Pascale Jacquemont
Doublage
Narration & Voice-over
Hey Paula (Elle-même)
Voix
Audiodescription
Louis la Brocante
Livre audio
Le capuchon du moine (Ellis Peters)
Livre audio
Trafic de reliques (Ellis Peters)
Livre audio
Un cadavre de trop (Ellis Peters)
Narration
Bêtes de concours (la présentatrice)
Interview
R.S : Bonjour Pascale...
P.J : Bonjour Reynald.
R.S : Comment s'est manifesté ton goût pour la comédie ?
P.J : Très jeune. C'est en allant avec l'école assister à une représentation théâtrale (un Molière en costumes d'époque) que je suis tombée amoureuse du théâtre. C'était certain :"quand je serai grande, je serai comédienne". Alors dès que j'ai pu je me suis inscrite au cours Périmony et j'ai eu la chance de très vite jouer au théâtre, au café-théâtre, au cabaret, enfin de toucher à beaucoup de disciplines de ce métier.
R.S : Tu es également chanteuse, tu es même passé par le Petit Conservatoire de la Chanson. Grand souvenir, j'imagine ?
P.J : Bien sûr, travailler avec Mireille est marquant. Elle était très exigeante. Mais j'ai aussi appris avec des professeurs de chant tels qu'Alice Ridel ou Annette Charlot. J'ai aussi eu la chance de travailler avec Vangélis à l'Olympia, de faire de la comédie musicale ("La révolution française" au Palais des Sports) et qu'Ettore Scola me choisisse pour que j'interprète la chanson de "La Brinvilliers" pour son film "La nuit de Varennes". Et beaucoup d'autres souvenirs.
R.S : Tu n'es pas simplement interprète mais auteur également. D'où te vient l'inspiration ?
P.J : De mes émotions, d'un vécu pas toujours facile, de mes rapports aux autres...
R.S : Comment as-tu commencé à faire du doublage ?
P.J : C'est René Borg, un de mes amis et l'un des "papas" des Shadoks, qui m'a mis le pied à l'étrier en me donnant le rôle de la petite soeur dans les Watoo-Watoo.
R.S : Que t'apporte cette activité ?
P.J : Le plaisir de jouer, de faire mon métier dans une discipline pas si facile que ça, d'interpréter des personnages très différents qu'on ne me donnerait pas toujours si "le visuel" intervenait parce que tous les personnages que je double ne me ressemblent pas toujours physiquement, surtout quand je double une girafe ou un raton laveur. Sans rire cela m'apporte le bonheur de vivre en faisant ce que j'aime.
R.S : Vois-tu une grande évolution depuis tes débuts ?
P.J : Il faut travailler de plus en plus vite. Vite et bien. Pas toujours aisé. Le travail qui devient aussi "peau de chagrin". Sans être pessimiste, on ne peut nier ces faits. Ils ne sont pas inhérents au doublage mais nous vivons avec. J'espère te répondre autrement à la même question dans quelque temps.
R.S : Tu as été également directrice de théâtre. Tout ça est lié, mais c'est un peu plus administratif, non ?
P.J : Je m'occupais du secteur enfant d'un théâtre. Je m'occupais de la programmation des spectacles, du nombre d'entrées. L'administratif incombait aux deux autres directeurs et tant mieux. Remarque, on y faisait tout dans ce théâtre : comédien, habilleur, décorateur, placeur etc. Je me souviens même avoir fait de la soudure à deux heures du matin à la veille d'une générale. C'est un grand souvenir.
R.S : Lorsque ton métier t'en laisse le temps, quelles sont tes autres passions ?
P.J : Mon enfant, les livres, la musique, l'écriture, la nature. En fait tout ce que me donne la vie quand je prends soin de percevoir ce qu'elle m'offre...
R.S : Merci beaucoup Pascale.
P.J : Merci à toi Reynald.
Interview d'octore 2005
P.J : Bonjour Reynald.
R.S : Comment s'est manifesté ton goût pour la comédie ?
P.J : Très jeune. C'est en allant avec l'école assister à une représentation théâtrale (un Molière en costumes d'époque) que je suis tombée amoureuse du théâtre. C'était certain :"quand je serai grande, je serai comédienne". Alors dès que j'ai pu je me suis inscrite au cours Périmony et j'ai eu la chance de très vite jouer au théâtre, au café-théâtre, au cabaret, enfin de toucher à beaucoup de disciplines de ce métier.
R.S : Tu es également chanteuse, tu es même passé par le Petit Conservatoire de la Chanson. Grand souvenir, j'imagine ?
P.J : Bien sûr, travailler avec Mireille est marquant. Elle était très exigeante. Mais j'ai aussi appris avec des professeurs de chant tels qu'Alice Ridel ou Annette Charlot. J'ai aussi eu la chance de travailler avec Vangélis à l'Olympia, de faire de la comédie musicale ("La révolution française" au Palais des Sports) et qu'Ettore Scola me choisisse pour que j'interprète la chanson de "La Brinvilliers" pour son film "La nuit de Varennes". Et beaucoup d'autres souvenirs.
R.S : Tu n'es pas simplement interprète mais auteur également. D'où te vient l'inspiration ?
P.J : De mes émotions, d'un vécu pas toujours facile, de mes rapports aux autres...
R.S : Comment as-tu commencé à faire du doublage ?
P.J : C'est René Borg, un de mes amis et l'un des "papas" des Shadoks, qui m'a mis le pied à l'étrier en me donnant le rôle de la petite soeur dans les Watoo-Watoo.
R.S : Que t'apporte cette activité ?
P.J : Le plaisir de jouer, de faire mon métier dans une discipline pas si facile que ça, d'interpréter des personnages très différents qu'on ne me donnerait pas toujours si "le visuel" intervenait parce que tous les personnages que je double ne me ressemblent pas toujours physiquement, surtout quand je double une girafe ou un raton laveur. Sans rire cela m'apporte le bonheur de vivre en faisant ce que j'aime.
R.S : Vois-tu une grande évolution depuis tes débuts ?
P.J : Il faut travailler de plus en plus vite. Vite et bien. Pas toujours aisé. Le travail qui devient aussi "peau de chagrin". Sans être pessimiste, on ne peut nier ces faits. Ils ne sont pas inhérents au doublage mais nous vivons avec. J'espère te répondre autrement à la même question dans quelque temps.
R.S : Tu as été également directrice de théâtre. Tout ça est lié, mais c'est un peu plus administratif, non ?
P.J : Je m'occupais du secteur enfant d'un théâtre. Je m'occupais de la programmation des spectacles, du nombre d'entrées. L'administratif incombait aux deux autres directeurs et tant mieux. Remarque, on y faisait tout dans ce théâtre : comédien, habilleur, décorateur, placeur etc. Je me souviens même avoir fait de la soudure à deux heures du matin à la veille d'une générale. C'est un grand souvenir.
R.S : Lorsque ton métier t'en laisse le temps, quelles sont tes autres passions ?
P.J : Mon enfant, les livres, la musique, l'écriture, la nature. En fait tout ce que me donne la vie quand je prends soin de percevoir ce qu'elle m'offre...
R.S : Merci beaucoup Pascale.
P.J : Merci à toi Reynald.
Interview d'octore 2005