Virginie Caliari
Doublage
Cinéma
"Je préfère qu’on reste amis" réalisé par E. Toledano & O. Nakache
Télévision
"Meurtre à Sarlat"
"Profilage"
"Chérif"
"Commissaire Magellan"
"Camping Paradis"
"Section de Recherches"
"Profilage"
"Chérif"
"Commissaire Magellan"
"Camping Paradis"
"Section de Recherches"
Théâtre
"Iphigénie" mise en scène de George Wilson
"Clérambard" mise en scène de Georges Wod
"La Cerisaie" mise en scène de George Wilson
"Les Branquignols" mise en scène de Mathieu Matelin
"Le Carton" mise en scène d'Eric Hénon
"Le Squat" mise en scène de Jean-Pierre Dravel
"Clérambard" mise en scène de Georges Wod
"La Cerisaie" mise en scène de George Wilson
"Les Branquignols" mise en scène de Mathieu Matelin
"Le Carton" mise en scène d'Eric Hénon
"Le Squat" mise en scène de Jean-Pierre Dravel
Interview
R.S : Bonjour Virginie.
V.C : Salut Reynald !
R.S : Quand as-tu pris la décision de tenter ta chance dans ce métier ? T'es-tu posé la question du "raisonnable", du "trop aléatoire" ? Avais-tu une idée de la façon dont tu devrais procéder ?
V.C : Quand j’étais petite, je voulais être cascadeuse ! La comédie s’est imposée assez tôt, vers 13-14 ans. Je ne me suis jamais posé la question du "raisonnable" ou du côté aléatoire de ce métier. En plus, j’ai eu la chance d’avoir eu le soutien de mes parents dès le début.
R.S : Quel a été ton parcours ?
V.C : J’ai passé mon BAC L avec option théâtre et c’est là que c’est devenu une évidence pour moi. Notre représentation à la fin de la classe de seconde s’est jouée sur une scène nationale (à Annecy) et de sentir le public dans cette grande salle, ça a été le vrai déclic ! Ensuite, j’ai eu la chance de commencer ce métier à 19 ans dans une pièce de Racine avec pour partenaire et metteur en scène l’immense Georges Wilson ! J’ai également suivi les cours Jean Périmony à Paris.
R.S : As-tu un agent ? Est-il important d'en avoir un ?
V.C : Oui. C’est important dans le sens ou ça fait plus pro d’en avoir un mais l’agent seul ne suffit pas pour travailler. Il est primordial de tracer son propre chemin.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
V.C : Grâce à Anne Rondeleux qui est une des personnes les plus adorables que je connaisse. Elle a accepté de me prendre sous son aile, de me faire assister à des doublages et de me présenter à des directeurs de plateaux. Puis tout s’est enchainé très vite.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu avais pensé dès le départ ?
V.C : Ça fait une dizaine d’année que j’y pense mais c’était compliqué de me lancer car, durant tout ce temps, j’ai été très présente sur des plateaux de tournage en province. Du coup, dès que l’occasion s’est présentée, j’ai foncé !
R.S : Regardes-tu les VF toi-même en tant que spectatrice ?
V.C : Je préfère les V.O. en général mais je regarde pleins de choses en V.F. avec mon fils. Et j’avoue que je cherche à reconnaître la voix des copains dans ces cas-là. Ca m’amuse beaucoup !
R.S : Quels sont tes hobbies ?
V.C : Voyager, cuisiner, lire et m’occuper de mes animaux !
R.S : Merci beaucoup Virginie.
V.C : Ce fut un plaisir Reynald ! Merci à toi !
Interview de juin 2017
V.C : Salut Reynald !
R.S : Quand as-tu pris la décision de tenter ta chance dans ce métier ? T'es-tu posé la question du "raisonnable", du "trop aléatoire" ? Avais-tu une idée de la façon dont tu devrais procéder ?
V.C : Quand j’étais petite, je voulais être cascadeuse ! La comédie s’est imposée assez tôt, vers 13-14 ans. Je ne me suis jamais posé la question du "raisonnable" ou du côté aléatoire de ce métier. En plus, j’ai eu la chance d’avoir eu le soutien de mes parents dès le début.
R.S : Quel a été ton parcours ?
V.C : J’ai passé mon BAC L avec option théâtre et c’est là que c’est devenu une évidence pour moi. Notre représentation à la fin de la classe de seconde s’est jouée sur une scène nationale (à Annecy) et de sentir le public dans cette grande salle, ça a été le vrai déclic ! Ensuite, j’ai eu la chance de commencer ce métier à 19 ans dans une pièce de Racine avec pour partenaire et metteur en scène l’immense Georges Wilson ! J’ai également suivi les cours Jean Périmony à Paris.
R.S : As-tu un agent ? Est-il important d'en avoir un ?
V.C : Oui. C’est important dans le sens ou ça fait plus pro d’en avoir un mais l’agent seul ne suffit pas pour travailler. Il est primordial de tracer son propre chemin.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
V.C : Grâce à Anne Rondeleux qui est une des personnes les plus adorables que je connaisse. Elle a accepté de me prendre sous son aile, de me faire assister à des doublages et de me présenter à des directeurs de plateaux. Puis tout s’est enchainé très vite.
R.S : Etait-ce une discipline à laquelle tu avais pensé dès le départ ?
V.C : Ça fait une dizaine d’année que j’y pense mais c’était compliqué de me lancer car, durant tout ce temps, j’ai été très présente sur des plateaux de tournage en province. Du coup, dès que l’occasion s’est présentée, j’ai foncé !
R.S : Regardes-tu les VF toi-même en tant que spectatrice ?
V.C : Je préfère les V.O. en général mais je regarde pleins de choses en V.F. avec mon fils. Et j’avoue que je cherche à reconnaître la voix des copains dans ces cas-là. Ca m’amuse beaucoup !
R.S : Quels sont tes hobbies ?
V.C : Voyager, cuisiner, lire et m’occuper de mes animaux !
R.S : Merci beaucoup Virginie.
V.C : Ce fut un plaisir Reynald ! Merci à toi !
Interview de juin 2017