Olivier Cordina
Doublage
Voix
Documentaire
American casino
Documentaire
American hot rod
Documentaire
Commentaires de documentaires avec le Lotus Rose pour la chaîne Voyages
Documentaire
Les dragons des Galapagos
Documentaire
Trésors du monde (Narrateur)
Formation
1990/1992 : 2ème et 3ème année au cours Florent. Professeurs : F-X Hoffmann et M Attias
1990 : 2ème prix de piano en degré supérieur au concours général de musique Léopold Bellan
Etudes Universitaires : Maîtrise d’Administration économique et sociale
1990 : 2ème prix de piano en degré supérieur au concours général de musique Léopold Bellan
Etudes Universitaires : Maîtrise d’Administration économique et sociale
Cinéma
2004 "Les Parrains" réalisé par Frédéric Forestier, dans le rôle de Laurent
Concerts spectacles
2010 "Florimène and the Seasons". L'Archipel
Télévision
1996/1997 "La planète de Donkey Kong" (Emission jeunesse) voix de la marionnette virtuelle Funky. France2
1996 "Le refuge" (Episodes 2 "La nuit du loup" et 3 "La danse du cobra") réalisé par Alain Schwartzstein, dans le rôle du gendarme Mathias. Ellipse
1995 "Le nid tombé de l’oiseau" réalisé par Alain Schwartzstein, dans le rôle du médecin du SAMU. Cinétévé
1994 "Police des polices : Video preuves" réalisé par M. Boisrond, dans le rôle du technicien du théâtre. F3 Lyon
1996 "Le refuge" (Episodes 2 "La nuit du loup" et 3 "La danse du cobra") réalisé par Alain Schwartzstein, dans le rôle du gendarme Mathias. Ellipse
1995 "Le nid tombé de l’oiseau" réalisé par Alain Schwartzstein, dans le rôle du médecin du SAMU. Cinétévé
1994 "Police des polices : Video preuves" réalisé par M. Boisrond, dans le rôle du technicien du théâtre. F3 Lyon
Théâtre
2009/2010 "Les Zhumoristiques" de Michel Monnereau et mise en scène de Catherine Artigala. Théâtre du Marais
2007 "Comment réveillonner comme 3 lépreux" dans le rôle de Bertrand, avec la compagnie Latuvu. Théâtre de Chagny (71)
2005/2007 "Don Quichotte et son étoile" (spectacle pour enfants) récitant, dans les rôles de Sancho Pança et Maître Pierre. Théâtre de Villeneuve St Georges, du Plessis Trévise, théâtre Traversière
2005 Animation de stages de théâtre pour enfants. Avec la compagnie des Castors. Région Saône et Loire
2005 "Chants des bois" (spectacle pour enfants). Avec la compagnie des Castors. Région Saône et Loire
2002/2003 "L’enquête de petit ours" (spectacle pour enfants). Région Saône et Loire
2002 "La forêt enchantée" (spectacle pour enfants). Théâtre de Villeneuve St Georges
1998 "Voyage à travers le théâtre" (création). Bec Fin. Reprise en 99
1996 "Mademoiselle Julie" de Strinberg et mise en scène de H. Jappelle, dans le rôle de Jean. Théâtre de l’Usine
1995 "En attendant Godot" de Beckett, dans le rôle de Pozzo. Par le théâtre des Broutilles. Théâtre de l’Usine. Théâtre de Jouy le Moutier. Scolaires. Reprise saison 96-97
2007 "Comment réveillonner comme 3 lépreux" dans le rôle de Bertrand, avec la compagnie Latuvu. Théâtre de Chagny (71)
2005/2007 "Don Quichotte et son étoile" (spectacle pour enfants) récitant, dans les rôles de Sancho Pança et Maître Pierre. Théâtre de Villeneuve St Georges, du Plessis Trévise, théâtre Traversière
2005 Animation de stages de théâtre pour enfants. Avec la compagnie des Castors. Région Saône et Loire
2005 "Chants des bois" (spectacle pour enfants). Avec la compagnie des Castors. Région Saône et Loire
2002/2003 "L’enquête de petit ours" (spectacle pour enfants). Région Saône et Loire
2002 "La forêt enchantée" (spectacle pour enfants). Théâtre de Villeneuve St Georges
1998 "Voyage à travers le théâtre" (création). Bec Fin. Reprise en 99
1996 "Mademoiselle Julie" de Strinberg et mise en scène de H. Jappelle, dans le rôle de Jean. Théâtre de l’Usine
1995 "En attendant Godot" de Beckett, dans le rôle de Pozzo. Par le théâtre des Broutilles. Théâtre de l’Usine. Théâtre de Jouy le Moutier. Scolaires. Reprise saison 96-97
Interview
R.S : Bonjour Olivier...
O.C : Bonjour Reynald !
R.S : Lorsqu'on a la passion de la comédie, devenir acteur apparaît souvent comme une évidence n'est-ce pas ?
O.C : A 14 ans, j'ai décidé de devenir comédien. C'était pour moi une évidence, je ne me voyais pas faire autre chose, même si mon choix étonnait ou faisait sourire !
R.S : Entre la révélation et la concrétisation il y a pas mal d'étapes à franchir ?
O.C : Après mon bac, j'ai suivi des cours de théâtre et parallèlement j'allais en fac, histoire d'assurer les arrières au cas où ! Une fois ma maîtrise en poche, il m'a fallu choisir car les troisièmes cycles universitaires prennent beaucoup de temps, il y a souvent des stages. J'ai donc interrompu mes études pour me laisser un an ou deux "pour voir". Et comme ça ne marchait pas trop mal je n'ai jamais repris la fac !
R.S : Lorsque vous êtes sur les planches comment ressentez-vous cette fameuse communion avec le public ?
O.C : C'est quelque chose de merveilleux. On a mal au ventre avant d'entrer en scène et, une fois qu'on y est, on voudrait que ça ne s'arrête plus ! Pas une représentation n'est semblable à une autre. Je n'arrive pas à expliquer comment, mais on "sent" le public et comme le public est différent chaque soir, chaque soir est une nouvelle aventure.
R.S : Comment avez-vous pris le chemin du doublage ?
O.C : Un petit peu par hasard. J'ai envoyé des CV à quelques sociétés et Synchro-France (Synchro-Vidéo à l'époque) m'a contacté pour passer un essai. Par la suite il y a eu un petit rôle, puis deux, puis trois, puis j'ai démarché d'autres sociétés, etc.
R.S : La technique est-elle effrayante les premières fois ?
O.C : C'était terrifiant, j'étais accroché à la bande rythmo, je ne pensais qu'au texte. Au fur et à mesure on acquiert de l'aisance et on joue la comédie !
R.S : Lorsque vous doublez un comédien sur plusieurs saisons, comme ce fut le cas avec Coby Bell dans la série "New York 911", est-ce un plaisir d'année en année ? Entre-t-on plus facilement dans la peau du personnage ?
O.C : Le gros intérêt est qu'au bout d'un moment on connaît tellement bien le comédien que l'on double qu'on peut quasiment anticiper la manière dont il va jouer la scène. Du coup on entre nous-même beaucoup plus facilement dans la peau du personnage.
R.S : Quand vous portez un documentaire juste par la voix, le texte est important mais j'imagine que l'image influe également pour trouver le ton juste ?
O.C : L'image influe bien évidemment, mais la voix originale et la musique jouent également un rôle important. L'ensemble dégage une atmosphère spécifique qu'il faut essayer de retranscrire par la voix. De plus on est souvent "portés" par le texte.
R.S : Quelles sont vos autres passions ?
O.C : La musique ! Je pratique le piano depuis l'âge de 8 ans. C'est un exutoire merveilleux qui procure une sensation de liberté extrême. Par ailleurs j'aime beaucoup voyager. J'aime l'informatique et, bien sûr, le cinéma !
R.S : Merci beaucoup Olivier.
O.C : Merci Reynald, et encore bravo pour ce fabuleux site consacré au doublage.
Interview de février 2008
O.C : Bonjour Reynald !
R.S : Lorsqu'on a la passion de la comédie, devenir acteur apparaît souvent comme une évidence n'est-ce pas ?
O.C : A 14 ans, j'ai décidé de devenir comédien. C'était pour moi une évidence, je ne me voyais pas faire autre chose, même si mon choix étonnait ou faisait sourire !
R.S : Entre la révélation et la concrétisation il y a pas mal d'étapes à franchir ?
O.C : Après mon bac, j'ai suivi des cours de théâtre et parallèlement j'allais en fac, histoire d'assurer les arrières au cas où ! Une fois ma maîtrise en poche, il m'a fallu choisir car les troisièmes cycles universitaires prennent beaucoup de temps, il y a souvent des stages. J'ai donc interrompu mes études pour me laisser un an ou deux "pour voir". Et comme ça ne marchait pas trop mal je n'ai jamais repris la fac !
R.S : Lorsque vous êtes sur les planches comment ressentez-vous cette fameuse communion avec le public ?
O.C : C'est quelque chose de merveilleux. On a mal au ventre avant d'entrer en scène et, une fois qu'on y est, on voudrait que ça ne s'arrête plus ! Pas une représentation n'est semblable à une autre. Je n'arrive pas à expliquer comment, mais on "sent" le public et comme le public est différent chaque soir, chaque soir est une nouvelle aventure.
R.S : Comment avez-vous pris le chemin du doublage ?
O.C : Un petit peu par hasard. J'ai envoyé des CV à quelques sociétés et Synchro-France (Synchro-Vidéo à l'époque) m'a contacté pour passer un essai. Par la suite il y a eu un petit rôle, puis deux, puis trois, puis j'ai démarché d'autres sociétés, etc.
R.S : La technique est-elle effrayante les premières fois ?
O.C : C'était terrifiant, j'étais accroché à la bande rythmo, je ne pensais qu'au texte. Au fur et à mesure on acquiert de l'aisance et on joue la comédie !
R.S : Lorsque vous doublez un comédien sur plusieurs saisons, comme ce fut le cas avec Coby Bell dans la série "New York 911", est-ce un plaisir d'année en année ? Entre-t-on plus facilement dans la peau du personnage ?
O.C : Le gros intérêt est qu'au bout d'un moment on connaît tellement bien le comédien que l'on double qu'on peut quasiment anticiper la manière dont il va jouer la scène. Du coup on entre nous-même beaucoup plus facilement dans la peau du personnage.
R.S : Quand vous portez un documentaire juste par la voix, le texte est important mais j'imagine que l'image influe également pour trouver le ton juste ?
O.C : L'image influe bien évidemment, mais la voix originale et la musique jouent également un rôle important. L'ensemble dégage une atmosphère spécifique qu'il faut essayer de retranscrire par la voix. De plus on est souvent "portés" par le texte.
R.S : Quelles sont vos autres passions ?
O.C : La musique ! Je pratique le piano depuis l'âge de 8 ans. C'est un exutoire merveilleux qui procure une sensation de liberté extrême. Par ailleurs j'aime beaucoup voyager. J'aime l'informatique et, bien sûr, le cinéma !
R.S : Merci beaucoup Olivier.
O.C : Merci Reynald, et encore bravo pour ce fabuleux site consacré au doublage.
Interview de février 2008