Tommy Lefort
Doublage
Voix
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Matmut (Radio)
Formation
2016 Formation doublage voix / IMDA Paris
2015 Masterclass Théâtre / Jean-Laurent Cochet et Pierre Delavène
2012/2015 Formation à la réalisation / Eicar Paris
2015 Masterclass Théâtre / Jean-Laurent Cochet et Pierre Delavène
2012/2015 Formation à la réalisation / Eicar Paris
Courts métrages
"Nocturnes" Prix du meiller scénario / Chelsea Film Festival de New York
"Le sténopé" de Arnaud Clary / Doublure voix 1er rôle
"Nocturnes" avec Adel Bencherif / Ecriture scénario et réalisation
"Peter Pan" Ecriture scénario et réalisation
"Samouraï en marinière" de Nina Kauffman / 1er rôle
"Le départ" de Rafaël Vanister / 1er rôle
"Un garçon nerveux et moustachu" de Nina Kauffman / 1er rôle
"Le sténopé" de Arnaud Clary / Doublure voix 1er rôle
"Nocturnes" avec Adel Bencherif / Ecriture scénario et réalisation
"Peter Pan" Ecriture scénario et réalisation
"Samouraï en marinière" de Nina Kauffman / 1er rôle
"Le départ" de Rafaël Vanister / 1er rôle
"Un garçon nerveux et moustachu" de Nina Kauffman / 1er rôle
Interview
R.S : Bonjour Tommy.
T.L : Bonjour Reynald !
R.S : Quel a été ton parcours de comédien ?
T.L : J'ai commencé par jouer pour des camarades de classe qui étaient dans l’école de réalisation où je suivais mes études. Ils avaient besoin d'acteurs pour leurs exercices. Je me suis prêté au jeu et j'y ai pris beaucoup de plaisir. Il fallait faire et ne pas réfléchir tout en restant très concentré. Parfois, une forme de lâcher-prise s'opérait, c'était très agréable et je me suis dit que c'était un chouette métier !
R.S : Je crois savoir que Jean-Laurent Cochet est un professeur d'art dramatique très réputé. Comment as-tu vécu la master classe de théâtre que tu as suivi avec lui et qu'en as-tu tiré ?
T.L : J'ai appris les 7 clefs de base propres à son cours, le but étant toujours le même : être VRAI ; à la fois très simple, mais très compliqué ! Je garde un très bon souvenir de cette formation et du groupe dans lequel j’étais.
R.S : La réalisation fait également partie de ta vie, est-ce une activité que tu aimerais développer davantage à l'avenir ?
T.L : Oui. J'ai commencé par me former à la réalisation et l'écriture et je suis en train de terminer l’écriture de mon second court-métrage : "Paris Année Zéro". J'aimerais beaucoup, par la suite, en faire une version long-métrage !
R.S : Comment as-tu fait tes premiers pas dans le doublage ?
T.L : Une amie devait prendre un cours de doublage avec Emmanuel Karsen. Elle n'a pas pu y aller et m'a invité à prendre sa place. J'y suis allé et Emmanuel Karsen m'a proposé de suivre une formation, ce que j'ai fait. Ivana Coppola m'a ensuite donné ma chance à plusieurs reprises et Catherine Le Lann m'a offert mon premier rôle important sur un acteur génial que j'ai découvert : Billy Howle.
R.S : Y a-t-il un des aspects de cette discipline très particulière qui t'a semblé le moins aisé à acquérir ?
T.L : La rythmo est très mécanique. Il faut apprendre à s'en détacher et essayer de ne jamais oublier que le plus important c'est le jeu !
R.S : Est-ce que le doublage t'apprend quelque chose en tant que comédien ?
T.L : Le doublage offre la possibilité d'incarner des personnages très différents les uns des autres. On se retrouve à jouer des personnages qu'on n'aurait jamais imaginé faire! C'est très enrichissant pour un comédien et cela permet d'élargir considérablement sa palette.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
T.L : Le cinéma, l'écriture, la lecture, les sorties entre amis.
R.S : Merci beaucoup Tommy.
T.L : Merci à toi Reynald, pour ton travail et ton investissement !
Interview de mars 2018
T.L : Bonjour Reynald !
R.S : Quel a été ton parcours de comédien ?
T.L : J'ai commencé par jouer pour des camarades de classe qui étaient dans l’école de réalisation où je suivais mes études. Ils avaient besoin d'acteurs pour leurs exercices. Je me suis prêté au jeu et j'y ai pris beaucoup de plaisir. Il fallait faire et ne pas réfléchir tout en restant très concentré. Parfois, une forme de lâcher-prise s'opérait, c'était très agréable et je me suis dit que c'était un chouette métier !
R.S : Je crois savoir que Jean-Laurent Cochet est un professeur d'art dramatique très réputé. Comment as-tu vécu la master classe de théâtre que tu as suivi avec lui et qu'en as-tu tiré ?
T.L : J'ai appris les 7 clefs de base propres à son cours, le but étant toujours le même : être VRAI ; à la fois très simple, mais très compliqué ! Je garde un très bon souvenir de cette formation et du groupe dans lequel j’étais.
R.S : La réalisation fait également partie de ta vie, est-ce une activité que tu aimerais développer davantage à l'avenir ?
T.L : Oui. J'ai commencé par me former à la réalisation et l'écriture et je suis en train de terminer l’écriture de mon second court-métrage : "Paris Année Zéro". J'aimerais beaucoup, par la suite, en faire une version long-métrage !
R.S : Comment as-tu fait tes premiers pas dans le doublage ?
T.L : Une amie devait prendre un cours de doublage avec Emmanuel Karsen. Elle n'a pas pu y aller et m'a invité à prendre sa place. J'y suis allé et Emmanuel Karsen m'a proposé de suivre une formation, ce que j'ai fait. Ivana Coppola m'a ensuite donné ma chance à plusieurs reprises et Catherine Le Lann m'a offert mon premier rôle important sur un acteur génial que j'ai découvert : Billy Howle.
R.S : Y a-t-il un des aspects de cette discipline très particulière qui t'a semblé le moins aisé à acquérir ?
T.L : La rythmo est très mécanique. Il faut apprendre à s'en détacher et essayer de ne jamais oublier que le plus important c'est le jeu !
R.S : Est-ce que le doublage t'apprend quelque chose en tant que comédien ?
T.L : Le doublage offre la possibilité d'incarner des personnages très différents les uns des autres. On se retrouve à jouer des personnages qu'on n'aurait jamais imaginé faire! C'est très enrichissant pour un comédien et cela permet d'élargir considérablement sa palette.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
T.L : Le cinéma, l'écriture, la lecture, les sorties entre amis.
R.S : Merci beaucoup Tommy.
T.L : Merci à toi Reynald, pour ton travail et ton investissement !
Interview de mars 2018