Alexis Victor
Genres :
Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé
Doublage
Série documentaire
Marvel Studios Rassemblement
Série documentaire
Terre : les couleurs nocturnes
cinéma
2005
Le Monde de Narnia : chapitre 1 - Le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique (Mr. Tumnus, le Faun)
Voix
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AGF
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Caisse d'Epargne
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Chocapic
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Coca-cola
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France Telecom
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L'Oréal Paris
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La poste
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McDonald's
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Mercedes
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Microsoft
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Nescafé
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Neuf Telecom
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Nintendo (divers messages)
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Petit filou
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Playstation
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Renault
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SFR (campagne de Chico)
Direction artistique
Formation
2 Stages d'interprétation avec Patricia Sterling (coaching face à la caméra)
Stage Afdas : Produire et organiser un spectacle vivant
Atelier International de Théâtre de Blanche Salant et Paul Weaver
Conservatoire de Saint-Germain en Laye (1er prix théâtre moderne)
Stage Afdas : Produire et organiser un spectacle vivant
Atelier International de Théâtre de Blanche Salant et Paul Weaver
Conservatoire de Saint-Germain en Laye (1er prix théâtre moderne)
Courts-métrages
2006 "Trace d'amour" réalisé par Albert Goldberg
Télévision
"S.O.S. 18" réalisé par Jean Sagols
1999 "Les cordiers juges et flics" dans le rôle de Lucas
1999 "Les cordiers juges et flics" dans le rôle de Lucas
Théâtre
2023 "Le Repas des Fauves" de Vahé Katcha - adaptation et mise en scène de Julien Sibre. Théâtre Hébertot
2022 "La vie est une fête" de Lilian Lloyd - mise en scène de Virginie Lemoine. Théâtre Actuel (Avignon)
2022 "PSYcause(s) Lui" de Josiane Pinson - mise en scène de l'auteur. Lucernaire
2015/2016 "Noël au balcon" de Gilles Dyrek - mise en scène de Gilles Dyrek. Café de la Gare, Théâtre Actuel Avignon 2016
2014 "Venise sous la Neige" de Gilles Dyrek - mise en scène de Gilles Dyrek. Théâtre Daunou
2010/2011 "Le repas des Fauves" de Vahé Katcha, adaptation et mise en scène de Julien Sibre
2009/2010 "Trahisons" de Harold Pinter - mise en scène de Mitch Hooper. Théâtre Le Lucernaire
2008/2009 "Amour et chipolatas" de Jean-Luc Lemoine - mise en scène de Xavier Letourneur, dans le rôle d'Hugo. Comédie Caumartin
2007 "Le monte-plats" d'Harold Pinter - mise en scène de Mitch Hooper, interprète et producteur. Théâtre Essaion 100 représentations
2005 "La tête dans le guidon" de Jean-Christophe Barc - mise en scène de Karine Letellier. Théâtre Le Lucernaire
2003 "La folle aventure" de M. Bernard, E. Delarue et A. Victor (Co-auteur et producteur) - mise en scène de M. Vander-Meiren, dans le rôle du prince de Mantoue. Théâtre 13 et Lucernaire Avignon
2000/2002 "Médée" de Euripide - mise en scène de G. Malabat, dans le rôle de Jason. Théâtre de Louveciennes et tournée
2000/2001 Festival A. de Musset. Nord-Ouest
"La quenouille de Barberine" mise en scène de J. Ravicx, dans le rôle d'Ulric
"Fantasio" mise en scène de Delphin, dans le rôle du prince de Mantoue
"Faustine" mise en scène de F. Merlo, dans le rôle de Visconti
1999 "La double inconstance" de Marivaux - mise en scène de G. Malabat, dans le rôle du prince. Théâtre de Louveciennes et tournée
"Festival Alfred de Musset, Racine et Molière au TNO" La quenouille de Barberine / Fantasio / Faustine / Alexandre Le Grand/ L'avare
2022 "La vie est une fête" de Lilian Lloyd - mise en scène de Virginie Lemoine. Théâtre Actuel (Avignon)
2022 "PSYcause(s) Lui" de Josiane Pinson - mise en scène de l'auteur. Lucernaire
2015/2016 "Noël au balcon" de Gilles Dyrek - mise en scène de Gilles Dyrek. Café de la Gare, Théâtre Actuel Avignon 2016
2014 "Venise sous la Neige" de Gilles Dyrek - mise en scène de Gilles Dyrek. Théâtre Daunou
2010/2011 "Le repas des Fauves" de Vahé Katcha, adaptation et mise en scène de Julien Sibre
2009/2010 "Trahisons" de Harold Pinter - mise en scène de Mitch Hooper. Théâtre Le Lucernaire
2008/2009 "Amour et chipolatas" de Jean-Luc Lemoine - mise en scène de Xavier Letourneur, dans le rôle d'Hugo. Comédie Caumartin
2007 "Le monte-plats" d'Harold Pinter - mise en scène de Mitch Hooper, interprète et producteur. Théâtre Essaion 100 représentations
2005 "La tête dans le guidon" de Jean-Christophe Barc - mise en scène de Karine Letellier. Théâtre Le Lucernaire
2003 "La folle aventure" de M. Bernard, E. Delarue et A. Victor (Co-auteur et producteur) - mise en scène de M. Vander-Meiren, dans le rôle du prince de Mantoue. Théâtre 13 et Lucernaire Avignon
2000/2002 "Médée" de Euripide - mise en scène de G. Malabat, dans le rôle de Jason. Théâtre de Louveciennes et tournée
2000/2001 Festival A. de Musset. Nord-Ouest
"La quenouille de Barberine" mise en scène de J. Ravicx, dans le rôle d'Ulric
"Fantasio" mise en scène de Delphin, dans le rôle du prince de Mantoue
"Faustine" mise en scène de F. Merlo, dans le rôle de Visconti
1999 "La double inconstance" de Marivaux - mise en scène de G. Malabat, dans le rôle du prince. Théâtre de Louveciennes et tournée
"Festival Alfred de Musset, Racine et Molière au TNO" La quenouille de Barberine / Fantasio / Faustine / Alexandre Le Grand/ L'avare
Interview
R.S : Bonjour Alexis...
A.V : Bonjour Reynald.
R.S : J'imagine qu'enfant tu avais déjà des prédispositions de comédien ?
A.V : Disons que j'avais une certaine prédisposition à l'évasion et à la solitude mais j'étais surtout très indiscipliné. J'étais souvent contre ! Contre l'autorité, la hiérarchie... Une enfance tranquille, quoi...
R.S : A quel moment as-tu décidé que comédien serait ton métier ?
A.V : Assez tôt. A 10 ans, j'ai demandé à ma mère de m'inscrire en cours de théâtre. Une envie, une impulsion, un pressentiment... Après il y a eu la période normale mais très chiante ("passe ton bac d'abord... tu en feras une passion"). Je comprends que ça puisse faire peur et d'ailleurs je ne recommande pas trop ce métier. Je crois que ce dernier ne se recommande pas. Il s'impose de lui-même, comme une évidence... une nécessité de vie.
R.S : Les formations ont une grande importance à tes yeux, d'ailleurs tu continues à faire des stages. Est-ce pour explorer certaines facettes du comédien qui est en toi et que tu ne connais pas encore ?
A.V : Disons que j'aimerais ne pas m'installer. Je ne veux pas avoir de certitudes. Donc oui, je fais des stages car j'aime être face au doute, à l'inconnu, au 4ème mur. Se remettre en question tout simplement. Pour tenter d'aller vers l'essentiel. Et puis j'ai fais de très belles rencontres, notamment grâce au stage de Patricia Sterling.
R.S : Comment et pourquoi as-tu pris le chemin du doublage ?
A.V : J'ai eu la chance de croiser la route de Gabriel Le Doze au théâtre du Nord-Ouest. Gabriel a été adorable et m'a donné quelques adresses. Je me suis donc déplacé un jour à l'Européenne de Doublage (dirigée alors par Jenny Gérard). C'était en février 1999. Coup de bol, le jour de ma première visite, l'Européenne organisait des essais pour entendre de nouvelles voix. Le lendemain, je commençais à travailler. Le luxe absolu ! Je dois beaucoup à Jenny Gérard et je ne l'oublie pas. J'ai découvert un monde différent de tout ce que j'avais entendu. J'ai rencontré des gens chaleureux et aimants. Des artistes... Avec des parcours incroyables pour certains ! Bon ce n'est pas non plus "tout le monde il est beau tout le monde il est gentil"...
R.S : Dans le doublage, même si on joue dans l'ombre d'une autre personne, peut-on quand même mettre une part de soi ?
A.V : Oh que oui ! Sa liberté, son énergie, sa pudeur... C'est d'ailleurs "épuisant". Il m'arrive d'être très fatigué après une grosse journée. C'est d'ailleurs pour cette raison que j'adore jouer au théâtre après une journée de doublage. J'ai l'impression que mes sens sont en éveil et puis la fatigue aide au lâcher prise. J'adore cet état, c'est jouissif !
R.S : Il y a plusieurs comédiens que tu aimes particulièrement doubler comme Josh Duhamel, Kevin McKidd, Jason Gray-Stanford, etc. As-tu plaisir à les retrouver au fil des saisons ? Et j'imagine que tu aimerais les suivre pour la suite de leur carrière ?
A.V : Oui, j'éprouve du plaisir à les retrouver. Josh Duhamel, que je double dans "Las Vegas" sous la direction d'Isabelle Brannens, est un acteur très précis, décontracté, fantaisiste. Il pratique l'autodérision avec beaucoup d'humilité je trouve. Je pense qu'il va devenir une immense star. De plus j'ai des partenaires très talentueux. Caroline Delauney, Dominique Westberg, Dominique Léandri, Céline Monsarrat, Christophe Peyroux et Georges Claisse.
Kevin Mckidd, que je double dans "Rome" sous la direction de José Luccioni, est un acteur très intense, très shakespearien. Pour être honnête, j'étais un peu perplexe quand j'ai appris que j'avais été retenu pour doubler ce rôle. Je craignais de ne pouvoir le "remplir". Mais José m'a dit "c'est pour toi, je le sais". J'ose croire que José ne s'est pas trompé car ce fut une véritable rencontre. Mes partenaires sont Juliette Degenne, Anne Kerylen, Claire Guyot, Edwige Lemoine, Marc Alfos, Edgard Givry, José Luccioni, Antoine Nouel et Yann Le Madic. Y a pire comme casting... Non ?
Jason Gray Stanford, que je double dans "Monk" sous la direction de Catherine Le Lann, est un acteur totalement déjanté. Le personnage de Disher semble s'être évadé d'un cartoon de Tex Avery. Ouais, Disher, c'est un peu mon prozac à moi... Et puis Catherine, c'est la reine du casting quand même. Mes partenaires sont Valérie Nosrée, Natacha Muller, Erik Colin et Michel Papineschi...
R.S : On entend également ta voix dans de nombreux spots publicitaires. Abordes-tu cela comme un rôle ou est-ce un peu différent ?
A.V : C'est un exercice très différent. J'essaie le plus possible de m'adapter et de répondre à l'attente du client. Je mets ma susceptibilité de côté. Ce qui ne m'empêche pas de donner mon avis... quoi que... de moins en moins.
R.S : Comme beaucoup de comédiens, j'ai l'impression que tu as besoin de toutes ces différentes façons de jouer pour pouvoir t'épanouir complètement dans ton métier ?
A.V : Oui ! J'ai besoin de tendre vers... C'est important, je crois. J'ai surtout besoin d'apprendre. Ce métier est passionnant. Travailler avec des gens si différents et s'adapter tout en gardant son identité, son énergie, sa franchise. Apprendre des autres, les regarder, les écouter. Ne jamais dire "j'ai trouvé"... Continuer à se surprendre, douter, être fatigué d'émotions.
R.S : Quelles sont tes passions en dehors de la comédie ?
A.V : Bon, ce n'est pas très glamour mais j'adore le foot ! Et puis mes ami(e)s, la famille, les longs repas, les bonnes bouteilles, les discussions enflammées, la politique, les déclarations d'amour, la perte de contrôle, la fraternité ! J'ai aussi un faible pour la "grossièreté" quand elle est au service de la protestation et de la provocation. Ça manque de provocateurs dans ce pays, merde ! Serge, Pierre, Michel, Raymond... vous me manquez !
R.S : Merci beaucoup Alexis.
A.V : Merci à toi Reynald. Le travail que tu réalises est incroyable. Bravo et merci pour nous.
Interview de novembre 2006
A.V : Bonjour Reynald.
R.S : J'imagine qu'enfant tu avais déjà des prédispositions de comédien ?
A.V : Disons que j'avais une certaine prédisposition à l'évasion et à la solitude mais j'étais surtout très indiscipliné. J'étais souvent contre ! Contre l'autorité, la hiérarchie... Une enfance tranquille, quoi...
R.S : A quel moment as-tu décidé que comédien serait ton métier ?
A.V : Assez tôt. A 10 ans, j'ai demandé à ma mère de m'inscrire en cours de théâtre. Une envie, une impulsion, un pressentiment... Après il y a eu la période normale mais très chiante ("passe ton bac d'abord... tu en feras une passion"). Je comprends que ça puisse faire peur et d'ailleurs je ne recommande pas trop ce métier. Je crois que ce dernier ne se recommande pas. Il s'impose de lui-même, comme une évidence... une nécessité de vie.
R.S : Les formations ont une grande importance à tes yeux, d'ailleurs tu continues à faire des stages. Est-ce pour explorer certaines facettes du comédien qui est en toi et que tu ne connais pas encore ?
A.V : Disons que j'aimerais ne pas m'installer. Je ne veux pas avoir de certitudes. Donc oui, je fais des stages car j'aime être face au doute, à l'inconnu, au 4ème mur. Se remettre en question tout simplement. Pour tenter d'aller vers l'essentiel. Et puis j'ai fais de très belles rencontres, notamment grâce au stage de Patricia Sterling.
R.S : Comment et pourquoi as-tu pris le chemin du doublage ?
A.V : J'ai eu la chance de croiser la route de Gabriel Le Doze au théâtre du Nord-Ouest. Gabriel a été adorable et m'a donné quelques adresses. Je me suis donc déplacé un jour à l'Européenne de Doublage (dirigée alors par Jenny Gérard). C'était en février 1999. Coup de bol, le jour de ma première visite, l'Européenne organisait des essais pour entendre de nouvelles voix. Le lendemain, je commençais à travailler. Le luxe absolu ! Je dois beaucoup à Jenny Gérard et je ne l'oublie pas. J'ai découvert un monde différent de tout ce que j'avais entendu. J'ai rencontré des gens chaleureux et aimants. Des artistes... Avec des parcours incroyables pour certains ! Bon ce n'est pas non plus "tout le monde il est beau tout le monde il est gentil"...
R.S : Dans le doublage, même si on joue dans l'ombre d'une autre personne, peut-on quand même mettre une part de soi ?
A.V : Oh que oui ! Sa liberté, son énergie, sa pudeur... C'est d'ailleurs "épuisant". Il m'arrive d'être très fatigué après une grosse journée. C'est d'ailleurs pour cette raison que j'adore jouer au théâtre après une journée de doublage. J'ai l'impression que mes sens sont en éveil et puis la fatigue aide au lâcher prise. J'adore cet état, c'est jouissif !
R.S : Il y a plusieurs comédiens que tu aimes particulièrement doubler comme Josh Duhamel, Kevin McKidd, Jason Gray-Stanford, etc. As-tu plaisir à les retrouver au fil des saisons ? Et j'imagine que tu aimerais les suivre pour la suite de leur carrière ?
A.V : Oui, j'éprouve du plaisir à les retrouver. Josh Duhamel, que je double dans "Las Vegas" sous la direction d'Isabelle Brannens, est un acteur très précis, décontracté, fantaisiste. Il pratique l'autodérision avec beaucoup d'humilité je trouve. Je pense qu'il va devenir une immense star. De plus j'ai des partenaires très talentueux. Caroline Delauney, Dominique Westberg, Dominique Léandri, Céline Monsarrat, Christophe Peyroux et Georges Claisse.
Kevin Mckidd, que je double dans "Rome" sous la direction de José Luccioni, est un acteur très intense, très shakespearien. Pour être honnête, j'étais un peu perplexe quand j'ai appris que j'avais été retenu pour doubler ce rôle. Je craignais de ne pouvoir le "remplir". Mais José m'a dit "c'est pour toi, je le sais". J'ose croire que José ne s'est pas trompé car ce fut une véritable rencontre. Mes partenaires sont Juliette Degenne, Anne Kerylen, Claire Guyot, Edwige Lemoine, Marc Alfos, Edgard Givry, José Luccioni, Antoine Nouel et Yann Le Madic. Y a pire comme casting... Non ?
Jason Gray Stanford, que je double dans "Monk" sous la direction de Catherine Le Lann, est un acteur totalement déjanté. Le personnage de Disher semble s'être évadé d'un cartoon de Tex Avery. Ouais, Disher, c'est un peu mon prozac à moi... Et puis Catherine, c'est la reine du casting quand même. Mes partenaires sont Valérie Nosrée, Natacha Muller, Erik Colin et Michel Papineschi...
R.S : On entend également ta voix dans de nombreux spots publicitaires. Abordes-tu cela comme un rôle ou est-ce un peu différent ?
A.V : C'est un exercice très différent. J'essaie le plus possible de m'adapter et de répondre à l'attente du client. Je mets ma susceptibilité de côté. Ce qui ne m'empêche pas de donner mon avis... quoi que... de moins en moins.
R.S : Comme beaucoup de comédiens, j'ai l'impression que tu as besoin de toutes ces différentes façons de jouer pour pouvoir t'épanouir complètement dans ton métier ?
A.V : Oui ! J'ai besoin de tendre vers... C'est important, je crois. J'ai surtout besoin d'apprendre. Ce métier est passionnant. Travailler avec des gens si différents et s'adapter tout en gardant son identité, son énergie, sa franchise. Apprendre des autres, les regarder, les écouter. Ne jamais dire "j'ai trouvé"... Continuer à se surprendre, douter, être fatigué d'émotions.
R.S : Quelles sont tes passions en dehors de la comédie ?
A.V : Bon, ce n'est pas très glamour mais j'adore le foot ! Et puis mes ami(e)s, la famille, les longs repas, les bonnes bouteilles, les discussions enflammées, la politique, les déclarations d'amour, la perte de contrôle, la fraternité ! J'ai aussi un faible pour la "grossièreté" quand elle est au service de la protestation et de la provocation. Ça manque de provocateurs dans ce pays, merde ! Serge, Pierre, Michel, Raymond... vous me manquez !
R.S : Merci beaucoup Alexis.
A.V : Merci à toi Reynald. Le travail que tu réalises est incroyable. Bravo et merci pour nous.
Interview de novembre 2006