Jean-François Vlérick
Doublage
télévision, VOD & DVD
2023
télévision, VOD & DVD
1989
Direction artistique
La cité interdite (co-direction - jeux des musées nationaux)
CD-ROM
La grande Pyramide (co-direction - jeux des musées nationaux)
CD-ROM
Versailles (co-direction - jeux des musées nationaux)
CD-ROM
Formation
Niveau Bac littéraire
Linguistique : Anglais courant - Notion d'allemand
Etude de psychologie - Auditeur libre - Fac Saint Père
Etude des mythes et des traditions - Auditeur libre - Ecole des hautes études de la Sorbonne
Théâtre :
Débute à 7 ans au Théâtre des Variétés
1981 : Ecole de la Forge Royale - Edgardo Lusi
1982 : New York Etude de la "méthode Stanislavsky" école du Real Stage - John Strasberg et M.T. Sherwood… puis comme auditeur à l'actor studio
1982 : Admis par Lee Strasberg à son cour
1984 -87 : Divers stages " Tragédie et modernité " E. Chailloux , Adel Hakim
1990 : Stage Chœur antique . P. Adrien
1991-92 : Atelier Classique Eva Saint Paul
Musique :
Chant lyrique et placement de voix : New York puis Paris avec, M.Le Maradour, B.Romain, M Dens
Batterie et percussions :école Kenny Clark
Ecriture :
Stage et atelier d'écriture théâtrale - Christian Rullier et Christiane Cohendy
Audiovisuelle :
1984 : Stages création et technique nouvelles images et nouveaux sons - Bourges
1985 : Stage de montage Vidéo
Divers :
Danse: New York , école " 42th Street " - moderne jazz
Equitation : Initiation à la cascade et au dressage équestre, avec G. Branche
Escrime et combat scénique : Cité universitaire . Bob Edel-Rebott
Notions techniques et pratiques de l'éclairage et de la construction de décors
Linguistique : Anglais courant - Notion d'allemand
Etude de psychologie - Auditeur libre - Fac Saint Père
Etude des mythes et des traditions - Auditeur libre - Ecole des hautes études de la Sorbonne
Théâtre :
Débute à 7 ans au Théâtre des Variétés
1981 : Ecole de la Forge Royale - Edgardo Lusi
1982 : New York Etude de la "méthode Stanislavsky" école du Real Stage - John Strasberg et M.T. Sherwood… puis comme auditeur à l'actor studio
1982 : Admis par Lee Strasberg à son cour
1984 -87 : Divers stages " Tragédie et modernité " E. Chailloux , Adel Hakim
1990 : Stage Chœur antique . P. Adrien
1991-92 : Atelier Classique Eva Saint Paul
Musique :
Chant lyrique et placement de voix : New York puis Paris avec, M.Le Maradour, B.Romain, M Dens
Batterie et percussions :école Kenny Clark
Ecriture :
Stage et atelier d'écriture théâtrale - Christian Rullier et Christiane Cohendy
Audiovisuelle :
1984 : Stages création et technique nouvelles images et nouveaux sons - Bourges
1985 : Stage de montage Vidéo
Divers :
Danse: New York , école " 42th Street " - moderne jazz
Equitation : Initiation à la cascade et au dressage équestre, avec G. Branche
Escrime et combat scénique : Cité universitaire . Bob Edel-Rebott
Notions techniques et pratiques de l'éclairage et de la construction de décors
Audiovisuel
1983 Fonde un groupe de vidéastes et de télévision pirate
1984/1987 Crée et dirige une SARL de production vidéo "Infrarouge" qui réalise divers vidéo-clips, courts métrages video, Video de mode, show vidéos direct (ex: lancement Swatch à Beaubourg)
1989 Création d'une galerie-coopérative, à Ramatuelle (Var)
1999 Direction artistique des voix des CD-ROM Versailles, Pharaon, La cité interdite, pour CRYO interactive
1984/1987 Crée et dirige une SARL de production vidéo "Infrarouge" qui réalise divers vidéo-clips, courts métrages video, Video de mode, show vidéos direct (ex: lancement Swatch à Beaubourg)
1989 Création d'une galerie-coopérative, à Ramatuelle (Var)
1999 Direction artistique des voix des CD-ROM Versailles, Pharaon, La cité interdite, pour CRYO interactive
Auteur
1984/1988 divers court métrage écrits pour Miou-Miou, Pascal Grégorie
1980/1992 Paroles et lyrics divers pour groupe rock et jazz-rock
2001 "Si j'étais moi" court métrage
2003 Adaptation théâtrale de "Derrière la porte" Roman d'olivier Lebleu
2004 Bacchanales : tirées des Bacchantes d'Euripide et de la naissance de la tragédie de Nietzsche, pour les Rencontre de la Cartoucherie juin 2004
2005/2008 diverses contributions dramaturgiques avec des auteurs, P. Rodriguez, O. Lebleu
2008/2010 Piécètes et textes dramaturgiques au lectures du Picolo
1980/1992 Paroles et lyrics divers pour groupe rock et jazz-rock
2001 "Si j'étais moi" court métrage
2003 Adaptation théâtrale de "Derrière la porte" Roman d'olivier Lebleu
2004 Bacchanales : tirées des Bacchantes d'Euripide et de la naissance de la tragédie de Nietzsche, pour les Rencontre de la Cartoucherie juin 2004
2005/2008 diverses contributions dramaturgiques avec des auteurs, P. Rodriguez, O. Lebleu
2008/2010 Piécètes et textes dramaturgiques au lectures du Picolo
Cinéma
1990 "La source" réalisé par Jean-Jacques Aublanc
1989 "La soule" réalisé par Michel Sibra
1981 "Liberty belle" réalisé par Pascal Kané, dans le rôle de Boris
1979 "La maison des Bories" réalisé par Jacques Doniol-Valcroze
1970 "La promesse" réalisé par Robert Freeman
1968 "Trois enfants... dans le désordre" réalisé par Léo Joannon
1966 "L'homme à la Buick" réalisé par Gilles Grangier
1989 "La soule" réalisé par Michel Sibra
1981 "Liberty belle" réalisé par Pascal Kané, dans le rôle de Boris
1979 "La maison des Bories" réalisé par Jacques Doniol-Valcroze
1970 "La promesse" réalisé par Robert Freeman
1968 "Trois enfants... dans le désordre" réalisé par Léo Joannon
1966 "L'homme à la Buick" réalisé par Gilles Grangier
Courts-métrages
"Entre vue" réalisé par T. Goldenberg
Enseignement, animation, direction d’atelier
1992 Intervient dans le stage de recherche "Rites et rituels au théâtre" (Agathe à Grenoble festival européen de jeune théâtre)
1993/1997 Ateliers théâtre, de la croix des Ouches maison Alfort
1994 organise et dirige un stage de formation à l’animation théâtrale à Lagny
1996 Atelier théâtre enfant Bibliothèque de la joie par les livres Clamart
1998 Atelier théâtre en milieu scolaire école Hermel
1999 Animation d’ateliers en milieu scolaire spectacle ”Tour du monde en 80 jours”
2003/2008 Atelier au cedec
2007/2008 Création en résidence au Lycée de l'atlantique de Royan représenté créer en copro a St Georges de Didonne "Victime du devoir" Ionesco
1993/1997 Ateliers théâtre, de la croix des Ouches maison Alfort
1994 organise et dirige un stage de formation à l’animation théâtrale à Lagny
1996 Atelier théâtre enfant Bibliothèque de la joie par les livres Clamart
1998 Atelier théâtre en milieu scolaire école Hermel
1999 Animation d’ateliers en milieu scolaire spectacle ”Tour du monde en 80 jours”
2003/2008 Atelier au cedec
2007/2008 Création en résidence au Lycée de l'atlantique de Royan représenté créer en copro a St Georges de Didonne "Victime du devoir" Ionesco
Mise en scène
1993 Assistant à la réalisation d’un spectacle-événement historique La Saga de Sigurd de M Sarraut à Pirou Normandie
1993 Evènementiel, inauguration Usine éphémère rue David D’Angers
1993/1994 Sept pièces radiophoniques diffusées sur RCJ
1993 ”La crypte et la chèvre" de Léonide Arcade théâtre Montorgueuil
1994 ”Demain c'était hier" Opéra avec Françoise Dasq de P. et M. Jolivet Théâtre de la cour des Noues et Avignon théâtre des Roues
1995 ”Trop de rêve” avec et de Jean-Pierre Maurin Théâtre Clavel
1996 ”Sur Tout ce qui bouge” Christian Rullier. Croix des Ouches Maison Alfort
1997 ”Médecin volant” Molière et ”un Procès” de Courteline. Ouches Maison Alfort
2003 "Elepebel la vie" Leila Miloudi. Rencontre de la cartoucherie
2004 "révolte" Régis Ivanov Jef Vlerick Boltansky. Rencontre de la cartoucherie
2005 "l'auréole" Philippe Rodriguez. Rencontre de la cartoucherie
2006 "Victimes du devoir" Ionesco. Le crea de st georges de didonne 17
2008 Evènementiel inaugural du conservatoire de Saint Maurice
1993 Evènementiel, inauguration Usine éphémère rue David D’Angers
1993/1994 Sept pièces radiophoniques diffusées sur RCJ
1993 ”La crypte et la chèvre" de Léonide Arcade théâtre Montorgueuil
1994 ”Demain c'était hier" Opéra avec Françoise Dasq de P. et M. Jolivet Théâtre de la cour des Noues et Avignon théâtre des Roues
1995 ”Trop de rêve” avec et de Jean-Pierre Maurin Théâtre Clavel
1996 ”Sur Tout ce qui bouge” Christian Rullier. Croix des Ouches Maison Alfort
1997 ”Médecin volant” Molière et ”un Procès” de Courteline. Ouches Maison Alfort
2003 "Elepebel la vie" Leila Miloudi. Rencontre de la cartoucherie
2004 "révolte" Régis Ivanov Jef Vlerick Boltansky. Rencontre de la cartoucherie
2005 "l'auréole" Philippe Rodriguez. Rencontre de la cartoucherie
2006 "Victimes du devoir" Ionesco. Le crea de st georges de didonne 17
2008 Evènementiel inaugural du conservatoire de Saint Maurice
Musique
1977/1984 divers groupes de rock et Jazz-rock, comme batteur puis chanteur compositeur, spectacle en tournée et "Bus Paladium", "Gibus"
Radio
2018 "La révolte des couvertures - Retour à Killybegs de Sorj Chalandon" adapté et réalisé par Pascal Deux. France Culture
Télévision
2010 "L’épervier" réalisé par Stéphane Clavier
2010 "L'affaire du collier de la reine" réalisé par Ghislain Vidal
2009 "Engrenage - Saison 3" réalisé par Manuel Boursinha
2008 "une passion frabçaise" réalisé par Sébastien Graal
2007 "Soeur Thérèse .com" réalisé par Vicenzo Marano
2007 "Avocats & associés" réalisé par Bruno Garcia
2006 "Comissaire moulin" réalisé par Yves Rénier
2005 "enfant de personne" réalisé par Michel Perrota
2004 “Même âge , même adresse" réalisé par B.Garcia
2003 "Tout pour être heureux" réalisé par Jean-Denis Robert, dans le rôle d'Alex
2002 "Le juge est une femme" réalisé par Stephane Kappes
2002 "J'ai vu le diable pleurer" réalisé par Frederick Kahn
2002 "Rien ne vas plus" réalisé par Michel Sibra, dans le rôle de Valentin
2000 "Marie tempête" réalisé par Denis Malleval, dans le rôle de Pierre
1999 "La poursuite du vent" réalisé par Nina Companéez, dans le rôle de Thomas
1995 "Julie Lescaut" réalisé par Alain Bonnot
1994 "Maigret et les témoins récalcitrant" réalisé par Michel Sibra, dans le rôle de Sainval
1992 "Délit d'initié" réalisé par Philippe Galardi
1991 "L'enfant des loups" (version anglaise) réalisé par Philippe Monnier
1989 "la Grande cabriolle" réalisé par Nina Companéez
1986 "Albert Schweitzer" réalisé par M. Bauer
1985 "Noël au Congo" réalisé par Patrick Gandery-Réty, dans le rôle de Fred
1983 "La dictée" réalisé par Jean-Pierre Marchand, dans le rôle de Laurent
1981 "Loreleï" réalisé par Jacques Doniol-Valcroze, dans le rôle de Julien
1978 "Brigade des Mineurs" réalisé par Peter Kassovitz & Jean Chapot
1976 "Adios" réalisé par André Michel
1964 "93" (V.Hugo) réalisé par Maurice Bluval
2010 "L'affaire du collier de la reine" réalisé par Ghislain Vidal
2009 "Engrenage - Saison 3" réalisé par Manuel Boursinha
2008 "une passion frabçaise" réalisé par Sébastien Graal
2007 "Soeur Thérèse .com" réalisé par Vicenzo Marano
2007 "Avocats & associés" réalisé par Bruno Garcia
2006 "Comissaire moulin" réalisé par Yves Rénier
2005 "enfant de personne" réalisé par Michel Perrota
2004 “Même âge , même adresse" réalisé par B.Garcia
2003 "Tout pour être heureux" réalisé par Jean-Denis Robert, dans le rôle d'Alex
2002 "Le juge est une femme" réalisé par Stephane Kappes
2002 "J'ai vu le diable pleurer" réalisé par Frederick Kahn
2002 "Rien ne vas plus" réalisé par Michel Sibra, dans le rôle de Valentin
2000 "Marie tempête" réalisé par Denis Malleval, dans le rôle de Pierre
1999 "La poursuite du vent" réalisé par Nina Companéez, dans le rôle de Thomas
1995 "Julie Lescaut" réalisé par Alain Bonnot
1994 "Maigret et les témoins récalcitrant" réalisé par Michel Sibra, dans le rôle de Sainval
1992 "Délit d'initié" réalisé par Philippe Galardi
1991 "L'enfant des loups" (version anglaise) réalisé par Philippe Monnier
1989 "la Grande cabriolle" réalisé par Nina Companéez
1986 "Albert Schweitzer" réalisé par M. Bauer
1985 "Noël au Congo" réalisé par Patrick Gandery-Réty, dans le rôle de Fred
1983 "La dictée" réalisé par Jean-Pierre Marchand, dans le rôle de Laurent
1981 "Loreleï" réalisé par Jacques Doniol-Valcroze, dans le rôle de Julien
1978 "Brigade des Mineurs" réalisé par Peter Kassovitz & Jean Chapot
1976 "Adios" réalisé par André Michel
1964 "93" (V.Hugo) réalisé par Maurice Bluval
Théâtre
2015/2016 "Le manuscrit de Rembrandt" adaptation Céline Duhamel du livre Rembrandt Kabbaliste de Raoul Mourgues - mise en scène & scénographie de Patrick Courtois. Théâtre le Ranelagh
2010 "Inflammable" la Compagnie Jolie Môme d’après une pièce de Thierry Gatinet. La Belle Etoile
2005 "Révolte et autre rébellions" R. Ivanov, Boltansky. Rencontres cartoucheries
2004 "EllepabeL.lavi" mise en scène de Jef Vlerick
2003 "Cadavres exquis" mise en scène de G. de Kermabon & P.Adrien
2003 "Monsieur Toussaint" de E. Glissant et mise en scène de Greg Germain
2002 "Le tour du monde en 80 jours" Kohout et mise en scène de François Kergourley
2001/2002 "Le roi Lear" de W.Sheakspeare et mise en scène de Philippe Adrien. Théâtre Tempête et en tournée
2001 "Les fourberies de Scapin" de Molière et mise en scène de Fr Kergourley. Festival de Grignan
2000 "Le roi Lear" de W.Sheakspeare et mise en scène de Philippe Adrien. Théâtre Tempête
2000 "Bagages accompagnés" mise en scène de Serge Hureau
2000 "Médé" de Sénèque et mise en scène de Jean Pierre Girard, dans le rôle de Jason
1999 "Le tour du monde en 80 jours" mise en scène de François Kergourley
1998 "Phèdre" d'après Racine et mise en scène de Sotha, dans le rôle de Thésé. Café de la gare
1997 "Hamlet" de Sheakspeare et mise en scène de Philippe Adrien, dans le rôle de Laertes
1998 "Horace" de Corneille et mise en scène de Marion Bierry, dans le rôle de Curiace. Théâtre de l'Oeuvre
1997 "Mattis et les oiseaux" de T.Vesaas et mise en scène d'Adel Hakim
1996 "les chevaliers de la table ronde" mise en scène de François Joxe
1995 "Woyzeck" de Buchner et mise en scène de Gilles Bouillon
1994 "L'augmentation" de G. Perec et mise en scène d'Anne-Laure Liègeois
1992 "Le chant de la baleine abandonnée" mise en scène de S. Oswald
1991 "La saga de Sigurd" mise en scène de Marion Sarraut
1989 "Feux" de M. Yourcenar et mise en scène de Jean-Pierre Nortel. Avignon
1987 "Alexandre le Grand" de Racine et mise en scène d'Elisabeth Chailloux
1983 "Le paradis sur terre" de TWilliams et mise en scène d'Elisabeth Chailloux. Théâtre aquarium
1982 "Tragédie au radar" mise en scène de Romain Bouteille. Café de la gare...
1974 "Charlie Brown" mise en scène de Michel Fagadeau
1965 "les Troyennes" d'Euripide et mise en scène de Michel Cacoyannis
1964 "En attendant Godot "de S. Beckett et mise en scène de Roger Blin
2010 "Inflammable" la Compagnie Jolie Môme d’après une pièce de Thierry Gatinet. La Belle Etoile
2005 "Révolte et autre rébellions" R. Ivanov, Boltansky. Rencontres cartoucheries
2004 "EllepabeL.lavi" mise en scène de Jef Vlerick
2003 "Cadavres exquis" mise en scène de G. de Kermabon & P.Adrien
2003 "Monsieur Toussaint" de E. Glissant et mise en scène de Greg Germain
2002 "Le tour du monde en 80 jours" Kohout et mise en scène de François Kergourley
2001/2002 "Le roi Lear" de W.Sheakspeare et mise en scène de Philippe Adrien. Théâtre Tempête et en tournée
2001 "Les fourberies de Scapin" de Molière et mise en scène de Fr Kergourley. Festival de Grignan
2000 "Le roi Lear" de W.Sheakspeare et mise en scène de Philippe Adrien. Théâtre Tempête
2000 "Bagages accompagnés" mise en scène de Serge Hureau
2000 "Médé" de Sénèque et mise en scène de Jean Pierre Girard, dans le rôle de Jason
1999 "Le tour du monde en 80 jours" mise en scène de François Kergourley
1998 "Phèdre" d'après Racine et mise en scène de Sotha, dans le rôle de Thésé. Café de la gare
1997 "Hamlet" de Sheakspeare et mise en scène de Philippe Adrien, dans le rôle de Laertes
1998 "Horace" de Corneille et mise en scène de Marion Bierry, dans le rôle de Curiace. Théâtre de l'Oeuvre
1997 "Mattis et les oiseaux" de T.Vesaas et mise en scène d'Adel Hakim
1996 "les chevaliers de la table ronde" mise en scène de François Joxe
1995 "Woyzeck" de Buchner et mise en scène de Gilles Bouillon
1994 "L'augmentation" de G. Perec et mise en scène d'Anne-Laure Liègeois
1992 "Le chant de la baleine abandonnée" mise en scène de S. Oswald
1991 "La saga de Sigurd" mise en scène de Marion Sarraut
1989 "Feux" de M. Yourcenar et mise en scène de Jean-Pierre Nortel. Avignon
1987 "Alexandre le Grand" de Racine et mise en scène d'Elisabeth Chailloux
1983 "Le paradis sur terre" de TWilliams et mise en scène d'Elisabeth Chailloux. Théâtre aquarium
1982 "Tragédie au radar" mise en scène de Romain Bouteille. Café de la gare...
1974 "Charlie Brown" mise en scène de Michel Fagadeau
1965 "les Troyennes" d'Euripide et mise en scène de Michel Cacoyannis
1964 "En attendant Godot "de S. Beckett et mise en scène de Roger Blin
Interview
R.S : Bonjour Jean-François.
J.F.V : Bonjour.
R.S : Je sais que ta carrière de comédien a débuté lorsque tu étais enfant. Comment tout cela a-t-il commencé ? Je pense qu'être issu d'une famille où la comédie est très présente y est pour beaucoup ?
J.F.V : Cette partie de mon artisanat qu'est le doublage m'est venue avec le reste par la pratique comme d'autres pour qui le pain s'apprend en traînant au fournil. L'un de mes frères a l'habitude de rapprocher notre famille de celles du cirque en disant que nous sommes de la roulotte, de ces familles qui dressaient leurs planches sur des tréteaux dans les foires. Nos tréteaux à nous étaient les théâtres, les studios de cinéma et de télé, les plateaux de doublage, mais nous sommes toujours restés des bohémiens. D'ailleurs, comme "les romanichels" nous continuons à faire un peu peur. Nous sommes incontrôlables, suivant notre seule loi : celle de l'art d'un art à haut risque où certaines grandes questions se règlent... au fusil !
R.S : D'ailleurs, c'est aussi pendant l'enfance que tu as commencé le doublage ?
J.F.V : J'ai eu la chance de passer une partie de mes jeudis et de mes vacances dans le parc des studios de Gennevilliers et autres jardins de grands studios où, entre deux boucles, nous faisions les pires conneries. Mais sur les plateaux les anciens nous tenaient serrés. Je me rappellerai toujours sur "Amarcord" que Fellini avait exigé de faire redoubler avec ma voix, Serge Nadeau m'apprenant à dire le mot "excusez". J'en ai pleuré. Mais je leur dois de parler un français de qualité, simplement en l'entendant de la bouche de George Aminel que ça n'empêchait pas de faire "Grosminet" avec Titi, ou de Claude Joseph avec sa gouaille si distinguée, et tant d'autres qui se sentaient responsables de la langue française.
R.S : J'imagine qu'en touchant si jeune et en même temps à différentes branches de la profession cela te donne une approche particulière et un choix plus large dans l'exercice de ton métier ?
J.F.V : Pour l'artiste c'est un avantage, l'éclectisme, mais pour l'artisan et même l'industriel que nous sommes devenus, c'est un handicap. Aujourd'hui, l'ambition n'est plus seulement artistique. Il faut savoir exploiter, plus que suivre, son intuition sa sensibilité. On n'est pas là pour se donner mais pour produire et il faut se contrôler. Je dirais surtout que j'ai le cul entre trente-six chaises.
R.S : Le théâtre est très important dans ta carrière. Le contact avec le public te donne probablement des sensations particulièrement intenses ?
J.F.V : Le théâtre est la base, l'essentiel de notre métier. Si nous avons beaucoup de plaisir à faire notre job ce n'est pas pour notre satisfaction personnelle, c'est pour le bonheur du public, le plaisir de s'amuser, de s'interroger, d'apprendre. Le théâtre est essentiellement consacré à cela. C'est donc là que nous faisons pleinement notre travail au service de l'art, un art au service de la vie et non de nous-mêmes.
R.S : Pourrais-tu faire sereinement du doublage si tu n'avais pas ce moyen d'évasion ? Pour ton jeu, c'est certainement indispensable ?
J.F.V : Je ne saurais parler de "moyen d'évasion". Encore une fois, ce métier de comédien je le fais par devoir. C'est ma vocation, mon sacerdoce ! Je sais, tout ça est bien vieillot. D'ailleurs je n'ai pas vraiment choisi de faire ce métier. Il m'est tombé dessus, comme chez les chamans nos plus vieux ancêtres comme les hommes de spectacle et les guérisseurs des troubles de l'âme. Il est vrai qu'en doublage j'ai le souvenir de beaucoup plus de plaisir quand la pression était moins importante ou quand les seules pressions que nous acceptions de supporter étaient artistiques. De toute manière chaque aspect de ce métier en nourrit un autre et on peut faire de la merde pénible au théâtre ou en tournage et une série géniale et enrichissante en doublage.
R.S : Généralement, pour le public, les changements de "voix" sont insupportables. On se souvient par exemple de "Gremlins II" que tu n'as pas fait et qui a eu un casting de voix françaises complètement différent sur l'ensemble du film. Que penses-tu de la notion de fidélité entre le comédien français et l'acteur étranger qu'il double ?
J.F.V : Je n'y avais jamais fait attention en tant qu'acteur, faisant confiance aux directeurs, aux patrons qui me semblaient faire le même métier au service du public ! Mais en tant que spectateur, j'en ai souffert comme toi qui es passionné. Cette notion de fidélité, elle se faisait tout naturellement quand le doublage était encore un artisanat. Maintenant qu'il est devenu une industrie, on voudrait presque légiférer. Je ne sais plus qui décide de tout ça ! L'art, l'artiste, l'œuvre ou tout simplement les intérêts personnels ou financiers ? Certainement la nécessité d'exister. Quand je me suis retourné, il y a peu, sur ma carrière de doublage, j'ai vu tous les comédiens que j'avais eu la chance de doubler et qui m'ont échappé ! Je me dis que j'aurais dû me battre pour les garder plutôt que de courir le théâtre qui m'a ruiné aujourd'hui. Je regrette de voir revendiquer par d'autres les acteurs que j'ai eu plaisir et aisance à doubler ! Mais quand on demandait "qui a doublé celui-là ?", je n'ai jamais été le premier à lever le doigt. J'oublie, je fais ce métier au présent, dans l'instant, je n'ai jamais été un carriériste. "Il est à moi non à moi". Si je n'avais pas besoin, je ne rentrerais pas là-dedans. Mais maintenant je veux que l'on me reconnaisse les quelque rares à qui j'ai donné ma voix en "habituelle". Peut-être même en conquérir ou en reconquérir certains autres. Je me suis assez posé la question du savoir-faire ! Maintenant, comme tout le monde, je veux faire savoir.
R.S : Comment définirais-tu le doublage d'aujourd'hui par rapport à tes débuts ?
J.F.V : On y cherchait, on y prenait des risques, on avait le temps de le faire, on y rigolait bien, on y pleurait aussi. Je donnerais un exemple : celui d'une des plus excellentes séries américaines, "M*A*S*H", dont on a dû faire près de deux cents épisodes sur dix ans. Je n'ai jamais quitté cette série (pas comme "Les feux de l'amour" ou je suis parti exténué au bout de quinze jours ou "Shérif fait moi peur" parce qu'on s'engueulait trop sur le plateau au milieu des bruits de moteurs qui rendaient fou). Première distribution, entre autres : Claude Joseph, Jaques Frantz, Claude Nicot, Jean-Claude Montalban, Marcel Guido et la toute nouvelle Martine Meirhaeghe sur la pulpeuse "lèvres en feu". Moi je faisais Radar. On a commencé début 80 sur écran géant, en boucle chargée une à une, avec un texte (toutes les labiales en place) écrit par un ou deux dialoguistes, qui travaillent maintenant pour le cinéma, et on trouvait encore le moyen de rajouter des vannes ! On faisait un épisode par jour. Il faut dire qu'on s'arrêtait deux heures pour bouffer tous ensemble. Quel bonheur, quelle marrade et quelle qualité ! Ça c'est égrainé sur près de quinze ans. On a fini en 93 avec la moitié de la distribution changée, en vidéo sur des téléviseurs standards, la bande rythmo incrustée, au rythme de trois épisodes dans la journée avec des textes écrits sans délais, par des auteurs tous différents et calligraphiés dans la nuit. Il fallait tout réécrire, tout remettre en place. On s'est habitué. Enfin, pas tous !
R.S : Quelles sont tes passions, mis à part ton métier bien entendu ?
J.F.V : Mon métier encore, en passant de l'autre coté avec la mise en scène. Je prépare deux spectacles dont un "Brecht", une tragi-comédie musicalo-politique extra-terrestre qui se déroule sur un plateau de télévision planétaire avec musique urbaine techno, écran géant et ambiance BD à la Moebius. Je cherche des entreprises partenaires. A bon entendeur. Ou encore organiser des stages de pratique théâtrale à partir de la méthode Stanislavsky que j'ai étudiée il y a 20 ans à New York. Passeur de trésors, ça aussi ça me botte. "A la recherche de l'émotion perdue". Bref, changer le monde avec mon art voilà ce qui me passionne. Mais en attendant, j'ai une famille à nourrir et les temps sont durs ! Même si je continue à dire sur mon répondeur qu'il fait beau et qu'il fait chaud quoiqu'il arrive. Alors je rêve d'une grande série où je pourrais m'éclater avec un rôle principal à doubler. D'ailleurs, je vous en recommande une géniale, si les Français veulent bien vous la diffuser ! Il s'agit de "Deadwood", que nous avons doublé pour le Canada cet été et qui fait un malheur au States paraît-il ! Je double Brad Dourif, un comédien complètement déchiré que j'ai déjà fait dans "Le seigneur des Anneaux".
R.S : Merci beaucoup Jean-François.
Interview de décembre 2004
J.F.V : Bonjour.
R.S : Je sais que ta carrière de comédien a débuté lorsque tu étais enfant. Comment tout cela a-t-il commencé ? Je pense qu'être issu d'une famille où la comédie est très présente y est pour beaucoup ?
J.F.V : Cette partie de mon artisanat qu'est le doublage m'est venue avec le reste par la pratique comme d'autres pour qui le pain s'apprend en traînant au fournil. L'un de mes frères a l'habitude de rapprocher notre famille de celles du cirque en disant que nous sommes de la roulotte, de ces familles qui dressaient leurs planches sur des tréteaux dans les foires. Nos tréteaux à nous étaient les théâtres, les studios de cinéma et de télé, les plateaux de doublage, mais nous sommes toujours restés des bohémiens. D'ailleurs, comme "les romanichels" nous continuons à faire un peu peur. Nous sommes incontrôlables, suivant notre seule loi : celle de l'art d'un art à haut risque où certaines grandes questions se règlent... au fusil !
R.S : D'ailleurs, c'est aussi pendant l'enfance que tu as commencé le doublage ?
J.F.V : J'ai eu la chance de passer une partie de mes jeudis et de mes vacances dans le parc des studios de Gennevilliers et autres jardins de grands studios où, entre deux boucles, nous faisions les pires conneries. Mais sur les plateaux les anciens nous tenaient serrés. Je me rappellerai toujours sur "Amarcord" que Fellini avait exigé de faire redoubler avec ma voix, Serge Nadeau m'apprenant à dire le mot "excusez". J'en ai pleuré. Mais je leur dois de parler un français de qualité, simplement en l'entendant de la bouche de George Aminel que ça n'empêchait pas de faire "Grosminet" avec Titi, ou de Claude Joseph avec sa gouaille si distinguée, et tant d'autres qui se sentaient responsables de la langue française.
R.S : J'imagine qu'en touchant si jeune et en même temps à différentes branches de la profession cela te donne une approche particulière et un choix plus large dans l'exercice de ton métier ?
J.F.V : Pour l'artiste c'est un avantage, l'éclectisme, mais pour l'artisan et même l'industriel que nous sommes devenus, c'est un handicap. Aujourd'hui, l'ambition n'est plus seulement artistique. Il faut savoir exploiter, plus que suivre, son intuition sa sensibilité. On n'est pas là pour se donner mais pour produire et il faut se contrôler. Je dirais surtout que j'ai le cul entre trente-six chaises.
R.S : Le théâtre est très important dans ta carrière. Le contact avec le public te donne probablement des sensations particulièrement intenses ?
J.F.V : Le théâtre est la base, l'essentiel de notre métier. Si nous avons beaucoup de plaisir à faire notre job ce n'est pas pour notre satisfaction personnelle, c'est pour le bonheur du public, le plaisir de s'amuser, de s'interroger, d'apprendre. Le théâtre est essentiellement consacré à cela. C'est donc là que nous faisons pleinement notre travail au service de l'art, un art au service de la vie et non de nous-mêmes.
R.S : Pourrais-tu faire sereinement du doublage si tu n'avais pas ce moyen d'évasion ? Pour ton jeu, c'est certainement indispensable ?
J.F.V : Je ne saurais parler de "moyen d'évasion". Encore une fois, ce métier de comédien je le fais par devoir. C'est ma vocation, mon sacerdoce ! Je sais, tout ça est bien vieillot. D'ailleurs je n'ai pas vraiment choisi de faire ce métier. Il m'est tombé dessus, comme chez les chamans nos plus vieux ancêtres comme les hommes de spectacle et les guérisseurs des troubles de l'âme. Il est vrai qu'en doublage j'ai le souvenir de beaucoup plus de plaisir quand la pression était moins importante ou quand les seules pressions que nous acceptions de supporter étaient artistiques. De toute manière chaque aspect de ce métier en nourrit un autre et on peut faire de la merde pénible au théâtre ou en tournage et une série géniale et enrichissante en doublage.
R.S : Généralement, pour le public, les changements de "voix" sont insupportables. On se souvient par exemple de "Gremlins II" que tu n'as pas fait et qui a eu un casting de voix françaises complètement différent sur l'ensemble du film. Que penses-tu de la notion de fidélité entre le comédien français et l'acteur étranger qu'il double ?
J.F.V : Je n'y avais jamais fait attention en tant qu'acteur, faisant confiance aux directeurs, aux patrons qui me semblaient faire le même métier au service du public ! Mais en tant que spectateur, j'en ai souffert comme toi qui es passionné. Cette notion de fidélité, elle se faisait tout naturellement quand le doublage était encore un artisanat. Maintenant qu'il est devenu une industrie, on voudrait presque légiférer. Je ne sais plus qui décide de tout ça ! L'art, l'artiste, l'œuvre ou tout simplement les intérêts personnels ou financiers ? Certainement la nécessité d'exister. Quand je me suis retourné, il y a peu, sur ma carrière de doublage, j'ai vu tous les comédiens que j'avais eu la chance de doubler et qui m'ont échappé ! Je me dis que j'aurais dû me battre pour les garder plutôt que de courir le théâtre qui m'a ruiné aujourd'hui. Je regrette de voir revendiquer par d'autres les acteurs que j'ai eu plaisir et aisance à doubler ! Mais quand on demandait "qui a doublé celui-là ?", je n'ai jamais été le premier à lever le doigt. J'oublie, je fais ce métier au présent, dans l'instant, je n'ai jamais été un carriériste. "Il est à moi non à moi". Si je n'avais pas besoin, je ne rentrerais pas là-dedans. Mais maintenant je veux que l'on me reconnaisse les quelque rares à qui j'ai donné ma voix en "habituelle". Peut-être même en conquérir ou en reconquérir certains autres. Je me suis assez posé la question du savoir-faire ! Maintenant, comme tout le monde, je veux faire savoir.
R.S : Comment définirais-tu le doublage d'aujourd'hui par rapport à tes débuts ?
J.F.V : On y cherchait, on y prenait des risques, on avait le temps de le faire, on y rigolait bien, on y pleurait aussi. Je donnerais un exemple : celui d'une des plus excellentes séries américaines, "M*A*S*H", dont on a dû faire près de deux cents épisodes sur dix ans. Je n'ai jamais quitté cette série (pas comme "Les feux de l'amour" ou je suis parti exténué au bout de quinze jours ou "Shérif fait moi peur" parce qu'on s'engueulait trop sur le plateau au milieu des bruits de moteurs qui rendaient fou). Première distribution, entre autres : Claude Joseph, Jaques Frantz, Claude Nicot, Jean-Claude Montalban, Marcel Guido et la toute nouvelle Martine Meirhaeghe sur la pulpeuse "lèvres en feu". Moi je faisais Radar. On a commencé début 80 sur écran géant, en boucle chargée une à une, avec un texte (toutes les labiales en place) écrit par un ou deux dialoguistes, qui travaillent maintenant pour le cinéma, et on trouvait encore le moyen de rajouter des vannes ! On faisait un épisode par jour. Il faut dire qu'on s'arrêtait deux heures pour bouffer tous ensemble. Quel bonheur, quelle marrade et quelle qualité ! Ça c'est égrainé sur près de quinze ans. On a fini en 93 avec la moitié de la distribution changée, en vidéo sur des téléviseurs standards, la bande rythmo incrustée, au rythme de trois épisodes dans la journée avec des textes écrits sans délais, par des auteurs tous différents et calligraphiés dans la nuit. Il fallait tout réécrire, tout remettre en place. On s'est habitué. Enfin, pas tous !
R.S : Quelles sont tes passions, mis à part ton métier bien entendu ?
J.F.V : Mon métier encore, en passant de l'autre coté avec la mise en scène. Je prépare deux spectacles dont un "Brecht", une tragi-comédie musicalo-politique extra-terrestre qui se déroule sur un plateau de télévision planétaire avec musique urbaine techno, écran géant et ambiance BD à la Moebius. Je cherche des entreprises partenaires. A bon entendeur. Ou encore organiser des stages de pratique théâtrale à partir de la méthode Stanislavsky que j'ai étudiée il y a 20 ans à New York. Passeur de trésors, ça aussi ça me botte. "A la recherche de l'émotion perdue". Bref, changer le monde avec mon art voilà ce qui me passionne. Mais en attendant, j'ai une famille à nourrir et les temps sont durs ! Même si je continue à dire sur mon répondeur qu'il fait beau et qu'il fait chaud quoiqu'il arrive. Alors je rêve d'une grande série où je pourrais m'éclater avec un rôle principal à doubler. D'ailleurs, je vous en recommande une géniale, si les Français veulent bien vous la diffuser ! Il s'agit de "Deadwood", que nous avons doublé pour le Canada cet été et qui fait un malheur au States paraît-il ! Je double Brad Dourif, un comédien complètement déchiré que j'ai déjà fait dans "Le seigneur des Anneaux".
R.S : Merci beaucoup Jean-François.
Interview de décembre 2004