Thierry Walker
Doublage
Voix
Documentaire
Hold Your Breath : The Ice Dive (Tapani Launonen)
Documentaire
Keep Sweet (Glenn)
Série documentaire
Mr. Good: Flic ou baron ? (Eirik Jensen)
Série documentaire
Narco Wars (Bill Clarke, Nick Milano-Lou, Robert Felt)
Série documentaire
The Last Dance (Jerry Sloan, Joe Pytka)
Interview
R.S : Bonjour Thierry.
T.W : Bonjour Reynald !
R.S : Quel a été votre parcours de comédien ?
T.W : Je suis un enfant de la balle. J'ai fait mes premiers pas sur scène dès l'âge de cinq ans, dans des représentations de fin d'année au centre de danse que tenait ma famille. Ce serait un peu long d'égrener près de cinquante ans de carrière, mais disons que j'ai un peu touché à tout : cascade, clown, théâtre, cinéma, télévision, comédie musicale, chorégraphie, mise en scène. Les personnes que j'ai pu côtoyer, comme Elton John, Yves Montand, Dalida, Pia Zadora, Line Renaud, Eddy Mitchell, Mireille Matthieu, Sammy Davis Junior, Michael Peters, Thierry Hancisse, Jacques Sereys, Etienne Chatiliez, Jérôme Savary, Pierre Mondy, mon professeur et maître Jean Darnel, ont contribué à forger en moi une discipline, une générosité, et une terrible envie de continuer à vivre de toutes ces facettes qui font un comédien et un artiste le plus complet possible.
R.S : A vos débuts, aviez-vous déjà une idée précise de l'orientation que vous souhaitiez pour votre carrière ?
T.W : Non, je connaissais juste le sentiment exaltant d'être sur scène (avec la magie des lumières, du son et des planches) et surtout d'être en contact avec le public. J'ai commencé par la danse et le théâtre, dans un cabaret à Monaco, et puis… J'ai roulé ma bosse… !
R.S : Comment avez-vous pris le chemin du doublage ?
T.W : Après un stage à l'INA, j'ai démarché les studios et, d'essai en essai, d'un rôle à l'autre, la confiance des directrices et directeurs artistiques a grandi.
R.S : Est-ce que la technique vous a paru difficile ?
T.W : Au début, oui. Puis, peu à peu, on se familiarise avec toutes les contraintes techniques. La bande rythmo sert de support, mais le but est vraiment de retranscrire ce que le comédien a déjà fait, et il faut donc "simplement" jouer la situation !
R.S : Que pensiez-vous du doublage avant d'entrer vous-même dans ce circuit ?
T.W : Lorsque j'étais adolescent, je m'amusais à enregistrer les dialogues des films français ou qui étaient en version française sur des cassettes audio. Je me les repassais en boucle dans mon walkman. J'ai toujours trouvé cela fascinant et presque magique, lorsque le doublage est si bien fait qu'on en oublierait presque l'original (!)
R.S : Qu'est-ce que vous souhaitez pour la suite de votre carrière ?
T.W : Je laisse mon arrière-grand-mère répondre à cette question, avec ces deux maximes qui lui étaient chères :
- De continuer à pratiquer ce métier sérieusement sans se prendre au sérieux.
- Respecter le métier d'artiste, auquel on rend service avant de s'en servir.
R.S : Quels sont vos hobbies ?
T.W : La musique, le cinéma, la danse, le théâtre, le cirque, le sport. Et les dîners entre amis !
R.S : Merci beaucoup Thierry.
T.W : Merci à toi, Reynald.
Interview de janvier 2015
T.W : Bonjour Reynald !
R.S : Quel a été votre parcours de comédien ?
T.W : Je suis un enfant de la balle. J'ai fait mes premiers pas sur scène dès l'âge de cinq ans, dans des représentations de fin d'année au centre de danse que tenait ma famille. Ce serait un peu long d'égrener près de cinquante ans de carrière, mais disons que j'ai un peu touché à tout : cascade, clown, théâtre, cinéma, télévision, comédie musicale, chorégraphie, mise en scène. Les personnes que j'ai pu côtoyer, comme Elton John, Yves Montand, Dalida, Pia Zadora, Line Renaud, Eddy Mitchell, Mireille Matthieu, Sammy Davis Junior, Michael Peters, Thierry Hancisse, Jacques Sereys, Etienne Chatiliez, Jérôme Savary, Pierre Mondy, mon professeur et maître Jean Darnel, ont contribué à forger en moi une discipline, une générosité, et une terrible envie de continuer à vivre de toutes ces facettes qui font un comédien et un artiste le plus complet possible.
R.S : A vos débuts, aviez-vous déjà une idée précise de l'orientation que vous souhaitiez pour votre carrière ?
T.W : Non, je connaissais juste le sentiment exaltant d'être sur scène (avec la magie des lumières, du son et des planches) et surtout d'être en contact avec le public. J'ai commencé par la danse et le théâtre, dans un cabaret à Monaco, et puis… J'ai roulé ma bosse… !
R.S : Comment avez-vous pris le chemin du doublage ?
T.W : Après un stage à l'INA, j'ai démarché les studios et, d'essai en essai, d'un rôle à l'autre, la confiance des directrices et directeurs artistiques a grandi.
R.S : Est-ce que la technique vous a paru difficile ?
T.W : Au début, oui. Puis, peu à peu, on se familiarise avec toutes les contraintes techniques. La bande rythmo sert de support, mais le but est vraiment de retranscrire ce que le comédien a déjà fait, et il faut donc "simplement" jouer la situation !
R.S : Que pensiez-vous du doublage avant d'entrer vous-même dans ce circuit ?
T.W : Lorsque j'étais adolescent, je m'amusais à enregistrer les dialogues des films français ou qui étaient en version française sur des cassettes audio. Je me les repassais en boucle dans mon walkman. J'ai toujours trouvé cela fascinant et presque magique, lorsque le doublage est si bien fait qu'on en oublierait presque l'original (!)
R.S : Qu'est-ce que vous souhaitez pour la suite de votre carrière ?
T.W : Je laisse mon arrière-grand-mère répondre à cette question, avec ces deux maximes qui lui étaient chères :
- De continuer à pratiquer ce métier sérieusement sans se prendre au sérieux.
- Respecter le métier d'artiste, auquel on rend service avant de s'en servir.
R.S : Quels sont vos hobbies ?
T.W : La musique, le cinéma, la danse, le théâtre, le cirque, le sport. Et les dîners entre amis !
R.S : Merci beaucoup Thierry.
T.W : Merci à toi, Reynald.
Interview de janvier 2015