Sophie Planet
Genres :
Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme, Voix Senior femme
Tonalité :
Medium
Doublage
Voix
Documentaire
16 and Recovering (Michèle Lipinski)
Documentaire
Curry empoisonné: Une femme au-dessus de tout soupçon (Renji Wilson - Netflix)
Documentaire
Liberté égalité sororité (Luise)
Livre audio
Le fantôme de l'Opéra (Histodio pour Hachette Jeunesse)
Narration
Dragons and damsels (France 5)
Narration
Inside the Boardroom (Planète +)
Narration
Les joyaux de la couronne (Planète+)
Narration
Les loutres des quartiers chics (Animaux)
Narration
Les voix de la libération (Planète+)
Narration
My love affair with the brain (Planète +)
Narration
Quand Pearl Harbor changea le destin de la France (France 2 Infrarouge)
Narration
Routes insolites Islande (France 5)
Narration
Une nuit, un meurtre (Planète +)
Narration & Voice-over
Les Six Femmes D'Henri VIII (Lucy Worsley - Planète+)
Publicité
Circé (Radio)
Publicité
Dark soul redemption (Mana Books - Net)
Publicité
It Cosmetics (Télé)
Publicité
Les Voisins (Danielle Steel - radio)
Publicité
Royale (de Danielle Steel - Radio)
Publicité
Salade de Schtroumpfs (Télé)
Série documentaire
Alexandre le Grand: Au rang des dieux (Carolyn Willekes - Netflix)
Voice-over
24 heures Europe (Arte)
Voice-over
Bad Vegan (Sarma - Netflix)
Voice-over
Gafa Nouveaux Hippocrates (Arte)
Formation
Training avec Valérie Drevon
Stage d'entraînement vocal et corporel avec M. Stojanovic
Cours Michel Granvale
Conservatoire régional de Toulouse, professeur Maurice Sarrazin
Stage d'entraînement vocal et corporel avec M. Stojanovic
Cours Michel Granvale
Conservatoire régional de Toulouse, professeur Maurice Sarrazin
Cinéma
1999 "Vive nous !" réalisé par Camille de Casabianca
Courts métrages
2006 "Box office" réalisé par Olivier Picolet
2000 "Blue bar" réalisé par Valérie Mréjen
2000 "Blue bar" réalisé par Valérie Mréjen
Publicités
"Lipton nuit" télévision
"La poste" support presse
"Nissan" support presse
"La poste" support presse
"Nissan" support presse
Télévision
2012/2014 "Scènes de ménages" réalisé par F. Duquet. Programme court pour M6
2006/2009 "La Famille Cro". Série jeunesse pour TF1
2003 "Numéros Chéris" réalisé par Francis Duquet. Série pilote pour France 2
2006/2009 "La Famille Cro". Série jeunesse pour TF1
2003 "Numéros Chéris" réalisé par Francis Duquet. Série pilote pour France 2
Théâtre
"Les pavés de l'ours" de Feydeau - mise en scène de L. Fernandez. Théâtre du Nord Ouest
"Les caprices de Marianne" de Musset - mise en scène de L. Malraux. Festival des Châteaux
"Alice et la maison des merveilles" de MJ. Guers - mise en scène de Axel Petersen. Festival des Châteaux
"Les fausses confidences" de Marivaux - mise en scène C. Brieux. Théâtre des Cinq Diamants
"Le pèlerin d'absolu" mise en scène de C. Brieux. Théâtre des Cinq Diamants
"Les seize petits nègres" de Pélaprat - mise en scène de A. Romain. Tournée et Avignon
"Les caprices de Marianne" de Musset - mise en scène de L. Malraux. Festival des Châteaux
"Alice et la maison des merveilles" de MJ. Guers - mise en scène de Axel Petersen. Festival des Châteaux
"Les fausses confidences" de Marivaux - mise en scène C. Brieux. Théâtre des Cinq Diamants
"Le pèlerin d'absolu" mise en scène de C. Brieux. Théâtre des Cinq Diamants
"Les seize petits nègres" de Pélaprat - mise en scène de A. Romain. Tournée et Avignon
Interview
R.S : Bonjour Sophie.
S.P : Bonjour Reynald.
R.S : Quelles questions t’es-tu posées lorsque tu as décidé de devenir comédienne ?
S.P : La décision n’a pas été prise d’un coup. J’ai toujours aimé le spectacle, l’art sous toutes ses formes. A cinq ans mes parents m’emmenaient déjà à l’Opéra ! Enfant, je jouais la comédie avec mes soeurs, mes amies, mais je n’imaginais pas vraiment que je pourrais en faire mon métier. Je me voyais plutôt avocate. Et puis l’idée a fait son chemin tout doucement et, poussée par des amis, j’ai tenté le conservatoire de Toulouse. Une fois reçue, il n’y avait plus qu’à plonger ! Les vraies questions sont venues plus tard.
R.S : Tu as fait le conservatoire de Toulouse. Tu imaginais déjà qu’il te faudrait par la suite "monter" à Paris, ce qui est quasiment indispensable pour un comédien ?
S.P : Oh oui, et c’est ce que je voulais ! Je suis née en banlieue parisienne et j’ai toujours eu des attaches à Paris. Je n’avais qu’une envie : y retourner et y rester. Un de mes professeur du conservatoire avait une école à Paris, je l’ai suivi.
R.S : Comment les choses se sont-elles passées professionnellement après Toulouse, alors ?
S.P : J’ai réalisé à ce moment-là que je partais de zéro. J’avais l’impression de ne pas avoir les codes, d’avoir un train de retard sur mes amis parisiens. Il fallait que je me construise un réseau.
R.S : Comment es-tu entrée dans le circuit du doublage ?
S.P : Par la voix-off que j’avais commencé à pratiquer. J’ai passé, presque par hasard, un casting pour une série animée satirique où je devais faire la quasi totalité des voix féminines. J’ai été choisie et j’ai adoré l’exercice. Les rencontres que j’ai pu faire ensuite ont fait le reste.
R.S : C’est une discipline que tu envisageais déjà lorsque tu as débuté ton parcours ?
S.P : Je n’y pensais même pas, je voyais ça comme un autre métier. Aujourd’hui je pense au contraire que c’est une autre facette du métier. Un enrichissement
R.S : Lorsque tu as commencé à en faire, qu’est-ce qui t’a semblé en être le défi essentiel ?
S.P : La disponibilité et la rapidité. Et la technique aussi ! Il faut rapidement se mettre au diapason de l’actrice que l’on double, s’aligner sur son énergie. Et en même temps on ressent une grande liberté à n’utiliser que sa voix.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
S.P : La lecture, les expositions de peinture, la marche dans les rues de Paris.
R.S : Merci beaucoup Sophie.
S.P : Merci à toi !
Interview de mars 2020
S.P : Bonjour Reynald.
R.S : Quelles questions t’es-tu posées lorsque tu as décidé de devenir comédienne ?
S.P : La décision n’a pas été prise d’un coup. J’ai toujours aimé le spectacle, l’art sous toutes ses formes. A cinq ans mes parents m’emmenaient déjà à l’Opéra ! Enfant, je jouais la comédie avec mes soeurs, mes amies, mais je n’imaginais pas vraiment que je pourrais en faire mon métier. Je me voyais plutôt avocate. Et puis l’idée a fait son chemin tout doucement et, poussée par des amis, j’ai tenté le conservatoire de Toulouse. Une fois reçue, il n’y avait plus qu’à plonger ! Les vraies questions sont venues plus tard.
R.S : Tu as fait le conservatoire de Toulouse. Tu imaginais déjà qu’il te faudrait par la suite "monter" à Paris, ce qui est quasiment indispensable pour un comédien ?
S.P : Oh oui, et c’est ce que je voulais ! Je suis née en banlieue parisienne et j’ai toujours eu des attaches à Paris. Je n’avais qu’une envie : y retourner et y rester. Un de mes professeur du conservatoire avait une école à Paris, je l’ai suivi.
R.S : Comment les choses se sont-elles passées professionnellement après Toulouse, alors ?
S.P : J’ai réalisé à ce moment-là que je partais de zéro. J’avais l’impression de ne pas avoir les codes, d’avoir un train de retard sur mes amis parisiens. Il fallait que je me construise un réseau.
R.S : Comment es-tu entrée dans le circuit du doublage ?
S.P : Par la voix-off que j’avais commencé à pratiquer. J’ai passé, presque par hasard, un casting pour une série animée satirique où je devais faire la quasi totalité des voix féminines. J’ai été choisie et j’ai adoré l’exercice. Les rencontres que j’ai pu faire ensuite ont fait le reste.
R.S : C’est une discipline que tu envisageais déjà lorsque tu as débuté ton parcours ?
S.P : Je n’y pensais même pas, je voyais ça comme un autre métier. Aujourd’hui je pense au contraire que c’est une autre facette du métier. Un enrichissement
R.S : Lorsque tu as commencé à en faire, qu’est-ce qui t’a semblé en être le défi essentiel ?
S.P : La disponibilité et la rapidité. Et la technique aussi ! Il faut rapidement se mettre au diapason de l’actrice que l’on double, s’aligner sur son énergie. Et en même temps on ressent une grande liberté à n’utiliser que sa voix.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
S.P : La lecture, les expositions de peinture, la marche dans les rues de Paris.
R.S : Merci beaucoup Sophie.
S.P : Merci à toi !
Interview de mars 2020