Joël Zaffarano
Genres :
Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé, Italien
Accents :
Allemand, Anglais, Arabe, Asiatique, Espagnol, Europe centrale (polonais, tchèque, hongrois, etc.), Italien, Russe
Doublage
Voix
Fiction audio
Mort à l'aveugle (James)
Formation
Conservatoire d'art dramatique d’Avignon
Danse moderne avec Hubert Godart
Assistant (direction d’acteurs) de Valerio Popesco : Stages sur A. Tchekhov, T. Williams, E.O’Neill, W. Shakespeare
Danse moderne avec Hubert Godart
Assistant (direction d’acteurs) de Valerio Popesco : Stages sur A. Tchekhov, T. Williams, E.O’Neill, W. Shakespeare
Cinéma
"Tutto l'amore del mondo" (en italien) réalisé par Riccardo Grand
"17, rue Bleue" réalisé par Chad Chenouga
"Francorusse" réalisé par Alexis Miansarov
"La Neige et le Feu" réalisé par Claude Pinoteau
"17, rue Bleue" réalisé par Chad Chenouga
"Francorusse" réalisé par Alexis Miansarov
"La Neige et le Feu" réalisé par Claude Pinoteau
Courts métrages
"Never twice" réalisé par Vincent Ravalec
Mise en scène
"American Buffalo" réalisé par David Mamet
Réalisations
"Une épreuve" (court métrage de fiction)
Télévision
"Alice Nevers : le juge est une femme : A fleur de peau" (saison 12 ép. 59) réalisé par Eric Le Roux
"R.I.S. Police scientifique : Taxi de nuit" réalisé par Claire de la Rochefoucauld
"Section de recherches : Dernier tango" réalisé par Jean-Marc Thérin
"Diane, femme flic" (21 ép.) réalisé par Marc Angelo, Dominique Tabuteau, Etienne Dhaène, Jean-Marc Seban, Nicolas Herdt, Josée Dayan, Manuel Boursinhac, Christian Bonnet, Jean-Michel Fages
"La Crim'" réalisé par Dominique Guillot
"Goal" réalisé par Christiane Leherissey
"Salut les Homars" (10 ép.) réalisé par Marco Pauly, Pierre Cavassilas, Christiane Leherissey
"Edouard et ses filles" réalisé par Michel Lang
"R.I.S. Police scientifique : Taxi de nuit" réalisé par Claire de la Rochefoucauld
"Section de recherches : Dernier tango" réalisé par Jean-Marc Thérin
"Diane, femme flic" (21 ép.) réalisé par Marc Angelo, Dominique Tabuteau, Etienne Dhaène, Jean-Marc Seban, Nicolas Herdt, Josée Dayan, Manuel Boursinhac, Christian Bonnet, Jean-Michel Fages
"La Crim'" réalisé par Dominique Guillot
"Goal" réalisé par Christiane Leherissey
"Salut les Homars" (10 ép.) réalisé par Marco Pauly, Pierre Cavassilas, Christiane Leherissey
"Edouard et ses filles" réalisé par Michel Lang
Théâtre
"Intra Muros" de Alexis Michalik - mise en scène de l'auteur, dans le rôle d'Ange Bernardini
"Madame Sans-Gêne" de V. Sardou - mise en scène d'Alain Sachs, dans le rôle du Maréchal Lefebvre. Tournée
"Hernani" de Victor Hugo - mise en scène d'Hervé Dubourgeal, dans le rôle de Don Carlos
"Polyeucte" de P. Corneille - mise en scène de Thierry Harcourt, dans le rôle de Sévère. Théâtre Mouffetard
"La double inconstance" de Marivaux - mise en scène de Gérard Malabat, dans le rôle d'Arlequin
"L'épreuve" de Marivaux - mise en scène de Gérard Malabat, dans le rôle de Maître Blaise
"Le legs" de Marivaux - mise en scène de Jean-Paul Bazziconi, dans le rôle du Chevalier
"Marie Tudor" de Victor Hugo - mise en scène de Christophe Lidon, dans le rôle de Fabiano Fabiani. Théâtre 14
"Christos et les chiens" de V. Stevanovic - mise en scène de Jean-François Matignon, dans le rôle du Duc. Festival d'Avignon
"Quartet" de H. Müller - mise en scène de Jean-François Matignon, dans le rôle de Valmont
"Duo pour voix obstinées" de F. Pelletier - mise en scène de Betty Berr, dans le rôle de Valentino
"La double inconstance" de Marivaux - mise en scène de Pierre Olivier Scotto et Martine Feldmann, dans le rôle du Prince Martine
"Monte Cristo" d'Aleaxndre Dumas - mise en scène de Patrick Collet, dans le rôle d'Albert de Morcerf
"Hanjo" de Y. Mishima - mise en scène de Béatrice Houplain, dans le rôle de Yoshio
"Flagrant délit de mensonge" mise en scène de Patrice BIGEL, dans des rôles multiples. Les Athévains
"Les libertins" mise en scène de Patrice Bigel, dans des rôles multiples
"La ménagerie de verre" de T. Williams - mise en scène de Alain Terrat, dans le rôle de Tom
"Le bouc" de R. W Fassbinder - mise en scène de Jean-François Matignon, dans le rôle d'Eric
"Lettres d'un oncle perdu" de M. Peake - mise en scène de François Chanal, dans le rôle du garçon
"Le Diable et le Capitaine" de D. Voisin - mise en scène de Louis Beyler, dans des rôles multiples
"Les yeux du lion" de G. Gélas - mise en scène de Gérard Gélas, dans des rôles multiples. Festival d'Avignon
"Zoo story" de E. Albee Louis Beyler, dans le rôle de Jerry. Festival d'Avignon
"Madame Sans-Gêne" de V. Sardou - mise en scène d'Alain Sachs, dans le rôle du Maréchal Lefebvre. Tournée
"Hernani" de Victor Hugo - mise en scène d'Hervé Dubourgeal, dans le rôle de Don Carlos
"Polyeucte" de P. Corneille - mise en scène de Thierry Harcourt, dans le rôle de Sévère. Théâtre Mouffetard
"La double inconstance" de Marivaux - mise en scène de Gérard Malabat, dans le rôle d'Arlequin
"L'épreuve" de Marivaux - mise en scène de Gérard Malabat, dans le rôle de Maître Blaise
"Le legs" de Marivaux - mise en scène de Jean-Paul Bazziconi, dans le rôle du Chevalier
"Marie Tudor" de Victor Hugo - mise en scène de Christophe Lidon, dans le rôle de Fabiano Fabiani. Théâtre 14
"Christos et les chiens" de V. Stevanovic - mise en scène de Jean-François Matignon, dans le rôle du Duc. Festival d'Avignon
"Quartet" de H. Müller - mise en scène de Jean-François Matignon, dans le rôle de Valmont
"Duo pour voix obstinées" de F. Pelletier - mise en scène de Betty Berr, dans le rôle de Valentino
"La double inconstance" de Marivaux - mise en scène de Pierre Olivier Scotto et Martine Feldmann, dans le rôle du Prince Martine
"Monte Cristo" d'Aleaxndre Dumas - mise en scène de Patrick Collet, dans le rôle d'Albert de Morcerf
"Hanjo" de Y. Mishima - mise en scène de Béatrice Houplain, dans le rôle de Yoshio
"Flagrant délit de mensonge" mise en scène de Patrice BIGEL, dans des rôles multiples. Les Athévains
"Les libertins" mise en scène de Patrice Bigel, dans des rôles multiples
"La ménagerie de verre" de T. Williams - mise en scène de Alain Terrat, dans le rôle de Tom
"Le bouc" de R. W Fassbinder - mise en scène de Jean-François Matignon, dans le rôle d'Eric
"Lettres d'un oncle perdu" de M. Peake - mise en scène de François Chanal, dans le rôle du garçon
"Le Diable et le Capitaine" de D. Voisin - mise en scène de Louis Beyler, dans des rôles multiples
"Les yeux du lion" de G. Gélas - mise en scène de Gérard Gélas, dans des rôles multiples. Festival d'Avignon
"Zoo story" de E. Albee Louis Beyler, dans le rôle de Jerry. Festival d'Avignon
Interview
R.S : Bonjour Joël.
J.Z : Bonjour Reynald.
R.S : Lorsque vous avez décidé de devenir comédien, comment avez-vous pensé qu'il fallait vous y prendre pratiquement ?
J.Z : Je suis monté sur les planches pour la première fois vers l'âge de 9 ans, en amateur, et ne venant pas du tout d'un milieu artistique, je n'imaginais même pas que comédien était un métier possible. Mais il suffit d'une fois pour être accro à la scène, et j'ai donc continué à faire du théâtre amateur. L'année de mes 16 ans, je me suis inscrit pour la première fois dans un atelier de travail d’acteur dirigé par deux comédiens professionnels. C'est à leur contact que j'ai réalisé qu'il était possible de faire du théâtre "24 heures sur 24" ! C'est là que j'ai décidé que je deviendrai comédien. Mais, très sincèrement, je n'avais aucune idée de "comment j'allais m'y prendre pratiquement" ! Par chance, l’année suivante, le conservatoire d’Avignon a été créé par Louis Beyler (comédien, metteur en scène, et mon "papa de théâtre"), et ça m’a ouvert d’autres horizons.
R.S : Et lorsque vous avez commencé vos cours au conservatoire d’art dramatique d’Avignon, vous envisagiez de prendre la décision de "monter" un jour à Paris ?
J.Z : Pas du tout. Je suis venu à Paris un peu par hasard. J'avais commencé à travailler en province comme comédien (professionnel désormais). Un spectacle m'a amené à vivre quelque temps à Lyon, où je me suis retrouvé assistant d'un stage de training d'acteur (une magnifique occasion, parallèlement à mon travail de comédien, de découvrir et m'aguerrir à la direction d'acteur, que j'adore). Ce stage a été repris par la suite sur Paris, et c'est comme ça que je suis arrivé dans la capitale. J'ai éprouvé instantanément un véritable coup de foudre pour cette ville. Je suis maintenant Parisien depuis plus de 30 ans.
R.S : Comment s'est faite votre insertion professionnelle ?
J.Z : Je suis entré au conservatoire d'art dramatique d'Avignon à 17 ans. Vers la fin de la première année, Gérard Gélas (directeur et metteur en scène du Théâtre du Chêne Noir) est venu voir les travaux d'élèves car il était à la recherche d'un jeune comédien pour sa prochaine création au Festival d'Avignon. Il a proposé un stage-audition de plusieurs jours à un camarade et moi-même. J'ai finalement été choisi et j'ai signé mon premier contrat pour une durée de 1 an avec le "Chêne Noir", incluant la création au festival et une très belle tournée en France et à l'étranger. Un peu le rêve quoi !
R.S : Comment avez-vous fait vos premiers pas dans le doublage ?
J.Z : Le plus simplement du monde, j'ai passé un essai. J'ai dû me débrouiller pas trop mal car j'ai immédiatement commencé à travailler énormément en doublage.
R.S : Est-ce une discipline qui vous apporte les mêmes satisfactions de comédien que la scène ou la caméra ?
J.Z : La scène et la caméra sont pour moi irremplaçables. Et le théâtre est à mes yeux la base incontestable du métier de comédien. Mais le doublage est néanmoins une discipline que j'aime beaucoup et que je trouve très enrichissante, y compris pour la scène et la caméra. Lorsque l'on a la chance de doubler d'extraordinaires comédiens, le doublage devient une formidable nourriture. Et une grande leçon d'humilité. Doubler c'est essayer d'être au service de l'autre.
R.S : Quels conseils donneriez-vous à un jeune - ils sont nombreux aujourd’hui - qui souhaiterait se lancer dans cet exercice ?
J.Z : Travailler.
R.S : Vous avez réalisé un court métrage. Cela a-t-il été difficile de monter matériellement ce projet ?
J.Z : Rien n'a été plus simple, c'est moi qui ai tout financé. Une erreur de jeunesse que je déconseille et que j'essaierai de ne plus reproduire. Mais je suis très heureux d'avoir réalisé ce film et compte bien récidiver !
R.S : Quels sont vos loisirs ?
J.Z : Mon loisir préféré c'est mon travail ! Tout le monde n'a pas la chance d'avoir pour travail jouer. Sinon j'adore aussi jouer à des jeux. Tous les jeux : les échecs comme le Monopoly ou la pétanque... Et bien sûr aller voir un beau spectacle ! Théâtre, danse... (J'adore danser et voir de la danse). Sans oublier le cinéma, le grand cinéma ! Et aussi, un de mes nouveaux loisirs, dont je suis très heureux et qui est la concrétisation d'un vieux rêve : le piano. Je m'y suis mis il y a 2 ans, donc la salle Pleyel c'est pas pour tout de suite, mais je bosse !
R.S : Merci beaucoup Joël.
J.Z : Merci Reynald. Pour votre travail et votre accueil.
Interview de mai 2021
J.Z : Bonjour Reynald.
R.S : Lorsque vous avez décidé de devenir comédien, comment avez-vous pensé qu'il fallait vous y prendre pratiquement ?
J.Z : Je suis monté sur les planches pour la première fois vers l'âge de 9 ans, en amateur, et ne venant pas du tout d'un milieu artistique, je n'imaginais même pas que comédien était un métier possible. Mais il suffit d'une fois pour être accro à la scène, et j'ai donc continué à faire du théâtre amateur. L'année de mes 16 ans, je me suis inscrit pour la première fois dans un atelier de travail d’acteur dirigé par deux comédiens professionnels. C'est à leur contact que j'ai réalisé qu'il était possible de faire du théâtre "24 heures sur 24" ! C'est là que j'ai décidé que je deviendrai comédien. Mais, très sincèrement, je n'avais aucune idée de "comment j'allais m'y prendre pratiquement" ! Par chance, l’année suivante, le conservatoire d’Avignon a été créé par Louis Beyler (comédien, metteur en scène, et mon "papa de théâtre"), et ça m’a ouvert d’autres horizons.
R.S : Et lorsque vous avez commencé vos cours au conservatoire d’art dramatique d’Avignon, vous envisagiez de prendre la décision de "monter" un jour à Paris ?
J.Z : Pas du tout. Je suis venu à Paris un peu par hasard. J'avais commencé à travailler en province comme comédien (professionnel désormais). Un spectacle m'a amené à vivre quelque temps à Lyon, où je me suis retrouvé assistant d'un stage de training d'acteur (une magnifique occasion, parallèlement à mon travail de comédien, de découvrir et m'aguerrir à la direction d'acteur, que j'adore). Ce stage a été repris par la suite sur Paris, et c'est comme ça que je suis arrivé dans la capitale. J'ai éprouvé instantanément un véritable coup de foudre pour cette ville. Je suis maintenant Parisien depuis plus de 30 ans.
R.S : Comment s'est faite votre insertion professionnelle ?
J.Z : Je suis entré au conservatoire d'art dramatique d'Avignon à 17 ans. Vers la fin de la première année, Gérard Gélas (directeur et metteur en scène du Théâtre du Chêne Noir) est venu voir les travaux d'élèves car il était à la recherche d'un jeune comédien pour sa prochaine création au Festival d'Avignon. Il a proposé un stage-audition de plusieurs jours à un camarade et moi-même. J'ai finalement été choisi et j'ai signé mon premier contrat pour une durée de 1 an avec le "Chêne Noir", incluant la création au festival et une très belle tournée en France et à l'étranger. Un peu le rêve quoi !
R.S : Comment avez-vous fait vos premiers pas dans le doublage ?
J.Z : Le plus simplement du monde, j'ai passé un essai. J'ai dû me débrouiller pas trop mal car j'ai immédiatement commencé à travailler énormément en doublage.
R.S : Est-ce une discipline qui vous apporte les mêmes satisfactions de comédien que la scène ou la caméra ?
J.Z : La scène et la caméra sont pour moi irremplaçables. Et le théâtre est à mes yeux la base incontestable du métier de comédien. Mais le doublage est néanmoins une discipline que j'aime beaucoup et que je trouve très enrichissante, y compris pour la scène et la caméra. Lorsque l'on a la chance de doubler d'extraordinaires comédiens, le doublage devient une formidable nourriture. Et une grande leçon d'humilité. Doubler c'est essayer d'être au service de l'autre.
R.S : Quels conseils donneriez-vous à un jeune - ils sont nombreux aujourd’hui - qui souhaiterait se lancer dans cet exercice ?
J.Z : Travailler.
R.S : Vous avez réalisé un court métrage. Cela a-t-il été difficile de monter matériellement ce projet ?
J.Z : Rien n'a été plus simple, c'est moi qui ai tout financé. Une erreur de jeunesse que je déconseille et que j'essaierai de ne plus reproduire. Mais je suis très heureux d'avoir réalisé ce film et compte bien récidiver !
R.S : Quels sont vos loisirs ?
J.Z : Mon loisir préféré c'est mon travail ! Tout le monde n'a pas la chance d'avoir pour travail jouer. Sinon j'adore aussi jouer à des jeux. Tous les jeux : les échecs comme le Monopoly ou la pétanque... Et bien sûr aller voir un beau spectacle ! Théâtre, danse... (J'adore danser et voir de la danse). Sans oublier le cinéma, le grand cinéma ! Et aussi, un de mes nouveaux loisirs, dont je suis très heureux et qui est la concrétisation d'un vieux rêve : le piano. Je m'y suis mis il y a 2 ans, donc la salle Pleyel c'est pas pour tout de suite, mais je bosse !
R.S : Merci beaucoup Joël.
J.Z : Merci Reynald. Pour votre travail et votre accueil.
Interview de mai 2021