Cyprien Fiassé
Genres :
Voix Adulte homme
Tonalité :
Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Doublage
Formation
2019 Doublage, Stage Compagnie Les Séraphins
2016/2018 Atelier, Studio Pygmalion
2015 Jeu d'acteur, Stage Jack Waltzer
2015 Doublage, Stage Le Magasin - Compagnie Les vagabonds
2014/2015 Cinéma, ST2-cinéma Acting international
2013/2014 Cinéma, ST1-cinéma Acting international
2016/2018 Atelier, Studio Pygmalion
2015 Jeu d'acteur, Stage Jack Waltzer
2015 Doublage, Stage Le Magasin - Compagnie Les vagabonds
2014/2015 Cinéma, ST2-cinéma Acting international
2013/2014 Cinéma, ST1-cinéma Acting international
Autres
De 1996 à 2013 Formation et emploi en électrotechnique, automatisme, Production industrielle et logistique
Courts métrages
2014 "Libérable" (Watch your back) réalisé par David Ribeiro, dans le rôle de l'Ouvrier Daniel
Danse
Kizomba
Langues
Anglais courant (plusieurs séjours de longue durée à l'international)
Sports
Rugby, boxe, tae kwon do, football
Théâtre
2017 "Les belles soeurs" d'Eric Assous - mise en scène de Gisèle Gueguen, dans le rôle de David. Compagnie Jayann'act
Interview
R.S : Bonjour Cyprien.
C. F : Bonjour Reynald !
R.S : Tu parles anglais couramment car tu as fait plusieurs séjours de longue durée à l'international, précises-tu dans ton CV. Dans quels pays était-ce et dans quels contextes ?
C. F : Mon premier séjour s’est fait aux États-Unis, à Atlanta en Géorgie, Pour me familiariser avec l’anglais et j’y ai passé 3 mois. Puis j’y suis retourné dans un cadre professionnel pour des séjours de 2 mois et demi et 3 mois, en changeant souvent d’endroit durant ces périodes. Dans le cadre professionnel, je suis aussi allé au Portugal, en Espagne, République Tchèque, Pologne, Grèce, Chine et Azerbaïdjan.
R.S : A quel moment as-tu décidé de devenir comédien, car au départ tes études ne te menaient pas vers cette carrière ?
C. F : Il est arrivé un moment où je me suis rendu compte que je n’étais pas épanoui dans la vie que j’avais, que le plan que j’avais fait ne marchait pas et que la profession que j’avais choisie ne me motivait pas plus que ça. J’ai décidé de faire quelque chose qui m’anime.
R.S : Est-ce qu’il t’a été facile de savoir où te diriger et par quel chemin commencer ?
C. F : Il a été facile de savoir par où commencer car je devais commencer par me former et, avec Internet, on peut trouver pas mal de structures. J’ai fait quelques stages et j’ai choisi ma première école. C’est après que ça se complique, car il faut trouver du travail et là c’est autre chose, l’accès à l’information sur les castings n’est pas évident. Dans les écoles on commence à créer son réseau et à avoir des informations, puis sur Internet, puis sur des tournages (au début des courts-métrages, des projets étudiants...) et ainsi de suite. Mais il faut s’armer de courage et de patience. Car ce n’est pas un sprint mais un marathon, enfin pour la plupart des gens.
R.S : Comment est arrivé le doublage dans ta vie ?
C. F : C’est un ami avec lequel j’ai grandi et qui est aussi comédien, qui a eu la chance de rencontrer un directeur artistique, qui m’en a parlé. Mon ami m’a dit « je te verrais bien dans ce domaine ». Et comme ça m’a toujours attiré c’est devenu un réel objectif. Il m’a mis en relation avec ce DA, qui n’est autre que Jean-Marc Pannetier. J’ai commencé à chercher comment ça marchait et comment on y entrait. J’ai donc commencé à assister notamment avec Jean-Marc Pannetier, Thierry Wermuth et Catherine Le Lann, tout en poursuivant mes cours. J’ai fait mon premier cachet avec Marie-Christine Chevalier. Puis j’ai fait un stage au magasin, où j’ai rencontré Vincent Violette, Régis Reuilhac et Magali Barney. J’ai eu la chance d’être poussé par Magalie Barney et Catherine Le Lann, qui ont commencé à me faire travailler régulièrement. Je les remercie tout particulièrement, ainsi que Jean-Marc Pannetier.
R.S : Après ton stage au Magasin, pour quelle raison as-tu éprouvé l’envie d’en refaire un dans un autre cadre ?
C. F : Tout simplement l’envie de progresser, d’avoir d’autres retours et conseils. Afin de pouvoir défendre et jouer plus de choses et de prendre plus de plaisir.
R.S : Tu indiques "Kizomba" comme danse que tu pratiques. Quelle est-elle ?
C. F : C’est une danse de couple originaire d’Angola et dont la musique est inspirée et proche du zouk.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
C. F : Sport, lecture, sorties, cinéma.
R.S : Merci beaucoup Cyprien.
C. F : Merci à toi.
Interview de mars 2020
C. F : Bonjour Reynald !
R.S : Tu parles anglais couramment car tu as fait plusieurs séjours de longue durée à l'international, précises-tu dans ton CV. Dans quels pays était-ce et dans quels contextes ?
C. F : Mon premier séjour s’est fait aux États-Unis, à Atlanta en Géorgie, Pour me familiariser avec l’anglais et j’y ai passé 3 mois. Puis j’y suis retourné dans un cadre professionnel pour des séjours de 2 mois et demi et 3 mois, en changeant souvent d’endroit durant ces périodes. Dans le cadre professionnel, je suis aussi allé au Portugal, en Espagne, République Tchèque, Pologne, Grèce, Chine et Azerbaïdjan.
R.S : A quel moment as-tu décidé de devenir comédien, car au départ tes études ne te menaient pas vers cette carrière ?
C. F : Il est arrivé un moment où je me suis rendu compte que je n’étais pas épanoui dans la vie que j’avais, que le plan que j’avais fait ne marchait pas et que la profession que j’avais choisie ne me motivait pas plus que ça. J’ai décidé de faire quelque chose qui m’anime.
R.S : Est-ce qu’il t’a été facile de savoir où te diriger et par quel chemin commencer ?
C. F : Il a été facile de savoir par où commencer car je devais commencer par me former et, avec Internet, on peut trouver pas mal de structures. J’ai fait quelques stages et j’ai choisi ma première école. C’est après que ça se complique, car il faut trouver du travail et là c’est autre chose, l’accès à l’information sur les castings n’est pas évident. Dans les écoles on commence à créer son réseau et à avoir des informations, puis sur Internet, puis sur des tournages (au début des courts-métrages, des projets étudiants...) et ainsi de suite. Mais il faut s’armer de courage et de patience. Car ce n’est pas un sprint mais un marathon, enfin pour la plupart des gens.
R.S : Comment est arrivé le doublage dans ta vie ?
C. F : C’est un ami avec lequel j’ai grandi et qui est aussi comédien, qui a eu la chance de rencontrer un directeur artistique, qui m’en a parlé. Mon ami m’a dit « je te verrais bien dans ce domaine ». Et comme ça m’a toujours attiré c’est devenu un réel objectif. Il m’a mis en relation avec ce DA, qui n’est autre que Jean-Marc Pannetier. J’ai commencé à chercher comment ça marchait et comment on y entrait. J’ai donc commencé à assister notamment avec Jean-Marc Pannetier, Thierry Wermuth et Catherine Le Lann, tout en poursuivant mes cours. J’ai fait mon premier cachet avec Marie-Christine Chevalier. Puis j’ai fait un stage au magasin, où j’ai rencontré Vincent Violette, Régis Reuilhac et Magali Barney. J’ai eu la chance d’être poussé par Magalie Barney et Catherine Le Lann, qui ont commencé à me faire travailler régulièrement. Je les remercie tout particulièrement, ainsi que Jean-Marc Pannetier.
R.S : Après ton stage au Magasin, pour quelle raison as-tu éprouvé l’envie d’en refaire un dans un autre cadre ?
C. F : Tout simplement l’envie de progresser, d’avoir d’autres retours et conseils. Afin de pouvoir défendre et jouer plus de choses et de prendre plus de plaisir.
R.S : Tu indiques "Kizomba" comme danse que tu pratiques. Quelle est-elle ?
C. F : C’est une danse de couple originaire d’Angola et dont la musique est inspirée et proche du zouk.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
C. F : Sport, lecture, sorties, cinéma.
R.S : Merci beaucoup Cyprien.
C. F : Merci à toi.
Interview de mars 2020