Bastien Bourlé
Genres :
Voix Adolescent garçon, Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Doublage
Interview
R.S : Bonjour Bastien.
B.B : Bonjour Reynald !
R.S : As-tu suivi une formation en art dramatique ?
B.B : Oui bien sûr, chez Périmony, une école d'art dramatique assez réputée dans le milieu. J'y ai suivi des cours pendant 3 ans.
R.S : Comment as-tu débuté professionnellement ?
B.B : Il faut remonter un peu plus loin, avant que je ne rentre dans le milieu du doublage. J'ai commencé par la voix-off après avoir fait une formation il y a environ 16 ans. Après 5 années à me faire ma place dans le milieu j'ai décidé qu'il était temps de me lancer. J'ai fait une rencontre qui m'a permis de faire mes premiers pas, d'abord avec des ambiances et des petits rôles, puis petit à petit j'ai fini par avoir des rôles plus importants.
R.S : Avant d’en faire toi-même, le doublage t’était-il déjà familier en tant que spectateur ?
B.B : Oui, je m'y suis intéressé à l'adolescence. J'ai grandi avec la VF, avant qu'on ait facilement accès aux versions originales. Alors j'essayais de reconnaître les voix et j'allais même chercher sur Internet le nom des comédiens. J'étais un peu fan avant de faire parti du métier.
R.S : Y a-t-il des comédiens dont le travail en doublage t'a particulièrement marqué ?
B.B : Oui, il y a beaucoup de comédiens dont j'admirais le travail, mais celui qui m'a vraiment marqué et même inspiré à faire ce métier c'est Emmanuel Curtil.
Je m'amusais plus jeune à copier son phrasé et ses intonations.
R.S : Quels souvenirs gardes-tu de tes premières fois derrière la barre ?
B.B : Pas très bons. Tout le monde à été bienveillant avec moi, mais j'étais très nerveux et j'avais beaucoup de mal à suivre. La rythmo qui défilent vite, regarder l'image en même temps que le texte, coller au synchronisme... j'ai mis pas mal de temps à apprendre la technique du doublage et à être à l'aise.
R.S : Te sens-tu plus libre lorsque tu doubles des personnages animés ?
B.B : D'une certaine manière oui, car on est moins dépendant de l'image. Le mouvement des lèvres est moins précis et il y a parfois un décalage entre la voix originale et l'image, alors on se permet de coller plus à l'image en adaptant un peu le jeu. Et puis les codes sont bien différents, on peut aller plus loin dans le jeu et se lâcher.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
B.B : Je joue beaucoup aux jeux vidéos, ce qui m'aide d'ailleurs quand je dois en doubler. Je joue de la guitare également et je pratique la boxe anglaise.
R.S : Merci beaucoup Bastien.
B.B : De rien ! Merci à toi de m'accueillir sur ton site et de permettre à tout un chacun d'en apprendre plus sur ce fabuleux métier.
Interview de juillet 2021
B.B : Bonjour Reynald !
R.S : As-tu suivi une formation en art dramatique ?
B.B : Oui bien sûr, chez Périmony, une école d'art dramatique assez réputée dans le milieu. J'y ai suivi des cours pendant 3 ans.
R.S : Comment as-tu débuté professionnellement ?
B.B : Il faut remonter un peu plus loin, avant que je ne rentre dans le milieu du doublage. J'ai commencé par la voix-off après avoir fait une formation il y a environ 16 ans. Après 5 années à me faire ma place dans le milieu j'ai décidé qu'il était temps de me lancer. J'ai fait une rencontre qui m'a permis de faire mes premiers pas, d'abord avec des ambiances et des petits rôles, puis petit à petit j'ai fini par avoir des rôles plus importants.
R.S : Avant d’en faire toi-même, le doublage t’était-il déjà familier en tant que spectateur ?
B.B : Oui, je m'y suis intéressé à l'adolescence. J'ai grandi avec la VF, avant qu'on ait facilement accès aux versions originales. Alors j'essayais de reconnaître les voix et j'allais même chercher sur Internet le nom des comédiens. J'étais un peu fan avant de faire parti du métier.
R.S : Y a-t-il des comédiens dont le travail en doublage t'a particulièrement marqué ?
B.B : Oui, il y a beaucoup de comédiens dont j'admirais le travail, mais celui qui m'a vraiment marqué et même inspiré à faire ce métier c'est Emmanuel Curtil.
Je m'amusais plus jeune à copier son phrasé et ses intonations.
R.S : Quels souvenirs gardes-tu de tes premières fois derrière la barre ?
B.B : Pas très bons. Tout le monde à été bienveillant avec moi, mais j'étais très nerveux et j'avais beaucoup de mal à suivre. La rythmo qui défilent vite, regarder l'image en même temps que le texte, coller au synchronisme... j'ai mis pas mal de temps à apprendre la technique du doublage et à être à l'aise.
R.S : Te sens-tu plus libre lorsque tu doubles des personnages animés ?
B.B : D'une certaine manière oui, car on est moins dépendant de l'image. Le mouvement des lèvres est moins précis et il y a parfois un décalage entre la voix originale et l'image, alors on se permet de coller plus à l'image en adaptant un peu le jeu. Et puis les codes sont bien différents, on peut aller plus loin dans le jeu et se lâcher.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
B.B : Je joue beaucoup aux jeux vidéos, ce qui m'aide d'ailleurs quand je dois en doubler. Je joue de la guitare également et je pratique la boxe anglaise.
R.S : Merci beaucoup Bastien.
B.B : De rien ! Merci à toi de m'accueillir sur ton site et de permettre à tout un chacun d'en apprendre plus sur ce fabuleux métier.
Interview de juillet 2021