Lilian Azemon
Genres :
Voix Adolescent garçon, Voix Jeune adulte homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Accents :
Créole
Doublage
Formation
2023 Stage Acting : Renaud Bouchery, Karim Ouaret, Sophie Nardonne, Sandrine Mannessier, Pascal Tessaud
2023 Formation Tytan Prod : Juan Llorca, Thierry Ragueneau, Alexis Tomassian, Stéphane Marais
2022/2023 Ateliers Rhinocéros : Jean-Marc Pannetier, Ethel Houbiers, Fouzia Youssef-Holland
2022/2023 Théâtre Cité des Arts de la rue (Jean-Jérôme Esposito)
2020 Stage Studio Face caméra
2019/2021 Le Studio Carbone
2005/2010 Atelier Théâtre
2023 Formation Tytan Prod : Juan Llorca, Thierry Ragueneau, Alexis Tomassian, Stéphane Marais
2022/2023 Ateliers Rhinocéros : Jean-Marc Pannetier, Ethel Houbiers, Fouzia Youssef-Holland
2022/2023 Théâtre Cité des Arts de la rue (Jean-Jérôme Esposito)
2020 Stage Studio Face caméra
2019/2021 Le Studio Carbone
2005/2010 Atelier Théâtre
Cinéma
2023 "Les Déguns 2" réalisé par Cyrille Droux et Claude Zidi Jr.
Langues
Anglais : courant
Créole : intermédiaire
Créole : intermédiaire
Musique
Guitare, basse, ukulélé
Sports
Foot, judo, volley, basket, patinoire, athlétisme, beatbox intermédiaire
Télévision
2023 "Bellefond" réalisé par Emilie et Sarah Barbault
2023 "La Stagiaire" réalisé par Alexandre Pidoux
2022 "J'irais au bout de mes rêves" réalisé par Stéphanie Pillonca
2022 "Escort Boy" réalisé par Ruben Alves
2019 "Narvalo" réalisé par Mathieu Longate
2023 "La Stagiaire" réalisé par Alexandre Pidoux
2022 "J'irais au bout de mes rêves" réalisé par Stéphanie Pillonca
2022 "Escort Boy" réalisé par Ruben Alves
2019 "Narvalo" réalisé par Mathieu Longate
Théâtre
2022/2023 "A la recherche du trésor oublié" (impro)
2022 "Le monstre de l'humour"
2021/2022 "Mourir tue"
2018/2020 "Saute qui peut"
2016 "Les fourberies de Scapin"
2016 "Et si ?"
2015 "Les enfants qui rêvent"
2022 "Le monstre de l'humour"
2021/2022 "Mourir tue"
2018/2020 "Saute qui peut"
2016 "Les fourberies de Scapin"
2016 "Et si ?"
2015 "Les enfants qui rêvent"
Autres activités
Assistant Casting de la directrice de casting Naîs Graziani pendant 1 an et demi
Interview
R.S : Bonjour Lilian. Ton CV montre une grande variété de formations. En quoi cela t’a aidé dans ton parcours professionnel ?
L.A : Il y a en effet pas mal de formations. N’ayant pas fait d’école de théâtre sur 3 ans, je me suis formé à droite à gauche. Je pense qu’il est important d’aller se nourrir un peu partout pour pouvoir aller débloquer plein de petites choses. De plus, certaines d’entres elles permettent de faire de belles rencontres, d’obtenir des conseils pour savoir ce qu’il faut faire pour trouver des compagnies, passer des castings, etc. Ça m’a grandement aidé ahah.
R.S : Tu as été assistant casting. De quoi s’agit-il exactement ?
L.A : Oui, j’ai eu la chance d’être assistant casting pour Naïs Graziani, réalisatrice et directrice de casting très reconnue à Marseille. J’étais chargé de proposer des profils, aller faire du casting sauvage, trier les mails, faire passer les castings en donnant la réplique. Ça a été un réel plus pour moi. J’étais professionnel depuis peut-être 2 ans, et j’ai pu comprendre énormément de choses qui désacralisent le fait de ne pas être pris à un casting. C’était très drôle de faire passer des castings à des potes à moi d’ailleurs.
R.S : Quel type de rôle ou de genre d’œuvre t'attire le plus, et pourquoi ?
L.A : J’aime beaucoup la phase de processus créatif, ce moment où on est en recherche du personnage, donc je dirais que ce qui m’attire le plus sont les rôles qui sont assez loin de moi. En doublage on a moins le temps qu’au théâtre ou à l’image mais le principe est le même. Mais je suis un grand enfant, donc si on me dit de jouer, je sais pas, un pompier ou un agriculteur, je suis le plus heureux. En terme d’œuvre, j’adore le cinéma d’auteur, et au théâtre j’aime beaucoup Koltes ahah.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
L.A : Un peu par hasard. Je cherchais une formation à faire (oui, on y revient), et j’ai vu qu’il y avait du doublage. Je me suis dit que ça pouvait être intéressant pour m’améliorer en tant que comédien. Donc j’y suis allé, ça s’est pas bien passé pour moi mais je suis tombé amoureux de l’exercice. Donc j’ai insisté puis je suis rentré en contact avec Jean Michel Vaubien qui me donnait pas mal de conseils. Il m’a même fait assister. Il m’a dit d’aller faire une formation avec Ethel Houbiers où ça s’est très bien passé. Elle m’a dit de venir assister avec elle le plus possible, ce que j’ai fait. J’ai limite vécu avec elle pendant deux mois ahah. Elle m’a donné ma chance et dès que je me senti prêt je suis allé démarcher d’autres DA. Un grand merci à eux deux, je leurs dois beaucoup.
R.S : C’était une discipline que tu envisageais déjà lorsque tu as décidé de devenir comédien ?
L.A : Absolument pas, je savais que ça existait mais ça me paraissait tellement impossible de faire ça que je ne l’ai pas du tout envisagée à mes débuts. Comme quoi les bienfaits des accidents ce n’est pas seulement lorsque l’on joue ;)
R.S : Pour toi quelle est la différence la plus significative entre le doublage et le jeu d'acteur sur scène, devant la caméra… et qu'est-ce que tu apprécies le plus dans ces différentes formes d'expression artistique ?
L.A : Quand on fait du doublage, on se met selon moi au service du comédien que l’on double, c’est pas forcément notre rythme. À l’image les codes de jeu peuvent être aussi plus simples, au théâtre il faut jouer pour un public, plus grand, plus loin alors qu’à l’image on joue pour une caméra. Ces 3 disciplines permettent de se diversifier, et ça j’adore !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
L.A : La musique (je suis musicien autodidacte), le sport (j’ai eu la chance de faire énormément de sport au niveau national), les jeux vidéos.
R.S : Merci beaucoup Lilian.
L.A : Merci beaucoup Reynald et merci pour tout ce que tu fais !
Interview de décembre 2023
L.A : Il y a en effet pas mal de formations. N’ayant pas fait d’école de théâtre sur 3 ans, je me suis formé à droite à gauche. Je pense qu’il est important d’aller se nourrir un peu partout pour pouvoir aller débloquer plein de petites choses. De plus, certaines d’entres elles permettent de faire de belles rencontres, d’obtenir des conseils pour savoir ce qu’il faut faire pour trouver des compagnies, passer des castings, etc. Ça m’a grandement aidé ahah.
R.S : Tu as été assistant casting. De quoi s’agit-il exactement ?
L.A : Oui, j’ai eu la chance d’être assistant casting pour Naïs Graziani, réalisatrice et directrice de casting très reconnue à Marseille. J’étais chargé de proposer des profils, aller faire du casting sauvage, trier les mails, faire passer les castings en donnant la réplique. Ça a été un réel plus pour moi. J’étais professionnel depuis peut-être 2 ans, et j’ai pu comprendre énormément de choses qui désacralisent le fait de ne pas être pris à un casting. C’était très drôle de faire passer des castings à des potes à moi d’ailleurs.
R.S : Quel type de rôle ou de genre d’œuvre t'attire le plus, et pourquoi ?
L.A : J’aime beaucoup la phase de processus créatif, ce moment où on est en recherche du personnage, donc je dirais que ce qui m’attire le plus sont les rôles qui sont assez loin de moi. En doublage on a moins le temps qu’au théâtre ou à l’image mais le principe est le même. Mais je suis un grand enfant, donc si on me dit de jouer, je sais pas, un pompier ou un agriculteur, je suis le plus heureux. En terme d’œuvre, j’adore le cinéma d’auteur, et au théâtre j’aime beaucoup Koltes ahah.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
L.A : Un peu par hasard. Je cherchais une formation à faire (oui, on y revient), et j’ai vu qu’il y avait du doublage. Je me suis dit que ça pouvait être intéressant pour m’améliorer en tant que comédien. Donc j’y suis allé, ça s’est pas bien passé pour moi mais je suis tombé amoureux de l’exercice. Donc j’ai insisté puis je suis rentré en contact avec Jean Michel Vaubien qui me donnait pas mal de conseils. Il m’a même fait assister. Il m’a dit d’aller faire une formation avec Ethel Houbiers où ça s’est très bien passé. Elle m’a dit de venir assister avec elle le plus possible, ce que j’ai fait. J’ai limite vécu avec elle pendant deux mois ahah. Elle m’a donné ma chance et dès que je me senti prêt je suis allé démarcher d’autres DA. Un grand merci à eux deux, je leurs dois beaucoup.
R.S : C’était une discipline que tu envisageais déjà lorsque tu as décidé de devenir comédien ?
L.A : Absolument pas, je savais que ça existait mais ça me paraissait tellement impossible de faire ça que je ne l’ai pas du tout envisagée à mes débuts. Comme quoi les bienfaits des accidents ce n’est pas seulement lorsque l’on joue ;)
R.S : Pour toi quelle est la différence la plus significative entre le doublage et le jeu d'acteur sur scène, devant la caméra… et qu'est-ce que tu apprécies le plus dans ces différentes formes d'expression artistique ?
L.A : Quand on fait du doublage, on se met selon moi au service du comédien que l’on double, c’est pas forcément notre rythme. À l’image les codes de jeu peuvent être aussi plus simples, au théâtre il faut jouer pour un public, plus grand, plus loin alors qu’à l’image on joue pour une caméra. Ces 3 disciplines permettent de se diversifier, et ça j’adore !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
L.A : La musique (je suis musicien autodidacte), le sport (j’ai eu la chance de faire énormément de sport au niveau national), les jeux vidéos.
R.S : Merci beaucoup Lilian.
L.A : Merci beaucoup Reynald et merci pour tout ce que tu fais !
Interview de décembre 2023