Kelly Marot
Doublage
Série documentaire
Marvel Studios Rassemblement
Interview
R.S : Bonjour Kelly,
K.M : Tu as commencé à jouer à l’âge de cinq ans dans "La Crise" de Coline Serreau. Comment est-ce arrivé ?
R.S : En fait, lorsque j’étais petite, je regardais mon frère et ma soeur apprendre leur textes pour jouer au théâtre et je voulais absolument connaître leur texte avant eux :-D J'avais le même agent et un jour il m’a demandé de passer un casting et j’ai été choisie.
R.S : Tu as enchaîné assez vite avec le doublage. Tu n'as jamais été impressionnée de travailler avec des adultes ?
K.M : Non, pas du tout. Pour moi, c’était avant tout une passion. Dans ma tête d’enfant, c’était une activité que j’adorais, tout simplement, au même titre que d’autres enfants aiment la danse ou le foot. Je ne me sentais donc pas impressionnée, mais plutôt inspirée. J’adorais observer les adultes travailler, car je voulais apprendre d’eux, comprendre leur manière de faire et, surtout, parvenir à leur niveau.
R.S : D'ailleurs, connais-tu le trac ?
K.M : Oui, bien sûr ! Tout dépend des projets et des situations. Parfois, le trac est bien présent, parfois moins. Mais quoi qu’il en soit, j’essaie toujours de me surpasser et de le dépasser pour donner le meilleur de moi-même.
R.S : Tu as facilement intégré cette technique particulière ?
K.M : Quand j’étais petite, on me lisait les phrases à l’avance et on me donnait un léger signal sur l’épaule pour démarrer. J’étais presque instinctivement dans le rythme. Et je jouais déjà la comédie. Je pense que lorsqu’on est enfant, on ne se pose pas les mêmes questions que les adultes.
R.S : Enfant, comment vivais-tu le fait d’enchaîner les tournages et le doublage tout en ayant une vie "normale" ?
K.M : Je le vivais très bien, car pour moi, c’était avant tout une passion. Tourner ou doubler n’était pas une contrainte, mais un plaisir. J’arrivais à jongler naturellement entre ces expériences et ma vie quotidienne. C’était simplement mon rythme de vie, et j’en étais heureuse.
R.S : Aurais-tu envie de monter sur scène ?
K.M : Oui, j’aimerais beaucoup ! Mais mon planning m’en empêche.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
K.M : Etre Maman, c’est mon plus grand plaisir au quotidien. J’aime passer du temps avec mes enfants et ma famille, les voir grandir. C’est une aventure à part entière.
R.S : Merci beaucoup Kelly.
Interview de mars 2025
K.M : Tu as commencé à jouer à l’âge de cinq ans dans "La Crise" de Coline Serreau. Comment est-ce arrivé ?
R.S : En fait, lorsque j’étais petite, je regardais mon frère et ma soeur apprendre leur textes pour jouer au théâtre et je voulais absolument connaître leur texte avant eux :-D J'avais le même agent et un jour il m’a demandé de passer un casting et j’ai été choisie.
R.S : Tu as enchaîné assez vite avec le doublage. Tu n'as jamais été impressionnée de travailler avec des adultes ?
K.M : Non, pas du tout. Pour moi, c’était avant tout une passion. Dans ma tête d’enfant, c’était une activité que j’adorais, tout simplement, au même titre que d’autres enfants aiment la danse ou le foot. Je ne me sentais donc pas impressionnée, mais plutôt inspirée. J’adorais observer les adultes travailler, car je voulais apprendre d’eux, comprendre leur manière de faire et, surtout, parvenir à leur niveau.
R.S : D'ailleurs, connais-tu le trac ?
K.M : Oui, bien sûr ! Tout dépend des projets et des situations. Parfois, le trac est bien présent, parfois moins. Mais quoi qu’il en soit, j’essaie toujours de me surpasser et de le dépasser pour donner le meilleur de moi-même.
R.S : Tu as facilement intégré cette technique particulière ?
K.M : Quand j’étais petite, on me lisait les phrases à l’avance et on me donnait un léger signal sur l’épaule pour démarrer. J’étais presque instinctivement dans le rythme. Et je jouais déjà la comédie. Je pense que lorsqu’on est enfant, on ne se pose pas les mêmes questions que les adultes.
R.S : Enfant, comment vivais-tu le fait d’enchaîner les tournages et le doublage tout en ayant une vie "normale" ?
K.M : Je le vivais très bien, car pour moi, c’était avant tout une passion. Tourner ou doubler n’était pas une contrainte, mais un plaisir. J’arrivais à jongler naturellement entre ces expériences et ma vie quotidienne. C’était simplement mon rythme de vie, et j’en étais heureuse.
R.S : Aurais-tu envie de monter sur scène ?
K.M : Oui, j’aimerais beaucoup ! Mais mon planning m’en empêche.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
K.M : Etre Maman, c’est mon plus grand plaisir au quotidien. J’aime passer du temps avec mes enfants et ma famille, les voir grandir. C’est une aventure à part entière.
R.S : Merci beaucoup Kelly.
Interview de mars 2025