Sébastien Finck
Genres :
Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Doublage
Direction artistique
Formation
Théâtre école du Passage, Niels Arestrup
Studio Pygmalion
Kyogen : Maitre Izumi, Tokyo (Japon)
Cascade : Christophe Marsaud, Daniel Esvan
Chant : Nicole Fallien
Arts Martiaux : Aïkido, Kung-fu
Anglais parlé
Studio Pygmalion
Kyogen : Maitre Izumi, Tokyo (Japon)
Cascade : Christophe Marsaud, Daniel Esvan
Chant : Nicole Fallien
Arts Martiaux : Aïkido, Kung-fu
Anglais parlé
Cinéma
"Mille millièmes, fantaisie immobilière" réalisé par Rémi Waterhouse
"Le Pacte des Loups" réalisé par Christophe Gans
"Le Pacte des Loups" réalisé par Christophe Gans
Courts-métrages
"Le Jour de Grace" réalisé par Myriam Donnasice
"Something of Life" réalisé par Sébastien Leroy
"Something of Life" réalisé par Sébastien Leroy
Télévision
"Le juge est une femme" réalisé par Pierre Boutron
"Julien l’apprenti" réalisé par Jacques Otmezguine
"Marc Eliot" réalisé par Patrick Jamain
"Médecins de Nuit" réalisé par Gilles Béhat
"Moi c Kim" réalisé par Karen Perla
"Julien l’apprenti" réalisé par Jacques Otmezguine
"Marc Eliot" réalisé par Patrick Jamain
"Médecins de Nuit" réalisé par Gilles Béhat
"Moi c Kim" réalisé par Karen Perla
Théâtre
"La véritable Histoire de Lancelot du Lac" de Pierre Beffeyte et mise en scène de l'auteur. Festival d’Anjou puis tournée
"Les hommes et les femmes naissent..." de E. Archambault et mise en scène d'Elise Archambault. Le Tambour Royal (Paris)
"Tout est bien qui finit bien" de Shakespeare et mise en scène de Pierre Beffeyte. Vingtième théâtre (Paris), Collège de la Salle (Avignon), Tournée
"Tout pour les dames" de Feydeau-Labiche et mise en scène de Laurent Le Bras. La Gobinière (Nantes), Tournée
"Falstaff" de Shakespeare et mise en scène de Denis Llorca & Claude Brosset. Festival Nuits d’été (Paris), Théâtre Alexandre Dumas (St Germain en Laye), Avignon, Tournée
"Les Misérables" de Hugo et mise en scène de Denis Llorca. Arènes de Lutèce (Paris)
"La dame de chez Maxim" de Feydeau et mise en scène de Pierre Beffeyte. Céléstins (Lyon)
"Figaro" (d’après Beaumarchais) et mise en scène de Myriam Tanant. Opéra de Lyon
"L’Osteria di Marechiaro" de Paisiello et mise en scène de Myriam Tanant. Opéra de Lyon
"La Vie Parisienne" d'Offenbach et mise en scène de Daniel Mesguich. Comédie Française (Paris)
"Cosi fan tutte" de Mozart et mise en scène de Denis Llorca. Opéra de Lyon
"La puce à l’oreille" de Feydeau et mise en scène de Marc Dufour. Hôtel de ville de Lyon
"Lettres à un jeune poète" de Rilke et mise en scène de Niels Arestrup. Bouffes du Nord (Paris)
"On achève bien..." de Niels Arestrup et mise en scène de l'auteur. La Belleviloise (Paris)
"L’anglais tel qu’on le parle" de T. Bernard et mise en scène de Jeanine Berdin. Théâtre de poche (Lyon)
"Les hommes et les femmes naissent..." de E. Archambault et mise en scène d'Elise Archambault. Le Tambour Royal (Paris)
"Tout est bien qui finit bien" de Shakespeare et mise en scène de Pierre Beffeyte. Vingtième théâtre (Paris), Collège de la Salle (Avignon), Tournée
"Tout pour les dames" de Feydeau-Labiche et mise en scène de Laurent Le Bras. La Gobinière (Nantes), Tournée
"Falstaff" de Shakespeare et mise en scène de Denis Llorca & Claude Brosset. Festival Nuits d’été (Paris), Théâtre Alexandre Dumas (St Germain en Laye), Avignon, Tournée
"Les Misérables" de Hugo et mise en scène de Denis Llorca. Arènes de Lutèce (Paris)
"La dame de chez Maxim" de Feydeau et mise en scène de Pierre Beffeyte. Céléstins (Lyon)
"Figaro" (d’après Beaumarchais) et mise en scène de Myriam Tanant. Opéra de Lyon
"L’Osteria di Marechiaro" de Paisiello et mise en scène de Myriam Tanant. Opéra de Lyon
"La Vie Parisienne" d'Offenbach et mise en scène de Daniel Mesguich. Comédie Française (Paris)
"Cosi fan tutte" de Mozart et mise en scène de Denis Llorca. Opéra de Lyon
"La puce à l’oreille" de Feydeau et mise en scène de Marc Dufour. Hôtel de ville de Lyon
"Lettres à un jeune poète" de Rilke et mise en scène de Niels Arestrup. Bouffes du Nord (Paris)
"On achève bien..." de Niels Arestrup et mise en scène de l'auteur. La Belleviloise (Paris)
"L’anglais tel qu’on le parle" de T. Bernard et mise en scène de Jeanine Berdin. Théâtre de poche (Lyon)
Interview
R.S : Bonjour Sébastien.
S.F : Bonjour Reynald.
R.S : J'ai l'impression qu'être comédien arrive souvent comme une évidence, as-tu ressenti cela ?
S.F : Le mot "évidence" est en effet assez exact. J'ai entamé, avant de choisir cette voie, des études "normales" (si tant est que des études de droit puissent être "normales" !). Mais la seule chose pour laquelle j'avais envie de consacrer de l'énergie, c'était le métier de comédien.
R.S : Peux-tu parler de tes premiers pas ?
S.F : J'ai fait l'Ecole du Passage de Niels Arestrup et, dès ma sortie de l'école, mes premiers pas se sont faits de manière assez "rêvée" ! J'ai commencé par un spectacle dans la cour de l'Hôtel de Ville de Lyon pour leur festival d'été, j'ai été repéré par un metteur en scène qui travaillait pour l'Opéra National de Lyon qui m'a écrit deux rôles dans deux créations consécutives là-bas... Après ça, les choses se sont enchaînées.
R.S : Jouer devant un public te procure certainement des sensations diverses et variées, peut-être même contradictoires ?
S.F : Des sensations diverses et variées, mais pas contradictoires. Complémentaires plutôt. L'accueil et les réactions du public à notre travail sont l'essence même du métier de comédien (à mon sens). L'exigence et la rigueur nécessaires pour être en scène et tenir un personnage pendant toute la durée de la pièce, être à l'écoute de ses partenaires, s'adapter en permanence et continuer quoi qu'il arrive... Et, en même temps, continuer à être surpris, c'est génial !
R.S : Comment as-tu commencé le doublage ?
S.F : Je voulais en faire, j'ai donc tout fait pour ! J'ai commencé par un stage, afin d'apprendre la technique très particulière, puis j'ai commencé à assister sur les plateaux de manière assidue.
R.S : La technique peut paraître effrayante, comment fait-on pour l'apprivoiser ?
S.F : Un stage est une bonne manière de l'apprivoiser, mais ce n'est pas la seule. Assister pour s'entraîner peut suffire à certains. Mais c'est surtout en travaillant (et avec des personnes différentes) qu'on apprend le plus !
R.S : Faire parler un comédien étranger par ta voix donne un petit côté magique, j'imagine c'est un peu ce qu'on ressent, du moins au début ?
S.F : La magie, c'est d'entendre un comédien étranger qu'on a doublé, et ne pas reconnaître sa voix. C'est généralement la preuve que le travail a été bien fait !
R.S : En tant que comédien que représente pour toi le public ?
S.F : Il représente tout simplement ce pour quoi on fait ce métier : partager, donner du plaisir, des émotions... C'est le juge du travail que tu as fait en amont. Tu as beau te dire que ton spectacle est le plus génial du monde, si le public te dit que ton spectacle est tout pourri ou pire, s'il ne vient pas, c'est que ton message n'est pas passé !
R.S : En dehors de ton métier, quelles sont tes passions ?
S.F : La musique essentiellement (je suis un fou d'opéra !), le vin, la gastronomie... Et tout ce que je ne connais pas !
R.S : Merci beaucoup Sébastien.
Interview de juillet 2010
S.F : Bonjour Reynald.
R.S : J'ai l'impression qu'être comédien arrive souvent comme une évidence, as-tu ressenti cela ?
S.F : Le mot "évidence" est en effet assez exact. J'ai entamé, avant de choisir cette voie, des études "normales" (si tant est que des études de droit puissent être "normales" !). Mais la seule chose pour laquelle j'avais envie de consacrer de l'énergie, c'était le métier de comédien.
R.S : Peux-tu parler de tes premiers pas ?
S.F : J'ai fait l'Ecole du Passage de Niels Arestrup et, dès ma sortie de l'école, mes premiers pas se sont faits de manière assez "rêvée" ! J'ai commencé par un spectacle dans la cour de l'Hôtel de Ville de Lyon pour leur festival d'été, j'ai été repéré par un metteur en scène qui travaillait pour l'Opéra National de Lyon qui m'a écrit deux rôles dans deux créations consécutives là-bas... Après ça, les choses se sont enchaînées.
R.S : Jouer devant un public te procure certainement des sensations diverses et variées, peut-être même contradictoires ?
S.F : Des sensations diverses et variées, mais pas contradictoires. Complémentaires plutôt. L'accueil et les réactions du public à notre travail sont l'essence même du métier de comédien (à mon sens). L'exigence et la rigueur nécessaires pour être en scène et tenir un personnage pendant toute la durée de la pièce, être à l'écoute de ses partenaires, s'adapter en permanence et continuer quoi qu'il arrive... Et, en même temps, continuer à être surpris, c'est génial !
R.S : Comment as-tu commencé le doublage ?
S.F : Je voulais en faire, j'ai donc tout fait pour ! J'ai commencé par un stage, afin d'apprendre la technique très particulière, puis j'ai commencé à assister sur les plateaux de manière assidue.
R.S : La technique peut paraître effrayante, comment fait-on pour l'apprivoiser ?
S.F : Un stage est une bonne manière de l'apprivoiser, mais ce n'est pas la seule. Assister pour s'entraîner peut suffire à certains. Mais c'est surtout en travaillant (et avec des personnes différentes) qu'on apprend le plus !
R.S : Faire parler un comédien étranger par ta voix donne un petit côté magique, j'imagine c'est un peu ce qu'on ressent, du moins au début ?
S.F : La magie, c'est d'entendre un comédien étranger qu'on a doublé, et ne pas reconnaître sa voix. C'est généralement la preuve que le travail a été bien fait !
R.S : En tant que comédien que représente pour toi le public ?
S.F : Il représente tout simplement ce pour quoi on fait ce métier : partager, donner du plaisir, des émotions... C'est le juge du travail que tu as fait en amont. Tu as beau te dire que ton spectacle est le plus génial du monde, si le public te dit que ton spectacle est tout pourri ou pire, s'il ne vient pas, c'est que ton message n'est pas passé !
R.S : En dehors de ton métier, quelles sont tes passions ?
S.F : La musique essentiellement (je suis un fou d'opéra !), le vin, la gastronomie... Et tout ce que je ne connais pas !
R.S : Merci beaucoup Sébastien.
Interview de juillet 2010