Antonella Colapietro
Genres:
Voix Bambin fille, Voix Adolescent fille, Voix Adulte femme, Voix Senior femme
Tonalité:
Medium
Langues parlées:
Espagnol, Italien
Accents:
Italien
Doublage
Voix
Docu-fiction
Haunted (Netflix)
Télé-réalité
Floor is lava (Netflix)
Voice-over
America book of secrets Saison 2 (Netflix)
Voice-over
Australia Zoo : les défis des Irwins (Discovery Channel)
Voice-over
Dead reckoning (Discovery)
Voice-over
Equator from the Air (Hélène Brice - France 5)
Voice-over
The Story of God (National Geographic)
Voix-off
L'Accordéoniste - On n'est pas couché (Parodie - chantée et parlée)
Formation
Ateliers jeu face caméra "Tout pour jouer" : D. Baranès, PF Créancier, E. Boursihnac, F. Rivière
"Viens voir les comédiens" Stage : jeu face à la caméra Formation voix off/ doublage / livre audio/ manga C. Loiseau, T. Kozo
2018 à aujourd'hui "Les Ateliers du libre Artiste" Interprétation : Léovanie Raud, Coach vocal : David Jean/ E. Chandelier, Atelier théâtre : Jean Pavageau
"Rhinocéros" Training doublage/ livre audio/ voice over
"I.M.D.A" Stage voix off / Doublage
"Masterclass Doublage Chante" Edwige Chandelier
2017 à aujourd'hui "L'Atelier de l'Acteur" Jeu d’acting par Florence Nahon
2007/2011 "Cours de Danse" street dance, batchata, salsa et modern jazz avec Rodolphe Desvignes, Luis Alvez
1997/2000 "Studios Alice Dona" Interprétation : A. Dona, Coach vocal : Jean François Varlet, Théâtre : Jean Bernard Feitoussi, Danse : Kova Réa
"Viens voir les comédiens" Stage : jeu face à la caméra Formation voix off/ doublage / livre audio/ manga C. Loiseau, T. Kozo
2018 à aujourd'hui "Les Ateliers du libre Artiste" Interprétation : Léovanie Raud, Coach vocal : David Jean/ E. Chandelier, Atelier théâtre : Jean Pavageau
"Rhinocéros" Training doublage/ livre audio/ voice over
"I.M.D.A" Stage voix off / Doublage
"Masterclass Doublage Chante" Edwige Chandelier
2017 à aujourd'hui "L'Atelier de l'Acteur" Jeu d’acting par Florence Nahon
2007/2011 "Cours de Danse" street dance, batchata, salsa et modern jazz avec Rodolphe Desvignes, Luis Alvez
1997/2000 "Studios Alice Dona" Interprétation : A. Dona, Coach vocal : Jean François Varlet, Théâtre : Jean Bernard Feitoussi, Danse : Kova Réa
Autres
Habitude des plateaux TV (on n'est pas couché/ plus vite que la musique/ Mireille Dumas/ La chance aux chansons/ Vivement dimanche)
Chant
Mezzo soprano
Sosie vocal edith Piaf : 1999 à aujourd'hui Cabarets, Troupes évènementielles, prestations en France et à l'étranger, plateaux tv ( On n'est pas couché, Mireille Dumas, Plus vite que la musique, La chance aux chansons, Vivement dimanche)
Sosie vocal edith Piaf : 1999 à aujourd'hui Cabarets, Troupes évènementielles, prestations en France et à l'étranger, plateaux tv ( On n'est pas couché, Mireille Dumas, Plus vite que la musique, La chance aux chansons, Vivement dimanche)
Conceptrice spectacles
Villages vacances 2011 à aujourd'hui (Odalys, Eden Villages, Estérel caravaning) Chorégraphie/ mise en scène/ costumerie/ chant
Aztèque Production 2015, Cession d’oeuvres chorégraphiques et réalisation de spectacles à thème
Aztèque Production 2015, Cession d’oeuvres chorégraphiques et réalisation de spectacles à thème
Danse
Modern jazz, music hall, street dance
Discographie
2009 "Jack et le haricot magique" (Jack). Tremolo production
2008 "Le ness'album" Interprète principal. Domprod/Gomusic
1999 "Alice Dona- Couleurs de l’ombre" Choriste. WH records
2008 "Le ness'album" Interprète principal. Domprod/Gomusic
1999 "Alice Dona- Couleurs de l’ombre" Choriste. WH records
Langues
Italien : bilingue
Anglais : courant
Espagnol : courant
Anglais : courant
Espagnol : courant
Live Stage
2012 à aujourd'hui "L'étincelle cabaret" La revue, spectacle enfants, show 60's, spectacle hommage à Edith Piaf, 80 FM. Metteur en scène - chanteuse – comédienne
2011-2014 "Croisières Notre temps" Chanteuse. NDS voyages, Rivages du monde
2000-2005-2010 "Universités françaises de Russie" Chanteuse - jury du concours intra-universitaire franco-russe (Penza, Moscou, Saratov)
2011-2014 "Croisières Notre temps" Chanteuse. NDS voyages, Rivages du monde
2000-2005-2010 "Universités françaises de Russie" Chanteuse - jury du concours intra-universitaire franco-russe (Penza, Moscou, Saratov)
Sports
Fitness en salle, vinyasa yoga
Théâtre
2017/2018/2019
"L'héritage presque parfait" d'Angélique Sutty - mise en scène de Christelle Brazy (Natacha). Association Variétés théâtre ( Chartres)
"A l'auberge Caramel" de Jean Luc Pecqueur - mise en scène de Christelle Brazy (Soeur Gabrielle). Association Variétés théâtre (Chartres)
"A la bière fraiche" de Michel Le Dall - mise en scène de Christelle Brazy (la bonne). Association Variétés théâtre (Chartres)
"L'héritage presque parfait" d'Angélique Sutty - mise en scène de Christelle Brazy (Natacha). Association Variétés théâtre ( Chartres)
"A l'auberge Caramel" de Jean Luc Pecqueur - mise en scène de Christelle Brazy (Soeur Gabrielle). Association Variétés théâtre (Chartres)
"A la bière fraiche" de Michel Le Dall - mise en scène de Christelle Brazy (la bonne). Association Variétés théâtre (Chartres)
Théâtre musical
2009/2012 "Jack et le haricot magique" rôle de Jack. Tremolo Product. Théâtre Le Temple - Alhambra
2000/2006 "L'Amant d'un jour" Sudden théâtre – Disney world Epcot (Orlando). Tournée française Rôle d'Antoinette Les ballets temps d'aime de V.Ansart - mise en scène Bérengère Basty
2000 "Madame Piaf" rôle d'Edith Piaf. MGP PROD. Tournée des théâtres de province
2000/2006 "L'Amant d'un jour" Sudden théâtre – Disney world Epcot (Orlando). Tournée française Rôle d'Antoinette Les ballets temps d'aime de V.Ansart - mise en scène Bérengère Basty
2000 "Madame Piaf" rôle d'Edith Piaf. MGP PROD. Tournée des théâtres de province
Interview
R.S : Bonjour Antonella.
A.C : Bonjour Reynald. Merci de m’accueillir ici.
R.S : D'où vient que tu es bilingue avec l'italien ?
A.C : De par mes parents, italiens tous les deux. Les circonstances de la vie ont fait qu’à 11 ans on a quitté le nord pour s’installer dans le sud de la France. Pour ne pas vivre mal le changement et afin de prendre leurs marques dans l’installation, mes parents m’ont envoyé dans la famille en Italie pendant les 2 mois d’été. Je suis rentrée, tout était nickel excepté que je ne savais plus parler français ! (rires) Je les remercie aujourd’hui.
R.S : En tant que chanteuse, tu te présentes comme un sosie vocal de Piaf. C'est un atout ?
A.C : C’est un atout comme un inconvénient. C’est grâce à Piaf que j’ai mis un pied dans le métier et que j’ai pu fouler les planches des théâtres en France et à l’étranger. Elle me fait toujours manger et ce depuis plus de 20 ans. Elle touche toutes les générations et on me la demande à chaque prestation. L’inconvénient est que l’on m’avait cataloguée et je n’arrivais pas à exister en tant qu’Antonella. 10 chansons chantées dont une de Piaf et hop : "bravo pour Edith Piaf". Merci au cabaret qui, pour le coup, m’a permis d’exister autrement, d’improviser sur scène, de jouer et de danser. C’est la plus belle école selon moi.
R.S : Sur ton CV tu inscris : "Chanteuse 2000-2005-2010 - Universités françaises de Russie (Penza, Moscou, Saratov)". Je suis intrigué ! Tu peux développer ?
A.C : Encore un atout du sosie vocal de Piaf ! Je jouais dans un cabaret parisien "le Canotier du pied de la Butte". Une personne m’a interpelée et m’a proposé de partir représenter la France en Russie. Une alliance avec les universités russes où l’on apprenait le français. En 2000, la Russie n’était pas ouverte au monde, ce fut donc encore plus incroyable. Ils ne connaissaient qu’Alizée, Mylène Farmer, Edith Piaf et Joe Dassin. Mais les Russes ont un goût prononcé pour l’art et sont émerveillés de tout ce qui le touche. Après avoir inauguré la place du Manège à Moscou, on y est retourné pour se produire devant les élèves des universités. Certains sont montés sur scène pour chanter avec moi. Il y avait de nombreux talents. Ils ont appris la chanson en 1 jour et tout cela avec un français impeccable. Ensuite j’y suis retournée pour être jury d’un concours de la chanson française intra universitaire. D’où ces 3 villes. Le vainqueur avait pour prix un voyage en France. Pour eux c’était l’El Dorado. Pour moi c’était une belle claque d’humilité.
R.S : Tu as été conceptrice de spectacles dans des villages vacances. Comment est-ce arrivé dans ta vie ?
A.C : Et je le suis toujours. Encore une circonstance de la vie. Il me fallait fuir mon quotidien. J’ai revu un ami qui recherchait une chorégraphe pour une saison d’été. J’ai dit "je suis là". Et c’était parti. Avec les idées qui fusaient dans ma tête, c’était évident en fait. Puis un camping a tout misé sur mes shows. C’est un peu insolite dans ce genre d’endroit. C’était innovant. Il fallait penser plus haut et pas que des pas : réalisation de costumes, mise en scène... Et tout ça pour des shows de 12 à 23 personnes sur scène (la plupart étaient amateurs et ne savaient même pas ce qu’était une régie). C’était sport mais quel pied artistique au final. Depuis, plus ça va plus plus la barre est haute. Je me rapproche de Hollywood (rires).
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
A.C : Encore une circonstance de la vie. Eh oui Reynald, pour moi, rien n’arrive par hasard, tout a un sens... La vie te met des gens sur ton passage et jamais pour rien. Et de discussion en discussion j’ai voulu me diriger vers la voix off. J’ai donc suivi une formation mixte voix off/ doublage, tout en pensant que le doublage était impossible d’accès. J’y ai goûté... C’était foutu ! J’ai donc décidé de me « muscler » grâce au training de différents centres de formation. Je voulais arriver en studio avec un niveau correct. Je ne me suis pas lancée juste après un stage. J’ai pris mon temps. Et puis j’ai arpenté les studios avec mon plus beau sourire et ma bonne humeur. Merci encore à tous ces DA qui m’ont fait débuter. Isabelle Brannens fut ma marraine, puis Jérôme Pauwels, suivis par Déborah Perret, Laurent Dattas et Stéphane Marais à qui je dois énormément.
R.S : C'est une discipline que tu envisageais depuis longtemps ?
A.C : Lors de mes cours de théâtre, on me disait que j’étais une éponge et que je me fondais vite dans mes personnages. J’étais le clown de service (rires).
J’imitais, je reproduisais les voix que j’entendais à la radio ou à la TV. J’étais fan des voix d’animation. J’y ai pensé oui, sauf que ce métier n’était pas très accessible. Il fallait des "connaissances"... et on me conseillait de laisser tomber l’idée d’y entrer. Heureusement, ma caboche et moi on aime les challenges, surtout à 40 ans. Je ne sais pas pourquoi, peut-être un meilleur lâcher prise, tout coule. Aujourd’hui je peux dire que, tout cela, je ne le dois qu’à moi-même et à mon entêtement.
R.S : Regardais-tu les VF avant d'en faire toi-même ?
A.C : Oui, majoritairement. C’est pour ça que, quand j’assistais, j’adorais ! Je reconnaissais les voix. J’avais le sourire d’une fan devant son idole.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
A.C : Mon métier est déjà un loisir. C’est un nuancier. Je pars d’une base et je rajoute des couleurs pour l’embellir. Mon temps libre je l’occupe en faisant du sport. Et je n’oublie pas de voir les amis et la famille : mes bouteilles d’oxygène et mes conseilleurs. Sans oublier de voyager car ça forme la jeunesse !
R.S : Merci beaucoup Antonella.
A.C : Ce fut un plaisir Reynald. C’est quand que l’on se voit en vrai de vrai ?
Interview de septembre 2019
A.C : Bonjour Reynald. Merci de m’accueillir ici.
R.S : D'où vient que tu es bilingue avec l'italien ?
A.C : De par mes parents, italiens tous les deux. Les circonstances de la vie ont fait qu’à 11 ans on a quitté le nord pour s’installer dans le sud de la France. Pour ne pas vivre mal le changement et afin de prendre leurs marques dans l’installation, mes parents m’ont envoyé dans la famille en Italie pendant les 2 mois d’été. Je suis rentrée, tout était nickel excepté que je ne savais plus parler français ! (rires) Je les remercie aujourd’hui.
R.S : En tant que chanteuse, tu te présentes comme un sosie vocal de Piaf. C'est un atout ?
A.C : C’est un atout comme un inconvénient. C’est grâce à Piaf que j’ai mis un pied dans le métier et que j’ai pu fouler les planches des théâtres en France et à l’étranger. Elle me fait toujours manger et ce depuis plus de 20 ans. Elle touche toutes les générations et on me la demande à chaque prestation. L’inconvénient est que l’on m’avait cataloguée et je n’arrivais pas à exister en tant qu’Antonella. 10 chansons chantées dont une de Piaf et hop : "bravo pour Edith Piaf". Merci au cabaret qui, pour le coup, m’a permis d’exister autrement, d’improviser sur scène, de jouer et de danser. C’est la plus belle école selon moi.
R.S : Sur ton CV tu inscris : "Chanteuse 2000-2005-2010 - Universités françaises de Russie (Penza, Moscou, Saratov)". Je suis intrigué ! Tu peux développer ?
A.C : Encore un atout du sosie vocal de Piaf ! Je jouais dans un cabaret parisien "le Canotier du pied de la Butte". Une personne m’a interpelée et m’a proposé de partir représenter la France en Russie. Une alliance avec les universités russes où l’on apprenait le français. En 2000, la Russie n’était pas ouverte au monde, ce fut donc encore plus incroyable. Ils ne connaissaient qu’Alizée, Mylène Farmer, Edith Piaf et Joe Dassin. Mais les Russes ont un goût prononcé pour l’art et sont émerveillés de tout ce qui le touche. Après avoir inauguré la place du Manège à Moscou, on y est retourné pour se produire devant les élèves des universités. Certains sont montés sur scène pour chanter avec moi. Il y avait de nombreux talents. Ils ont appris la chanson en 1 jour et tout cela avec un français impeccable. Ensuite j’y suis retournée pour être jury d’un concours de la chanson française intra universitaire. D’où ces 3 villes. Le vainqueur avait pour prix un voyage en France. Pour eux c’était l’El Dorado. Pour moi c’était une belle claque d’humilité.
R.S : Tu as été conceptrice de spectacles dans des villages vacances. Comment est-ce arrivé dans ta vie ?
A.C : Et je le suis toujours. Encore une circonstance de la vie. Il me fallait fuir mon quotidien. J’ai revu un ami qui recherchait une chorégraphe pour une saison d’été. J’ai dit "je suis là". Et c’était parti. Avec les idées qui fusaient dans ma tête, c’était évident en fait. Puis un camping a tout misé sur mes shows. C’est un peu insolite dans ce genre d’endroit. C’était innovant. Il fallait penser plus haut et pas que des pas : réalisation de costumes, mise en scène... Et tout ça pour des shows de 12 à 23 personnes sur scène (la plupart étaient amateurs et ne savaient même pas ce qu’était une régie). C’était sport mais quel pied artistique au final. Depuis, plus ça va plus plus la barre est haute. Je me rapproche de Hollywood (rires).
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
A.C : Encore une circonstance de la vie. Eh oui Reynald, pour moi, rien n’arrive par hasard, tout a un sens... La vie te met des gens sur ton passage et jamais pour rien. Et de discussion en discussion j’ai voulu me diriger vers la voix off. J’ai donc suivi une formation mixte voix off/ doublage, tout en pensant que le doublage était impossible d’accès. J’y ai goûté... C’était foutu ! J’ai donc décidé de me « muscler » grâce au training de différents centres de formation. Je voulais arriver en studio avec un niveau correct. Je ne me suis pas lancée juste après un stage. J’ai pris mon temps. Et puis j’ai arpenté les studios avec mon plus beau sourire et ma bonne humeur. Merci encore à tous ces DA qui m’ont fait débuter. Isabelle Brannens fut ma marraine, puis Jérôme Pauwels, suivis par Déborah Perret, Laurent Dattas et Stéphane Marais à qui je dois énormément.
R.S : C'est une discipline que tu envisageais depuis longtemps ?
A.C : Lors de mes cours de théâtre, on me disait que j’étais une éponge et que je me fondais vite dans mes personnages. J’étais le clown de service (rires).
J’imitais, je reproduisais les voix que j’entendais à la radio ou à la TV. J’étais fan des voix d’animation. J’y ai pensé oui, sauf que ce métier n’était pas très accessible. Il fallait des "connaissances"... et on me conseillait de laisser tomber l’idée d’y entrer. Heureusement, ma caboche et moi on aime les challenges, surtout à 40 ans. Je ne sais pas pourquoi, peut-être un meilleur lâcher prise, tout coule. Aujourd’hui je peux dire que, tout cela, je ne le dois qu’à moi-même et à mon entêtement.
R.S : Regardais-tu les VF avant d'en faire toi-même ?
A.C : Oui, majoritairement. C’est pour ça que, quand j’assistais, j’adorais ! Je reconnaissais les voix. J’avais le sourire d’une fan devant son idole.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
A.C : Mon métier est déjà un loisir. C’est un nuancier. Je pars d’une base et je rajoute des couleurs pour l’embellir. Mon temps libre je l’occupe en faisant du sport. Et je n’oublie pas de voir les amis et la famille : mes bouteilles d’oxygène et mes conseilleurs. Sans oublier de voyager car ça forme la jeunesse !
R.S : Merci beaucoup Antonella.
A.C : Ce fut un plaisir Reynald. C’est quand que l’on se voit en vrai de vrai ?
Interview de septembre 2019