Bruno Carna
Doublage
cinéma
1977
Star Wars : Episode IV - Un nouvel espoir (La Guerre des étoiles) (Han Solo pour les scènes rajoutées dans la version longue)
Voix
Bande-annonce
Cartoon Network (Batman)
Narration & Voice-over
Vues de l'esprit
Adaptation
Formation
Conservatoire National de Paris
Théâtre
"Les Hauts de Hurlevent" mise en scène de Robert Hossein, dans le rôle de Clinton. T.B.B
"La Madeleine de Proust" dans le rôle de Proust jeune. Au Lucernaire
"La fleur à la bouche" de Luigi Pirandello. Au festival d'Automne de Paris
"Britannicus" rôle de Néron. Théâtre des Célestins
"Tovaritch" rôle de Georges. Théâtre la Madeleine
"L'Arlesienne" rôle de Frédéri et mise en scène de Jean Meyer. Théâtre des Célestins
"Les Justes" mise en scène de Jean Paul Lucet, dans le rôle de Skouratov
"Mademoiselle" dans le rôle de Maurice. Théâtre de la Michodière
"La Chienlit" dans le rôle de Daniel. Théâtre Daunou
"Ca fait mal" création de H.Amouroux et mise en scène de Jacqueline Boeuf, dans le rôle de John
"La jeunesse du Cid" dans le rôle de Don Sanche. Festival d'Anjou
"Andromaque" mise en scène de François Roy, dans le rôle de Pyrrhus. Théâtre Fontaine
"Britannicus" mise en scène de François Roy, dans le rôle de Britannicus. Théâtre Fontaine
"Huis Clos" mise en scène de Xavier Marcheschi, dans le rôle de Garçin. Théâtre de Stains
"Reste avec nous" mise en scène de Benoît Allemane, dans le rôle de l'aubergiste. Point Virgule
"La Religieuse" mise en scène de X. Marcheschi, dans le rôle de Don Morel. Théâtre de la Cité
"Rammenta" mise en scène de Christine Farré, dans le rôle d'Alfred de Musset. Théâtre de la Clé
"Coup de Théàtre" création de Danièle Bernard, dans le rôle de l'acteur
"Bataclan" de Offenbach, dans le rôle du Capitaine. Théâtre Dejazet
"Europe" du Cardinal de Richelieu, dans le rôle de Françion
"Une Lune pour les déshérités" d'E. O'Neill et mise en scène de Colette Nucci, dans le rôle de Tyrron
"La Madeleine de Proust" dans le rôle de Proust jeune. Au Lucernaire
"La fleur à la bouche" de Luigi Pirandello. Au festival d'Automne de Paris
"Britannicus" rôle de Néron. Théâtre des Célestins
"Tovaritch" rôle de Georges. Théâtre la Madeleine
"L'Arlesienne" rôle de Frédéri et mise en scène de Jean Meyer. Théâtre des Célestins
"Les Justes" mise en scène de Jean Paul Lucet, dans le rôle de Skouratov
"Mademoiselle" dans le rôle de Maurice. Théâtre de la Michodière
"La Chienlit" dans le rôle de Daniel. Théâtre Daunou
"Ca fait mal" création de H.Amouroux et mise en scène de Jacqueline Boeuf, dans le rôle de John
"La jeunesse du Cid" dans le rôle de Don Sanche. Festival d'Anjou
"Andromaque" mise en scène de François Roy, dans le rôle de Pyrrhus. Théâtre Fontaine
"Britannicus" mise en scène de François Roy, dans le rôle de Britannicus. Théâtre Fontaine
"Huis Clos" mise en scène de Xavier Marcheschi, dans le rôle de Garçin. Théâtre de Stains
"Reste avec nous" mise en scène de Benoît Allemane, dans le rôle de l'aubergiste. Point Virgule
"La Religieuse" mise en scène de X. Marcheschi, dans le rôle de Don Morel. Théâtre de la Cité
"Rammenta" mise en scène de Christine Farré, dans le rôle d'Alfred de Musset. Théâtre de la Clé
"Coup de Théàtre" création de Danièle Bernard, dans le rôle de l'acteur
"Bataclan" de Offenbach, dans le rôle du Capitaine. Théâtre Dejazet
"Europe" du Cardinal de Richelieu, dans le rôle de Françion
"Une Lune pour les déshérités" d'E. O'Neill et mise en scène de Colette Nucci, dans le rôle de Tyrron
Interview
R.S : Bonjour Bruno.
B.C : Bonjour Reynald
R.S : Comment as-tu découvert ta passion pour la comédie ?
B.C : On ne découvre pas une passion, elle s'impose à toi comme une évidence. Un truc bizarre qui te ronge les tripes. Un regard qui t'envoûte. Une femme qui te dit oui.
R.S : Le jour où tout a vraiment commencé reste certainement un souvenir marquant de ta vie ?
B.C : Quand tu as la chance de commencer en jouant avec Maria Casares, oui, ça marque ta vie... Tu es tatoué. Si le talent ne s'apprend pas, l'humilité, elle, s'impose.
R.S : J'imagine que la scène apporte des plaisirs sans cesse renouvelés ?
B.C : Chaque spectateur te fait le don de son écoute et quand tu sors des planches tu n'as qu'un souhait : que le rideau se relève !
R.S : Comment le doublage est-il entré dans ta vie ?
B.C : J'ai commencé lors d'une période galère à doubler des films X : ça te choque ?
R.S : C'est une branche de la profession qui te permet d'exercer ton métier sous un autre angle, c'est forcément enrichissant !?
B.C : Oui, bien sûr. Même si les conjonctures deviennent de plus en plus anti artistiques. No comment.
R.S : Tu as fais un travail formidable en doublant Skipp Sudduth, Sully dans la série "New York 911". En gardes-tu un bon souvenir ?
B.C : Un top souvenir ! Pas uniquement celui d'avoir eu la chance de doubler Skipp Sudduth mais surtout d'avoir eu l'occasion de co-diriger en tant que chef de plateau de super comédiens(nes) qui m'ont scotchés : Annabelle Roux, Luc Boulad, Marc Bretonnière... Et tous les autres...
R.S : Tu arrives à suivre par exemple Abraham Benrubi au fil de sa carrière. C'est une grande chance car il n'est pas rare de constater un changement de "voix française" lorsque l'acteur étranger passe d'une série à un film. Qu'en penses-tu ?
B.C : A part certaines rares exceptions, personne ne possède la voix de quiconque. Surtout depuis 1994. Surtout quand tu l'ouvres. Mais là, pour une fois, je préfère la fermer. So : no comment (tu me parlais du "travail formidable sur Skipp Sudduth" : ben une nouvelle série s'enregistre sans que je sois même convié aux essais). It's life.
R.S : Ton métier est sans aucun doute une très grande passion mais tu en as certainement bien d'autres ?
B.C : Oh que oui ! La Vie tout simplement et le Sourire qu'elle inspire !
R.S : Merci beaucoup Bruno.
B.C : C'est moi qui te dis merci Reynald.
Interview d'avril 2006
B.C : Bonjour Reynald
R.S : Comment as-tu découvert ta passion pour la comédie ?
B.C : On ne découvre pas une passion, elle s'impose à toi comme une évidence. Un truc bizarre qui te ronge les tripes. Un regard qui t'envoûte. Une femme qui te dit oui.
R.S : Le jour où tout a vraiment commencé reste certainement un souvenir marquant de ta vie ?
B.C : Quand tu as la chance de commencer en jouant avec Maria Casares, oui, ça marque ta vie... Tu es tatoué. Si le talent ne s'apprend pas, l'humilité, elle, s'impose.
R.S : J'imagine que la scène apporte des plaisirs sans cesse renouvelés ?
B.C : Chaque spectateur te fait le don de son écoute et quand tu sors des planches tu n'as qu'un souhait : que le rideau se relève !
R.S : Comment le doublage est-il entré dans ta vie ?
B.C : J'ai commencé lors d'une période galère à doubler des films X : ça te choque ?
R.S : C'est une branche de la profession qui te permet d'exercer ton métier sous un autre angle, c'est forcément enrichissant !?
B.C : Oui, bien sûr. Même si les conjonctures deviennent de plus en plus anti artistiques. No comment.
R.S : Tu as fais un travail formidable en doublant Skipp Sudduth, Sully dans la série "New York 911". En gardes-tu un bon souvenir ?
B.C : Un top souvenir ! Pas uniquement celui d'avoir eu la chance de doubler Skipp Sudduth mais surtout d'avoir eu l'occasion de co-diriger en tant que chef de plateau de super comédiens(nes) qui m'ont scotchés : Annabelle Roux, Luc Boulad, Marc Bretonnière... Et tous les autres...
R.S : Tu arrives à suivre par exemple Abraham Benrubi au fil de sa carrière. C'est une grande chance car il n'est pas rare de constater un changement de "voix française" lorsque l'acteur étranger passe d'une série à un film. Qu'en penses-tu ?
B.C : A part certaines rares exceptions, personne ne possède la voix de quiconque. Surtout depuis 1994. Surtout quand tu l'ouvres. Mais là, pour une fois, je préfère la fermer. So : no comment (tu me parlais du "travail formidable sur Skipp Sudduth" : ben une nouvelle série s'enregistre sans que je sois même convié aux essais). It's life.
R.S : Ton métier est sans aucun doute une très grande passion mais tu en as certainement bien d'autres ?
B.C : Oh que oui ! La Vie tout simplement et le Sourire qu'elle inspire !
R.S : Merci beaucoup Bruno.
B.C : C'est moi qui te dis merci Reynald.
Interview d'avril 2006