Glen Hervé
Doublage
Voix
Série documentaire
Le business des stupéfiants
Voice-over
Bad chad (Chad Hiltz)
Voice-over
Becoming the Beatles (narrateur)
Voice-over
Chasing Waves
Voice-over
Citizens
Voice-over
Court-circuit 478 (narrateur)
Voice-over
Dynamo (Steven Frayne)
Voice-over
Floripa (Jerry Smith)
Voice-over
Les tambours Kodo
Voice-over
Love Yurts
Voice-over
My America (narrateur)
Voice-over
The CouchSurfing (narrateur)
Voice-over
The Glee Project
Voix-off
Cognac Hennessy VSOP Hélios
Direction artistique
Dante (Arte)
Documentaire
Gorillas unter Stress (Arte)
Documentaire
La Carélie (Arte)
Documentaire
Formation
2009 Stage AFDAS "le jeu, le doublage et la voice-over" avec J. Barney, V. Violette, F. Dunoyer et C. Cyler
2003/2005 Stage avec Jack Waltzer de l’Actor’s studio
1997/2002 Cours de chant avec Francine Romain
1997/2000 Cours Eva St-Paul
1991/1993 Stage avec Emmanuel Demarcy-Motta
2003/2005 Stage avec Jack Waltzer de l’Actor’s studio
1997/2002 Cours de chant avec Francine Romain
1997/2000 Cours Eva St-Paul
1991/1993 Stage avec Emmanuel Demarcy-Motta
Cinéma
2011 "La mer à l’aube" réalisé par Volker Schlöndorff
2010 "Un amour de jeunesse" réalisé par Mia Hansen-Love
2010 "Paris Connection" réalisé par Harley Cokeliss
2007 "The skin territory" réalisé par Jean-Louis Daniel
2006 "Le candidat" réalisé par Niels Arestrup
2005 "Marie-Antoinette" réalisé par Sofia Coppola
2005 "Cabaret Paradis" réalisé par Gilles Benizio & Corinne Benizio
2005 "Les Aristots" réalisé par Charlotte De Turckheim
2004 " 36 Quai des Orfèvres" réalisé par Olivier Marchal
2004 "The pink panther" réalisé par Shawn Levy
2003 "Une vie à t’attendre" réalisé par Thierry Klifa
2003 "Cause toujours" réalisé par Jeanne Labrune
2001 "Absolument Fabuleux" réalisé par Gabriel Aghion
2000 "Le Pacte des Loups" réalisé par Christophe Gans
2010 "Un amour de jeunesse" réalisé par Mia Hansen-Love
2010 "Paris Connection" réalisé par Harley Cokeliss
2007 "The skin territory" réalisé par Jean-Louis Daniel
2006 "Le candidat" réalisé par Niels Arestrup
2005 "Marie-Antoinette" réalisé par Sofia Coppola
2005 "Cabaret Paradis" réalisé par Gilles Benizio & Corinne Benizio
2005 "Les Aristots" réalisé par Charlotte De Turckheim
2004 " 36 Quai des Orfèvres" réalisé par Olivier Marchal
2004 "The pink panther" réalisé par Shawn Levy
2003 "Une vie à t’attendre" réalisé par Thierry Klifa
2003 "Cause toujours" réalisé par Jeanne Labrune
2001 "Absolument Fabuleux" réalisé par Gabriel Aghion
2000 "Le Pacte des Loups" réalisé par Christophe Gans
Courts métrages
2011 "Dormir debout" réalisé par Jean-Luc Perreard
Publicités
2010 "Chanel : Coco, Mademoiselle" réalisé par Joe Wright
2007 "But" réalisé par Guillaume Tunzini
2001 "Mapa, Fleur de Peau" réalisé par Michel Guimbard
1993 "Tu t’es vu quand t’as bu" réalisé par Jean Becker
1992 "Sunlight douche" réalisé par Jacques Monnet
2007 "But" réalisé par Guillaume Tunzini
2001 "Mapa, Fleur de Peau" réalisé par Michel Guimbard
1993 "Tu t’es vu quand t’as bu" réalisé par Jean Becker
1992 "Sunlight douche" réalisé par Jacques Monnet
Radio
"Berlin Alerxanderplatz" fiction radiophonique réalisée par Cédric Aussir
Télévision
2010 "Chez Maupassant : L’assassin" réalisé par Laurent Heynneman
2010 "C’est toi, c’est tout" réalisé par Jacques Santamaria
2010 "A vos caisse" réalisé par Pierre Isoard
2009 "Section de recherches" (ép. 31, 32 et 34) réalisé par Gérard Marx
2009 "Blanche Maupas" réalisé par Patrick Jamain
2010 "C’est toi, c’est tout" réalisé par Jacques Santamaria
2010 "A vos caisse" réalisé par Pierre Isoard
2009 "Section de recherches" (ép. 31, 32 et 34) réalisé par Gérard Marx
2009 "Blanche Maupas" réalisé par Patrick Jamain
Théâtre
"L’empereur s’appelle dromadaire" de Jacques Prévert - mise en scène de Gilbert Ponte
2008/2011 "Phèdre" mise en scène de Gilbert Ponte. Tournée en France & Théâtre Adyar
2007 "George Dandin" mise en scène de Gilbert Ponte. Tournée & Théâtre de Ménilmontant
2006 "Petit Ours visite le monde" mise en scène de Gilbert Pont. Sudden Théâtre & tournée
2005 "Conversation avec mon chat" mise en scène de Jackie Kleefield. Théâtre Pixel
1994 "Les sorcières de Salem" mise en scène de Françoise Vuillermoz
1993 "Six personnages en quête d’auteur" mise en scène d'Emmanuel Demarcy-Motta
1992"Rhinocéros" mise en scène d'Emmanuel Demarcy-Motta
2008/2011 "Phèdre" mise en scène de Gilbert Ponte. Tournée en France & Théâtre Adyar
2007 "George Dandin" mise en scène de Gilbert Ponte. Tournée & Théâtre de Ménilmontant
2006 "Petit Ours visite le monde" mise en scène de Gilbert Pont. Sudden Théâtre & tournée
2005 "Conversation avec mon chat" mise en scène de Jackie Kleefield. Théâtre Pixel
1994 "Les sorcières de Salem" mise en scène de Françoise Vuillermoz
1993 "Six personnages en quête d’auteur" mise en scène d'Emmanuel Demarcy-Motta
1992"Rhinocéros" mise en scène d'Emmanuel Demarcy-Motta
Interview
R.S : Bonjour Glen.
G.H : Bonjour Reynald.
R.S : Comment l'envie d'être comédien s'est révélée en toi ?
G.H : L'envie s'est manifestée très tôt. A l'âge de 8 ans j'ai annoncé à mon père que je souhaitais être comédien. Je viens d'une famille de musiciens. Au départ, j'imitais les chanteurs que mon père accompagnait. Puis j'ai découvert le plaisir d'aller au cinéma et de pouvoir être tout ce que je n'étais pas dans la vie. Je m'imaginais être filmé en cachette dans ma chambre, alors je m'inventais toutes sortes d'histoires pour parvenir à être tantôt triste, tantôt gai... C'était très schizophrénique...
R.S : La formation est-elle le point de départ primordial ?
G.H : Je ne pense pas que la formation soit primordiale. Par contre le plaisir, lui, l'est. Cependant, une solide formation est absolument nécessaire.
R.S : Jouer devant une caméra, sur une scène... te procure le même plaisir ?
G.H : Le plaisir de jouer est présent dans les deux cas mais... différemment ! Sur scène, on est sans filet, on n'est pas à l'abri d'un problème technique ou d'un oubli. Et puis, il y a le public ; l'attention et l'électricité qui émane de lui. C'est une communion extraordinaire. Au cinéma, c'est différent. Si tu te trompes, tu peux toujours refaire la prise. Les enjeux ne sont pas les mêmes.
R.S : Peux-tu parler de tes premiers pas dans le doublage ?
G.H : Mes premiers pas dans le doublage je les dois à la comédienne Yumi Fujimori. Nous jouions ensemble, Phèdre, au théâtre. Un jour, elle m'a soufflé l'idée de faire du doublage. Je ne pensais pas en être capable. Je l'ai, cependant, accompagnée sur le plateau de "Grey's anatomy", où elle double la comédienne Sandra Oh. L'ambiance était tellement détendue et bon enfant que j'avais l'impression de me retrouver plusieurs années en arrière dans une cour de récréation. Le premier directeur artistique à m'avoir fait confiance est Thierry Wermuth. Je lui en suis infiniment reconnaissant.
R.S : Comment fais-tu pour rester au plus proche de la version originale ?
G.H : Je cherche le rythme du comédien. Je regarde attentivement son œil. Il donne une précision accrue de l'intention à jouer. J'ai aussi la chance de parler parfaitement l'anglais et l'italien, ce qui me permet de comprendre des subtilités de langage qui vont enrichir mon jeu.
R.S : A-t-on tout de même une petite marge de liberté ?
G.H : Je pense oui. Il y a des dizaines de façons de jouer telle ou telle intention. Le tout étant, justement, de rester le plus fidèle à ce que le comédien joue à l'origine. Là est toute la complexité du doublage.
R.S : Qu'est-ce qui te plaît le plus dans cet exercice ?
G.H : L'immédiateté et la spontanéité de jeu.
R.S : Quelles sont tes passions en dehors de ton métier ?
G.H : Ma famille et mes amis sont les piliers centraux de ma vie. Sans eux, je ne suis rien.
R.S : Merci beaucoup Glen.
G.H : Merci à toi.
Interview de mars 2013
G.H : Bonjour Reynald.
R.S : Comment l'envie d'être comédien s'est révélée en toi ?
G.H : L'envie s'est manifestée très tôt. A l'âge de 8 ans j'ai annoncé à mon père que je souhaitais être comédien. Je viens d'une famille de musiciens. Au départ, j'imitais les chanteurs que mon père accompagnait. Puis j'ai découvert le plaisir d'aller au cinéma et de pouvoir être tout ce que je n'étais pas dans la vie. Je m'imaginais être filmé en cachette dans ma chambre, alors je m'inventais toutes sortes d'histoires pour parvenir à être tantôt triste, tantôt gai... C'était très schizophrénique...
R.S : La formation est-elle le point de départ primordial ?
G.H : Je ne pense pas que la formation soit primordiale. Par contre le plaisir, lui, l'est. Cependant, une solide formation est absolument nécessaire.
R.S : Jouer devant une caméra, sur une scène... te procure le même plaisir ?
G.H : Le plaisir de jouer est présent dans les deux cas mais... différemment ! Sur scène, on est sans filet, on n'est pas à l'abri d'un problème technique ou d'un oubli. Et puis, il y a le public ; l'attention et l'électricité qui émane de lui. C'est une communion extraordinaire. Au cinéma, c'est différent. Si tu te trompes, tu peux toujours refaire la prise. Les enjeux ne sont pas les mêmes.
R.S : Peux-tu parler de tes premiers pas dans le doublage ?
G.H : Mes premiers pas dans le doublage je les dois à la comédienne Yumi Fujimori. Nous jouions ensemble, Phèdre, au théâtre. Un jour, elle m'a soufflé l'idée de faire du doublage. Je ne pensais pas en être capable. Je l'ai, cependant, accompagnée sur le plateau de "Grey's anatomy", où elle double la comédienne Sandra Oh. L'ambiance était tellement détendue et bon enfant que j'avais l'impression de me retrouver plusieurs années en arrière dans une cour de récréation. Le premier directeur artistique à m'avoir fait confiance est Thierry Wermuth. Je lui en suis infiniment reconnaissant.
R.S : Comment fais-tu pour rester au plus proche de la version originale ?
G.H : Je cherche le rythme du comédien. Je regarde attentivement son œil. Il donne une précision accrue de l'intention à jouer. J'ai aussi la chance de parler parfaitement l'anglais et l'italien, ce qui me permet de comprendre des subtilités de langage qui vont enrichir mon jeu.
R.S : A-t-on tout de même une petite marge de liberté ?
G.H : Je pense oui. Il y a des dizaines de façons de jouer telle ou telle intention. Le tout étant, justement, de rester le plus fidèle à ce que le comédien joue à l'origine. Là est toute la complexité du doublage.
R.S : Qu'est-ce qui te plaît le plus dans cet exercice ?
G.H : L'immédiateté et la spontanéité de jeu.
R.S : Quelles sont tes passions en dehors de ton métier ?
G.H : Ma famille et mes amis sont les piliers centraux de ma vie. Sans eux, je ne suis rien.
R.S : Merci beaucoup Glen.
G.H : Merci à toi.
Interview de mars 2013