Sophie Ouaknine
Genres :
Voix Bambin fille, Voix Enfant garçon, Voix Enfant fille, Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent britannique, Espagnol
Doublage
Voix
Talk-Show
Chloe Veitch (Chloe Veitch)
Télé-réalité
Rhythm + Flow (Detroit Diamond)
Voice-over
Supernova : massacre à la rave party
Voice-over
Ukraine, les blessures invisibles (Arte)
Formation
2021/2023 Studio Artifex et Zone 34. Sei Shiomi
2019 Stage de doublage Le Magasin. Vincent Violette, Damien Boisseau, Jean Barney
2014/2017 Cours Florent Français/Anglais. Thierry Harcourt, Fabrice Michel, Julian Eggerickx, Anne Suarez...
2016 Stage Jack Waltzer
2019 Stage de doublage Le Magasin. Vincent Violette, Damien Boisseau, Jean Barney
2014/2017 Cours Florent Français/Anglais. Thierry Harcourt, Fabrice Michel, Julian Eggerickx, Anne Suarez...
2016 Stage Jack Waltzer
Cinéma
2018 "The Leatherdaddy" (long métrage franco-australien) réalisé par Nicky Murphy, dans le rôle de Céline Bernard
Courts métrages
2024 "Le feu ça brûle" réalisé par Sophie Ouaknine, dans le rôle de Louna
2023 "Arneo" réalisé par Jean Monville, dans le rôle de Michelle
2022 "Entre le rêve et l'oubli" réalisé par David Laurent, dans le rôle d'Iris
2019 "Le mari au collège" adapté du roman de Giovanni Guareschi - réalisé par Albéric Saint Martin, dans le rôle de Charlotte Madellis
2018 "Run around like a chicken with it's head cut off" (court métrage israélien) réalisé par Eden Sarna, dans le rôle de The girl
2018 "La caverne" réalisé par Lucas Pouliquen, dans le rôle d'Anastasia
2023 "Arneo" réalisé par Jean Monville, dans le rôle de Michelle
2022 "Entre le rêve et l'oubli" réalisé par David Laurent, dans le rôle d'Iris
2019 "Le mari au collège" adapté du roman de Giovanni Guareschi - réalisé par Albéric Saint Martin, dans le rôle de Charlotte Madellis
2018 "Run around like a chicken with it's head cut off" (court métrage israélien) réalisé par Eden Sarna, dans le rôle de The girl
2018 "La caverne" réalisé par Lucas Pouliquen, dans le rôle d'Anastasia
Langues
Anglais
Espagnol
Notions d'italien
Espagnol
Notions d'italien
Publicités
2022 "France TV Ident" réalisé par Neels Castillon
2022 "Le bon Mojo" réalisé par Lucas Pouliquen, dans le rôle de Clara
2022 "Le bon Mojo" réalisé par Lucas Pouliquen, dans le rôle de Clara
Télévision
2022 "Corporate" (série 26") réalisée par Bertrand Devé, dans le rôle de Daphnée. France TV
Interview
R.S : Bonjour Sophie,
S.O : Bonjour Reynald.
R.S : Quelles questions t'es-tu posées lorsque tu as décidé de devenir comédienne ?
S.O : L’envie m’a pris assez jeune, lorsque j'étais adolescente. Je ne saurais vraiment l'expliquer, comme un appel. Je me suis mis en tête que c'était que je devais faire. Ça a ensuite éveillé beaucoup de questions... Faut-il faire une école ? Laquelle ? Que vont penser mes proches ? Vais-je réussir ? Et qu’est-ce que c’est, réussir dans ce métier ? Pourquoi je le fais ? Qu'est-ce que j'ai à raconter ? On pourrait parler longuement, Reynald ! Je pense que les questions et les réponses évolueront jusqu’à la fin.
R.S : Qui est Sei Shiomi ? Et qu'est-ce qui t'a motivée à aller suivre une formation au Studio Artifex et à Zone 34 avec lui ?
S.O : Je me pose moi-même la question... ahah. Un presque gourou, qui nous enseigne son savoir sur le jeu d'acteur. Il a étudié l'art dramatique à New York (notamment avec Stella Adler, Lee Strasberg...) pendant plusieurs années et a développé sa propre méthode. On se donne ce rendez-vous chaque semaine pour s'entraîner, comme des athlètes, à explorer le jeu. C'est aussi ça que j'aime dans ce métier. Il n'y a pas une clé pour être un bon acteur, c'est un mouvement permanent avec ce que l'on est, ce que l'on vit, notre environnement et la quête de notre authenticité.
R.S : Tu ne sembles pas avoir encore joué au théâtre. Est-ce quelque chose qui te tente ?
S.O : Et comment ! J'en rêve. Je n'ai joué que sur les planches du cours Florent, et c'est un souvenir jouissif. Mais j'y reviendrai, sans aucun doute.
R.S : Le doublage est une discipline qui t'attirait lorsque tu as commencé ton trajet professionnel ?
S.O : Très honnêtement, je n'y pensais pas. J'ai fait la rencontre d'Anne Jolivet qui m'a parlé de la "synchro", puis celles de Philippe Ariotti et Annie Le Youdec sur le tournage d'un film que j'adore (Le Mari au collège d'Albéric Saint Martin), qui m'ont aussi recommandé de m'y mettre. J'ai donc fait un stage au Magasin sur le conseil d'Anne.
R.S : En quoi le stage au Magasin t'a-t-il aidée dans ton approche du doublage ?
S.O : Oh mais à tous les niveaux ! C'est un art, et un art difficile à maîtriser. À moins d'être un génie du jeu et de la barre, ça me paraît impensable de ne pas faire une formation. Et j'ai trouvé celle du Magasin formidable. Longue vie au Magasin !
R.S : Quels sont les aspects les plus gratifiants du doublage par rapport à d'autres branches de la profession, selon toi ?
S.O : C'est tout d'abord le métier qui m'a le mieux accueillie (en comparaison au cinéma ou au théâtre). J'ai eu beau passer beaucoup de castings pour le cinéma à une période, travailler avec acharnement et faire de belles rencontres, je n'y ai pas du tout fait ma place pour l'instant. Or je continue chaque jour de me frayer un chemin dans le doublage, et ça c'est gratifiant. C'est aussi une discipline de l’ombre, ce que je trouve assez agréable et épanouissant. Sans même parler du nombre infini de personnages complètement différents auxquels on n'aurait jamais accès à l'écran par exemple. Donner sa voix à un petit chat ou une geisha à la poitrine vertigineuse, ça n'a pas de prix !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
S.O : Aller au cinéma et au théâtre, regarder des films et des séries, manger des trucs bons, boire du bon vin, passer du temps avec mes amis et ma famille, écouter de la musique (surtout du Rock), aller à des concerts, écrire des poèmes (j'ai aussi écrit mon premier court-métrage qu'on a tourné le mois dernier, et j'aimerais en faire d'autres), voyager quand je le peux, courir, faire du sport, ne rien faire aussi… que c'est bon !
R.S : Merci beaucoup Sophie.
S.O : Merci à toi Reynald, merci pour ce que tu fais pour nous.
Interview de mars 2024
S.O : Bonjour Reynald.
R.S : Quelles questions t'es-tu posées lorsque tu as décidé de devenir comédienne ?
S.O : L’envie m’a pris assez jeune, lorsque j'étais adolescente. Je ne saurais vraiment l'expliquer, comme un appel. Je me suis mis en tête que c'était que je devais faire. Ça a ensuite éveillé beaucoup de questions... Faut-il faire une école ? Laquelle ? Que vont penser mes proches ? Vais-je réussir ? Et qu’est-ce que c’est, réussir dans ce métier ? Pourquoi je le fais ? Qu'est-ce que j'ai à raconter ? On pourrait parler longuement, Reynald ! Je pense que les questions et les réponses évolueront jusqu’à la fin.
R.S : Qui est Sei Shiomi ? Et qu'est-ce qui t'a motivée à aller suivre une formation au Studio Artifex et à Zone 34 avec lui ?
S.O : Je me pose moi-même la question... ahah. Un presque gourou, qui nous enseigne son savoir sur le jeu d'acteur. Il a étudié l'art dramatique à New York (notamment avec Stella Adler, Lee Strasberg...) pendant plusieurs années et a développé sa propre méthode. On se donne ce rendez-vous chaque semaine pour s'entraîner, comme des athlètes, à explorer le jeu. C'est aussi ça que j'aime dans ce métier. Il n'y a pas une clé pour être un bon acteur, c'est un mouvement permanent avec ce que l'on est, ce que l'on vit, notre environnement et la quête de notre authenticité.
R.S : Tu ne sembles pas avoir encore joué au théâtre. Est-ce quelque chose qui te tente ?
S.O : Et comment ! J'en rêve. Je n'ai joué que sur les planches du cours Florent, et c'est un souvenir jouissif. Mais j'y reviendrai, sans aucun doute.
R.S : Le doublage est une discipline qui t'attirait lorsque tu as commencé ton trajet professionnel ?
S.O : Très honnêtement, je n'y pensais pas. J'ai fait la rencontre d'Anne Jolivet qui m'a parlé de la "synchro", puis celles de Philippe Ariotti et Annie Le Youdec sur le tournage d'un film que j'adore (Le Mari au collège d'Albéric Saint Martin), qui m'ont aussi recommandé de m'y mettre. J'ai donc fait un stage au Magasin sur le conseil d'Anne.
R.S : En quoi le stage au Magasin t'a-t-il aidée dans ton approche du doublage ?
S.O : Oh mais à tous les niveaux ! C'est un art, et un art difficile à maîtriser. À moins d'être un génie du jeu et de la barre, ça me paraît impensable de ne pas faire une formation. Et j'ai trouvé celle du Magasin formidable. Longue vie au Magasin !
R.S : Quels sont les aspects les plus gratifiants du doublage par rapport à d'autres branches de la profession, selon toi ?
S.O : C'est tout d'abord le métier qui m'a le mieux accueillie (en comparaison au cinéma ou au théâtre). J'ai eu beau passer beaucoup de castings pour le cinéma à une période, travailler avec acharnement et faire de belles rencontres, je n'y ai pas du tout fait ma place pour l'instant. Or je continue chaque jour de me frayer un chemin dans le doublage, et ça c'est gratifiant. C'est aussi une discipline de l’ombre, ce que je trouve assez agréable et épanouissant. Sans même parler du nombre infini de personnages complètement différents auxquels on n'aurait jamais accès à l'écran par exemple. Donner sa voix à un petit chat ou une geisha à la poitrine vertigineuse, ça n'a pas de prix !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
S.O : Aller au cinéma et au théâtre, regarder des films et des séries, manger des trucs bons, boire du bon vin, passer du temps avec mes amis et ma famille, écouter de la musique (surtout du Rock), aller à des concerts, écrire des poèmes (j'ai aussi écrit mon premier court-métrage qu'on a tourné le mois dernier, et j'aimerais en faire d'autres), voyager quand je le peux, courir, faire du sport, ne rien faire aussi… que c'est bon !
R.S : Merci beaucoup Sophie.
S.O : Merci à toi Reynald, merci pour ce que tu fais pour nous.
Interview de mars 2024