Valéry Schatz
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Anglais avec accent britannique, Anglais avec accent non déterminé
Accents :
Anglais, Espagnol, Italien, Russe
Doublage
Formation
Ecole du Studio Jean-Louis Martin-Barbaz
Stages professionnels avec John Strasberg (Paris et New York)
Stages professionnels avec Robin Renuucci, Mario Gonzales, Patricia Sterlin, Fabrice Merlo, Dawn Swiech
Stages professionnels avec John Strasberg (Paris et New York)
Stages professionnels avec Robin Renuucci, Mario Gonzales, Patricia Sterlin, Fabrice Merlo, Dawn Swiech
Cinéma
2011 "Les seigneurs" réalisé par Olivier Dahan
2008 "Les herbes folles" réalisé par Alain Resnais
2007 "Ah ! La libido..." réalisé par Michèle Rosier
2007 "Kabuli Kid" réalisé par Barmak Akram
2007 "Ce soir je dors chez toi" réalisé par Olivier Baroux
2004 "Pédale dure" réalisé par Gabriel Aghion
2000 "Malraux, tu m'étonnes !" réalisé par Michèle Rosier
2008 "Les herbes folles" réalisé par Alain Resnais
2007 "Ah ! La libido..." réalisé par Michèle Rosier
2007 "Kabuli Kid" réalisé par Barmak Akram
2007 "Ce soir je dors chez toi" réalisé par Olivier Baroux
2004 "Pédale dure" réalisé par Gabriel Aghion
2000 "Malraux, tu m'étonnes !" réalisé par Michèle Rosier
Courts métrages
2010 "Violence elle seule" réalisé par Eric Capitaine
2009 "Un dîner sans paroles" réalisé par Myriam Moraly
2009 "8 minutes ce matin là" ralisé par Luc David
2009 "Nebraska" réalisé par Valéry Schatz
"Wonderland" réalisé par Carlos Leal
"La muette" réalisé par Meta Akkus
"Happy birthday" réalisé par Gulu Monteiro
"Fantic" réalisé par Xavier de Choudens
"Sans titre" réalisé par David Rousseau et Valéry Schatz
2009 "Un dîner sans paroles" réalisé par Myriam Moraly
2009 "8 minutes ce matin là" ralisé par Luc David
2009 "Nebraska" réalisé par Valéry Schatz
"Wonderland" réalisé par Carlos Leal
"La muette" réalisé par Meta Akkus
"Happy birthday" réalisé par Gulu Monteiro
"Fantic" réalisé par Xavier de Choudens
"Sans titre" réalisé par David Rousseau et Valéry Schatz
Danse
Contemporaine
Langues
Français (maternelle)
Anglais (maternelle)
Espagnol (lu/parlé)
Anglais (maternelle)
Espagnol (lu/parlé)
Réalisation
2010 "Everybody Loves Paco" Valéry Schatz
2009 "Nebraska" Valéry Schatz
"Sans titre" Valéry Schatz et David Rousseau
2009 "Nebraska" Valéry Schatz
"Sans titre" Valéry Schatz et David Rousseau
Sports
Aviron - Escrime - Kung Fu - Natation
Boxe anglaise, entraînement régulier depuis 4 ans avec la coach Jo Kelly
Boxe anglaise, entraînement régulier depuis 4 ans avec la coach Jo Kelly
Télévision
2012 "R.I.S. Police Scientifique" réalisé par René Manzor
2011 "Doc Martin" réalisé par Didier Dalaitre
2011 "Trafics" réalisé par Olivier Barma
2010 "Profilage" réalisé par Eric Summer
2009 "Les méchantes" réalisé par Philippe Monnier
2008 "Equipe médicale d'urgence" ralisé par Etienne Dahene
2007 "Une soirée - Collection Maupassant" réalisé par Philippe Monnier
2007 "L'hôpital : Etat de choc” réalisé par Laurent Lévy
2007 "Samantha, Oups ! Au gîte : Coup de foudre avec Giovanni" réalisé par David Strajmayster
"Les bleus" réalisé par Vincent Monnet
"Diane femme flic : L’amour d’un fils" réalisé par Marc Angelo
"Commissaire Moulin : Etat d’Urgence" réalisé par Eric Summer
"P.J." réalisé par Gérard Vergez
"La vie devant nous" réalisé par Patrick Grandperret
2011 "Doc Martin" réalisé par Didier Dalaitre
2011 "Trafics" réalisé par Olivier Barma
2010 "Profilage" réalisé par Eric Summer
2009 "Les méchantes" réalisé par Philippe Monnier
2008 "Equipe médicale d'urgence" ralisé par Etienne Dahene
2007 "Une soirée - Collection Maupassant" réalisé par Philippe Monnier
2007 "L'hôpital : Etat de choc” réalisé par Laurent Lévy
2007 "Samantha, Oups ! Au gîte : Coup de foudre avec Giovanni" réalisé par David Strajmayster
"Les bleus" réalisé par Vincent Monnet
"Diane femme flic : L’amour d’un fils" réalisé par Marc Angelo
"Commissaire Moulin : Etat d’Urgence" réalisé par Eric Summer
"P.J." réalisé par Gérard Vergez
"La vie devant nous" réalisé par Patrick Grandperret
Théâtre
"Ciel ! Mon Feydeau" (d’après Georges Feydeau) Anthéa Sogno
"La double inconstance" (Marivaux) - Anthéa Sogno / Yvon Marciano
"Les chemins de fer" (Eugène Labiche) - Hervé van der Meulen
"Barouf à Chioggia" (Carlo Goldoni) - Jean-Louis Martin Barbaz
"Bajazet" (Jean Racine) - Hervé van der Meulen
"American buffalo" (David Mamet) - Joël Zaffarano
"Le songe d’une nuit d’été" (William Shakespeare) - Serge Lipszyc
"La double inconstance" (Marivaux) - Anthéa Sogno / Yvon Marciano
"Les chemins de fer" (Eugène Labiche) - Hervé van der Meulen
"Barouf à Chioggia" (Carlo Goldoni) - Jean-Louis Martin Barbaz
"Bajazet" (Jean Racine) - Hervé van der Meulen
"American buffalo" (David Mamet) - Joël Zaffarano
"Le songe d’une nuit d’été" (William Shakespeare) - Serge Lipszyc
Interview
R.S : Bonjour Valéry.
V.S : Bonjour Reynald ! Merci de ton accueil.
R.S : As-tu toujours eu l'envie de devenir comédien ?
V.S : Ça m'est venu assez tôt. J'ai démarré au théâtre, en amateur, à l'âge de 15 ans, à l'atelier théâtre de l'Ecole Alsacienne à Paris, dirigé par Pierre Lamy. On montait un spectacle par an, et on participait à tous les stades de la création, décors, costumes et interprétation. C'était fantastique.
R.S : Faire de cette passion un métier n'est certainement pas si simple ?
V.S : Non, d'autant que j'ai suivi d'abord des études de droit tout en continuant l'atelier théâtre en parallèle. Après avoir empoché mon diplôme de troisième cycle, j'ai enfin décidé de me lancer dans la carrière d'acteur et de continuer à apprendre, mais de manière plus exclusive... Je suis rentré au studio de Jean Louis Martin-Barbaz et j'ai intégré la compagnie l'année d'après, dans laquelle je suis resté 5 ans.
R.S : Abordes-tu les rôles différemment selon que tu es sur scène, devant un micro ou une caméra ?
V.S : Je dirais que tout est dans la manière d'aborder le travail. Lors de mon parcours professionnel, j'ai eu le privilège de rencontrer John Strasberg, le fils de Lee Strasberg qui dirigea l'actor Studio dans les années 50/60. Il m'a fait me poser les bonnes questions. Si je devais résumer en deux points, je dirais que l'essentiel est de ressentir et de s'impliquer personnellement. Et le but est évidemment la sincérité. C'est une méthode qui s'applique à toutes les branches du métier de comédien.
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
V.S : J'y suis venu en plusieurs fois. D'abord un peu jeune peut être, il y a une dizaine d'années, des amis avec qui je jouais au théâtre m'ont présenté des directeurs de plateau. Et j'ai commencé à faire des petits rôles dans des séries. J'avais du mal à être constant, je n'avais pas encore de méthode ! Ce n'est que beaucoup plus tard, en 2008, que j'y suis revenu plus sérieusement avec l'intention de faire des belles choses. Et je suis heureux aujourd'hui de constater que les belles choses arrivent !
R.S : Comment fais-tu pour rester le plus proche de l'œuvre originale ?
V.S : Il faut regarder ce qui se passe à l'image. Comprendre la situation, comprendre qui est le personnage, ce qu'il est en train de faire et de vivre. Ça demande une grande concentration, car le temps est compté. Il faut rester sincère, et ne pas avoir peur d'être soi-même. Il faut se faire confiance et lâcher prise.
R.S : En doublage, la rapidité est un facteur essentiel. Est-ce contraignant ou plutôt motivant au final ?
V.S : Même si le temps est compté, il ne faut pas avoir peur de prendre son temps, c'est le résultat qui compte. Et au final, on est jugé pour ça. Et en général ça va plus vite, car ça marche !
R.S : Qu'évoque pour toi l'expression "donner la réplique" ?
V.S : C'est une de mes spécialités ! J'ai eu le bonheur d'avoir pour premier professeur de théâtre Edmond Tamiz, l'Arlequin de Charles Dullin, qui disait : "Il faut jouer pour l'autre". Je crois que la générosité est essentielle pour un acteur, sans quoi on reste limité. Je tâche de rester vigilant car on est tous capables d'oublier ce principe de base.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
V.S : J'aime voyager, découvrir de nouvelles cultures. J'aime le sport. Je nage souvent. Je suis amateur de plongée sous marine. On apprend beaucoup sur soi et sur le fameux lâcher prise qui nous est si essentiel.
R.S : Merci beaucoup Valéry.
V.S : Merci à toi Reynald.
Interview de juillet 2012
V.S : Bonjour Reynald ! Merci de ton accueil.
R.S : As-tu toujours eu l'envie de devenir comédien ?
V.S : Ça m'est venu assez tôt. J'ai démarré au théâtre, en amateur, à l'âge de 15 ans, à l'atelier théâtre de l'Ecole Alsacienne à Paris, dirigé par Pierre Lamy. On montait un spectacle par an, et on participait à tous les stades de la création, décors, costumes et interprétation. C'était fantastique.
R.S : Faire de cette passion un métier n'est certainement pas si simple ?
V.S : Non, d'autant que j'ai suivi d'abord des études de droit tout en continuant l'atelier théâtre en parallèle. Après avoir empoché mon diplôme de troisième cycle, j'ai enfin décidé de me lancer dans la carrière d'acteur et de continuer à apprendre, mais de manière plus exclusive... Je suis rentré au studio de Jean Louis Martin-Barbaz et j'ai intégré la compagnie l'année d'après, dans laquelle je suis resté 5 ans.
R.S : Abordes-tu les rôles différemment selon que tu es sur scène, devant un micro ou une caméra ?
V.S : Je dirais que tout est dans la manière d'aborder le travail. Lors de mon parcours professionnel, j'ai eu le privilège de rencontrer John Strasberg, le fils de Lee Strasberg qui dirigea l'actor Studio dans les années 50/60. Il m'a fait me poser les bonnes questions. Si je devais résumer en deux points, je dirais que l'essentiel est de ressentir et de s'impliquer personnellement. Et le but est évidemment la sincérité. C'est une méthode qui s'applique à toutes les branches du métier de comédien.
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
V.S : J'y suis venu en plusieurs fois. D'abord un peu jeune peut être, il y a une dizaine d'années, des amis avec qui je jouais au théâtre m'ont présenté des directeurs de plateau. Et j'ai commencé à faire des petits rôles dans des séries. J'avais du mal à être constant, je n'avais pas encore de méthode ! Ce n'est que beaucoup plus tard, en 2008, que j'y suis revenu plus sérieusement avec l'intention de faire des belles choses. Et je suis heureux aujourd'hui de constater que les belles choses arrivent !
R.S : Comment fais-tu pour rester le plus proche de l'œuvre originale ?
V.S : Il faut regarder ce qui se passe à l'image. Comprendre la situation, comprendre qui est le personnage, ce qu'il est en train de faire et de vivre. Ça demande une grande concentration, car le temps est compté. Il faut rester sincère, et ne pas avoir peur d'être soi-même. Il faut se faire confiance et lâcher prise.
R.S : En doublage, la rapidité est un facteur essentiel. Est-ce contraignant ou plutôt motivant au final ?
V.S : Même si le temps est compté, il ne faut pas avoir peur de prendre son temps, c'est le résultat qui compte. Et au final, on est jugé pour ça. Et en général ça va plus vite, car ça marche !
R.S : Qu'évoque pour toi l'expression "donner la réplique" ?
V.S : C'est une de mes spécialités ! J'ai eu le bonheur d'avoir pour premier professeur de théâtre Edmond Tamiz, l'Arlequin de Charles Dullin, qui disait : "Il faut jouer pour l'autre". Je crois que la générosité est essentielle pour un acteur, sans quoi on reste limité. Je tâche de rester vigilant car on est tous capables d'oublier ce principe de base.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
V.S : J'aime voyager, découvrir de nouvelles cultures. J'aime le sport. Je nage souvent. Je suis amateur de plongée sous marine. On apprend beaucoup sur soi et sur le fameux lâcher prise qui nous est si essentiel.
R.S : Merci beaucoup Valéry.
V.S : Merci à toi Reynald.
Interview de juillet 2012