Philippe Ariotti
Doublage
télévision, VOD & DVD
2022
Voix
Documentaire
Absurd Planet
Documentaire
Jeunesses hitlériennes : l'endoctrinement d'une nation (Herbert Hartmann)
Documentaire
Nikotin (Arte)
Documentaire
Occasions à saisir
Voice-over
Between Worlds
Voice-over
Histoire MMM (Eclair à Vanves)
Voice-over
Killers Wales
Voice-over
La fin de l'empire ottoman
Auteur
Cinéphile reconnu, il est Lauréat de l’émission "Monsieur Cinéma" en 1970. A ce titre Pierre Tchernia lui demandera de collaborer à la rédaction des fiches de "Monsieur Cinéma" de Louis Jouvet, Arletty, Pierre Fresnay, etc.
En tant qu’auteur, il participe à de nombreuse revues et ouvrages spécialisés dans le septième Art notamment :
"Pierre Brasseur" – Coauteur : Olivier Barrot aux éditions "Avant-scène" en 1974
"Arletty" - en collaboration avec Philippe de Comes. Editions Henry Veyrier (Plusieurs rééditions)
Il participe, en 1984/1985 au : "Grand Dictionnaire Illustre du Cinéma" aux éditions ATLAS
En 1992, les Editions : Encyclopedia Universalis, font appel à ses connaissances pour éditer : "L’Almanach du cinéma". Cet ouvrage, réédité en 1995, obtint à l’occasion du centenaire du Cinématographe, le "Prix du Syndicat de la Critique du Livre de Cinéma"
En tant qu’auteur, il participe à de nombreuse revues et ouvrages spécialisés dans le septième Art notamment :
"Pierre Brasseur" – Coauteur : Olivier Barrot aux éditions "Avant-scène" en 1974
"Arletty" - en collaboration avec Philippe de Comes. Editions Henry Veyrier (Plusieurs rééditions)
Il participe, en 1984/1985 au : "Grand Dictionnaire Illustre du Cinéma" aux éditions ATLAS
En 1992, les Editions : Encyclopedia Universalis, font appel à ses connaissances pour éditer : "L’Almanach du cinéma". Cet ouvrage, réédité en 1995, obtint à l’occasion du centenaire du Cinématographe, le "Prix du Syndicat de la Critique du Livre de Cinéma"
Cabaret
1986/1988 Revues satiriques - 2 saisons - Plus de 500 représentations sur des textes et avec : Pierre-Jean Vaillard et Maurice Horgues. Théâtre des 2 Anes
1983/1986 Inauguration du cabaret ‘Le Crapoussin’ (Deux saisons). A Paris sur la rive gauche puis aux Champs Elysées également à Genève
"Un rat dans la contrebasse" de Daniel Desmars, 120 représentations. Caveau des Oubliettes (Paris)
Mises en scène dans les principaux Théâtres de France. (Tours ,Perpignan, Cherbourg, etc.)
Ciboulette ; Le Chanteur de Mexico ; La Veuve Joyeuse ; Andalousie ; Veronique ; La Mascotte ; Les Mousquetaires au couvent
1983/1986 Inauguration du cabaret ‘Le Crapoussin’ (Deux saisons). A Paris sur la rive gauche puis aux Champs Elysées également à Genève
"Un rat dans la contrebasse" de Daniel Desmars, 120 représentations. Caveau des Oubliettes (Paris)
Mises en scène dans les principaux Théâtres de France. (Tours ,Perpignan, Cherbourg, etc.)
Ciboulette ; Le Chanteur de Mexico ; La Veuve Joyeuse ; Andalousie ; Veronique ; La Mascotte ; Les Mousquetaires au couvent
Cinéma
2008 "Cinématon" réalisé par Gérard Courant
1997 "Le radeau de la Méduse" réalisé par Iradj Azimi, dans le rôle de Descazes
1989 "Natalia" réalisé par Bernard Cohn, dans le rôle de Prévost
1983 "Le voleur de feuilles" réalisé par Pierre Trabaud (Interprète la chanson du film)
1980 "La légion saute sur Kolwezi" réalisé par Raoul Coutard, dans le rôle de Tabet
1970 "Commencez la Revolution sans nous" (Start the Revolution Without Me) réalisé par Bud Yorkin dans le rRôle de John Yank
1997 "Le radeau de la Méduse" réalisé par Iradj Azimi, dans le rôle de Descazes
1989 "Natalia" réalisé par Bernard Cohn, dans le rôle de Prévost
1983 "Le voleur de feuilles" réalisé par Pierre Trabaud (Interprète la chanson du film)
1980 "La légion saute sur Kolwezi" réalisé par Raoul Coutard, dans le rôle de Tabet
1970 "Commencez la Revolution sans nous" (Start the Revolution Without Me) réalisé par Bud Yorkin dans le rRôle de John Yank
Courts métrages
2019 "Le mari au collège" réalisé par Alberic Saint Martin, dans le rôle de Jésusmarie & voix narrateur
2009 "Une vie à t'attendre" réalisé par Julien Guerraud, dans le premier rôle. Court métrage de fin d’étude
2008 "La chasse aux Vieux" réalisé par Grégory Moro (d’après Dino Buzzati), dans le premier rôle. Court métrage de fin d’étude
2009 "Une vie à t'attendre" réalisé par Julien Guerraud, dans le premier rôle. Court métrage de fin d’étude
2008 "La chasse aux Vieux" réalisé par Grégory Moro (d’après Dino Buzzati), dans le premier rôle. Court métrage de fin d’étude
Publicités
1975 à 1985 Une douzaine de spots publicitaires dont la première pub pour le Loto, la peinture Astral, Piaggo, le Crédit Agricole etc. Publicités sous la Direction de Gérard Pirès, Jean-Marie Perier, Paul Berville...
Radio
Depuis février 2000, Anime une fois par mois l’émission de radio : "Le libre journal du Cinéma" sur Radio Courtoisie (95.6)
Télévision
1993 "Navarro" dans le rôle de Baumier
1993/1996 "La chance aux chansons" (5 émissions)
1982 "Les voyageurs de l'histoire" réalisé par Jacques Martin et Bernard Soulié, dans les rôles de Colbert, Pontcallec & Diderot
1981 "La périchole" réalisé par Bernard Maigrot
1979 "Arsène Lupin réalisé par Alexandre Astruc, dans le rôle du brocanteur
1976/1977 "Les folies Offenbach" réalisé par Michel Boisrond, dans le rôle de Ménélas, Friquet, etc. 4 épisodes
1993/1996 "La chance aux chansons" (5 émissions)
1982 "Les voyageurs de l'histoire" réalisé par Jacques Martin et Bernard Soulié, dans les rôles de Colbert, Pontcallec & Diderot
1981 "La périchole" réalisé par Bernard Maigrot
1979 "Arsène Lupin réalisé par Alexandre Astruc, dans le rôle du brocanteur
1976/1977 "Les folies Offenbach" réalisé par Michel Boisrond, dans le rôle de Ménélas, Friquet, etc. 4 épisodes
Théâtre
Depuis 1966, plus de cent rôles principaux à son actif en Opérettes et Opéras à Paris et dans les principaux Théâtres de province : La Mascotte (Rocco), Torquemada (L’heure espagnole), Le Bailli (Les cloches de Corneville), Madame Butterfly (Goro), Les contes d’Hoffman (Franz), etc.
2010 "L’Affaire de la rue de Lourcine" de Labiche - Mise en scène Nicole Gros, dans le rôle de Lenglumé
2009 "Le piano dans l'herbe" de Françoise Sagan, dans le rôle d'Edmond
2008 "Le mariage forcé" de Molière - mise en scène Jean-Pierre Bernard, dans le rôle de Sganarelle
2008 "La joie" dans le rôle de l’abbé Cenabre. Espace Bernanos
2008 "Le dialogue des Carmélites" dans le rôle de l’Aumônier. Espace Bernanos
2007/2008 "Henri VIII" de Shakespeare, dans le rôle du Cardinal Campegio. Théâtre du Nord-Ouest
1966 "L’Opéra des gueux" de Benjamin Britten, dans le rôle de Filch. Théâtre du vieux-Colombier, 30 représentations
1969/1971 "Un violon sur le toit" mise en scène de Jérome Robbins dans le rôle de Motel le tailleur. Théâtre du grand Marigny, 400 représentations
1976 "Ciboulette" de Reynaldo Hahn Opéra-Comique, dans le rôle d’Olivier Métra
1980 et 1974 "La Vie Parisienne" d’Offenbach, dans les rôles Frick et Prosper. Théâtre du Châtelet et Opéra-Comique, 100 représentations
1984 "Le royaume de Dieu" création de François Ducaud-Bourget, dans le rôle du Fou. Salle Pleyel puis au Théâtre Tristan Bernard
2010 "L’Affaire de la rue de Lourcine" de Labiche - Mise en scène Nicole Gros, dans le rôle de Lenglumé
2009 "Le piano dans l'herbe" de Françoise Sagan, dans le rôle d'Edmond
2008 "Le mariage forcé" de Molière - mise en scène Jean-Pierre Bernard, dans le rôle de Sganarelle
2008 "La joie" dans le rôle de l’abbé Cenabre. Espace Bernanos
2008 "Le dialogue des Carmélites" dans le rôle de l’Aumônier. Espace Bernanos
2007/2008 "Henri VIII" de Shakespeare, dans le rôle du Cardinal Campegio. Théâtre du Nord-Ouest
1966 "L’Opéra des gueux" de Benjamin Britten, dans le rôle de Filch. Théâtre du vieux-Colombier, 30 représentations
1969/1971 "Un violon sur le toit" mise en scène de Jérome Robbins dans le rôle de Motel le tailleur. Théâtre du grand Marigny, 400 représentations
1976 "Ciboulette" de Reynaldo Hahn Opéra-Comique, dans le rôle d’Olivier Métra
1980 et 1974 "La Vie Parisienne" d’Offenbach, dans les rôles Frick et Prosper. Théâtre du Châtelet et Opéra-Comique, 100 représentations
1984 "Le royaume de Dieu" création de François Ducaud-Bourget, dans le rôle du Fou. Salle Pleyel puis au Théâtre Tristan Bernard
Interview
R.S : Bonjour Philippe.
P.A : Bonjour Reynald.
R.S : Comment avez-vous découvert votre goût pour la comédie ?
P.A : Vers l'âge de 9 ou 10 ans. En allant voir des spectacles pour enfants. Tout simplement.
R.S : Quels souvenirs avez-vous gardés de vos premiers pas sur scène ?
P.A : Un peu de peur et un peu de joie, mais tout cela est déjà loin...
R.S : Vous êtes auteur de livres sur le 7ème art. J'imagine que vous aimez faire partager votre passion pour le cinéma ?
P.A : Bien sûr, j'aime faire partager ma passion pour le cinéma, mais je dois dire que mon goût un peu trop immodéré pour les films anciens me prive de certains films récents qu'heureusement certains amis me poussent à aller voir, et j'en suis souvent ravi. Echange de bons procédés !
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
P.A : Si je ne tiens pas compte d'un essai que j'ai dû passer en 63 (enfin, 1963, pas 1863 tout de même !) avec un certain Serge Luguen je crois, je n'avais jamais mis les pieds dans un studio de doublage. En 1988 j'ai décidé de faire un stage et Pierre Trabaud, qui dirigeait beaucoup de séances, m'a demandé si cela me ferait plaisir de venir assister pour parfaire le stage. J'ai bien entendu répondu oui. C'est alors que j'ai commencé à aborder des petits rôles puis des plus importants, et la suite...
R.S : Pour doubler au mieux un comédien étranger, qu'est-ce qui est le plus important selon vous ?
P.A : De bien écouter, de bien repérer son phrasé, ses appuis, mais surtout ne pas essayer de l'imiter. D'ailleurs on n'a pas le temps .Il me faudrait tout un chapitre pour répondre à votre question. Il y a une alchimie qui, je crois, est propre à chaque comédien. Et, pourquoi pas, un petit secret !
R.S : Les fans de "Dragon Ball", "Dragon Ball Z" sont très attachés au doublage français. Comment ça se passe lorsque vous les rencontrez lors des diverses conventions ?
P.A : Merveilleusement. Ils sont tellement heureux de pouvoir mettre un visage sur cette voix. Ils sont adorables. Ils viennent généralement avec leur père ou leur mère ou les 2 et me demandent avec une exquise politesse s'ils peuvent se faire prendre en photo avec moi, ce que j'accepte avec plaisir. Je n'ai jamais rencontré que des enfants adorables. Il faut dire que nous avons particulièrement soigné le doublage des DB et DBZ avec Pierre Trabaud. Antoine Nouel, tout en étant très différent, a eu la même exigence pour les "Dragon Ball Z Kai". Comme quoi les fans ne s'y sont pas trompés.
R.S : Aborde-t-on le doublage d'un personnage animé différemment, par rapport au doublage d'un comédien étranger ?
P.A : Pas tant qu'on pourrait l'imaginer. Etre crédible et que la voix colle au personnage est l'essentiel, qu'il soit un comédien de chair et d'os ou un dessin en mouvement. La voix fait vraiment partie de la vie que l'on va lui donner. Parfois d'ailleurs, pour la création d'un dessin animé français, on commence par enregistrer les voix sur un texte donné par l'auteur. Le dessinateur tiendra compte du rythme qu'a donné le comédien. Cela m'est arrivé et c'est un tout autre travail mais également passionnant.
R.S : Qu'évoque pour vous le mot cinéma ?
P.A : Oh là là ! Quand je parle du cinéma je ne peux pas m'imaginer autre chose que l'âge d'or du cinéma qui m'a tant fait rêver, et principalement le jeudi après-midi. Pour moi le cinéma c'était autant le bâtiment que les films en eux-mêmes. L'émission d'Eddy Mitchell "La dernière séance" est exemplaire et emblématique de mon amour de cet art que l'on appelle le septième.
R.S : Quels sont vos hobbies ?
P.A : Les chansons (anciennes, vous vous en doutez !). J'ai une base de plus de 20.000 chansons en CD vinyle et partitions que je vais bientôt mettre sur un site ou un blog pour en faire profiter un maximum de personnes intéressées. Il y a bien entendu des chansons extraites de films qui ont largement contribué au succès prolongé desdits films. Rassurez-vous, je ne vais pas vous faire une liste. J'allais oublier la marche à pied. J'adore marcher en ville ou à la campagne.
R.S : Merci beaucoup Philippe.
P.A : C'est un plaisir cher Reynald.
Interview d'octobre 2011
P.A : Bonjour Reynald.
R.S : Comment avez-vous découvert votre goût pour la comédie ?
P.A : Vers l'âge de 9 ou 10 ans. En allant voir des spectacles pour enfants. Tout simplement.
R.S : Quels souvenirs avez-vous gardés de vos premiers pas sur scène ?
P.A : Un peu de peur et un peu de joie, mais tout cela est déjà loin...
R.S : Vous êtes auteur de livres sur le 7ème art. J'imagine que vous aimez faire partager votre passion pour le cinéma ?
P.A : Bien sûr, j'aime faire partager ma passion pour le cinéma, mais je dois dire que mon goût un peu trop immodéré pour les films anciens me prive de certains films récents qu'heureusement certains amis me poussent à aller voir, et j'en suis souvent ravi. Echange de bons procédés !
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
P.A : Si je ne tiens pas compte d'un essai que j'ai dû passer en 63 (enfin, 1963, pas 1863 tout de même !) avec un certain Serge Luguen je crois, je n'avais jamais mis les pieds dans un studio de doublage. En 1988 j'ai décidé de faire un stage et Pierre Trabaud, qui dirigeait beaucoup de séances, m'a demandé si cela me ferait plaisir de venir assister pour parfaire le stage. J'ai bien entendu répondu oui. C'est alors que j'ai commencé à aborder des petits rôles puis des plus importants, et la suite...
R.S : Pour doubler au mieux un comédien étranger, qu'est-ce qui est le plus important selon vous ?
P.A : De bien écouter, de bien repérer son phrasé, ses appuis, mais surtout ne pas essayer de l'imiter. D'ailleurs on n'a pas le temps .Il me faudrait tout un chapitre pour répondre à votre question. Il y a une alchimie qui, je crois, est propre à chaque comédien. Et, pourquoi pas, un petit secret !
R.S : Les fans de "Dragon Ball", "Dragon Ball Z" sont très attachés au doublage français. Comment ça se passe lorsque vous les rencontrez lors des diverses conventions ?
P.A : Merveilleusement. Ils sont tellement heureux de pouvoir mettre un visage sur cette voix. Ils sont adorables. Ils viennent généralement avec leur père ou leur mère ou les 2 et me demandent avec une exquise politesse s'ils peuvent se faire prendre en photo avec moi, ce que j'accepte avec plaisir. Je n'ai jamais rencontré que des enfants adorables. Il faut dire que nous avons particulièrement soigné le doublage des DB et DBZ avec Pierre Trabaud. Antoine Nouel, tout en étant très différent, a eu la même exigence pour les "Dragon Ball Z Kai". Comme quoi les fans ne s'y sont pas trompés.
R.S : Aborde-t-on le doublage d'un personnage animé différemment, par rapport au doublage d'un comédien étranger ?
P.A : Pas tant qu'on pourrait l'imaginer. Etre crédible et que la voix colle au personnage est l'essentiel, qu'il soit un comédien de chair et d'os ou un dessin en mouvement. La voix fait vraiment partie de la vie que l'on va lui donner. Parfois d'ailleurs, pour la création d'un dessin animé français, on commence par enregistrer les voix sur un texte donné par l'auteur. Le dessinateur tiendra compte du rythme qu'a donné le comédien. Cela m'est arrivé et c'est un tout autre travail mais également passionnant.
R.S : Qu'évoque pour vous le mot cinéma ?
P.A : Oh là là ! Quand je parle du cinéma je ne peux pas m'imaginer autre chose que l'âge d'or du cinéma qui m'a tant fait rêver, et principalement le jeudi après-midi. Pour moi le cinéma c'était autant le bâtiment que les films en eux-mêmes. L'émission d'Eddy Mitchell "La dernière séance" est exemplaire et emblématique de mon amour de cet art que l'on appelle le septième.
R.S : Quels sont vos hobbies ?
P.A : Les chansons (anciennes, vous vous en doutez !). J'ai une base de plus de 20.000 chansons en CD vinyle et partitions que je vais bientôt mettre sur un site ou un blog pour en faire profiter un maximum de personnes intéressées. Il y a bien entendu des chansons extraites de films qui ont largement contribué au succès prolongé desdits films. Rassurez-vous, je ne vais pas vous faire une liste. J'allais oublier la marche à pied. J'adore marcher en ville ou à la campagne.
R.S : Merci beaucoup Philippe.
P.A : C'est un plaisir cher Reynald.
Interview d'octobre 2011