Aurélien Raynal
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Aiguë, Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Anglais avec accent britannique, Anglais avec accent non déterminé
Accents :
Allemand, Anglais, Espagnol
Doublage
Voix
Voice-over
Green Blood (Jules Giraudat)
Formation
2015/2018 : Cours Florent
Professeurs: Régine Ménauge, Maud Ferrer, David Garrel, Serge Brincat, Cyril Anrep, Félicien Juttner
Juillet/Août 2016 : Rencontres Internationales de théâtre à l’Aria
Professeurs: Caroline Marcadé, Robin Renucci, Fabrice Michel, Serge Nicolai, James Borniche, Roman Jean-Elie
Doublage - Depuis 2003
Professeurs: Régine Ménauge, Maud Ferrer, David Garrel, Serge Brincat, Cyril Anrep, Félicien Juttner
Juillet/Août 2016 : Rencontres Internationales de théâtre à l’Aria
Professeurs: Caroline Marcadé, Robin Renucci, Fabrice Michel, Serge Nicolai, James Borniche, Roman Jean-Elie
Doublage - Depuis 2003
Courts métrages
"Verlaine & Rimbaud" réalisé par Vram Karapetyan
"Violoniste" réalisé par Yann Seweryn
"Jack Potes" réalisé par Martin Gallois
"Le Propriétaire" réalisé par Vram Karapetyan
"Violoniste" réalisé par Yann Seweryn
"Jack Potes" réalisé par Martin Gallois
"Le Propriétaire" réalisé par Vram Karapetyan
Langues
Anglais (A2)
Espagnol (B1)
Espagnol (B1)
Sports
Tennis, Football
Théâtre
"L'écume des jours" de Boris Vian, adaptation de Claudie Russo-Pelosi - mise en scène de Claudie Russo-Pelosi. A la Folie Théâtre, Lucernaire
"Lorenzaccio" mise en scène de Timo Wagner
"Nouveau Rouge" mise en scène de Vram Karapetyan
"Léonce et Léna" mise en scène de Fabrice Michel
"Violences de Edouard Louis" mise en scène de Caroline Marcadé
"Puzzle" mise en scène de Félicien Juttner
"Chronique d'un été 2020" mise en scène de Margot Tramontana
"Lorenzaccio" mise en scène de Timo Wagner
"Nouveau Rouge" mise en scène de Vram Karapetyan
"Léonce et Léna" mise en scène de Fabrice Michel
"Violences de Edouard Louis" mise en scène de Caroline Marcadé
"Puzzle" mise en scène de Félicien Juttner
"Chronique d'un été 2020" mise en scène de Margot Tramontana
Interview
R.S : Bonjour Aurélien.
A.R : Salut Reynald.
R.S : Il y a longtemps que tu envisageais de devenir comédien ?
A.R : Oh oui... depuis petit je ne rêve et je ne me projette que dans ce métier. Après, quand est venu le moment de me lancer, je me suis beaucoup interrogé sur ce rêve. Je n’ai grandi qu’entouré de comédiens, c’est le seul métier que j’ai pu analyser de près alors j’ai voulu m’intéresser à d’autres choses pour être sûr et certain que ce rêve m’appartenait bien. Aujourd’hui c’est une certitude.
R.S : As-tu reçu des mises en garde de la part des membres comédiens de ta famille ?
A.R : Non, aucune. Grandir dans une famille de comédiens m’a permis de bien connaître ce métier avant de me lancer, de connaître les règles du jeu. J’avance en terrain connu ce qui est un avantage certain, mais pas suffisant bien sûr. C’est un métier difficile, exigeant, mais plein de surprises, ce qui le rend d’autant plus excitant.
R.S : Avais-tu le sentiment qu'une formation t'était indispensable ? Comment l'as-tu choisie ?
A.R : Oui; évidemment, il était impensable pour moi de me lancer dans une carrière de comédien sans une formation. Déjà qu’il y a très peu de places alors autant ne pas réduire ses chances d’entrée. Pour la formation, j’ai choisi les Cours Florent car j’avais beaucoup entendu parler de cette école, en bien comme en mal. Je voulais me faire ma propre opinion. C’est une école qui a ses défauts, mais dans laquelle on peut vraiment s’épanouir si on tombe sur les bons groupes. J’ai eu la chance de faire un beau parcours dans cette école, de rencontrer des professeurs incroyables qui m’ont énormément appris et des élèves d’horizons différents du mien avec qui j’aime travailler encore aujourd’hui. Je pense que c’était un bon choix.
R.S : Le doublage a toujours fait partie de ta vie par ta famille. Quel regard portes-tu sur cette discipline ?
A.R : Indépendamment de ma famille, j’ai toujours été très sensible au doublage en tant que spectateur. Il y a de grands comédiens qui pratiquent cette discipline de l’ombre. On a des voix mythiques en France et il existe des VF vraiment exceptionnelles. Je trouve même que dans certains cas, la VF surpasse la VO et rend le film encore plus grand (Les dents de la mer, le Seigneur des Anneaux, Barry Lindon, Les Evadés...). Aujourd’hui c’est plus rare, notamment parce que les délais sont plus courts, mais c’est toujours possible ! En tout cas cette discipline m’a toujours beaucoup intéressé, et maintenant que j’ai la chance d’être comédien, je souhaite vraiment la pratiquer. J’y prends énormément de plaisir. Et puis c’est bien le seul secteur de ce métier où notre physique n’entre pas en compte, ce qui permet de beaux contre-emplois... Et je trouve ces contre-emplois très enrichissants.
R.S : Tu as déjà l'expérience de la scène, de la caméra et du micro. Dans quel secteur de ces activités de comédien prends-tu le plus de plaisir ?
A.R : C’est difficile de hiérarchiser. Ce qui est sûr c’est qu’il y a du bon à prendre dans chacune de ces disciplines. Si je peux pratiquer les trois toute ma vie, je ne vais pas me priver. En tant qu’acteur, j’ai sûrement vécu mes plus belles émotions en jouant au théâtre parce que le public te fait face, tu donnes quelque chose de toi à des gens en direct, sur le moment, et les textes peuvent être extraordinaires. En tant que spectateur je suis un grand fan de cinéma alors la caméra me fait rêver aussi. Et en doublage je me régale. Quelle que soit la qualité du produit, au moins on rigole et on joue. Tant que je joue, je prends du plaisir. Alors, encore une fois, autant faire les trois !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
A.R : Comme je te l’ai dit, je suis un grand fan de cinéma, j’ai toujours regardé beaucoup de films. Après je fais beaucoup de sports (football, tennis, running, ski...) et je suis un très grand fan de foot donc je regarde aussi pas mal de matches. Et puis j’aime aussi sortir, il faut être honnête...
R.S : Merci beaucoup Aurélien.
A.R : Merci à toi Reynald !
Interview d'août 2019
A.R : Salut Reynald.
R.S : Il y a longtemps que tu envisageais de devenir comédien ?
A.R : Oh oui... depuis petit je ne rêve et je ne me projette que dans ce métier. Après, quand est venu le moment de me lancer, je me suis beaucoup interrogé sur ce rêve. Je n’ai grandi qu’entouré de comédiens, c’est le seul métier que j’ai pu analyser de près alors j’ai voulu m’intéresser à d’autres choses pour être sûr et certain que ce rêve m’appartenait bien. Aujourd’hui c’est une certitude.
R.S : As-tu reçu des mises en garde de la part des membres comédiens de ta famille ?
A.R : Non, aucune. Grandir dans une famille de comédiens m’a permis de bien connaître ce métier avant de me lancer, de connaître les règles du jeu. J’avance en terrain connu ce qui est un avantage certain, mais pas suffisant bien sûr. C’est un métier difficile, exigeant, mais plein de surprises, ce qui le rend d’autant plus excitant.
R.S : Avais-tu le sentiment qu'une formation t'était indispensable ? Comment l'as-tu choisie ?
A.R : Oui; évidemment, il était impensable pour moi de me lancer dans une carrière de comédien sans une formation. Déjà qu’il y a très peu de places alors autant ne pas réduire ses chances d’entrée. Pour la formation, j’ai choisi les Cours Florent car j’avais beaucoup entendu parler de cette école, en bien comme en mal. Je voulais me faire ma propre opinion. C’est une école qui a ses défauts, mais dans laquelle on peut vraiment s’épanouir si on tombe sur les bons groupes. J’ai eu la chance de faire un beau parcours dans cette école, de rencontrer des professeurs incroyables qui m’ont énormément appris et des élèves d’horizons différents du mien avec qui j’aime travailler encore aujourd’hui. Je pense que c’était un bon choix.
R.S : Le doublage a toujours fait partie de ta vie par ta famille. Quel regard portes-tu sur cette discipline ?
A.R : Indépendamment de ma famille, j’ai toujours été très sensible au doublage en tant que spectateur. Il y a de grands comédiens qui pratiquent cette discipline de l’ombre. On a des voix mythiques en France et il existe des VF vraiment exceptionnelles. Je trouve même que dans certains cas, la VF surpasse la VO et rend le film encore plus grand (Les dents de la mer, le Seigneur des Anneaux, Barry Lindon, Les Evadés...). Aujourd’hui c’est plus rare, notamment parce que les délais sont plus courts, mais c’est toujours possible ! En tout cas cette discipline m’a toujours beaucoup intéressé, et maintenant que j’ai la chance d’être comédien, je souhaite vraiment la pratiquer. J’y prends énormément de plaisir. Et puis c’est bien le seul secteur de ce métier où notre physique n’entre pas en compte, ce qui permet de beaux contre-emplois... Et je trouve ces contre-emplois très enrichissants.
R.S : Tu as déjà l'expérience de la scène, de la caméra et du micro. Dans quel secteur de ces activités de comédien prends-tu le plus de plaisir ?
A.R : C’est difficile de hiérarchiser. Ce qui est sûr c’est qu’il y a du bon à prendre dans chacune de ces disciplines. Si je peux pratiquer les trois toute ma vie, je ne vais pas me priver. En tant qu’acteur, j’ai sûrement vécu mes plus belles émotions en jouant au théâtre parce que le public te fait face, tu donnes quelque chose de toi à des gens en direct, sur le moment, et les textes peuvent être extraordinaires. En tant que spectateur je suis un grand fan de cinéma alors la caméra me fait rêver aussi. Et en doublage je me régale. Quelle que soit la qualité du produit, au moins on rigole et on joue. Tant que je joue, je prends du plaisir. Alors, encore une fois, autant faire les trois !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
A.R : Comme je te l’ai dit, je suis un grand fan de cinéma, j’ai toujours regardé beaucoup de films. Après je fais beaucoup de sports (football, tennis, running, ski...) et je suis un très grand fan de foot donc je regarde aussi pas mal de matches. Et puis j’aime aussi sortir, il faut être honnête...
R.S : Merci beaucoup Aurélien.
A.R : Merci à toi Reynald !
Interview d'août 2019