Patrick Floersheim
Doublage
télévision, VOD & DVD
1992
Publicité
The legend of Zelda: Ocarina of Time 3D (Nintendo 3DS)
Adaptation
Direction artistique
Cinéma
2004 "Virgil" réalisé par Mabrouk El Mechri
2004 "L'empire des loups" réalisé par Cris Nahon
2001 "Rue des plaisirs" réalisé par Patrice Leconte
1995 "Le rois des Aulnes" réalisé par V. Schlondorff
1993 "Les femmes n'oublient jamais" réalisé par C. Frank
1991 "Adieu princesse" réalisé par J. Paxao de Costa
1990 "Last Trangle in Paris" réalisé par Baz Taylor
1990 "La contre allée" réalisé par Isabel Sebastian
1988 "36-15 Code Père Noël réalisé par René Manzor
1987 "Frantic" réalisé par Roman Polanski
1986 "Je hais les acteurs" réalisé par Gérard Krawczyk
1983 "Attention une femme peut en cacher une autre" Gérard Lautner
1982 "S.A.S. à San Salvador" réalisé par Raoul Coutard
1981 "La gueule du loup" réalisé par Michel Leviant
1980 "Diva" réalisé par Jean-Jacques Beineix
1979 "Le pull over rouge" réalisé par Michel Drach
1979 "Moonraker" réalisé par Lewis Gilbert
1978 "Le coup de tête" réalisé par Jean-Jacques Annaud
1978 "Lady Oscar" réalisé par Jacques Demy
1978 "La carapate" réalisé par Gérard Oury
1977 "Molière" réalisé par Ariane Mnouchkine
1976 "Moi PierreRivière" réalisé par Christine Lipinska
2004 "L'empire des loups" réalisé par Cris Nahon
2001 "Rue des plaisirs" réalisé par Patrice Leconte
1995 "Le rois des Aulnes" réalisé par V. Schlondorff
1993 "Les femmes n'oublient jamais" réalisé par C. Frank
1991 "Adieu princesse" réalisé par J. Paxao de Costa
1990 "Last Trangle in Paris" réalisé par Baz Taylor
1990 "La contre allée" réalisé par Isabel Sebastian
1988 "36-15 Code Père Noël réalisé par René Manzor
1987 "Frantic" réalisé par Roman Polanski
1986 "Je hais les acteurs" réalisé par Gérard Krawczyk
1983 "Attention une femme peut en cacher une autre" Gérard Lautner
1982 "S.A.S. à San Salvador" réalisé par Raoul Coutard
1981 "La gueule du loup" réalisé par Michel Leviant
1980 "Diva" réalisé par Jean-Jacques Beineix
1979 "Le pull over rouge" réalisé par Michel Drach
1979 "Moonraker" réalisé par Lewis Gilbert
1978 "Le coup de tête" réalisé par Jean-Jacques Annaud
1978 "Lady Oscar" réalisé par Jacques Demy
1978 "La carapate" réalisé par Gérard Oury
1977 "Molière" réalisé par Ariane Mnouchkine
1976 "Moi PierreRivière" réalisé par Christine Lipinska
Courts-métrages
1994 "Le courrier des Iles" réalisé par A. Marie
Mise en scène
2012 "Galimatias" pièce de Magali Barney. L’Auguste Théâtre
Télévision
2007 "Equipe médicale d'urgence" réalisé par Etienne Dhaen
2005 "Une femme d'honneur" réalisé par Michaël Perrotta
2005 "Le négociateur" réalisé par René Manzor
2005 "Groupe flag" réalisé par Michel Hassan
2005 "Ange de feu" réalisé par Philippe Setbon
2004 "Léa Parker" réalisé par Robin Davis
2003 "P.J." réalisé par Etienne Dhaene
2002 "Zoom" réalisé par Paolo Barzman
2001 "Quai N°1" réalisé par Patrick Jamain
1998 "Palazzo" réalisé par Patrick Jamain
1996 "Le juste" réalisé par Frank Apprederis
1996 "Quai N°1" réalisé par Patrick Jamain
1995 "Les petites bonnes" réalisé par Serge Korber
1995 "Docteur Verdier" réalisé par Christian Faure
1993 "Highlander" réalisé par Paolo Barzman
1992 "The Shooter : objectif meurtre" réalisé par Kevin Connor
1992 "Kiss and Tell" réalisé par Baz Taylor
1992 "La cage : Un cadavre sous la cendre" réalisé par C. Andrei
1991 "Les Aventures du jeune Indiana Jones" réalisé par René Manzor
1991 "Maigret et le corps sans tête" réalisé par Serge Leroy
1990 "Paris Steel" réalisé par Marc Laub
1989 "Une saison de feuilles" réalisé par Serge Leroy
1989 "La goutte d'or" réalisé par Marcel Bluwal
1989 "La Baionnette de Mirabeau réalisé par Claude Faraldo
1989 "Hitchhiker"
1987 "King of the Olympics" réalisé par Lee Philips
1987 "Traction avant" réalisé par Claude Barma
1987 "Des Américains à Paris" réalisé par Gérard Gozlan
1986 "Murder the rue morgue" réalisé par Jeannot Szwarc
1985 "Chronique d'une maison provinciale sous l'occupation" réalisé par Alain Boudet
1983 "Les falaises de la liberté" réalisé par Jacques Mannier
1983 "Dorothée danseuse de cordes" réalisé par Jacques Fansten
1981 "L'année des français" (TV irlandaise)
1980 "Le bunker" réalisé par Georges Sheffer
1980 "Saint Louis"
1980 "Lubtchansky"
1980 "L'aéropostale" réalisé par Gilles Grangier
1979 "La voie Jackson" réalisé par Gérard Herzog & Daniel Losset
1979 "Médecins de nuit" réalisé par Pierre Larry
1978 "Les héritiers" réalisé par Jean-Louis Bunuel
1978 "Techniques douces" réalisé par Claude Loursais
1977 "Les faucheurs de marguerites" réalisé par Claude Boissol
1977 "Les fusils sont armés" réalisé par Roger Kahan
2005 "Une femme d'honneur" réalisé par Michaël Perrotta
2005 "Le négociateur" réalisé par René Manzor
2005 "Groupe flag" réalisé par Michel Hassan
2005 "Ange de feu" réalisé par Philippe Setbon
2004 "Léa Parker" réalisé par Robin Davis
2003 "P.J." réalisé par Etienne Dhaene
2002 "Zoom" réalisé par Paolo Barzman
2001 "Quai N°1" réalisé par Patrick Jamain
1998 "Palazzo" réalisé par Patrick Jamain
1996 "Le juste" réalisé par Frank Apprederis
1996 "Quai N°1" réalisé par Patrick Jamain
1995 "Les petites bonnes" réalisé par Serge Korber
1995 "Docteur Verdier" réalisé par Christian Faure
1993 "Highlander" réalisé par Paolo Barzman
1992 "The Shooter : objectif meurtre" réalisé par Kevin Connor
1992 "Kiss and Tell" réalisé par Baz Taylor
1992 "La cage : Un cadavre sous la cendre" réalisé par C. Andrei
1991 "Les Aventures du jeune Indiana Jones" réalisé par René Manzor
1991 "Maigret et le corps sans tête" réalisé par Serge Leroy
1990 "Paris Steel" réalisé par Marc Laub
1989 "Une saison de feuilles" réalisé par Serge Leroy
1989 "La goutte d'or" réalisé par Marcel Bluwal
1989 "La Baionnette de Mirabeau réalisé par Claude Faraldo
1989 "Hitchhiker"
1987 "King of the Olympics" réalisé par Lee Philips
1987 "Traction avant" réalisé par Claude Barma
1987 "Des Américains à Paris" réalisé par Gérard Gozlan
1986 "Murder the rue morgue" réalisé par Jeannot Szwarc
1985 "Chronique d'une maison provinciale sous l'occupation" réalisé par Alain Boudet
1983 "Les falaises de la liberté" réalisé par Jacques Mannier
1983 "Dorothée danseuse de cordes" réalisé par Jacques Fansten
1981 "L'année des français" (TV irlandaise)
1980 "Le bunker" réalisé par Georges Sheffer
1980 "Saint Louis"
1980 "Lubtchansky"
1980 "L'aéropostale" réalisé par Gilles Grangier
1979 "La voie Jackson" réalisé par Gérard Herzog & Daniel Losset
1979 "Médecins de nuit" réalisé par Pierre Larry
1978 "Les héritiers" réalisé par Jean-Louis Bunuel
1978 "Techniques douces" réalisé par Claude Loursais
1977 "Les faucheurs de marguerites" réalisé par Claude Boissol
1977 "Les fusils sont armés" réalisé par Roger Kahan
Théâtre
2014/2016 "Le manuscrit de Rembrandt" adaptation Céline Duhamel du livre Rembrandt Kabbaliste de Raoul Mourgues - mise en scène & scénographie de Patrick Courtois. Théâtre Essaïon, Théâtre du Petit Chien à Avignon, Théâtre le Ranelagh
Interview
R.S : Bonjour Patrick...
P.F : Bonjour Reynald.
R.S : Pouvez-vous parler de vos débuts de comédien ?
P.F : J'ai commencé à faire du théâtre en 1966. Dans un contexte disons contestataire et très peu "parisien". Et ce jusqu'en 1974, toujours dans la même équipe. Ce furent les années de formation sous la houlette d'un homme remarquable, disparu depuis : Marcel Tassimot. Certains s'en souviendront peut-être. Ensuite, de façon plus ou moins régulière j'ai joué à Paris ou ailleurs. Depuis quelque temps c'est plus la direction d'acteur qui m'attire et que je pratique quand les occasions se présentent.
R.S : La façon de travailler au cinéma est différente par rapport à la télévision au niveau du rythme, mais est-ce la seule différence ?
P.F : Non, bien sûr. Encore faudrait-il différencier la manière de travailler des metteurs en scène tant de télé que de cinéma. C'est du cas par cas, on ne peut pas généraliser. Ce qu'on peut dire tout de même, c'est que dans les deux cas, TV et ciné, tout s'accélère...
R.S : Tourner à l'étranger, est-ce une expérience enrichissante artistiquement parlant ?
P.F : Ça dépend avec qui bien sûr. Mais en gros, oui.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
P.F : Par hasard. A l'époque "théâtre pauvre" j'enchaînais les petits boulots. Et un jour j'ai retrouvé deux amis américains, acteurs et chanteurs, qui faisaient du doublage vers l'anglais. J'ai démarré la semaine suivante, en américain et je n'ai jamais arrêté. Puis, les prods étant les mêmes, j'ai progressivement glissé vers le doublage en français, au fur et à mesure que le doublage en anglais se raréfiait.
R.S : Vous êtes, entre autres, la "voix habituelle" de Michael Douglas. Que ressentez-vous chaque fois que vous le retrouvez ?
P.F : L'impression de retrouver un ami.
R.S : La rencontre entre vous et Michael Douglas est ce qu'on peut appeler un "choix parfait". A mon sens, c'est aussi le cas avec Michael Chiklis à qui vous apportez beaucoup. Avez-vous ressenti cette osmose lorsque vous l'avez doublé pour la première fois ?
P.F : Oui, mais différemment. Vraiment pas le même genre d'homme... J'ai fait l'éponge, et on s'est retrouvé à mi-chemin.
R.S : Vous êtes également directeur artistique. Cela demande énormément de travail en amont, n'est-ce pas ?
P.F : C'est rien de le dire. Mais j'ai la chance de diriger le plus souvent des films ou des séries que j'aime. Alors le plateau, le travail d'échange avec les acteurs, c'est la récompense. Même si, certains vont sourire, parfois je râle un peu contre le manque de temps pour affiner, peaufiner. Mais en dernière analyse, c'est le pied.
R.S : Votre carrière est assez diversifiée. Est-ce important en tant qu'artiste ?
P.F : Arriver à être à peu près "performant" sur scène, devant une caméra, au micro, que ce soit doublage, narration de documentaire, pub (trois "attitudes" assez différentes), ou en tant que directeur d'acteur, cela fait appel à disons des "logiciels" différents. Alors la réponse est un grand OUI. C'est tout recherche et plaisir.
R.S : En dehors de votre métier, quelles sont vos passions ?
P.F : J'ai aimé le voyage, beaucoup, la politique et l'histoire, beaucoup. J'ai consacré une grosse partie de ma vie, disons 25 ans, à circuler aussi souvent, aussi longtemps, et aussi loin que possible, en bateau à voile. Seul ou en équipage. L'autre passion principale est d'ordre plus... privé. :-)
R.S : Merci beaucoup Patrick.
P.F : Merci à vous Reynald pour tout le travail que vous faites. Bravo !
Interview d'avril 2008
P.F : Bonjour Reynald.
R.S : Pouvez-vous parler de vos débuts de comédien ?
P.F : J'ai commencé à faire du théâtre en 1966. Dans un contexte disons contestataire et très peu "parisien". Et ce jusqu'en 1974, toujours dans la même équipe. Ce furent les années de formation sous la houlette d'un homme remarquable, disparu depuis : Marcel Tassimot. Certains s'en souviendront peut-être. Ensuite, de façon plus ou moins régulière j'ai joué à Paris ou ailleurs. Depuis quelque temps c'est plus la direction d'acteur qui m'attire et que je pratique quand les occasions se présentent.
R.S : La façon de travailler au cinéma est différente par rapport à la télévision au niveau du rythme, mais est-ce la seule différence ?
P.F : Non, bien sûr. Encore faudrait-il différencier la manière de travailler des metteurs en scène tant de télé que de cinéma. C'est du cas par cas, on ne peut pas généraliser. Ce qu'on peut dire tout de même, c'est que dans les deux cas, TV et ciné, tout s'accélère...
R.S : Tourner à l'étranger, est-ce une expérience enrichissante artistiquement parlant ?
P.F : Ça dépend avec qui bien sûr. Mais en gros, oui.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
P.F : Par hasard. A l'époque "théâtre pauvre" j'enchaînais les petits boulots. Et un jour j'ai retrouvé deux amis américains, acteurs et chanteurs, qui faisaient du doublage vers l'anglais. J'ai démarré la semaine suivante, en américain et je n'ai jamais arrêté. Puis, les prods étant les mêmes, j'ai progressivement glissé vers le doublage en français, au fur et à mesure que le doublage en anglais se raréfiait.
R.S : Vous êtes, entre autres, la "voix habituelle" de Michael Douglas. Que ressentez-vous chaque fois que vous le retrouvez ?
P.F : L'impression de retrouver un ami.
R.S : La rencontre entre vous et Michael Douglas est ce qu'on peut appeler un "choix parfait". A mon sens, c'est aussi le cas avec Michael Chiklis à qui vous apportez beaucoup. Avez-vous ressenti cette osmose lorsque vous l'avez doublé pour la première fois ?
P.F : Oui, mais différemment. Vraiment pas le même genre d'homme... J'ai fait l'éponge, et on s'est retrouvé à mi-chemin.
R.S : Vous êtes également directeur artistique. Cela demande énormément de travail en amont, n'est-ce pas ?
P.F : C'est rien de le dire. Mais j'ai la chance de diriger le plus souvent des films ou des séries que j'aime. Alors le plateau, le travail d'échange avec les acteurs, c'est la récompense. Même si, certains vont sourire, parfois je râle un peu contre le manque de temps pour affiner, peaufiner. Mais en dernière analyse, c'est le pied.
R.S : Votre carrière est assez diversifiée. Est-ce important en tant qu'artiste ?
P.F : Arriver à être à peu près "performant" sur scène, devant une caméra, au micro, que ce soit doublage, narration de documentaire, pub (trois "attitudes" assez différentes), ou en tant que directeur d'acteur, cela fait appel à disons des "logiciels" différents. Alors la réponse est un grand OUI. C'est tout recherche et plaisir.
R.S : En dehors de votre métier, quelles sont vos passions ?
P.F : J'ai aimé le voyage, beaucoup, la politique et l'histoire, beaucoup. J'ai consacré une grosse partie de ma vie, disons 25 ans, à circuler aussi souvent, aussi longtemps, et aussi loin que possible, en bateau à voile. Seul ou en équipage. L'autre passion principale est d'ordre plus... privé. :-)
R.S : Merci beaucoup Patrick.
P.F : Merci à vous Reynald pour tout le travail que vous faites. Bravo !
Interview d'avril 2008