Adrien Larmande
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Anglais avec accent non déterminé, Japonais
Accents :
Anglais, Asiatique
Doublage
Voix
Voice-over
Ice Road Truckers (Austin Wheeler)
Formation
2005/2008 école Claude Mathieu
2004/2005 cours à l’EICAR section TNS (techniques sonores et numériques)
1999/2003 école Tokyo Central Japanese. Language School (TGC)
1997/1998 Shane English School de Londres
1994/1995 Séjour linguistique à Pompton Lakes. Junior High School, New Jersey, USA
Langues : Anglais (bilingue) Japonais (courant) Espagnol (notions)
2004/2005 cours à l’EICAR section TNS (techniques sonores et numériques)
1999/2003 école Tokyo Central Japanese. Language School (TGC)
1997/1998 Shane English School de Londres
1994/1995 Séjour linguistique à Pompton Lakes. Junior High School, New Jersey, USA
Langues : Anglais (bilingue) Japonais (courant) Espagnol (notions)
Théâtre
2009/2010 "Moi Feuerbach" de Tankred Dorst, rôle : assistant
2005/2008 "Platonov" d’Anton Tchekov, rôle : Voinitzev
"Ivanov" d’Anton Tchekov, rôle : Ivanov
"Oswald et Zénaïde" de Jean Tardieu, rôle : Oswald
"L’aiglon" de Edmond Rostand, rôle : Frederich Von Gentz
"Pulp Fiction" (adaptation en anglais) rôle : Vincent Vega
"Le Misanthrope" de Molière, rôle : Alceste
"Répetons-nous" création collective en tournée d’été
2005/2008 "Platonov" d’Anton Tchekov, rôle : Voinitzev
"Ivanov" d’Anton Tchekov, rôle : Ivanov
"Oswald et Zénaïde" de Jean Tardieu, rôle : Oswald
"L’aiglon" de Edmond Rostand, rôle : Frederich Von Gentz
"Pulp Fiction" (adaptation en anglais) rôle : Vincent Vega
"Le Misanthrope" de Molière, rôle : Alceste
"Répetons-nous" création collective en tournée d’été
Interview
R.S : Bonjour Adrien.
A.L : Bonjour Reynald
R.S : Peux-tu parler de tes débuts de comédien ?
A.L : Etant enfant je faisais beaucoup d'ateliers de théâtre mais le métier me faisait peur. Jeune adulte je suis parti au Japon pour quatre ans, à me retrouver à jouer de petits rôles dans des sitcoms japonais, c'est là-bas que je virus me prit. Je suis donc rentré en France pour y faire une école de théâtre (Claude Mathieu) avec l'encouragement de mes parents qui sont eux-mêmes dans le métier. J'ai ensuite intégré une petite compagnie de jeunes comédiens. Et l'aventure commença ainsi.
R.S : La formation est-elle un point de départ indispensable ?
A.L : Oui ! Indispensable c'est le mot. Il faut pouvoir appréhender un rôle à la manière dont l'auteur a voulu l'écrire.
R.S : Lorsque tu es sur scène que ressens-tu ?
A.L : Beaucoup de choses. De la peur, de la joie, du courage et surtout du plaisir. Toutes ces émotions mélangées entre elles en font un mélange indescriptible.
R.S : Comment as-tu commencé le doublage ?
A.L : J'ai toujours été fasciné par le cinéma depuis tout petit. J'ai eu, plus tard, l'occasion et la chance d'assister à des plateaux de doublage et par la suite de passer des essais.
R.S : La technique s'apprivoise-t-elle facilement ?
A.L : Pas vraiment. Il faut, je pense avoir une bonne oreille, et un bon sens du rythme.
R.S : Comment fais-tu pour rester au plus proche de l'œuvre originale ?
A.L : Je pense qu'il faut se caler sur le visage de la personne que l'on double, voir comment il bouge, ce qu'il ressent, et personnellement je me focalise beaucoup sur leur regard.
R.S : Que représente pour toi le mot jouer ?
A.L : Interpréter mais aussi (surtout) s'amuser.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
A.L : La musique (le scratch en particulier), le théâtre, le cinéma, la science-fiction, les bandes dessinées et les jeux vidéo.
R.S : Merci beaucoup Adrien.
A.L : Merci à toi Reynald.
Interview de mai 2012
A.L : Bonjour Reynald
R.S : Peux-tu parler de tes débuts de comédien ?
A.L : Etant enfant je faisais beaucoup d'ateliers de théâtre mais le métier me faisait peur. Jeune adulte je suis parti au Japon pour quatre ans, à me retrouver à jouer de petits rôles dans des sitcoms japonais, c'est là-bas que je virus me prit. Je suis donc rentré en France pour y faire une école de théâtre (Claude Mathieu) avec l'encouragement de mes parents qui sont eux-mêmes dans le métier. J'ai ensuite intégré une petite compagnie de jeunes comédiens. Et l'aventure commença ainsi.
R.S : La formation est-elle un point de départ indispensable ?
A.L : Oui ! Indispensable c'est le mot. Il faut pouvoir appréhender un rôle à la manière dont l'auteur a voulu l'écrire.
R.S : Lorsque tu es sur scène que ressens-tu ?
A.L : Beaucoup de choses. De la peur, de la joie, du courage et surtout du plaisir. Toutes ces émotions mélangées entre elles en font un mélange indescriptible.
R.S : Comment as-tu commencé le doublage ?
A.L : J'ai toujours été fasciné par le cinéma depuis tout petit. J'ai eu, plus tard, l'occasion et la chance d'assister à des plateaux de doublage et par la suite de passer des essais.
R.S : La technique s'apprivoise-t-elle facilement ?
A.L : Pas vraiment. Il faut, je pense avoir une bonne oreille, et un bon sens du rythme.
R.S : Comment fais-tu pour rester au plus proche de l'œuvre originale ?
A.L : Je pense qu'il faut se caler sur le visage de la personne que l'on double, voir comment il bouge, ce qu'il ressent, et personnellement je me focalise beaucoup sur leur regard.
R.S : Que représente pour toi le mot jouer ?
A.L : Interpréter mais aussi (surtout) s'amuser.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
A.L : La musique (le scratch en particulier), le théâtre, le cinéma, la science-fiction, les bandes dessinées et les jeux vidéo.
R.S : Merci beaucoup Adrien.
A.L : Merci à toi Reynald.
Interview de mai 2012