Candice Lartigue
Genres :
Voix Enfant fille, Voix Adulte femme, Voix Senior femme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Espagnol
Accents :
Allemand, Anglais, Suédois, norvégien, danois
Spécificités :
Chant
Doublage
Théâtre
2016/2018 "Une place particulière" Olivier Augrond
2006 "Paroles d'Acteurs" Joël Jouanneau
2006 "Paroles d'Acteurs" Joël Jouanneau
Tournages
2021 "Demain nous appartient" Thierry Peythieu
2018 "Section de recherches" Jean-Marc Guérin
2018 "Commissaire Magellan" Stephan Kopecky
2017 "Joséphine, ange gardien" Thierry Petit
2016 "Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?" Anne Giafferi
2015 "Joséphine, ange gardien" Stephan Kopecky
2015 "La folle histoire des lois" Alexandre Ducroquet
2013 & 2015 "Nos chers voisins" Stephan Kopecky
2012 "Scènes de ménages" Francis Duquet
2009 "Strictement platonique" Stephan Kopecky
2008 "Demain, dès l'aube" Denis Dercourt
2006 "Issues de secours" Sam Karmann (Adami /Talent Cannes 2006)
2006 "Les bougon" Sam Karmann
2006 "Cenral nuit" Félix Olivier
2006 "Les jurés" Bertrand Arthuys
2005 "Michou d'Auber" Thomas Gilou
2003 "Domisiladoré" François Guérin
2001 "Agathe et le grand magasin" Bertrand Arthuys
2018 "Section de recherches" Jean-Marc Guérin
2018 "Commissaire Magellan" Stephan Kopecky
2017 "Joséphine, ange gardien" Thierry Petit
2016 "Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?" Anne Giafferi
2015 "Joséphine, ange gardien" Stephan Kopecky
2015 "La folle histoire des lois" Alexandre Ducroquet
2013 & 2015 "Nos chers voisins" Stephan Kopecky
2012 "Scènes de ménages" Francis Duquet
2009 "Strictement platonique" Stephan Kopecky
2008 "Demain, dès l'aube" Denis Dercourt
2006 "Issues de secours" Sam Karmann (Adami /Talent Cannes 2006)
2006 "Les bougon" Sam Karmann
2006 "Cenral nuit" Félix Olivier
2006 "Les jurés" Bertrand Arthuys
2005 "Michou d'Auber" Thomas Gilou
2003 "Domisiladoré" François Guérin
2001 "Agathe et le grand magasin" Bertrand Arthuys
Interview
R.S : Bonjour Candice.
C.L : Bonjour Reynald.
R.S : As-tu suivi une formation en art dramatique ?
C.L : Oui, j’ai suivi trois ans de cours classiques auprès de Eva Saint-Paul et Glen Hervé. Ainsi que plusieurs masterclass avec Jordan Beswick.
R.S : Comment as-tu débuté professionnellement ?
C.L : A la sortie des cours, j’ai commencé à faire de la figuration pour la télé, tout en participant à des créations théâtrales et j’ai également commencé à travailler dans la voix en enregistrant des messages pour Orange et Bouygues Telecom. J’adorais les rencontres et les expériences, la diversité de ce métier.
R.S : Sur quel tournage as-tu pris le plus de plaisir ? Quel a été la scène la plus difficile que tu aies tournée ?
C.L : J’ai adoré travailler avec Denis Dercourt sur le film "Demain dès l’aube", car il dirige les acteurs comme il dirigerait une partition de musique. Il est très exigeant sur la façon dont l’acteur pose sa voix. Avec lui j’ai compris à quel point la voix d’un acteur était partie intégrante de sa personnalité. Et qu’elle devait être travaillée au même titre que le corps.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
C.L : J’ai démarré par le super stage du Magasin avec ma copine Aurore Bonjour. C’était génial parce qu’on pouvait s’essayer sur des scènes et des acteurs très connus. Ça donne une grande liberté. Ça permet de voir de quoi on est capable. Quand j’ai commencé à travailler, c’est Nicole Favart et Philippe Chatriot qui m’ont donné ma chance.
R.S : Etait-ce une discipline que tu envisageais déjà lorsque tu as débuté ?
C.L : Très honnêtement, je ne connaissais pas du tout le doublage. J’avais travaillé dans la voix mais plutôt dans le domaine de la téléphonie et pour la radio. C’est quand j’ai eu mes enfants que je me suis demandé quelle branche de mon métier était la plus compatible avec ma vie de Maman.
R.S : As-tu le sentiment d’apprendre quelque chose en comédie lorsque tu doubles une actrice étrangère ?
C.L : Je suis très humble quand je fais du doublage, j’ai toujours beaucoup d’admiration pour le travail qui a été fait à l’écran. C’est toujours une leçon. Après ça dépend des situations que l’on doit jouer, elles n’ont pas toujours des enjeux incroyables J’adore jouer les scènes où il y a du drame et de la tristesse. Je pleure très facilement au cinéma et le fait de voir et d’entendre l’émotion me met immédiatement dans un état très juste par rapport à ce que je dois défendre. Je suis en contact direct avec mes émotions. J’adore. C’est beaucoup plus difficile quand on doit tout créer face à une caméra.
R.S : Quelles sont tes loisirs ?
C.L : J’ai beaucoup plus qu’un loisir, puisque c’est mon deuxième métier : la peinture ! J’ai commencé à peindre au moment où j’arpentais les plateaux des studios après mon stage, et ça m’a empêché de consacrer une année entière au démarchage, car j’aimais tellement créer sur la toile que j’y passais un temps considérable. Heureusement, j’avais eu l’occasion de rencontrer et travailler avec quelques directeurs de plateau qui ont continué à m’appeler. J’adore quitter la solitude de l’atelier pour rejoindre les comédiens et leur bonne humeur en plateau. Comme une troupe. Je trouve qu’on a une chance extraordinaire de faire ce métier.
R.S : Merci beaucoup Candice.
C.L : Merci à toi Reynald.
Interview de mars 2025
C.L : Bonjour Reynald.
R.S : As-tu suivi une formation en art dramatique ?
C.L : Oui, j’ai suivi trois ans de cours classiques auprès de Eva Saint-Paul et Glen Hervé. Ainsi que plusieurs masterclass avec Jordan Beswick.
R.S : Comment as-tu débuté professionnellement ?
C.L : A la sortie des cours, j’ai commencé à faire de la figuration pour la télé, tout en participant à des créations théâtrales et j’ai également commencé à travailler dans la voix en enregistrant des messages pour Orange et Bouygues Telecom. J’adorais les rencontres et les expériences, la diversité de ce métier.
R.S : Sur quel tournage as-tu pris le plus de plaisir ? Quel a été la scène la plus difficile que tu aies tournée ?
C.L : J’ai adoré travailler avec Denis Dercourt sur le film "Demain dès l’aube", car il dirige les acteurs comme il dirigerait une partition de musique. Il est très exigeant sur la façon dont l’acteur pose sa voix. Avec lui j’ai compris à quel point la voix d’un acteur était partie intégrante de sa personnalité. Et qu’elle devait être travaillée au même titre que le corps.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
C.L : J’ai démarré par le super stage du Magasin avec ma copine Aurore Bonjour. C’était génial parce qu’on pouvait s’essayer sur des scènes et des acteurs très connus. Ça donne une grande liberté. Ça permet de voir de quoi on est capable. Quand j’ai commencé à travailler, c’est Nicole Favart et Philippe Chatriot qui m’ont donné ma chance.
R.S : Etait-ce une discipline que tu envisageais déjà lorsque tu as débuté ?
C.L : Très honnêtement, je ne connaissais pas du tout le doublage. J’avais travaillé dans la voix mais plutôt dans le domaine de la téléphonie et pour la radio. C’est quand j’ai eu mes enfants que je me suis demandé quelle branche de mon métier était la plus compatible avec ma vie de Maman.
R.S : As-tu le sentiment d’apprendre quelque chose en comédie lorsque tu doubles une actrice étrangère ?
C.L : Je suis très humble quand je fais du doublage, j’ai toujours beaucoup d’admiration pour le travail qui a été fait à l’écran. C’est toujours une leçon. Après ça dépend des situations que l’on doit jouer, elles n’ont pas toujours des enjeux incroyables J’adore jouer les scènes où il y a du drame et de la tristesse. Je pleure très facilement au cinéma et le fait de voir et d’entendre l’émotion me met immédiatement dans un état très juste par rapport à ce que je dois défendre. Je suis en contact direct avec mes émotions. J’adore. C’est beaucoup plus difficile quand on doit tout créer face à une caméra.
R.S : Quelles sont tes loisirs ?
C.L : J’ai beaucoup plus qu’un loisir, puisque c’est mon deuxième métier : la peinture ! J’ai commencé à peindre au moment où j’arpentais les plateaux des studios après mon stage, et ça m’a empêché de consacrer une année entière au démarchage, car j’aimais tellement créer sur la toile que j’y passais un temps considérable. Heureusement, j’avais eu l’occasion de rencontrer et travailler avec quelques directeurs de plateau qui ont continué à m’appeler. J’adore quitter la solitude de l’atelier pour rejoindre les comédiens et leur bonne humeur en plateau. Comme une troupe. Je trouve qu’on a une chance extraordinaire de faire ce métier.
R.S : Merci beaucoup Candice.
C.L : Merci à toi Reynald.
Interview de mars 2025