Grégory Lerigab
Genres :
Voix Adolescent garçon, Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Doublage
Voix
Documentaire
Sprint (Saisons 1 & 2 - Zharnel Hughes, Paul Francis, Derron herah, Christian Coleman...)
Télé-réalité
Love Is Blind (Saison 8 - Devin, Mo)
Télé-réalité
Séduction haute tension : Allemagne (Kevin, Godfrey)
Télé-réalité
Unlocked : La prison fait un break (Big Country, Chauncey, Dre, Parkinson, Rashaad, Rosco, Scott, Weekley...)
Formation
Formation doublage Rhinocéros avec Jean-Marc Pannetier, Charlotte Coréa
Stage d'acting à Actors Factory
Cours de musique et d'Arts visuel au Conservatoire et au Centre Culturel des Lilas
CAP en Audiovisuel
Bac Littéraire options Théâtre
Stage d'acting à Actors Factory
Cours de musique et d'Arts visuel au Conservatoire et au Centre Culturel des Lilas
CAP en Audiovisuel
Bac Littéraire options Théâtre
Chant
Type de voix : Baryton Martin
Passions
Musique, sport (Boxe anglaise), lecture, cinéma, théâtre, création multimédia (Son et images)
Interview
R.S : Bonjour Grégory.
G.L : Salut Reynald et merci de me recevoir sur RS Doublage !
R.S : Tu dis être passionné par l'art et la comédie depuis ton plus jeune âge. Ce sont des choses qui avaient une place importante aussi dans ta famille ?
G.L : Oui, effectivement. Mon père était musicien et avait eu l’occasion également d’être dans une troupe de théâtre. Il avait aussi participé au scénario d’un film (dont je ne me souviens plus le nom), des anecdotes qu’il a aimé me rappeler quand je lui ai dit que je m’engageais dans cette voie. Il était grossiste pour des vidéo clubs et il devait visionner les films bien avant leur sortie, chose à laquelle il m’a initié très tôt et qui m’ont donné envie de jouer.
R.S : Pourquoi ne t'es-tu pas dirigé immédiatement vers la comédie ?
G.L : J’ai été confronté à un choix, et le dessin et la musique ont pris le pas (je souhaitais être un professionnel pour les films d’animation). Et en plus, à l’époque, être comédien n’était pas un métier dit "d’avenir" pour mes parents. J’avais aussi passé un casting très jeune pour un film, mais ne m’étant pas senti à la hauteur, j’ai mis la comédie en stand-by, mais toujours dans l’idée que j’aimerais pratiquer ce beau métier un jour.
R.S : Tu dis partager ta passion sur les réseaux sociaux. De quelle manière ?
G.L : Au travers du contenu que je propose autour du doublage. J’ai fait beaucoup de scènettes redoublées pour m’amuser et m’entraîner grâce à des bandes rythmo amateurs que je pouvais trouver sur les réseaux avant d’être professionnel. Je fais également des lives ou je partage avec des passionnés autour de mon expérience et aussi avec d’autres qui découvrent le métier.
R.S : Pourquoi est-ce le doublage en particulier que tu as choisi d'explorer ?
G.L : Le fait de pouvoir jouer une multitude de personnages dans des univers et des oeuvres complètement différentes est quelque chose que je trouve incroyable, et ça permet d’explorer énormément d’aspects de la comédie. Encore plus quand ce sont des rôles complètement éloignés de ma véritable personnalité. C’est comme quand on jouait à se déguiser quand on était petit. J’ai même pu doubler un cheval, c’est dire comme on peut interpréter des choses variées.
R.S : Quelqu'un en particulier t'a donné l’envie de travailler dans cette branche de la profession ?
G.L : Il y en a tant que je n’arriverai pas à tous les citer. Mais il y a eu Alexis Tomassian, Richard Darbois, le regretté Patrick Poivey, Donald Reignoux, Hervé Grull, Jean-Michel Vaubien, Jacques Frantz, Jean-Marc Pannetier pour ne citer qu’eux. J’ai aujourd’hui l’opportunité incroyable de travailler avec certains d’entre eux, qui ne manquent pas de m’encourager énormément.
R.S : Regardes-tu les VF toi-même en tant que spectateur ?
G.L : Oui, à fond. Bien que j’exerce dans le métier, je reste un grand passionné de VF. Je continue de regarder la VO également, pour entretenir mon anglais et pour capter également le jeu à la source. Et quand une oeuvre me marque particulièrement, je n’hésite pas à regarder les deux versions.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
G.L : J’aime faire beaucoup de choses. J’aime écrire, interpréter et composer de la musique, j’aime également la vidéo et le motion design que je pratique depuis plusieurs années maintenant. Sorties culturelles comme le théâtre, musées, le cinéma ou des concerts de musique. Et au niveau du sport, la boxe anglaise reste mon favori (pas de panique, je ne fracasse que les sacs de frappe haha). Et j’en passe.
R.S : Merci beaucoup Grégory.
G.L : Merci à toi Reynald.
Interview de janvier 2023
G.L : Salut Reynald et merci de me recevoir sur RS Doublage !
R.S : Tu dis être passionné par l'art et la comédie depuis ton plus jeune âge. Ce sont des choses qui avaient une place importante aussi dans ta famille ?
G.L : Oui, effectivement. Mon père était musicien et avait eu l’occasion également d’être dans une troupe de théâtre. Il avait aussi participé au scénario d’un film (dont je ne me souviens plus le nom), des anecdotes qu’il a aimé me rappeler quand je lui ai dit que je m’engageais dans cette voie. Il était grossiste pour des vidéo clubs et il devait visionner les films bien avant leur sortie, chose à laquelle il m’a initié très tôt et qui m’ont donné envie de jouer.
R.S : Pourquoi ne t'es-tu pas dirigé immédiatement vers la comédie ?
G.L : J’ai été confronté à un choix, et le dessin et la musique ont pris le pas (je souhaitais être un professionnel pour les films d’animation). Et en plus, à l’époque, être comédien n’était pas un métier dit "d’avenir" pour mes parents. J’avais aussi passé un casting très jeune pour un film, mais ne m’étant pas senti à la hauteur, j’ai mis la comédie en stand-by, mais toujours dans l’idée que j’aimerais pratiquer ce beau métier un jour.
R.S : Tu dis partager ta passion sur les réseaux sociaux. De quelle manière ?
G.L : Au travers du contenu que je propose autour du doublage. J’ai fait beaucoup de scènettes redoublées pour m’amuser et m’entraîner grâce à des bandes rythmo amateurs que je pouvais trouver sur les réseaux avant d’être professionnel. Je fais également des lives ou je partage avec des passionnés autour de mon expérience et aussi avec d’autres qui découvrent le métier.
R.S : Pourquoi est-ce le doublage en particulier que tu as choisi d'explorer ?
G.L : Le fait de pouvoir jouer une multitude de personnages dans des univers et des oeuvres complètement différentes est quelque chose que je trouve incroyable, et ça permet d’explorer énormément d’aspects de la comédie. Encore plus quand ce sont des rôles complètement éloignés de ma véritable personnalité. C’est comme quand on jouait à se déguiser quand on était petit. J’ai même pu doubler un cheval, c’est dire comme on peut interpréter des choses variées.
R.S : Quelqu'un en particulier t'a donné l’envie de travailler dans cette branche de la profession ?
G.L : Il y en a tant que je n’arriverai pas à tous les citer. Mais il y a eu Alexis Tomassian, Richard Darbois, le regretté Patrick Poivey, Donald Reignoux, Hervé Grull, Jean-Michel Vaubien, Jacques Frantz, Jean-Marc Pannetier pour ne citer qu’eux. J’ai aujourd’hui l’opportunité incroyable de travailler avec certains d’entre eux, qui ne manquent pas de m’encourager énormément.
R.S : Regardes-tu les VF toi-même en tant que spectateur ?
G.L : Oui, à fond. Bien que j’exerce dans le métier, je reste un grand passionné de VF. Je continue de regarder la VO également, pour entretenir mon anglais et pour capter également le jeu à la source. Et quand une oeuvre me marque particulièrement, je n’hésite pas à regarder les deux versions.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
G.L : J’aime faire beaucoup de choses. J’aime écrire, interpréter et composer de la musique, j’aime également la vidéo et le motion design que je pratique depuis plusieurs années maintenant. Sorties culturelles comme le théâtre, musées, le cinéma ou des concerts de musique. Et au niveau du sport, la boxe anglaise reste mon favori (pas de panique, je ne fracasse que les sacs de frappe haha). Et j’en passe.
R.S : Merci beaucoup Grégory.
G.L : Merci à toi Reynald.
Interview de janvier 2023