Vincent Ribeiro
Doublage
Direction artistique
Formation
Baccalauréat littéraire
1989 Cours Florent avec Denise Chekroune, François-Xavier Hoffmann, Gilles Glaise, Thierry Hancisse, Raymond Aquaviva
1989 Cours Florent avec Denise Chekroune, François-Xavier Hoffmann, Gilles Glaise, Thierry Hancisse, Raymond Aquaviva
Cinéma et Télévision
2006 "Les coulisses du Show Biz"
2004 "D’Artagnan"
2004 "Les coulisses du Show-biz"
1999 "Un pur moment de rock'n roll"
1997 "Petits désordres amoureux"
1994 "Toutes les filles s’appellent Juliette"
2004 "D’Artagnan"
2004 "Les coulisses du Show-biz"
1999 "Un pur moment de rock'n roll"
1997 "Petits désordres amoureux"
1994 "Toutes les filles s’appellent Juliette"
Courts métrages
2015 "For One" réalisé par Mathieu Rivolier
Théâtre
2001 "La répétition"
1999/2000 "Le vrai Francis"
1995/1996 "Le bel oiseau"
1995 "Lancelot du lac"
1993/1995 Donne des cours de théâtre à l’atelier Bastille
1992 "Le roi se meurt"
1991 "Don Juan"
1991 "Casimir et Caroline"
1989 "Guernica"
Auteur et comédien dans la troupe des "Laveurs de Théâtre" :
1999 "Le vrai Francis"
1986 "Supérart"
1986 "Marilyn"
1985 "Madame Dogfinger"
1999/2000 "Le vrai Francis"
1995/1996 "Le bel oiseau"
1995 "Lancelot du lac"
1993/1995 Donne des cours de théâtre à l’atelier Bastille
1992 "Le roi se meurt"
1991 "Don Juan"
1991 "Casimir et Caroline"
1989 "Guernica"
Auteur et comédien dans la troupe des "Laveurs de Théâtre" :
1999 "Le vrai Francis"
1986 "Supérart"
1986 "Marilyn"
1985 "Madame Dogfinger"
Interview
R.S : Bonjour Vincent.
V.R : Bonjour Reynald.
R.S : Pouvez-vous parler de vos débuts de comédien ?
V.R : J'ai commencé le théâtre à quinze ans, avec un ami d'enfance, en créant notre compagnie et en écrivant nos pièces. Nous avons abordé toutes les facettes de la création, de la production au jeu en passant par la construction de décors avec toute l'insouciance de notre jeunesse.
R.S : Aborde-t-on un rôle différemment selon qu'on joue sur scène ou devant une caméra ?
V.R : Après avoir eu des expériences théâtrales seul en scène, j'ai toujours trouvé très confortables les tournages.
R.S : Comment avez-vous débuté dans le doublage ?
V.R : J'ai commencé le doublage en 1995 sans avoir jamais assisté à un plateau, mais l'accueil très paternel de gens comme Bernard Tiphaine m'a permis de me sentir vite à l'aise.
R.S : Est-ce délicat d'entrer dans la peau, le jeu d'un autre comédien ?
V.R : C'est un des exercices du métier d'acteur, j'y prends un grand plaisir.
R.S : Est-ce compliqué de n'avoir personne à qui donner la réplique lorsque vous enregistrez une scène dialoguée en étant seul, sans partenaire ?
V.R : C'est toujours préférable d'enregistrer avec nos partenaires mais le regard du directeur artistique permet de pallier cette absence.
R.S : Qu'aimez-vous dans le fait de diriger vous-même un doublage ?
V.R : J'aime notre métier dans toute sa diversité... La direction permet d'être au cœur de cette diversité.
R.S : Que représente pour vous le mot rôle ?
V.R : De l'amusement.
R.S : Quelles sont vos passions ?
V.R : En dehors de mon métier je me passionne pour l'architecture et les voitures anciennes.
R.S : Merci beaucoup Vincent.
Interview de janvier 2012
V.R : Bonjour Reynald.
R.S : Pouvez-vous parler de vos débuts de comédien ?
V.R : J'ai commencé le théâtre à quinze ans, avec un ami d'enfance, en créant notre compagnie et en écrivant nos pièces. Nous avons abordé toutes les facettes de la création, de la production au jeu en passant par la construction de décors avec toute l'insouciance de notre jeunesse.
R.S : Aborde-t-on un rôle différemment selon qu'on joue sur scène ou devant une caméra ?
V.R : Après avoir eu des expériences théâtrales seul en scène, j'ai toujours trouvé très confortables les tournages.
R.S : Comment avez-vous débuté dans le doublage ?
V.R : J'ai commencé le doublage en 1995 sans avoir jamais assisté à un plateau, mais l'accueil très paternel de gens comme Bernard Tiphaine m'a permis de me sentir vite à l'aise.
R.S : Est-ce délicat d'entrer dans la peau, le jeu d'un autre comédien ?
V.R : C'est un des exercices du métier d'acteur, j'y prends un grand plaisir.
R.S : Est-ce compliqué de n'avoir personne à qui donner la réplique lorsque vous enregistrez une scène dialoguée en étant seul, sans partenaire ?
V.R : C'est toujours préférable d'enregistrer avec nos partenaires mais le regard du directeur artistique permet de pallier cette absence.
R.S : Qu'aimez-vous dans le fait de diriger vous-même un doublage ?
V.R : J'aime notre métier dans toute sa diversité... La direction permet d'être au cœur de cette diversité.
R.S : Que représente pour vous le mot rôle ?
V.R : De l'amusement.
R.S : Quelles sont vos passions ?
V.R : En dehors de mon métier je me passionne pour l'architecture et les voitures anciennes.
R.S : Merci beaucoup Vincent.
Interview de janvier 2012