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Maximilien Seweryn

• Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
• Tonalité :
Medium, Grave
• Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Anglais avec accent britannique, Anglais avec accent non déterminé
• Accents :
Allemand, Anglais, Espagnol, Europe centrale (polonais, tchèque, hongrois, etc.), Italien, Russe
• Spécificités :
Chant

Doublage

cinéma
2018
Robin des Bois "2018" (Guy de Gisbourne)
cinéma
2017
Hostiles (Corp. Tommy Thomas)
cinéma
2024
Juré n°2 (Accusé)
série
2018/....
The Mire (Marek Kulik)
télévision, VOD & DVD
2019
Le Roi (Dorset)
cinéma
2024
série
2016/2022

Formation

Guildhall School of Music & Drama / Classe Libre / Ecole du Jeu

Autres

Permis Voiture et Moto

Films

"La Réparation" réalisé par Régis Wargnier. Cinéfrance
"Doppelgänger" réalisé par Jan Holoubek. TVN
"Notre-Dame Brûle" réalisé par Jean-Jacques Annaud. Pathé
"The Sound of Water (court) réalisé par JB Braud. Pen Films/Braud Films
"Valerian" réalisé par Luc Besson. Europacorp
"Orpheline" réalisé par Arnaud des Pallièrres. Les Films Hatari
"Go Home" réalisé par Jihane Chouaib. Paraiso/Ne a Beyrouth
"Emperor" réalisé par Lee Tamahori. Corsan

Langues

Anglais bilingue niveau natif (accents: general American, RP, Russian, NY), bases de polonaise/libanais/allemand

Musique

Très bon niveau Chant/Guitare, composition, arrangement

Sports

Excellent nageur, bases d'équitation, arts martiaux (Muay Thai, Boxe Anglaise), bon niveau escrime/cascades, bon danseur, yoga

Télévision

"Marie Antoinette" réalisé par Pete Travis. Canal+/BBC2
"Lupin" réalisé par Ludovic Bernard. Netflix
"Narvalo" réalisé par Mathieu Longatte. Canal+
"Berlin Station" réalisé par Marc Jobst. Paramount TV
"Versailles" réalisé par Richard Clark. Canal+/BBC2

Théâtre

"Lear ?" Irina Brook. Dream New World
"Dommage Qu'elle Soit Une Putain" Declan Donnellan. Cheek by Jowl/Barbican
"11 & 12" Peter Brook. CICT/Bouffes du Nord
"La Petite Fille Aux Allumettes" Joachim Latarjet/Compagnie "Oh Oui !". Théâtre de Montreuil
"Illiade" Pauline Bayle. Théâtre de Belleville
"Les Trois Mousquetaires - La Série" Clara Hédouin/Jade Herbulot/Collectif 49701. Tournée
"Pour Autrui" Pauline Bureau. Théâtre National de la Colline
"Lorenzaccio" Gérald Garutti, La Criée. Théâtre National De Marseille

Interview

R.S : Bonjour Maximilien,

M.S : Bonjour.

R.S : As-tu décidé très jeune de devenir comédien ?

M.S : Pas vraiment. J’ai d’abord commencé par la musique, le chant et la guitare quand j’avais 14 ans. Puis à 19 ans j’ai commencé les cours de théâtre pour essayer, comme un loisir d’abord. Ca m’a plu, et j’ai abandonné mon cursus universitaire d’éco gestion pour faire ça à plein temps.

R.S : Pourquoi as-tu choisi la Guildhall School of Music & Drama pour ta formation, et qu'en retiens-tu ?

M.S : J’avais envie de découvrir autre chose que l’environnement parisien dans lequel j’avais grandi, et j’avais la chance d’être très à l’aise en anglais. Je trouve les acteurs anglais assez solides. J’avais fait un stage d’été dans une école à Londres, ca m’avait plu, j’ai donc auditionné pour les curcus de 3 ans par la suite. À l’époque, la formation n’étais pas si chère (à peu près l’équivalent du cours Florent) et, avec l’union européenne, c’était beaucoup plus facile. Les temps ont bien changé...

R.S : On sait que, sur un tournage, il faut beaucoup attendre, et que les moments de jeu sont très courts le plus souvent. Y prends-tu toutefois le même plaisir que lorsque tu joues une pièce de théâtre ?

M.S : C’est pas le même plaisir, mais il est équivalent. Oui, on peut beaucoup attendre sur un tournage, mais il se passe tellement de choses, même quand t’es pas en train de jouer. Des dizaines de techniciens font tout un tas de trucs, y a plein de corps de métier différents. C’est difficile de vraiment s’ennuyer si t’aimes le cinéma. Une des choses intéressantes dans le jeu, et qui est très différente du théâtre, c’est évidement l’espace. Quand tu tournes une scène dans une forêt, t’es vraiment dans une forêt, tu n’as pas à te l’imaginer comme sur un plateau de théâtre. Ce changement constant d’environnements est assez stimulant et peut parfois faciliter l’interprétation.

R.S : Qu'est-ce qui t'a attiré vers le doublage et comment as-tu commencé dans ce domaine ?

M.S : J’ai été bercé par les VF dans les années 90. Quand j’ai commencé le métier de comédien, j’ai naturellement eu envie de m’y essayer. C’est Christèle Wurmser qui m’avait repéré dans un spectacle aux Bouffes du Nord et qui m’a proposé de venir chez Dubbing pour faire un petit rôle dans une série, Miami Médical. C’est un exercice que je trouve encore aujourd’hui difficile à maîtriser. Habiter vraiment le comédien qu’on double, de façon à ce que ça devienne naturel à l’image, c’est pas évident ! Mais c’est ce challenge-là que j’aime bien.

R.S : Comment l'envisages-tu ? Comme une valeur ajoutée, comme un mal nécessaire ?

M.S : Comme un autre moyen de pouvoir jouer. Y a plus de contraintes que sur un plateau de théâtre ou de cinéma... la rythmo, le jeu du comédien à l’image, le fait de pas être dans les environnements, l’utilisation et le placement de la voix qui peut sembler artificiel au début… mais, au final, une fois qu’on accepte toutes ces contraintes, et qu’on les a bien digérées, on s’amuse vraiment beaucoup.

R.S : Quels sont tes loisirs ?

M.S : Beaucoup de natation. Surf, yoga. Je regarde beaucoup le tennis et les sports de combat, sans les pratiquer réellement malheureusement. Beaucoup de musique, guitare, chant...

R.S : Merci beaucoup Maximilien.

M.S : Merci et à bientôt.

Interview de novembre 2024
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