Anne Levallois
Genres :
Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé, Espagnol
Accents :
Anglais, Canadien
Doublage
Voix
Voix-off
Les 140 ans des Scop et des Scic (Scop des sales gosses)
Voix-off
Les femmes dans l'E-sport (Karmine Corp)
Formation
Cours de Théâtre - Jean Périmony
Stage Doublage initiation - Le Magasin
Stage Doublage perfectionnement - TitraFilm
Stage Doublage initiation - Le Magasin
Stage Doublage perfectionnement - TitraFilm
Autres
Photographie (Loisir)
Courts métrages
"Libre pour Noël" Estelle
"La roue tourne" Eva
"Inside the celle" premier rôle
"La roue tourne" Eva
"Inside the celle" premier rôle
Langues
Anglais
Espagnol
Espagnol
Publicités
"Tefal". Internet
"Alpro" la partenaire de judo de Clarisse Agbégnénou
"Alpro" la partenaire de judo de Clarisse Agbégnénou
Sports
Squash (bon niveau)
Plongée (niveau Open Water)
Natation (4 nages)
Judo (Ceinture orange)
Golf (Loisir)
Plongée (niveau Open Water)
Natation (4 nages)
Judo (Ceinture orange)
Golf (Loisir)
Théâtre
"Pourquoi tu râles ?" Noélie. Le Bourvil
"La guerre des sexes" Anne-Laure. Les enfants du Paradis
"Love Therapy" Elle. La Boussole
"Fortunino" La Corneille. Théâtre le Funambule
"Mais n'te promènes donc pas toute nue". Blancs Manteaux
"L'ours, une demande en mariage" Popova. Comédie Perray
"Don Juan" Elvire. Théâtre de Saint Pierre du Perray
"La guerre des sexes" Anne-Laure. Les enfants du Paradis
"Love Therapy" Elle. La Boussole
"Fortunino" La Corneille. Théâtre le Funambule
"Mais n'te promènes donc pas toute nue". Blancs Manteaux
"L'ours, une demande en mariage" Popova. Comédie Perray
"Don Juan" Elvire. Théâtre de Saint Pierre du Perray
Web-séries
"Osef" Benjamin Pallier, la prof de français
"Cluster Agency" Xander Michalak, secrétaire / Tank
"Le studio Bagel à Los Angeles" la copine de Ludovik. Canal+
"Cluster Agency" Xander Michalak, secrétaire / Tank
"Le studio Bagel à Los Angeles" la copine de Ludovik. Canal+
Interview
R.S : Bonjour Anne.
A.L : Bonjour Reynald, et merci de m’accueillir sur RS Doublage !
R.S : Tu as ressenti vite le désir de devenir comédienne ?
A.L : J’ai toujours voulu être comédienne, peut-être grâce à ma grand-mère, dont la passion était de nous filmer... en super 8 à l’époque ! Mon premier spectacle, c’était à 5 ans déguisée en fraise tagada... une carrière fructueuse s’annonçait...
R.S : Quelles questions t’es-tu posées quand tu as pris la décision d’embrasser cette voie, si toutefois tu t’en es posé ?
A.L : Est ce que mes parents n’allaient pas me renier ? Plus sérieusement, comme beaucoup, ils préféraient que je me tourne vers “un vrai métier”. N’ayant pas encore assez confiance en moi pour affronter les réalités de ce milieu, j’ai alors choisi de me diriger vers un autre domaine que j’affectionne : le sport. J’ai suivi des études en STAPS (sans arrêter les cours de théâtre). Et, une fois mon diplôme en poche, je me suis dit que c’était maintenant ou jamais. Surtout ne pas vivre avec des regrets !
R.S : Comment as-tu débuté professionnellement ?
A.L : Je suis montée à Paris pour me donner les moyens de réussir. J’ai intégré l’école Jean Perimony, qui m’a beaucoup appris sur les bases du métier. Pour financer mes cours, je travaillais en tant qu’hôtesse dans l’événementiel, notamment pour des ateliers de cuisine. Et ça, ça m’a beaucoup appris... pour améliorer mes pâtisseries ! En parallèle, j’ai commencé par jouer des petits rôles au théâtre dans des salles à peine remplies. Essayer de faire rire 4 personnes et se prendre des bides je peux te dire que c’est formateur. Puis petit à petit, de pièces en pièces, de théâtres en théâtres, en passant par le festival d’Avignon, j’ai fini par réussir à vivre uniquement de ma passion. Et quelle fierté quand j’ai pu jouer à Tours devant 2000 personnes, avec mes parents dans la salle !
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
A.L : Tout au long de mon parcours, j’ai rencontré plusieurs comédiens qui exerçaient également dans le doublage, ce qui a éveillé mon intérêt. C’est l’un de mes partenaires de scène, Damien Boisseau, qui m’a parlé des formations qui existaient pour se lancer. J’ai suivi celle proposée par Le Magasin, et j’ai tout de suite accroché. Cette possibilité d’explorer une multitude d’univers et jouer des rôles aussi variés sans être limité à son apparence, c’est magique. Plus tard, j’ai approfondi mes compétences avec des journées de perfectionnement chez Titrafilm, ce qui m’a permis de rencontrer plusieurs directeurs artistiques, de découvrir différentes approches du doublage et de commencer à travailler.
R.S : Etait-ce une discipline que tu envisageais lorsque tu as débuté ?
A.L : C’est un monde que je connaissais peu, mais une fois que j’ai eu l’occasion de m’y plonger, j’ai réalisé à quel point c’était enrichissant et complémentaire au théâtre.
R.S : La série “One Piece” était très attendue. Tu as été choisie sur essai ?
A.L : Oui, j’ai passé un essai, et d’ailleurs c’était mon tout premier. J’étais assez stressée et, pour ne rien arranger, je sentais que je commençais à tomber malade. J’ai pris tout ce que je pouvais pour que ma voix tienne. Et c’est un peu comme la magie du théâtre : une fois que tu entres en scène, tout s’efface et tu donnes juste le meilleur de toi. Par contre, le lendemain, j’ai eu la pire grippe de ma vie, clouée au lit pendant deux semaines.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
A.L : Le sport, comme le squash, le tennis ou la danse. Faudrait sérieusement que je m’y remette d’ailleurs car j’aime aussi, et de plus en plus, partager de bons repas et de bonnes bouteilles avec des amis. J’adore voyager, découvrir de nouveaux pays, d’autres cultures, faire de belles photos... Et parfois rien de mieux que m’affaler dans mon canapé avec mon chat, devant un match de rugby ou une bonne série.
R.S : Merci beaucoup Anne.
A.L : Merci à toi Reynald.
Interview de janvier 2025
A.L : Bonjour Reynald, et merci de m’accueillir sur RS Doublage !
R.S : Tu as ressenti vite le désir de devenir comédienne ?
A.L : J’ai toujours voulu être comédienne, peut-être grâce à ma grand-mère, dont la passion était de nous filmer... en super 8 à l’époque ! Mon premier spectacle, c’était à 5 ans déguisée en fraise tagada... une carrière fructueuse s’annonçait...
R.S : Quelles questions t’es-tu posées quand tu as pris la décision d’embrasser cette voie, si toutefois tu t’en es posé ?
A.L : Est ce que mes parents n’allaient pas me renier ? Plus sérieusement, comme beaucoup, ils préféraient que je me tourne vers “un vrai métier”. N’ayant pas encore assez confiance en moi pour affronter les réalités de ce milieu, j’ai alors choisi de me diriger vers un autre domaine que j’affectionne : le sport. J’ai suivi des études en STAPS (sans arrêter les cours de théâtre). Et, une fois mon diplôme en poche, je me suis dit que c’était maintenant ou jamais. Surtout ne pas vivre avec des regrets !
R.S : Comment as-tu débuté professionnellement ?
A.L : Je suis montée à Paris pour me donner les moyens de réussir. J’ai intégré l’école Jean Perimony, qui m’a beaucoup appris sur les bases du métier. Pour financer mes cours, je travaillais en tant qu’hôtesse dans l’événementiel, notamment pour des ateliers de cuisine. Et ça, ça m’a beaucoup appris... pour améliorer mes pâtisseries ! En parallèle, j’ai commencé par jouer des petits rôles au théâtre dans des salles à peine remplies. Essayer de faire rire 4 personnes et se prendre des bides je peux te dire que c’est formateur. Puis petit à petit, de pièces en pièces, de théâtres en théâtres, en passant par le festival d’Avignon, j’ai fini par réussir à vivre uniquement de ma passion. Et quelle fierté quand j’ai pu jouer à Tours devant 2000 personnes, avec mes parents dans la salle !
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
A.L : Tout au long de mon parcours, j’ai rencontré plusieurs comédiens qui exerçaient également dans le doublage, ce qui a éveillé mon intérêt. C’est l’un de mes partenaires de scène, Damien Boisseau, qui m’a parlé des formations qui existaient pour se lancer. J’ai suivi celle proposée par Le Magasin, et j’ai tout de suite accroché. Cette possibilité d’explorer une multitude d’univers et jouer des rôles aussi variés sans être limité à son apparence, c’est magique. Plus tard, j’ai approfondi mes compétences avec des journées de perfectionnement chez Titrafilm, ce qui m’a permis de rencontrer plusieurs directeurs artistiques, de découvrir différentes approches du doublage et de commencer à travailler.
R.S : Etait-ce une discipline que tu envisageais lorsque tu as débuté ?
A.L : C’est un monde que je connaissais peu, mais une fois que j’ai eu l’occasion de m’y plonger, j’ai réalisé à quel point c’était enrichissant et complémentaire au théâtre.
R.S : La série “One Piece” était très attendue. Tu as été choisie sur essai ?
A.L : Oui, j’ai passé un essai, et d’ailleurs c’était mon tout premier. J’étais assez stressée et, pour ne rien arranger, je sentais que je commençais à tomber malade. J’ai pris tout ce que je pouvais pour que ma voix tienne. Et c’est un peu comme la magie du théâtre : une fois que tu entres en scène, tout s’efface et tu donnes juste le meilleur de toi. Par contre, le lendemain, j’ai eu la pire grippe de ma vie, clouée au lit pendant deux semaines.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
A.L : Le sport, comme le squash, le tennis ou la danse. Faudrait sérieusement que je m’y remette d’ailleurs car j’aime aussi, et de plus en plus, partager de bons repas et de bonnes bouteilles avec des amis. J’adore voyager, découvrir de nouveaux pays, d’autres cultures, faire de belles photos... Et parfois rien de mieux que m’affaler dans mon canapé avec mon chat, devant un match de rugby ou une bonne série.
R.S : Merci beaucoup Anne.
A.L : Merci à toi Reynald.
Interview de janvier 2025