Sébastien Boju
Genres :
Voix Adolescent garçon, Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Aiguë, Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé, Espagnol
Accents :
Asiatique, Russe
Doublage
Formation
1997 Baccalauréat S (Spécialité physique)
1998/2003 Ecole de théâtre Les Enfants Terribles
1998/2003 Ecole de théâtre Les Enfants Terribles
Cinéma
2010 "Article 23" réalisé par Jean-Pierre Delepine
Courts métrages
2006 "La Thèse" réalisé par Phanie Retoud
2005 "Speed dating" réalisé par Nathalie Ramecourt
2005 "Extension de la vie conjugale au domaine de l'immobilier" réalisé par Jeanne Guillot.
2004 "Film noir" réalisé par Olivier Fournel
2001 "La Veillée" réalisé par Bruno Vaussenat
2005 "Speed dating" réalisé par Nathalie Ramecourt
2005 "Extension de la vie conjugale au domaine de l'immobilier" réalisé par Jeanne Guillot.
2004 "Film noir" réalisé par Olivier Fournel
2001 "La Veillée" réalisé par Bruno Vaussenat
Langues
Anglais courant
Espagnol notions
Espagnol notions
Musique
Chant, Piano, Guitare
Sports
Ski, (compétition)
Equitation (Premier galop)
Plongée sous-marine (premier degré)
Tennis (pratique régulière)
VTT (pratique régulière)
Equitation (Premier galop)
Plongée sous-marine (premier degré)
Tennis (pratique régulière)
VTT (pratique régulière)
Théâtre
2024 "Mais n'te promène donc pas toute nue !" de Georges Feydeau - mise en scène de Jonathan Le Guillou. Théâtre du Nord-Ouest
2012 "Huis clos" de J.P. Sartre - mise en scène de Benjamin Lousse
2012 "L'oiseau bleu" d'après Mme d'Aulnoy - mise en scène de Sarah François
2011 "Les dégourdis du 101ème" mise en scène de J.P. Bouron
2010 "Le jeu de l'amour et du hasard" de Marivaux - mise en scène de B. Lousse
2006 "Glamour à vendre" d'Ostrovski, d'après la pièce "Bespridanniza", adaptation et mise en scène de Marianna Lanskaya
2005 "Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon" d'après Ch. Bruel - mise en scène de M. Ivanoff
2004 "La falsification" de Y-M. Maurin de Kerguelen - mise en scène de l'auteur
2003 "Danser à Lughnasa" de Brian Friel - mise en scène de M. Leroux
2003 "Violette sur la terre" de Carole Fréchette - mise en scène de M. Leroux
2002 "P.A.T" de Charlotte Sagorin - mise en scène de J-P. Malignon
2002 "Prière de laisser la nuit..." de Ch. Lemoine - mise en scène de M. Leroux
2002 "Géo et Claudie" de Noëlle Renaude - mise en scène de M. Leroux
2000 "La chambre mandarine" de R. Tomas - mise en scène de D. Pepperosa
1999 "Les femmes et les enfants d’abord" d'après R. Devos - mise en scène de F. Eberhard
1999 "Perles camiques" d'après Cami - mise en scène de D. Pepperosa
1998 "Tous comptes faits" de D. Pepperosa - mise en scène de l'auteur
1998 "Le petit prince" d'après A. de Saint-Exupéry - mise en scène de D. Pepperosa
2012 "Huis clos" de J.P. Sartre - mise en scène de Benjamin Lousse
2012 "L'oiseau bleu" d'après Mme d'Aulnoy - mise en scène de Sarah François
2011 "Les dégourdis du 101ème" mise en scène de J.P. Bouron
2010 "Le jeu de l'amour et du hasard" de Marivaux - mise en scène de B. Lousse
2006 "Glamour à vendre" d'Ostrovski, d'après la pièce "Bespridanniza", adaptation et mise en scène de Marianna Lanskaya
2005 "Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon" d'après Ch. Bruel - mise en scène de M. Ivanoff
2004 "La falsification" de Y-M. Maurin de Kerguelen - mise en scène de l'auteur
2003 "Danser à Lughnasa" de Brian Friel - mise en scène de M. Leroux
2003 "Violette sur la terre" de Carole Fréchette - mise en scène de M. Leroux
2002 "P.A.T" de Charlotte Sagorin - mise en scène de J-P. Malignon
2002 "Prière de laisser la nuit..." de Ch. Lemoine - mise en scène de M. Leroux
2002 "Géo et Claudie" de Noëlle Renaude - mise en scène de M. Leroux
2000 "La chambre mandarine" de R. Tomas - mise en scène de D. Pepperosa
1999 "Les femmes et les enfants d’abord" d'après R. Devos - mise en scène de F. Eberhard
1999 "Perles camiques" d'après Cami - mise en scène de D. Pepperosa
1998 "Tous comptes faits" de D. Pepperosa - mise en scène de l'auteur
1998 "Le petit prince" d'après A. de Saint-Exupéry - mise en scène de D. Pepperosa
Interview
R.S : Bonjour Sébastien.
S.B : Bonjour Reynald.
R.S : Peux-tu parler de ton parcours de comédien ?
S.B : Oh ! C'est un parcours assez simple. Quand j'étais au lycée, j'avais des amis qui étaient dans une petite troupe amateur près de chez moi. Ils m'ont proposé de me joindre à eux et j'ai mis le doigt dans l'engrenage... Après le bac, j'ai commencé des études scientifiques. Toutes passionnantes qu'elles furent je ne voyais pas dans quelle carrière m'orienter. Je me suis alors, pour la première fois, vraiment demandé ce que je voulais faire. Et là, c'est le drame. J'ai commencé les cours de théâtre et j'ai aimé. Sorti de cours j'ai fait surtout du théâtre et tourné dans des courts métrages tout en gardant un œil sur le doublage.
R.S : Que préfères-tu faire dans ce métier ?
S.B : Le théâtre a ma préférence. Le théâtre en général et le classique en particulier. De manière plus large c'est l'esprit de troupe, ou le travail en équipe, qui m'a vraiment donné envie d'en faire mon métier. Et le jeu !
R.S : Quels sont tes meilleurs souvenirs de scène ?
S.B : Il y en a tellement ! Et de moins bons aussi. C'est bien difficile de choisir. Je dirais que mes meilleurs souvenirs sont liés à la complicité entre les partenaires et la qualité de la création. C'est bateau comme exemple mais le plaisir des spectateurs prime sur celui des artistes. Ça me semble toujours étrange que des gens viennent dans un lieu pour voir nos singeries. Alors il faut en être digne en faisant du bon boulot. Si en plus ils rient, alors... Et puis sait-on jamais, ils pourraient avoir envie de revenir ici ou ailleurs !
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
S.B : J'ai connu, quand j'étais môme, un comédien qui faisait beaucoup de voix. Ça m'a fait découvrir le doublage. Quand j'étais en cours mes petits camarades dénigraient cette facette du métier. Quelle joie de ne pas être d'accord avec eux. Moi ça m'a toujours attiré. C'est un plaisir de se confronter ainsi au travail d'autres comédiens.
R.S : La maîtrise de la technique demande certainement pas mal de temps ?
S.B : Oui. Ça demande de développer pas mal de qualités et de prendre confiance en soi, ce qui n'est pas toujours gagné. Le premier conseil que l'on m'a donné était de régulièrement s'entraîner à lire à voix haute. C'est évident mais c'est essentiel. C'est comme faire ses gammes au piano !
R.S : As-tu un souvenir de doublage qui t'a particulièrement marqué ?
S.B : Encore une fois il y en a beaucoup. Mais en écrivant ces lignes je pense au premier essai que j'ai passé. Je n'étais venu que pour rencontrer la DA. Elle a voulu m'entendre sur la scène d'essai pour me connaître. Comme ce n'était pas trop mal, elle m'a fait revenir pour passer l'essai et j'ai été choisi. J'étais là au bon endroit au bon moment et ça a marché, grâce à quelqu'un qui a pris le risque de me faire confiance. Même si elle a dû en assumer les conséquences pendant plusieurs mois ! Je l'embrasse. Ça m'a ravi et c'était pas mal pour l'expérience et la confiance. Ça m'a aussi permis de passer d'autres essais, qui n'ont pas tous marché de même, histoire de rester calme !?
R.S : Que représente pour toi le mot jouer ?
S.B : Il représente l'essence de ce métier. Je le préfère au terme anglo-saxon "act". Dans le fond c'est la même chose. Mais ça rappelle le côté ludique. Ce ne sera jamais un métier sérieux à faire néanmoins très sérieusement. " Maugré la comédie, tout ça est vrai, noute maîtresse ; car ils font semblant de faire semblant " (Les acteurs de bonne foi - Marivaux)
R.S : Quelles sont tes autres passions ?
S.B : Eh bien, il y a, entre autres, la musique : je joue un peu de guitare et de piano, je prends des cours de chant aussi. Du coup je me suis intéressé à l'opéra. Les voyages aussi. Le ski à la folie, moi qui aime la chaleur... Enfin le théâtre et le cinéma. Evidemment. Mais je le dis comme simple spectateur, pour le divertissement, l'évasion !
R.S : Merci beaucoup Sébastien.
S.B : Merci à toi !
Interview de décembre 2013
S.B : Bonjour Reynald.
R.S : Peux-tu parler de ton parcours de comédien ?
S.B : Oh ! C'est un parcours assez simple. Quand j'étais au lycée, j'avais des amis qui étaient dans une petite troupe amateur près de chez moi. Ils m'ont proposé de me joindre à eux et j'ai mis le doigt dans l'engrenage... Après le bac, j'ai commencé des études scientifiques. Toutes passionnantes qu'elles furent je ne voyais pas dans quelle carrière m'orienter. Je me suis alors, pour la première fois, vraiment demandé ce que je voulais faire. Et là, c'est le drame. J'ai commencé les cours de théâtre et j'ai aimé. Sorti de cours j'ai fait surtout du théâtre et tourné dans des courts métrages tout en gardant un œil sur le doublage.
R.S : Que préfères-tu faire dans ce métier ?
S.B : Le théâtre a ma préférence. Le théâtre en général et le classique en particulier. De manière plus large c'est l'esprit de troupe, ou le travail en équipe, qui m'a vraiment donné envie d'en faire mon métier. Et le jeu !
R.S : Quels sont tes meilleurs souvenirs de scène ?
S.B : Il y en a tellement ! Et de moins bons aussi. C'est bien difficile de choisir. Je dirais que mes meilleurs souvenirs sont liés à la complicité entre les partenaires et la qualité de la création. C'est bateau comme exemple mais le plaisir des spectateurs prime sur celui des artistes. Ça me semble toujours étrange que des gens viennent dans un lieu pour voir nos singeries. Alors il faut en être digne en faisant du bon boulot. Si en plus ils rient, alors... Et puis sait-on jamais, ils pourraient avoir envie de revenir ici ou ailleurs !
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
S.B : J'ai connu, quand j'étais môme, un comédien qui faisait beaucoup de voix. Ça m'a fait découvrir le doublage. Quand j'étais en cours mes petits camarades dénigraient cette facette du métier. Quelle joie de ne pas être d'accord avec eux. Moi ça m'a toujours attiré. C'est un plaisir de se confronter ainsi au travail d'autres comédiens.
R.S : La maîtrise de la technique demande certainement pas mal de temps ?
S.B : Oui. Ça demande de développer pas mal de qualités et de prendre confiance en soi, ce qui n'est pas toujours gagné. Le premier conseil que l'on m'a donné était de régulièrement s'entraîner à lire à voix haute. C'est évident mais c'est essentiel. C'est comme faire ses gammes au piano !
R.S : As-tu un souvenir de doublage qui t'a particulièrement marqué ?
S.B : Encore une fois il y en a beaucoup. Mais en écrivant ces lignes je pense au premier essai que j'ai passé. Je n'étais venu que pour rencontrer la DA. Elle a voulu m'entendre sur la scène d'essai pour me connaître. Comme ce n'était pas trop mal, elle m'a fait revenir pour passer l'essai et j'ai été choisi. J'étais là au bon endroit au bon moment et ça a marché, grâce à quelqu'un qui a pris le risque de me faire confiance. Même si elle a dû en assumer les conséquences pendant plusieurs mois ! Je l'embrasse. Ça m'a ravi et c'était pas mal pour l'expérience et la confiance. Ça m'a aussi permis de passer d'autres essais, qui n'ont pas tous marché de même, histoire de rester calme !?
R.S : Que représente pour toi le mot jouer ?
S.B : Il représente l'essence de ce métier. Je le préfère au terme anglo-saxon "act". Dans le fond c'est la même chose. Mais ça rappelle le côté ludique. Ce ne sera jamais un métier sérieux à faire néanmoins très sérieusement. " Maugré la comédie, tout ça est vrai, noute maîtresse ; car ils font semblant de faire semblant " (Les acteurs de bonne foi - Marivaux)
R.S : Quelles sont tes autres passions ?
S.B : Eh bien, il y a, entre autres, la musique : je joue un peu de guitare et de piano, je prends des cours de chant aussi. Du coup je me suis intéressé à l'opéra. Les voyages aussi. Le ski à la folie, moi qui aime la chaleur... Enfin le théâtre et le cinéma. Evidemment. Mais je le dis comme simple spectateur, pour le divertissement, l'évasion !
R.S : Merci beaucoup Sébastien.
S.B : Merci à toi !
Interview de décembre 2013