Julien Sibre
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Accents :
Allemand, Europe centrale (polonais, tchèque, hongrois, etc.), Italien, Russe
Doublage
Formation
1996 "Ecole des enfants terribles" avec Béatrice Agenin, Philippe Lelièvre, Benjamin Ratteau...
Boxe Française (niveau compétition / Champion de France)
Anglais courant (On Stage 1 et 2)
Permis B
Boxe Française (niveau compétition / Champion de France)
Anglais courant (On Stage 1 et 2)
Permis B
Cinéma
2016 "Des nouvelles de la planète Mars" réalisé par Dominik Moll, dans le rôle de Gordon
2009 "L'Autre Dumas" réalisé par Safy Nebbou, dans le rôle de l'Inspecteur Trinquier
2009 "L'Autre Dumas" réalisé par Safy Nebbou, dans le rôle de l'Inspecteur Trinquier
Courts métrages
2005"Maestro" réalisé par Cyril Zurbach. Prix du Public au "48h film project 2005"
Mise en scène
2010/2023 "Le repas des Fauves" de Vahé Katcha. Théâtre Michel, Théâtre Hébertot. Molière de la Mise en scène - Molière de l’Adaptation - Molière de la pièce du Théâtre privé
2009 "La patience des Buffles" d’après le recueil de nouvelles de David Thomas. Manufacture des Abbesses
2003/2009 "Exercices de Style" d’après Raymond Queneau. Café de la Gare - Théâtre du Ranelagh – Théâtre du Lucernaire
1999/2001 "Le Legs" Comédie de Marivaux. Théâtre de Poche Graslin de Nantes - Athletic de Neuilly - Théâtre du Tourtour
1997 "Tchekhov aux Eclats" 3 Comédies en un acte d’Anton Tchekhov. Théâtre du Tourtour - Théâtre de Poche Graslin de Nantes
1994 "Dr Jekyll & Mr Hyde" d’après Robert Louis Stevenson. Théâtre Clavel
2009 "La patience des Buffles" d’après le recueil de nouvelles de David Thomas. Manufacture des Abbesses
2003/2009 "Exercices de Style" d’après Raymond Queneau. Café de la Gare - Théâtre du Ranelagh – Théâtre du Lucernaire
1999/2001 "Le Legs" Comédie de Marivaux. Théâtre de Poche Graslin de Nantes - Athletic de Neuilly - Théâtre du Tourtour
1997 "Tchekhov aux Eclats" 3 Comédies en un acte d’Anton Tchekhov. Théâtre du Tourtour - Théâtre de Poche Graslin de Nantes
1994 "Dr Jekyll & Mr Hyde" d’après Robert Louis Stevenson. Théâtre Clavel
Réalisation
2009 "En pleine tête"
2007 "Râ" : Prix du Jury au Short Shorts Films Festival de Tokyo. Meilleur film au "48h film project 2007 – Défi Canon". Meilleur film au 1er Festival Monacology
2006 "Acting Spirit" : Prix du Public au "48h film project 2006"
"Fausses pubs"
2007 "Râ" : Prix du Jury au Short Shorts Films Festival de Tokyo. Meilleur film au "48h film project 2007 – Défi Canon". Meilleur film au 1er Festival Monacology
2006 "Acting Spirit" : Prix du Public au "48h film project 2006"
"Fausses pubs"
Télévision
2007 "Mon voisin" Mini-série réalisé par Alain Zef pour Orange avec Vincent Moscato. Prod : U-Concept
2004 "Gloire et fortune : la grande imposture" réalisé par Pierre de Quatrephage. Prod : B3COM
2004 "Gloire et fortune : la grande imposture" réalisé par Pierre de Quatrephage. Prod : B3COM
Théâtre
2023 "Le Repas des Fauves" de Vahé Katcha - adaptation et mise en scène de Julien Sibre. Théâtre Hébertot
2023 "La cagnotte" d'Eugène Labiche - mise en scène et musiques de Thierry Jahn. Théatre des Corps Saints
2010 "Les Fourmidiables" d’après "Les Diablogues" de Roland Dubillard - mise en scène de Hubert Drac. Théâtre du Lucernaire
2008 "Ces Intellos qui refusent la démocratie" d’Après les textes de Saint-Just - mise en scène de Philippe Crubézy. Théâtre de la Tempête
2008 "Les Caves du Vatican" d’Après le roman d’André Gide - mise en scène Thierry Jahn. Festival d’Avignon off
2007 "Larguez les amarres" de Méliane Marcaggi et Karine Dubernet - mise en scène de Rodolphe Sand. Mélo d'Amélie
2007 "Haro sur les gueux" de Bruno Dalimier - mise en scène de J-P. Dumas et Guillaume Clayssen. Théâtre de la Tempête
2006 "L’Oise au Théâtre - Festival Ionesco" mise en scène de Ladislas Chollat
2000 "On ne badine pas avec l'Amour" de A. de Musset - mise en scène de Laurence Etier. Théâtre du Nord-Ouest
2000 "On ne saurait penser à tout" Comédie de A. de Musset - mise en scène de Virginie Dupressoir. Théâtre du Nord-Ouest
1997 "Embrassons-nous folleville" Comédie Musicale d’Eugène Labiche - mise en scène Aurélien Lorgnier. Théâtre du Lucernaire - Théâtre du Tourtour
1997 "Paysage sur la tombe" pièce de Fanny Mentré - mise en scène Elvire Pichard. Théâtre Essaion
1996 "Peau d'âne" Comédie Musicale de H. Drac et F. Peyrony - mise en scène de Renaud Meyer. Théâtre Armande Béjart d'Asnières
2023 "La cagnotte" d'Eugène Labiche - mise en scène et musiques de Thierry Jahn. Théatre des Corps Saints
2010 "Les Fourmidiables" d’après "Les Diablogues" de Roland Dubillard - mise en scène de Hubert Drac. Théâtre du Lucernaire
2008 "Ces Intellos qui refusent la démocratie" d’Après les textes de Saint-Just - mise en scène de Philippe Crubézy. Théâtre de la Tempête
2008 "Les Caves du Vatican" d’Après le roman d’André Gide - mise en scène Thierry Jahn. Festival d’Avignon off
2007 "Larguez les amarres" de Méliane Marcaggi et Karine Dubernet - mise en scène de Rodolphe Sand. Mélo d'Amélie
2007 "Haro sur les gueux" de Bruno Dalimier - mise en scène de J-P. Dumas et Guillaume Clayssen. Théâtre de la Tempête
2006 "L’Oise au Théâtre - Festival Ionesco" mise en scène de Ladislas Chollat
2000 "On ne badine pas avec l'Amour" de A. de Musset - mise en scène de Laurence Etier. Théâtre du Nord-Ouest
2000 "On ne saurait penser à tout" Comédie de A. de Musset - mise en scène de Virginie Dupressoir. Théâtre du Nord-Ouest
1997 "Embrassons-nous folleville" Comédie Musicale d’Eugène Labiche - mise en scène Aurélien Lorgnier. Théâtre du Lucernaire - Théâtre du Tourtour
1997 "Paysage sur la tombe" pièce de Fanny Mentré - mise en scène Elvire Pichard. Théâtre Essaion
1996 "Peau d'âne" Comédie Musicale de H. Drac et F. Peyrony - mise en scène de Renaud Meyer. Théâtre Armande Béjart d'Asnières
Interview
R.S : Bonjour Julien.
J.S : Bonjour.
R.S : Comment avez-vous découvert votre passion pour la comédie ?
J.S : Mes parents étant eux-mêmes comédiens, tout cela m'est venu très naturellement et très tôt. S'ils avaient été bouchers sans doute aurais-je fait de même.
R.S : Vous êtes également réalisateur, metteur en scène... Ce doit être une grande satisfaction de voir ses projets prendre vie ?
J.S : Oui, c'est très émouvant de voir toute une équipe de gens - que ce soit au théâtre ou au cinéma - se plier en quatre pour faire aboutir et exister ce que vous avez dans la tête. Ils mettent en vous une grande confiance et il n'est donc jamais question de baisser les bras ou de se contenter de quelque chose de "moyen".
R.S : Lorsque vous avez reçu des prix pour vos créations, qu'avez-vous ressenti ?
J.S : Un mélange un peu étrange. Une grande fierté, un peu de gêne... et le sentiment énorme que le travail, l'esprit d'équipe, l'abnégation et encore le travail pouvaient faire naître de grandes choses et vaincre l'idée reçue que sans vedette ou grosse production on ne peut jamais aller bien loin. On a prouvé le contraire.
R.S : Comment êtes-vous entré dans le monde du doublage ?
J.S : Mes parents en ont fait pas mal dans les années 80-90 et leurs amis directeurs artistiques sont donc venus voir mes premières pièces (à l'âge de 18-20 ans) et chemin faisant ils m'ont fait faire de petites choses... puis de plus importantes.
R.S : Qu'avez-vous pensé lorsque vous vous êtes retrouvé derrière la barre pour la première fois ?
J.S : Une peur énorme ! Incapable d'aligner deux mots ! J'ai vraiment cru que ce n'était pas fait pour moi et que le travail en amont qui existe au théâtre m'était indispensable. Puis ça s'est arrangé. Heureusement !
R.S : La respiration est très importante pour se glisser dans la peau d'un comédien étranger, n'est-ce pas ?
J.S : En effet, on peut avoir tendance à vouloir lui imposer la nôtre, à vouloir le faire jouer comme nous l'aurions fait si on l'avait tourné... Grossière erreur ! Il faut effectivement se caler dans sa respiration, dans son œil, et ça vient plus ou moins tout seul.
R.S : Suivant les œuvres que l'on double, le confort de travail est différent, notamment dans la rapidité. Est-ce difficile de s'adapter ?
J.S : Au début oui. J'ai commencé sur des 35 comme on dit - des films cinéma - c'est plus facile, on a plus de temps, c'est mieux écrit, les acteurs sont souvent meilleurs... C'est les vacances. La série demande plus de dextérité. Il m'a fallu beaucoup de temps pour m'adapter au rythme de travail.
R.S : Que représente pour vous le mot scène ?
J.S : Ce pourquoi on fait ce métier.
R.S : Quels sont vos hobbies ?
J.S : Heu... Je sais pas trop... Mais quand on s'amuse autant en travaillant, je ne suis pas sûr qu'on en ait besoin !
R.S : Merci beaucoup Julien.
J.S : Merci à vous.
Interview d'août 2011
J.S : Bonjour.
R.S : Comment avez-vous découvert votre passion pour la comédie ?
J.S : Mes parents étant eux-mêmes comédiens, tout cela m'est venu très naturellement et très tôt. S'ils avaient été bouchers sans doute aurais-je fait de même.
R.S : Vous êtes également réalisateur, metteur en scène... Ce doit être une grande satisfaction de voir ses projets prendre vie ?
J.S : Oui, c'est très émouvant de voir toute une équipe de gens - que ce soit au théâtre ou au cinéma - se plier en quatre pour faire aboutir et exister ce que vous avez dans la tête. Ils mettent en vous une grande confiance et il n'est donc jamais question de baisser les bras ou de se contenter de quelque chose de "moyen".
R.S : Lorsque vous avez reçu des prix pour vos créations, qu'avez-vous ressenti ?
J.S : Un mélange un peu étrange. Une grande fierté, un peu de gêne... et le sentiment énorme que le travail, l'esprit d'équipe, l'abnégation et encore le travail pouvaient faire naître de grandes choses et vaincre l'idée reçue que sans vedette ou grosse production on ne peut jamais aller bien loin. On a prouvé le contraire.
R.S : Comment êtes-vous entré dans le monde du doublage ?
J.S : Mes parents en ont fait pas mal dans les années 80-90 et leurs amis directeurs artistiques sont donc venus voir mes premières pièces (à l'âge de 18-20 ans) et chemin faisant ils m'ont fait faire de petites choses... puis de plus importantes.
R.S : Qu'avez-vous pensé lorsque vous vous êtes retrouvé derrière la barre pour la première fois ?
J.S : Une peur énorme ! Incapable d'aligner deux mots ! J'ai vraiment cru que ce n'était pas fait pour moi et que le travail en amont qui existe au théâtre m'était indispensable. Puis ça s'est arrangé. Heureusement !
R.S : La respiration est très importante pour se glisser dans la peau d'un comédien étranger, n'est-ce pas ?
J.S : En effet, on peut avoir tendance à vouloir lui imposer la nôtre, à vouloir le faire jouer comme nous l'aurions fait si on l'avait tourné... Grossière erreur ! Il faut effectivement se caler dans sa respiration, dans son œil, et ça vient plus ou moins tout seul.
R.S : Suivant les œuvres que l'on double, le confort de travail est différent, notamment dans la rapidité. Est-ce difficile de s'adapter ?
J.S : Au début oui. J'ai commencé sur des 35 comme on dit - des films cinéma - c'est plus facile, on a plus de temps, c'est mieux écrit, les acteurs sont souvent meilleurs... C'est les vacances. La série demande plus de dextérité. Il m'a fallu beaucoup de temps pour m'adapter au rythme de travail.
R.S : Que représente pour vous le mot scène ?
J.S : Ce pourquoi on fait ce métier.
R.S : Quels sont vos hobbies ?
J.S : Heu... Je sais pas trop... Mais quand on s'amuse autant en travaillant, je ne suis pas sûr qu'on en ait besoin !
R.S : Merci beaucoup Julien.
J.S : Merci à vous.
Interview d'août 2011