François Bergeron
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium, Grave
Accents :
Arabe, Europe centrale (polonais, tchèque, hongrois, etc.), Russe
Doublage
télévision, VOD & DVD
2019
Extremely Wicked, Shockingly Evil, and Vile (Procureur de l'Utah, David Yocom)
Voix
Documentaire
American Pickers (Frank Fritz - Planete+)
Documentaire
Au royaume des Fauves (Joe Exotic - Netflix)
Documentaire
Don't fuck with cats (Netflix)
Documentaire
Inside BVB (Prime Video Amazon)
Documentaire
Nikola Tesla, le mystère du rayon de la mort (Narration - Discovery Science)
Documentaire
Street Food (Saison 1 - Netflix)
Documentaire
Wild Like (Narration - National Geographic)
Voix-off
Paprec (Film institutionnel)
Formation
2017 Stage "Le jeu et le doublage" par l'Association Vagabond avec : Jean Barney, Ivana Coppola, Régis Reuilhac, Vincent Violette
2017 Stage Rhinocéros avec : José Lucioni, Guillaume Orsat, Blanche Ravalec, etc.
2017 Stage Lamda Londres : English Communication Skills Through Drama Course. Cours de Mime et d'expression corporelle avec Agnès Delachair
2013/2017 Atelier Blanche Salant Paul Weaver (Master Class)
2013/ ... Cours de Chant Marylin Guitton
2018/2012 Studio Pygmalion / Cours Guichet Montparnasse / Cours théâtre de l'Assemblée nationale
1999/2015 Monteur vidéo Sirpa Marine (Service de communication de la Marine Nationale) Missions : Porte-avions CDG, Commandos de Montfort, Frégate de surveillance à Tahiti, Gendarmerie maritime à Mayotte
1999 Diplôme de l'Esra (école supérieure de réalisation audiovisuelle)
1996 Baccalauréat général série scientifique
2017 Stage Rhinocéros avec : José Lucioni, Guillaume Orsat, Blanche Ravalec, etc.
2017 Stage Lamda Londres : English Communication Skills Through Drama Course. Cours de Mime et d'expression corporelle avec Agnès Delachair
2013/2017 Atelier Blanche Salant Paul Weaver (Master Class)
2013/ ... Cours de Chant Marylin Guitton
2018/2012 Studio Pygmalion / Cours Guichet Montparnasse / Cours théâtre de l'Assemblée nationale
1999/2015 Monteur vidéo Sirpa Marine (Service de communication de la Marine Nationale) Missions : Porte-avions CDG, Commandos de Montfort, Frégate de surveillance à Tahiti, Gendarmerie maritime à Mayotte
1999 Diplôme de l'Esra (école supérieure de réalisation audiovisuelle)
1996 Baccalauréat général série scientifique
Courts métrages
2017 "Enigma" réalisé par Philippe Cornet, dans le rôle du Docteur
2016 "Je suis une incivilité" réalisé par Anna Bayle, dans le rôle de la colère
2015 "Inspecteur Konar" réalisé par François Bergeron et Alain Depretz, dans le rôle de l'inspecteur Konar
2016 "Je suis une incivilité" réalisé par Anna Bayle, dans le rôle de la colère
2015 "Inspecteur Konar" réalisé par François Bergeron et Alain Depretz, dans le rôle de l'inspecteur Konar
Langues
Anglais : lu, parlé et écrit
Réalisation
"Les dernières girafes d'Afrique de l'Ouest" documentaire de 26'
Théâtre
2015 "Un dimanche sans fin" de François Bergeron - mise en scène de l'auteur
2014 "Le commissaire est bon enfant" de Courteline, dans le rôle du commissaire
2013 "Update" de Jip, dans le rôle de l'Apiculteur
2012 "Les femmes savantes" de Molière - Trissotin
2011 "Central Park West" de Woody Allen - mise en scène et dans le rôle de Howard
2014 "Le commissaire est bon enfant" de Courteline, dans le rôle du commissaire
2013 "Update" de Jip, dans le rôle de l'Apiculteur
2012 "Les femmes savantes" de Molière - Trissotin
2011 "Central Park West" de Woody Allen - mise en scène et dans le rôle de Howard
Interview
R.S : Bonjour François.
F.B : Bonjour Reynald.
R.S : Tu as été (je cite ton CV) "Monteur vidéo SIRPA MARINE (Service de communication de la Marine Nationale). Missions : Porte-avions CDG, Commandos de Montfort, Frégate de surveillance à Tahiti, Gendarmerie maritime à Mayotte." Comment arrive-t-on là et comment, de là, devient-on comédien ? Ça semble le grand écart !
F.B : C'est une longue histoire Reynald. Très tôt le jeu du comédien m'a passionné et vers 17-18 ans j'ai suivi des cours de théâtre à Carbon-Blanc, la commune où j'ai grandi dans la région bordelaise. Après mon bac, j'ai hésité à en faire mon métier, et pour des raisons personnelles j'ai préféré suivre des études de cinéma à l'ESRA PARIS. A la fin de mes études, j'ai fait mon service national en coopération au Niger, au centre culturel franco-nigérien de Niamey. J'ai bien aimé voyager et travailler pour l'Etat, c'est pourquoi à mon retour en France j'ai envoyé un cv à l'ECPAD (Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense). Ensuite le hasard a fait le reste. Mon cv a atterri au SIRPA MARINE et j'ai été recruté. La marine nationale m'a offert la chance de voyager et de réaliser des activités hors normes (voler en hélico, plongée sous-marine, embarquer sur le porte-avions CDG, etc.) Mais la passion du théâtre ne m'a jamais quitté. Parallèlement au métier de monteur, j'ai repris des cours d'art dramatique et année après année je me suis professionnalisé. En 2015 j'ai quitté la Marine Nationale, et depuis je suis comédien professionnel à plein temps.
R.S : Est-ce que le doublage est une discipline que tu envisageais déjà lorsque tu as choisi d’être comédien ?
F.B : Non, pas du tout. Adolescent, j'aimais beaucoup les séries américaines doublées en français comme "Magnum" ou "Amicalement vôtre". Je n'imaginais pas être comédien doublage. Ma passion première c'est le théâtre. Mais une amie m'a fait découvrir un jour le doublage et j'ai immédiatement trouvé ça très ludique et passionnant.
R.S : Que t'ont apporté tes stages de doublage ?
F.B : Ça m'a permis de me former et d'apprendre la technique: apprivoiser la bande rythmo, gérer sa voix par rapport au micro et analyser le jeu des personnages à doubler. Les stages de doublage m'ont également ouvert les yeux sur tout ce que j'avais à travailler. Depuis je m'entraîne inlassablement à bien articuler, à lire à haute voix et à gommer mon petit accent bordelais. Ces stages m'ont permis aussi de faire beaucoup de belles rencontres professionnelles et amicales.
R.S : Tu as écrit et mis en scène pour le théâtre "Un dimanche sans fin". Tu n’as pas souhaité jouer dedans toi-même ? Puisqu’on n’est jamais si bien servi que par soi-même, dit-on, tu n’envisages pas de t’écrire quelque chose ?
F.B : C'était compliqué pour moi Reynald de porter en même temps les trois casquettes d'auteur, comédien et metteur en scène. J'ai préféré être metteur en scène pour mieux maitriser la création de la pièce. J'aime beaucoup le travail en équipe et je n'imagine pas pour le moment d'écrire seulement pour moi et de faire un seul en scène. Mais qui sait ? Peut être un jour !
R.S : Tu dis avoir la passion des girafes. Ce n’est pas banal ! On peut en savoir davantage ?
F.B : J'ai vécu plus d'un an au Niger et j'ai eu la chance d'y voir les dernières girafes d'Afrique de l'Ouest. Les girafes là-bas sont habituées à la présence de l'homme et sont donc peu farouches. Elles demeurent sauvages, mais elle sont très curieuses. Elles nous laissent s'approcher d'elles jusqu'à 6-7 mètres. Ce qui est très près. C'est particulièrement agréable de se tenir debout à leur côté en pleine brousse. C'est magique ! Elles sont très paisibles. Physiquement je les trouve particulièrement fascinantes et gracieuses. Elles m'ont tellement passionné que j'ai réalisé un documentaire sur elles !
R.S : Quels sont tes hobbies ?
F.B : Un petit peu de tout... Tu vas pas me croire Reynald mais j'adore regarder des séries américaines en vf ou vo. Sinon j'aime bien suivre l'actualité. Je fais un peu de photo portrait. J'aime aussi le sport, je cours, et j'adore le handball, le rugby et le Tournoi des Six Nations. J'aime beaucoup chanter et faire du mime. J'apprécie aussi la méditation et le yoga. Mais mon plus grand hobby, c'est de rien faire !
R.S : Merci beaucoup François.
F.B : C'est magnifique d'être passionné comme tu l'es. Merci beaucoup à toi Reynald.
Interview d'octobre 2017
F.B : Bonjour Reynald.
R.S : Tu as été (je cite ton CV) "Monteur vidéo SIRPA MARINE (Service de communication de la Marine Nationale). Missions : Porte-avions CDG, Commandos de Montfort, Frégate de surveillance à Tahiti, Gendarmerie maritime à Mayotte." Comment arrive-t-on là et comment, de là, devient-on comédien ? Ça semble le grand écart !
F.B : C'est une longue histoire Reynald. Très tôt le jeu du comédien m'a passionné et vers 17-18 ans j'ai suivi des cours de théâtre à Carbon-Blanc, la commune où j'ai grandi dans la région bordelaise. Après mon bac, j'ai hésité à en faire mon métier, et pour des raisons personnelles j'ai préféré suivre des études de cinéma à l'ESRA PARIS. A la fin de mes études, j'ai fait mon service national en coopération au Niger, au centre culturel franco-nigérien de Niamey. J'ai bien aimé voyager et travailler pour l'Etat, c'est pourquoi à mon retour en France j'ai envoyé un cv à l'ECPAD (Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense). Ensuite le hasard a fait le reste. Mon cv a atterri au SIRPA MARINE et j'ai été recruté. La marine nationale m'a offert la chance de voyager et de réaliser des activités hors normes (voler en hélico, plongée sous-marine, embarquer sur le porte-avions CDG, etc.) Mais la passion du théâtre ne m'a jamais quitté. Parallèlement au métier de monteur, j'ai repris des cours d'art dramatique et année après année je me suis professionnalisé. En 2015 j'ai quitté la Marine Nationale, et depuis je suis comédien professionnel à plein temps.
R.S : Est-ce que le doublage est une discipline que tu envisageais déjà lorsque tu as choisi d’être comédien ?
F.B : Non, pas du tout. Adolescent, j'aimais beaucoup les séries américaines doublées en français comme "Magnum" ou "Amicalement vôtre". Je n'imaginais pas être comédien doublage. Ma passion première c'est le théâtre. Mais une amie m'a fait découvrir un jour le doublage et j'ai immédiatement trouvé ça très ludique et passionnant.
R.S : Que t'ont apporté tes stages de doublage ?
F.B : Ça m'a permis de me former et d'apprendre la technique: apprivoiser la bande rythmo, gérer sa voix par rapport au micro et analyser le jeu des personnages à doubler. Les stages de doublage m'ont également ouvert les yeux sur tout ce que j'avais à travailler. Depuis je m'entraîne inlassablement à bien articuler, à lire à haute voix et à gommer mon petit accent bordelais. Ces stages m'ont permis aussi de faire beaucoup de belles rencontres professionnelles et amicales.
R.S : Tu as écrit et mis en scène pour le théâtre "Un dimanche sans fin". Tu n’as pas souhaité jouer dedans toi-même ? Puisqu’on n’est jamais si bien servi que par soi-même, dit-on, tu n’envisages pas de t’écrire quelque chose ?
F.B : C'était compliqué pour moi Reynald de porter en même temps les trois casquettes d'auteur, comédien et metteur en scène. J'ai préféré être metteur en scène pour mieux maitriser la création de la pièce. J'aime beaucoup le travail en équipe et je n'imagine pas pour le moment d'écrire seulement pour moi et de faire un seul en scène. Mais qui sait ? Peut être un jour !
R.S : Tu dis avoir la passion des girafes. Ce n’est pas banal ! On peut en savoir davantage ?
F.B : J'ai vécu plus d'un an au Niger et j'ai eu la chance d'y voir les dernières girafes d'Afrique de l'Ouest. Les girafes là-bas sont habituées à la présence de l'homme et sont donc peu farouches. Elles demeurent sauvages, mais elle sont très curieuses. Elles nous laissent s'approcher d'elles jusqu'à 6-7 mètres. Ce qui est très près. C'est particulièrement agréable de se tenir debout à leur côté en pleine brousse. C'est magique ! Elles sont très paisibles. Physiquement je les trouve particulièrement fascinantes et gracieuses. Elles m'ont tellement passionné que j'ai réalisé un documentaire sur elles !
R.S : Quels sont tes hobbies ?
F.B : Un petit peu de tout... Tu vas pas me croire Reynald mais j'adore regarder des séries américaines en vf ou vo. Sinon j'aime bien suivre l'actualité. Je fais un peu de photo portrait. J'aime aussi le sport, je cours, et j'adore le handball, le rugby et le Tournoi des Six Nations. J'aime beaucoup chanter et faire du mime. J'apprécie aussi la méditation et le yoga. Mais mon plus grand hobby, c'est de rien faire !
R.S : Merci beaucoup François.
F.B : C'est magnifique d'être passionné comme tu l'es. Merci beaucoup à toi Reynald.
Interview d'octobre 2017