habitude d'apprendre un texte, créer un personnage, répéter et respecter une mise en scène, pour avoir la liberté de jouer sans se soucier du reste. Quand on est à la barre on découvre tout en même temps, on doit trouver cette liberté de jouer dans l'instant tout en respectant le travail de la comédienne originale. C'est l'exercice le plus compliqué mais le plus bénéfique à mon sens.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
V.C : J'avoue être assez casanière mais j'aime lire, passer du temps en famille ou avec des amis et voyager quand je peux. Et puis j'ai la chance de faire un métier de passion c'est déjà pas trop mal !
R.S : Merci beaucoup Victoire.
V.C : Merci à toi Reynald, à bientôt.
Interview de juin 2023
V.C : Bonjour Reynald.
R.S : D'où vient que tu as un très bon niveau d'anglais ?
V.C : Ma curiosité ! J'ai grandi dans une famille qui écoute énormément de musique et j'ai entendu beaucoup d'anglais très tôt. J'ai vite voulu comprendre cette langue "qu'on parle dans le monde entier". Je prenais les livrets de paroles dans les boîtes des disques de mes parents et j'essayais de déchiffrer les textes. Et puis il y a eu l'invention de cet appareil merveilleux qui a révolutionné mon apprentissage de l'anglais : le lecteur DVD ! Mais pas simple à 8 ans de découvrir un film et suivre les sous-titres en même temps, alors c'est à ce moment là que j'ai trouvé l'astuce. Je regardais tous les films et dessins animés que je connaissais par cœur en anglais sous-titré anglais. En grandissant j'ai gardé ces habitudes, j'ai étudié l'anglais à l'école et je n'ai jamais loupé une occasion de pratiquer.
R.S : Tu as pris très jeune des cours de théâtre. Tu avais déjà le désir de devenir comédienne ?
V.C : Absolument pas. J'avais découvert la scène grâce à la danse et à cette époque je ne rêvais que de danser. On m'a demandé de choisir une deuxième activité extra-scolaire, et mon collège proposait des cours de théâtre. Je me suis lancée sans trop savoir à quoi m'attendre, je me disais juste que j'échappais au solfège ou au tennis et ça m'allait très bien. En plus au théâtre y a une scène, et la scène c'est ce que je préfère à la danse donc on verra bien... Je suis rentrée du collège en courant après le premier cours et c'est là que j'ai dit à ma mère "Maman plus tard je veux être comédienne !".
R.S : Qu'est-ce qui t'a poussée vers le doublage ?
V.C : L'envie d'ajouter une corde à mon arc. Après le confinement j'avais besoin de faire quelque chose de nouveau. On m'avait souvent conseillé de m'essayer au doublage et je me suis dit que c'était le moment de se lancer et de voir si ça me plaisait.
R.S : Est-ce une discipline que tu as toujours envisagée comme faisant partie du champ d'action d'un comédien ?
V.C : Pas vraiment. Dans les cours et différentes écoles de théâtre on ne nous parle pas forcément de cette option, c'est une facette du métier que je trouve très peu connue au final.
R.S : Quels ont été tes premiers sentiments lorsque tu t'es trouvée confrontée pour la première fois à une bande rythmo ?
V.C : Au départ c'était impressionnant mais je crois que j'ai réussi à appréhender la technique assez rapidement et, même si j'ai encore énormément à apprendre, j'ai vite compris qu'avec de l'entraînement le doublage pouvait procurer autant de plaisir que la scène.
R.S : Apprends-tu quelque chose de tes capacités de comédienne lorsque tu fais du doublage ?
V.C : J'apprends à lâcher prise. Au théâtre j'ai pris l'habitude d'apprendre un texte, créer un personnage, répéter et respecter une mise en scène, pour avoir la liberté de jouer sans se soucier du reste. Quand on est à la barre on découvre tout en même temps, on doit trouver cette liberté de jouer dans l'instant tout en respectant le travail de la comédienne originale. C'est l'exercice le plus compliqué mais le plus bénéfique à mon sens.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
V.C : J'avoue être assez casanière mais j'aime lire, passer du temps en famille ou avec des amis et voyager quand je peux. Et puis j'ai la chance de faire un métier de passion c'est déjà pas trop mal !
R.S : Merci beaucoup Victoire.
V.C : Merci à toi Reynald, à bientôt.
Interview de juin 2023