Jean-Pascal Quilichini
Doublage
Voix
Documentaire
Des trains pas comme les autres
Documentaire
Expedition Deep Ocean (Narration - Discovery)
Documentaire
Justice for MLK (Narration)
Documentaire
Karl der Grosse
Documentaire
Révolutions dans la nature (Narration)
Voice-over
School of Golf
Direction artistique
Ecriture
"Carbons ardents" court métrage
"L'âme éprise" court métrage - en collaboration avec Laurence Bréheret
"Boules de Noël" court métrage - en collaboration avec Laurence Bréheret
"Papa ou pas ?" comédie en 3 actes - en collaboration avec Laurence Bréheret
"L'âme éprise" court métrage - en collaboration avec Laurence Bréheret
"Boules de Noël" court métrage - en collaboration avec Laurence Bréheret
"Papa ou pas ?" comédie en 3 actes - en collaboration avec Laurence Bréheret
Musique
Chanteur avec le Quartet 4 and the Ghost
Chanteur du Duo/Quartet Gatekeeper - Répertoire Pop-Jazz
Chanteur du Duo/Quartet Gatekeeper - Répertoire Pop-Jazz
Sports
Equitation (Galop 7)
Traduction et Adaptation
(anglais vers français)
Documentaires, dont :
2003 "Soeur Térésa de Calcutta" (doc 52'). Planète
1997/2003 "Lonely Planet" série documentaire (12 ép.). Planète
1998/1999 "The Cruise/En croisière sur le Galaxy" (6 ép.). Canal+ 1998
Documentaires, dont :
2003 "Soeur Térésa de Calcutta" (doc 52'). Planète
1997/2003 "Lonely Planet" série documentaire (12 ép.). Planète
1998/1999 "The Cruise/En croisière sur le Galaxy" (6 ép.). Canal+ 1998
Interview
R.S : Bonjour Jean-Pascal.
J.P.Q : Bonjour Reynald.
R.S : Quel a été votre parcours de comédien ?
J.P.Q : Cours Florent pendant 2 ans, puis quelques spectacles au théâtre et de la musique en tant que chanteur...
R.S : Quelle place le chant tient-il dans votre vie ?
J.P.Q : La musique a une place prépondérante dans ma vie. Pas un jour ne passe sans elle. J’ai commencé à apprendre à jouer du piano à 5 ans et j’ai été soliste dans une chorale à 9 ans. Aujourd’hui, je chante le jazz et le blues avec 2 formations. J’adore ça.
R.S : Comment avez-vous pris le chemin du doublage ?
J.P.Q : En sortant de mon service militaire, une amie comédienne m’a fait rencontrer un directeur artistique... et de fil en aiguille... Aider le plus grand nombre à franchir la barrière de la langue et leur permettre d’appréhender toute forme audiovisuelle de culture étrangère m’a paru être une belle mission.
R.S : C'est le travail avec la voix dans le doublage, que ce soit en tant que comédien ou directeur artistique qui a été jusqu'ici l'essentiel de votre activité professionnelle. Les planches du théâtre ne vous manquent-elles pas ?
J.P.Q : Je crois qu’il ne faut pas réduire le doublage au "travail avec la voix". Contrairement à ce que quelques profanes peuvent croire, c’est un travail de comédien à part entière, qui fait appel à une sensibilité particulière mise au service d’une technique et du travail du comédien étranger que l’on double. Il faut être un bon comédien pour faire un doublage de qualité. En outre, le travail de directeur artistique - à mon sens - fait également appel à des compétences linguistiques françaises et étrangères (en anglais, la plupart du temps), d’écriture et de relecture. Enfin, pour naviguer sans souci à travers l’univers d’un documentaire ou d’une fiction, mieux vaut cultiver ses connaissances. Mais oui, bien sûr, le théâtre me manque. C’est la base. Je compte bien y retourner.
R.S : Certains profanes ont du mal à comprendre que les comédiens ne regardent pas les œuvres avant d'entrer en plateau, et assimilent cela à un manque de conscience professionnelle voire à du mépris pour leur travail. On peut lire parfois sur Internet des commentaires très virulents. Que leur diriez-vous ?
J.P.Q : Rien.
R.S : Quels conseils, vous qui dirigez beaucoup, donneriez-vous à un comédien désireux d'essayer de travailler dans ce secteur ?
J.P.Q : Je n’ai pas vraiment de "conseil" à donner. En tant que directeur artistique, tout ce que je peux dire, c’est qu’idéalement le doublage ne doit être que le complément d’une activité professionnelle artistique sur scène ou devant une caméra.
R.S : Regardez-vous les VF en tant que spectateur ?
J.P.Q : Oui, par nécessité. Mais c’est la VO qui m’intéresse le plus car mon job est de la respecter dans ses moindres reliefs.
R.S : Quels sont vos loisirs ?
J.P.Q : La musique n’est jamais loin quand je suis loin des plateaux. Mais à vrai dire, la frontière entre mes loisirs et ma profession est assez ténue. L’un nourrit l’autre. J’aime lire, écrire. J’aime voyager et découvrir, seul ou avec ceux que j’aime. J’ai une passion pour mes enfants. Je suis curieux de tout.
R.S : Merci beaucoup Jean-Pascal.
J.P.Q : Merci Reynald.
Interview d'avril 2018
J.P.Q : Bonjour Reynald.
R.S : Quel a été votre parcours de comédien ?
J.P.Q : Cours Florent pendant 2 ans, puis quelques spectacles au théâtre et de la musique en tant que chanteur...
R.S : Quelle place le chant tient-il dans votre vie ?
J.P.Q : La musique a une place prépondérante dans ma vie. Pas un jour ne passe sans elle. J’ai commencé à apprendre à jouer du piano à 5 ans et j’ai été soliste dans une chorale à 9 ans. Aujourd’hui, je chante le jazz et le blues avec 2 formations. J’adore ça.
R.S : Comment avez-vous pris le chemin du doublage ?
J.P.Q : En sortant de mon service militaire, une amie comédienne m’a fait rencontrer un directeur artistique... et de fil en aiguille... Aider le plus grand nombre à franchir la barrière de la langue et leur permettre d’appréhender toute forme audiovisuelle de culture étrangère m’a paru être une belle mission.
R.S : C'est le travail avec la voix dans le doublage, que ce soit en tant que comédien ou directeur artistique qui a été jusqu'ici l'essentiel de votre activité professionnelle. Les planches du théâtre ne vous manquent-elles pas ?
J.P.Q : Je crois qu’il ne faut pas réduire le doublage au "travail avec la voix". Contrairement à ce que quelques profanes peuvent croire, c’est un travail de comédien à part entière, qui fait appel à une sensibilité particulière mise au service d’une technique et du travail du comédien étranger que l’on double. Il faut être un bon comédien pour faire un doublage de qualité. En outre, le travail de directeur artistique - à mon sens - fait également appel à des compétences linguistiques françaises et étrangères (en anglais, la plupart du temps), d’écriture et de relecture. Enfin, pour naviguer sans souci à travers l’univers d’un documentaire ou d’une fiction, mieux vaut cultiver ses connaissances. Mais oui, bien sûr, le théâtre me manque. C’est la base. Je compte bien y retourner.
R.S : Certains profanes ont du mal à comprendre que les comédiens ne regardent pas les œuvres avant d'entrer en plateau, et assimilent cela à un manque de conscience professionnelle voire à du mépris pour leur travail. On peut lire parfois sur Internet des commentaires très virulents. Que leur diriez-vous ?
J.P.Q : Rien.
R.S : Quels conseils, vous qui dirigez beaucoup, donneriez-vous à un comédien désireux d'essayer de travailler dans ce secteur ?
J.P.Q : Je n’ai pas vraiment de "conseil" à donner. En tant que directeur artistique, tout ce que je peux dire, c’est qu’idéalement le doublage ne doit être que le complément d’une activité professionnelle artistique sur scène ou devant une caméra.
R.S : Regardez-vous les VF en tant que spectateur ?
J.P.Q : Oui, par nécessité. Mais c’est la VO qui m’intéresse le plus car mon job est de la respecter dans ses moindres reliefs.
R.S : Quels sont vos loisirs ?
J.P.Q : La musique n’est jamais loin quand je suis loin des plateaux. Mais à vrai dire, la frontière entre mes loisirs et ma profession est assez ténue. L’un nourrit l’autre. J’aime lire, écrire. J’aime voyager et découvrir, seul ou avec ceux que j’aime. J’ai une passion pour mes enfants. Je suis curieux de tout.
R.S : Merci beaucoup Jean-Pascal.
J.P.Q : Merci Reynald.
Interview d'avril 2018